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Idée reçue sur la santé n° 3 : l'alcoolisme est héréditaire


Invité David Web

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Idée reçue sur la santé n° 3 : l'alcoolisme est héréditaire

S'il est vrai que l'alcool touche davantage les enfants dont un des parents souffre d'alcoolisme, les raisons de la maladie sont plus complexes.

alcool-sante-1064855-jpg_936487.JPGPhoto d'illustration.© Closon / Isopix / Sipa

L'alcoolisme est-il une maladie que l'on "reçoit en héritage" ? Au moins en partie, d'après une étude menée en 2011 par des chercheurs de l'université de Göteborg, en Suède. Expérimentant les effets de l'alcool sur un groupe de 51 personnes, ils ont constaté que celles dont un des parents souffrait d'alcoolisme réagissaient à une alcoolisation de façon plus forte que les autres.

La piste de l'hérédité a été confortée par d'autres études qui ont mis au jour de nombreux gènes impliqués dans la dépendance à l'alcool. Le gène ADH1B, par exemple, est impliqué dans la fabrication d'une enzyme dans le foie chargée de métaboliser l'alcool. Et le gène DRD2, lié aux récepteurs à la dopamine (un neurotransmetteur du cerveau), influe sur la vulnérabilité à la dépendance. Des variations dans ces gènes modifient notre réaction face à l'alcool.

Interaction complexe

"Mais un gène repéré individuellement n'a qu'une influence minime dans le comportement d'une personne", nuance le docteur Oussama Kebir, chercheur en génétique psychiatrique à l'Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale). "De plus, ces facteurs génétiques ne sont pas forcément héréditaires." Tous les enfants d'alcooliques ne le deviennent pas et beaucoup de personnes dépendantes n'ont pas d'antécédents familiaux.

Le Point.

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Invité Savanna
Invités, Posté(e)
Invité Savanna
Invité Savanna Invités 0 message
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"De plus, ces facteurs génétiques ne sont pas forcément héréditaires." Tous les enfants d'alcooliques ne le deviennent pas et beaucoup de personnes dépendantes n'ont pas d'antécédents familiaux.

En effet , j'en suis un exemple parmi d'autres .

Cependant il est vrai que la descendance d’alcooliques est plus exposée outre les facteurs purement génétiques , ne fusse que par "l'exemple" donné qui fait partie du quotidien et de l'éducation .

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Membre, 79ans Posté(e)
Makaya Membre 387 messages
Baby Forumeur‚ 79ans‚
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rrub4514.gif

A la tienne Etienne

A la tienne, mon vieux !

Sans ces garc's de femm's

Nous serions tous des frères

A la tienne, Etienne,

A la tienne, mon vieux!

Sans ces garc's de femm's

Nous serions tous heureux !

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Membre, 35ans Posté(e)
Osha Membre 376 messages
Baby Forumeur‚ 35ans‚
Posté(e)

J'avais lu une étude sur le sujet où il était dit que beaucoup d'enfants d'alcooliques devenaient eux-même alcoolique, non pas pour des raisons génétiques, mais car ils reproduisaient le comportement de leur parent: l'enfant a vu son père boire quand il était stressé, ou boire pour fuir ses responsabilités, donc quand plus tard il se retrouve lui-même face à des problèmes complexes il est tenté de réagir comme lui, inconsciemment.

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Membre, Obsédé textuel, 73ans Posté(e)
Gouderien Membre 38 422 messages
73ans‚ Obsédé textuel,
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Moi j'ai vu mon père boire, et cela m'a donné une véritable haine non seulement contre l'alcool mais aussi contre toutes les formes de drogues.

Cela dit il y a bien longtemps que j'ai signé un semblant de paix, pas avec mon père (qui est mort depuis longtemps le malheureux) mais avec l'alcool. Un apéro ou une bière de temps en temps ça ne me fait pas peur, et je sais que j'ai une résistance à l'alcool plutôt supérieure à la moyenne. Je garde néanmoins une certaine méfiance, et s'il m'est arrivé de vraiment me relâcher (par exemple pendant des vacances), dès le retour à la maison c'était eau claire et jus de fruit. L'important dans ce domaine est de ne pas prendre de mauvaises habitudes. Et je ne supporte pas de voir quelqu'un bourré : je n'ai vraiment aucune indulgence pour les ivrognes.

J'ajoute qu'un jour j'ai eu la preuve que je ne serai jamais alcoolique. Suite à une grave dispute avec une fille que j'adorais (et j'étais dans mon tort), j'avais acheté en rentrant chez moi plusieurs bouteilles de vin et d'autres alcools, avec l'idée de me saouler pour oublier. Finalement je n'ai rien bu du tout : je savais bien que ce n'est pas ça qui règlerait mes problèmes. En fait j'ai plutôt l'alcool festif.

