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Techouva: les juifs, l'holocauste et la repentance

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Djizus

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Membre, 47ans Posté(e)
johngouze Membre 552 messages
Baby Forumeur‚ 47ans‚
Posté(e)

L

Ils ne le font pas au nom de l'islam.

Non mais voilà, tu me parles d'arabe tout à coup. Comme si musulman & arabe c'était la même chose.

C'est comme si je te disais "Les blancs, c'est comme les chrétiens, et donc les coptes c'est des blancs, et les catholiques d'Amérique du sud sont responsables de l'inquisition".

ça n'a ni queue ni tête ton raisonnement, tu confonds tout.

Non ils ne le font pas au nom de l'Islam, mais si je me base sur la définition stricte du Tribalisme, les arabes en Algérie , ceux qui se revendiquent comme tel et qui occupent plutôt l'ouest du pays se considèrent être les plus aptes à imposer les règles et donc , adoptent un comportement tribal qui revient à dire, ce qui est issu de ma tribu est supérieur au reste du monde et n'est pas négociable, c'est d'ailleurs la définition que donne Soral sur son canapé..

Si tu as une autre définition, éclaire moi...

Non mais voilà, tu me parles d'arabe tout à coup. Comme si musulman & arabe c'était la même chose. C'est comme si je te disais "Les blancs, c'est comme les chrétiens, et donc les coptes c'est des blancs, et les catholiques d'Amérique du sud sont responsables de l'inquisition".

ça n'a ni queue ni tête ton raisonnement, tu confonds tout.

Oui justement, le tribalisme arabe est une réalité , et le tribalisme arabo musulman est également un second plan de la réalité sociale des pays musulmans...Tu peux pas le nier..qu être arabe et musulman, c'est quand même plus confortable en Egypte que d'être copte et chrétien? Surtout dans l'Egypte actuelle..

Modifié par johngouze
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Membre, Collabo, 48ans Posté(e)
Djizus Membre 3 400 messages
48ans‚ Collabo,
Posté(e)

Non ils ne le font pas au nom de l'Islam, mais si je me base sur la définition stricte du Tribalisme, les arabes en Algérie , ceux qui se revendiquent comme tel et qui occupent plutôt l'ouest du pays se considèrent être les plus aptes à imposer les règles et donc , adoptent un comportement tribal qui revient à dire, ce qui est issu de ma tribu est supérieur au reste du monde et n'est pas négociable, c'est d'ailleurs la définition que donne Soral sur son canapé..

Si tu as une autre définition, éclaire moi...

Mais "les arabes" ça n'est pas l'islam. Tu me parles " des arabes " en les opposant au judaïsme et à son tribalisme, pour me dire "oui mais y'a aussi les arabes".

"Les arabes", c'est pas une religion. C'est même pas une communauté.

ce qui est issu de ma tribu est supérieur au reste du monde et n'est pas négociable,

C'est la définition du tribalisme; tu comprends de quoi il retourne lorsqu'il s'agit du sujet qui nous occupe, c'est à dire du judaïsme ?

Oui justement, le tribalisme arabe est une réalité , et le tribalisme arabo musulman est également un second plan de la réalité sociale des pays musulmans...Tu peux pas le nier..qu être arabe et musulman, c'est quand même plus confortable en Egypte que d'être copte et chrétien? Surtout dans l'Egypte actuelle..

Tu mélanges tout.

Tu te rends compte que tu es parti dans une digression délirante pour ne pas avoir à te confronter au sujet de départ ? (le tribalisme juif dont ce topic est le sujet)

Si tu veux ouvrir un topic sur le "tribalisme arabe" , vas y et bonne chance, parce que vu comment tu t'emmêles les pinceaux , il va t'en falloir.

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Membre, 47ans Posté(e)
johngouze Membre 552 messages
Baby Forumeur‚ 47ans‚
Posté(e)

Je suis pas un expert en la matière, je suis d'ailleurs un expert en rien du tout..

Mais souligner les méfaits du tribalisme juif sans l'associer au tribalisme à l'échelle des peuples sémites est réducteur selon moi.

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Membre, Collabo, 48ans Posté(e)
Djizus Membre 3 400 messages
48ans‚ Collabo,
Posté(e)

C'est le sujet. C'est comme si tu me disais " Ce topic sur les USA est réducteur aux USA, faudrait en créer un sur la Russie" .

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Membre, Collabo, 48ans Posté(e)
Djizus Membre 3 400 messages
48ans‚ Collabo,
Posté(e)

Le président de la République et le premier ministre israélien sont venus saluer ensemble, à l’école Ozar Ha Tora, la mémoire des victimes de Mohamed Merah. Un saisissant rendez-vous avec les juifs de France.

