Jeannette Bougrab : Ma République se meurt

C'est pas définitif mais c'est central je trouve, ça en dit énormément sur ce qu'a pu être le contexte éducatif et social de la personne.

Révélateur uniquement si on le croise avec d'autres éléments de la vie de la personne. Réducteur si on juge uniquement dessus, ce que les gens ont tendance à faire trop vite. Nous sommes tous bien plus que notre prénom.

C'est pas moi qui utilise des mots qui réduisent le choix entre être d'accord avec l'autre et être un malade mental.

En fait c'est ce que je vous reproche à vous les gens de l'axe du Bien du Bon et de la Vérité. Tu sais le fait de disqualifier, on en a déjà parlé.

Arrête de jouer la victime, je ne fais pas ce genre de chantage.

Bref là encore on pourrait poser des alternatives entre :

- Il existe zéro déterminisme (position Yop!)

- Le déterminisme seul existe. (position de personne)

Mais non, soit on est un sale discriminant odieux de l'enfer, soit on est un gentil non-discriminant qui dit que le prénom n'est rien. On m'a raconté que Dieudonné aurait appelé son dernier né Judas. Tu en pense quelque chose en matière de déterminisme, ou pas du tout ?

Caricature du propos. J'incite à ce méfier des raccourcis analytiques simplement sur le prénom. C'est ce qui amène au prénom qui est plus important. Tous les Abdel et les Jeannette n'ont pas le même parcours. Ma position est justement entre tes deux choix : le prénom a une influence sociale basé autant sur du déterminisme fantasmé que sur les causes qui l'ont amené. Causes réelles qu'on ne peut pas connaître juste sur le prénom.

Encore moins avec des assertions idiotes comme :

Ceci dit, les Jeannette ont souvent un QI bien supérieur aux Vanessa, Mélissa, Cindy, Kevin, Dylan et autre Brandon

D'une, ça sort non d'une statistique mais d'un fantasme populaire. De deux, ce n'est pas le prénom qui détermine le QI mais tout ce qu'il y a autour. On peut s'appeler Brandon dans un milieu tout à fait favorable, ça n'aura rien en commun avec s'appeler Brandon dans un milieu défavorisé et inculte. Mais bref, le sujet n'est pas que ça.

Arrête de jouer la victime, je ne fais pas ce genre de chantage.

Caricature du propos. J'incite à ce méfier des raccourcis analytiques simplement sur le prénom. C'est ce qui amène au prénom qui est plus important. Tous les Abdel et les Jeannette n'ont pas le même parcours. Ma position est justement entre tes deux choix : le prénom a une influence sociale basé autant sur du déterminisme fantasmé que sur les causes qui l'ont amené. Causes réelles qu'on ne peut pas connaître juste sur le prénom.

Oui, tu incite à se méfier en disant que ceux qui proposent un lien de causalité tuent la république. Alors que ce lien de causalité n'est pas présenté comme universel mais comme généralité, banalité.

Le temps à la la lutte contre la généralité comme si c'était la peste, alors qu'il y a bien plus de vérité dans la généralité que dans l'exception, par définition.

D'une, ça sort non d'une statistique mais d'un fantasme populaire. De deux, ce n'est pas le prénom qui détermine le QI mais tout ce qu'il y a autour. On peut s'appeler Brandon dans un milieu tout à fait favorable, ça n'aura rien en commun avec s'appeler Brandon dans un milieu défavorisé et inculte. Mais bref, le sujet n'est pas que ça.

Croire aux statistiques. Bientôt on rasera les églises et on construira des "%" géants dorés à l'or fin.

C'est pas définitif mais c'est central je trouve, ça en dit énormément sur ce qu'a pu être le contexte éducatif et social de la personne.

Donc si je comprend bien tu es pour moins de libertés accordées au peuple ?

Donc si je comprend bien tu es pour moins de libertés accordées au peuple ?

Je suis pour qu'on regarde les problèmes en face tout simplement, et qu'on y réponde. Nos libertés ont toutes des limites ou des restrictions, le tout est que ce soit justifié et opportun.