Dans le roman dont j'ai publié le début sur mon blog (voir référence ci-dessous), je résume ça ainsi :

"Cette résistance à l’alcool n’était pas due à une constitution particulièrement robuste mais, paradoxalement, à une hérédité chargée : en effet, il descendait par son père d’une lignée de gens qui avaient usé et abusé de la dive bouteille, à une époque où on était moins conscient qu’aujourd’hui des ravages de l’alcoolisme, et où l’on considérait le gros rouge qui tache comme un excellent fortifiant. Généralement, les personnes possédant ce genre de lourd héritage génétique sont hypersensibles à l’alcool ; mais une petite minorité fait preuve, bien au contraire, d’une endurance exceptionnelle, au point d’être presque insensible aux effets de ce composé organique : Fabrice faisait partie de ces happy few, même s’il n’avait jamais abusé de ce privilège. Le seul petit plaisir qu’il s’accordait parfois, c’est d’engueuler comme du poisson pourri des gens qui avaient bu deux fois moins que lui, mais qui étaient déjà ivres."

Quand je dis "petite minorité", je crois que j'aurais dû écrire plutôt "toute petite minorité". Même si je n'ai pas consulté les statistiques là-dessus, je pense que les gens qui ont eu des parents alcooliques ont vraiment intérêt à faire attention...

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Membre, 31ans Posté(e)
RaphStaf Membre 2 937 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
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Lol normal qu'un enfant qui touche a l'alcool a l'un des parents qui est alcoolique !! LES BOUTEILLES SONT A DISPOSITION !! laugh.gif

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Invité Savanna
Invités, Posté(e)
Invité Savanna
Invité Savanna Invités 0 message
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J'avais lu une étude sur le sujet où il était dit que beaucoup d'enfants d'alcooliques devenaient eux-même alcoolique, non pas pour des raisons génétiques, mais car ils reproduisaient le comportement de leur parent: l'enfant a vu son père boire quand il était stressé, ou boire pour fuir ses responsabilités, donc quand plus tard il se retrouve lui-même face à des problèmes complexes il est tenté de réagir comme lui, inconsciemment.

Tout à fait .

Moi j'ai vu mon père boire, et cela m'a donné une véritable haine non seulement contre l'alcool mais aussi contre toutes les formes de drogues.

Cela dit il y a bien longtemps que j'ai signé un semblant de paix, pas avec mon père (qui est mort depuis longtemps le malheureux) mais avec l'alcool. Un apéro ou une bière de temps en temps ça ne me fait pas peur, et je sais que j'ai une résistance à l'alcool plutôt supérieure à la moyenne. Je garde néanmoins une certaine méfiance, et s'il m'est arrivé de vraiment me relâcher (par exemple pendant des vacances), dès le retour à la maison c'était eau claire et jus de fruit. L'important dans ce domaine est de ne pas prendre de mauvaises habitudes. Et je ne supporte pas de voir quelqu'un bourré : je n'ai vraiment aucune indulgence pour les ivrognes.

J'ajoute qu'un jour j'ai eu la preuve que je ne serai jamais alcoolique. Suite à une grave dispute avec une fille que j'adorais (et j'étais dans mon tort), j'avais acheté en rentrant chez moi plusieurs bouteilles de vin et d'autres alcools, avec l'idée de me saouler pour oublier. Finalement je n'ai rien bu du tout : je savais bien que ce n'est pas ça qui règlerait mes problèmes. En fait j'ai plutôt l'alcool festif.

Dans le roman dont j'ai publié le début sur mon blog (voir référence ci-dessous), je résume ça ainsi :

"Cette résistance à l’alcool n’était pas due à une constitution particulièrement robuste mais, paradoxalement, à une hérédité chargée : en effet, il descendait par son père d’une lignée de gens qui avaient usé et abusé de la dive bouteille, à une époque où on était moins conscient qu’aujourd’hui des ravages de l’alcoolisme, et où l’on considérait le gros rouge qui tache comme un excellent fortifiant. Généralement, les personnes possédant ce genre de lourd héritage génétique sont hypersensibles à l’alcool ; mais une petite minorité fait preuve, bien au contraire, d’une endurance exceptionnelle, au point d’être presque insensible aux effets de ce composé organique : Fabrice faisait partie de ces happy few, même s’il n’avait jamais abusé de ce privilège. Le seul petit plaisir qu’il s’accordait parfois, c’est d’engueuler comme du poisson pourri des gens qui avaient bu deux fois moins que lui, mais qui étaient déjà ivres."