<br id="sep_para_1" class="sep_para access"> 962685-1139751.jpg?v=1351841528 PATRICK BERNARD-POOL/SIPA C’était, depuis plusieurs saisons, depuis les crimes de Mohamed Merah et l’enchainement des agressions antisémites, le temps de l’incertitude et du vacillement pour les juifs de France. Mais ce 1er novembre, dans la ville rose poudrée d’or par l’automne, dans l’école Ozar Ha Torah, entre les drapeaux tricolores et ceux frappés de l’étoile de David, quelque chose a sans doute été réparé.

François Hollande est venu sur les lieux du massacre porter aux familles des victimes juives la parole de la République, tout en associant à la mémoire des enfants juifs assassinés celle des militaires tués à bout portant par le djihadiste. Il était accompagné de Benyamin Netanyahu, le premier ministre israélien venu porter, lui, la parole de l’Etat hébreu à des juifs français qui ne peuvent renoncer à cette part de leur âme. Mais sans oublier, lui aussi, de mentionner les victimes non juives, de confession musulmane et chrétienne, abattues par Merah.

La sécurité était sur les dents, l’école et le quartier transformés en camp retranché. Les drapeaux presque enlacés festonnaient le gymnase, les prières de deuil alternaient avec les chants d’avenir, l’hébreu avec le français, les vieillards avec les adolescents, les rabbins orthodoxes avec les laïques, la Marseillaise avec la Hatikva, l’Espoir, l’hymne national israélien. Les deux entonnées d’une même voix. On voguait sur les eaux mêlées. <br id="sep_para_2" class="sep_para access"> Ce déplacement spectaculaire réactivait toutes les symboliques. D’abord l’unité de la nation, puisque « la sécurité des juifs, scandait François Hollande, n’est pas l’affaire des juifs mais celle des Français dans leur ensemble ». Ensuite, la reconnaissance d’une double fidélité au coeur des minoritaires : « adhésion totale, sincère et loyale à la France » comme l’a rappelé le grand rabbin Gilles Bernheim en récitant la très ancienne prière juive pour la République, psalmodiée chaque samedi matin dans les synagogues. Mais parallèlement à une empathie existentielle avec l’Etat hébreu, il faut redire ici avec force que cette empathie n’est pas politique, bien que Benyamin Netanyahu ait probablement voulu aussi, à travers ce voyage toulousain, marquer un point en Israël à moins de trois mois des élections législatives du 22 janvier 2013.

Nos lecteurs savent tout le mal que Marianne pense de sa nouvelle alliance avec l’extrême-droite d’Avigdor Lieberman, si peu conforme aux valeurs morales juives et à la défense de l’altérité. Malgré ce contexte, François Hollande, la veille du déplacement à Toulouse, a cependant réussi à pousser le premier ministre israélien vers la reprise du dialogue avec Mahmoud Abbas, le président de l’Autorité palestinienne, sous les auspices de la France. Un début de victoire diplomatique élyséenne sur le front moyen-oriental ? Le courant est passé entre les deux hommes. « On sait maintenant qu’Hollande est un ami d’Israël » résumait un diplomate israélien à Toulouse. Netanyahu ne lui a-t-il pas dédié, dans son discours, un étonnant « mon ami François Hollande » ?

Mais, de toute façon, rien ne serait plus faux que d’associer les juifs de Toulouse, et par extension tous les juifs de France, aux calculs tacticiens du leader du Likoud. Le 1er novembre, ils saluaient simplement en lui l’actuel chef de cet Israël dont Martin Buber, philosophe sioniste de gauche, écrivait naguère que sa mémoire ancienne et sa création contemporaine constituaient « le triomphe de la nostalgie ».

C’est ce qu’a saisi, avec un certain courage, François Hollande. À ceux qui lui tiendront grief de s’être déplacé aux côtés d’un leader contesté, premier ministre d’un pays par ailleurs atrocement démonisé, le président de la République a répondu par avance.

« Vous représentez un pays créé au lendemain de la Shoa pour servir de refuge aux juifs, a-t-il dit à Benyamin Netanyahu. C’est pourquoi, chaque fois qu’un juif est pris pour cible parce que juif, Israël est concerné. C’est le sens de votre présence. Je la comprends, je la salue. Et je veux rappeler devant vous la détermination de la République française à combattre l’antisémitisme. Il sera pourfendu dans toutes ses manifestations, les mots comme les actes. Il sera pourchassé partout, y compris derrière toutes les causes qui lui servent de prétexte ou de masques, poursuivi par tous les moyens partout où il se diffuse, en particulier sur les réseaux sociaux qui accordent l’anonymat à la haine ». <br id="sep_para_3" class="sep_para access"> Dans l’assistance, on pense que ce ne sont pas seulement des paroles. « Des paroles, murmure un cadre communautaire, il y en a eu beaucoup du temps de Sarkozy...et puis... » On sait qu’un imam qui haïssait les juifs comme les femmes vient d’être expulsé. Que le démantèlement des réseaux salafisto-djihadistes est une priorité de Manuel Valls. Des adjectifs circulent dans la foule : « rassurés », « réconfortés », « un peu guéris ».