Quand je dis "petite minorité", je crois que j'aurais dû écrire plutôt "toute petite minorité". Même si je n'ai pas consulté les statistiques là-dessus, je pense que les gens qui ont eu des parents alcooliques ont vraiment intérêt à faire attention...

+1

Si ce n'est que personnellement , pas de haine , mais tout comme toi , je ne parviens pas à supporter l'état de ceux qui en abusent .

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Membre, Obsédé textuel, 73ans Posté(e)
Gouderien Membre 38 422 messages
73ans‚ Obsédé textuel,
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Quand j'écris "haine" c'est pour simplifier. En fait c'est plus compliqué que ça, bien sûr. Quand on a eu un parent alcoolique, je pense qu'il faut longtemps pour s'en remettre, même si soi-même on ne touche pas du tout à l'alcool.

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Invité Savanna
Invités, Posté(e)
Invité Savanna
Invité Savanna Invités 0 message
Posté(e)

Quand j'écris "haine" c'est pour simplifier. En fait c'est plus compliqué que ça, bien sûr. Quand on a eu un parent alcoolique, je pense qu'il faut longtemps pour s'en remettre, même si soi-même on ne touche pas du tout à l'alcool.

Je ne vous le fait pas dire ...

http://www.appel-arlon.net/codependance.html

Un lien que j'avais trouvé intéressant . .

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Membre, Obsédé textuel, 73ans Posté(e)
Gouderien Membre 38 422 messages
73ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)

Et les enfants, là-dedans?

Moi le conseil que je donnerais aux conjoints d'alcooliques (ou de drogués) c'est : fuyez! Dans ces histoires là on n'est jamais gagnant.

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Invité Savanna
Invités, Posté(e)
Invité Savanna
Invité Savanna Invités 0 message
Posté(e)

Les enfants vivent aussi l'enfer qu'ils partagent avec le parent non alcoolique .

L'espoir subsiste , le désespoir aussi .

Et puis , et puis , et bien il entraîne tout le monde dans sa chute .

Donc , oui , il arrive un moment où la bataille devient vaine .

Et les enfants, là-dedans?

Moi le conseil que je donnerais aux conjoints d'alcooliques (ou de drogués) c'est : fuyez! Dans ces histoires là on n'est jamais gagnant.

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Membre, Frétillant, gros sac à patates, et pouilleuse... , 36ans Posté(e)
Paillette Membre 14 847 messages
36ans‚ Frétillant, gros sac à patates, et pouilleuse... ,
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Idem que certains ici, le fait d'avoir deux parents alcooliques ne m'a pas rendue malade pour autant.

Pourtant, à l'inverse de ma soeur qui elle ne supporte pas l'alcool surement dû à notre "héritage", j'ai gardé un rapport "normal" avec l'alcool. J'ai pris des cuites, je bois un coup avec les amis. Rien d'extraordinaire.

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Membre, 35ans Posté(e)
Osha Membre 376 messages
Baby Forumeur‚ 35ans‚
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J'ai aussi un rapport "normal" avec l'alcool, mais j'ai quand même la trouille de tomber là dedans plus tard, ou dans une autre addiction... Parce que je me dis que j'ai peut être des points communs avec mon père, ayant vécu longtemps avec j'aurai peut être les mêmes réflexes, le même comportement que lui. Même si pour l'instant je ne dépends de rien, cela pourrait changer, on ne sait jamais. J'ai une peur bleue de ça, vraiment.

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Membre, 45ans Posté(e)
marylia Membre 44 725 messages
Forumeur activiste‚ 45ans‚
Posté(e)

Ayant un père alcoolique et aussi un ex mari, je ne supporte pas du tout l'alcool.Mon chéri ne boit presque pas d'alcool (depuis que je l'ai connu, il a bu qu'au jour de l'an) et le voir boire(il n'a bu que 2 verres de champagne) ça m'a fait bizarre

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Membre, Obsédé textuel, 73ans Posté(e)
Gouderien Membre 38 422 messages
73ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)

On a tous des points communs avec nos parents... et en même temps on est des individus différents. Ce n'est pas parce qu'ils ont fait des conneries, qu'on est condamné à refaire les mêmes. Et à propos de l'alcool, je crois qu'en fait on le sait assez vite, si on est dépendant ou pas. Moi je sais que j'ai un tempérament addictif, même si ça n'a jamais concerné l'alcool. Mais quand je mets la main dans quelque chose, tout le bras y passe... Donc je fais attention. Par exemple je n'ai jamais fumé. Je n'ai jamais approché un casino de ma vie, n'y joué au poker en ligne ou à des jeux d'argent en général. Mais j'ai été très accro aux jeux vidéo.

Il faut être réaliste : tout le monde a sa drogue. Il faut donc être assez malin pour choisir une drogue utile, et qui vous fasse du bien : par exemple la musique, la poésie, disons l'art en général. Le travail. Certains sports aussi (à condition de ne pas finir comme Lance Armstrong...)

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Invité Savanna
Invités, Posté(e)
Invité Savanna
Invité Savanna Invités 0 message
Posté(e)

J'ai aussi un rapport "normal" avec l'alcool, mais j'ai quand même la trouille de tomber là dedans plus tard, ou dans une autre addiction... Parce que je me dis que j'ai peut être des points communs avec mon père, ayant vécu longtemps avec j'aurai peut être les mêmes réflexes, le même comportement que lui. Même si pour l'instant je ne dépends de rien, cela pourrait changer, on ne sait jamais. J'ai une peur bleue de ça, vraiment.

La peur n'évite pas le danger .

De ce fait , je pense que plus tu feras une fixation sur cette peur , plus elle te guêtra .

Vers l'âge de 17 ans , j'ai commencé à développer , ce que j'appellerais un début de phobie , je refusais systématiquement un verre , rien que la vue d'une bouteille engendrait en moi une angoisse .

Mon père m'a alors expliqué que l'alcool n'était pas une menace tant qu'il était consommé avec parcimonie .

Que tout ceux qui dégustent un verre de temps à autre ne sont pas et ne deviennent pas forcément alcooliques .

Si je bois 2 verres par an , c'est beaucoup .

Je pense aussi qu'il faut néanmoins rester prudent , sans pour autant être phobique .

Nous avons probablement un "flair" plus aiguisé concernant tout ce qui pourrait nous mettre en alerte concernant cette addiction , dés lors il me semble qu'il faut s'en servir dés que se présente une pente glissante aux senteurs un peu trop alcoolisées .

Il est vrai aussi que dans mon entourage , certains enfants d’alcooliques ont généralement commencés très trop l'abus d'alcool , à savoir tant qu'ils vivaient encore chez leurs parents .

Restes attentive mais essaies de ne pas en faire une fixation .

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  • 1 mois après...
Membre, psycho-étudiante, 37ans Posté(e)
Mel.bzh Membre 2 769 messages
37ans‚ psycho-étudiante,
Posté(e)

Discussion ma foi fort intéressante. Me pousse à la réflexion.

Merci.

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  • 2 mois après...
Membre, Posté(e)
Iam_ Florette Membre 157 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bonjour à tous( toutes),

Je viens de voir ce topic et vous conseille d'aller sur un médicament pour dire stop

La page n'est plus de mise et je vais l'actualiser, car depuis le Baclofène a obtenu une RTU de trois ans.

La nouvelle est passée sur toutes les chaînes, un exemple au hasard

En fait, pas vraiment au hasard, la vidéo a été prise le 25 janvier à Cochin où j'ai témoigné au côté d'Olivier Ameisen.

C'est à dire qu'il sera remboursé et que tous les médecins peuvent désormais le prescrire.

La France subit un véritable fléau et, il était tant qu'il soit enfin reconnu;

La molécule soigne aussi bien l'alcoolisme, la boulimie, l'addiction à la cigarette, Subutex, somnifères, Benzodiazépines, etc ...

Il agit sur le système de la récompense où il se place ( ceci est une explication rapide, voir sur le topic ).

Évidemment, l'alcoolisme est également plurifactoriel, d'où un pourcentage de génétique.

Il se transmet comme les autres maladies.

Si, vous avez un parent ayant eu la maladie d'Alzheimer, vous avez un risque d'avoir la maladie ou pas.

Il en est de même pour l'alcoolisme qui n'est pas une tare, un vice.

L'abstinence considérée comme une torture par la Suisse pays des Droits de l'homme n'est donc plus obligatoire avec ses nombreuses rechutes.

L'on peut l'a choisir librement, ou devenir un buveur raisonnable dans les normes OMS, voir même un peu plus, selon le choix.

Mais, jamais l'addiction ne reviendra.

A bientôt sur ce topic pour plus d'explications ( laissez-moi le temps de mettre à jour :smile2: ).

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Membre, Soleil d'Hiver, 60ans Posté(e)
Cassandre 0101 Membre 9 857 messages
60ans‚ Soleil d'Hiver,
Posté(e)

:gurp: je ne pense pas non que ce soit héréditaire

mon père l'est et en ce qui me concerne je déteste ça, je ne bois qu'en de très peu d'occasions et encore jamais d'alcool fort, et toujours modérément (jamais plus d'un verre) quand c'est du cidre ou du champagne.

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