La priorité, ici, ne semble en rien être un départ vers Israël, comme le suggérait la veille Benyamin Netanyahu, fidèle en cela à la position d’un leader sioniste. « Il aurait mieux fait de réserver sa phrase à une réunion privée... » confie un membre du CRIF.

Au contraire, la patrie est tricolore, à l’image du drapeau que les enfants ont accroché à la même hampe que le drapeau juif bleu et blanc. « Là-bas », c’est autre chose : l’Israël mythique, rêvé dans l’illusion ou, plus silencieusement, dans la désillusion de sa réalité difficile, âpre, conflictuelle. Pays hanté et cerné par la guerre : Netanyahu confiait le matin même à quelques journalistes sa détermination à attaquer l’Iran ! Hollande s’est échiné à l’en dissuader...Pays de vacances, pourtant, totalement paradoxales où la minorité s’essaie, pour souffler un peu, à se sentir majorité. Et d’où elle revient. Quitte à affronter les nouvelles figures de l’antisémitisme. « Qu’attend-on de moi ? interroge Eva Sanders, mère de Gabriel, 3 ans, et d’Arié, 6 ans, tués avec son mari Jonathan par Mohamed Merah, sûrement pas de vivre comme une victime mais de faire comprendre que la recherche d’un idéal ne passe pas par le désir de détruire l’autre. Un peu de lumière, disent les maitres du Talmud, chasse beaucoup d’obscurité... »

Sur cette toile de fond tragique, Benyamin Netanyahu n’a pas manqué de rappeler que « les juifs ont désormais les moyens de se défendre contre ceux qui veulent les rayer de la carte ». « Nous n’allons pas nous briser, a martelé le premier ministre israélien sous des applaudissements vibrants, je suis venu ici de Jérusalem, la capitale éternelle d’Israël, pour dire trois mots clairs : Am Israël Haï ! Le peuple d’Israël vivra ! »

Un chant repris par toute l’assistance et sur lesquel s’est achevé le saisissant rendez-vous de Toulouse entre Israël, les juifs et la République.

http://www.marianne.net/Hollande-et-Netanyahu-a-toulouse-la-republique-ses-juifs-et-Israel_a223929.html

Tranquillement, la République reçoit un enculé et prend ses ordres.

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Le président de la République et le premier ministre israélien sont venus saluer ensemble, à l’école Ozar Ha Tora, la mémoire des victimes de Mohamed Merah. Un saisissant rendez-vous avec les juifs de France.

<br id="sep_para_1" class="sep_para access"> 962685-1139751.jpg?v=1351841528 PATRICK BERNARD-POOL/SIPA C’était, depuis plusieurs saisons, depuis les crimes de Mohamed Merah et l’enchainement des agressions antisémites, le temps de l’incertitude et du vacillement pour les juifs de France. Mais ce 1er novembre, dans la ville rose poudrée d’or par l’automne, dans l’école Ozar Ha Torah, entre les drapeaux tricolores et ceux frappés de l’étoile de David, quelque chose a sans doute été réparé.

François Hollande est venu sur les lieux du massacre porter aux familles des victimes juives la parole de la République, tout en associant à la mémoire des enfants juifs assassinés celle des militaires tués à bout portant par le djihadiste. Il était accompagné de Benyamin Netanyahu, le premier ministre israélien venu porter, lui, la parole de l’Etat hébreu à des juifs français qui ne peuvent renoncer à cette part de leur âme. Mais sans oublier, lui aussi, de mentionner les victimes non juives, de confession musulmane et chrétienne, abattues par Merah.

La sécurité était sur les dents, l’école et le quartier transformés en camp retranché. Les drapeaux presque enlacés festonnaient le gymnase, les prières de deuil alternaient avec les chants d’avenir, l’hébreu avec le français, les vieillards avec les adolescents, les rabbins orthodoxes avec les laïques, la Marseillaise avec la Hatikva, l’Espoir, l’hymne national israélien. Les deux entonnées d’une même voix. On voguait sur les eaux mêlées. <br id="sep_para_2" class="sep_para access"> Ce déplacement spectaculaire réactivait toutes les symboliques. D’abord l’unité de la nation, puisque « la sécurité des juifs, scandait François Hollande, n’est pas l’affaire des juifs mais celle des Français dans leur ensemble ». Ensuite, la reconnaissance d’une double fidélité au coeur des minoritaires : « adhésion totale, sincère et loyale à la France » comme l’a rappelé le grand rabbin Gilles Bernheim en récitant la très ancienne prière juive pour la République, psalmodiée chaque samedi matin dans les synagogues. Mais parallèlement à une empathie existentielle avec l’Etat hébreu, il faut redire ici avec force que cette empathie n’est pas politique, bien que Benyamin Netanyahu ait probablement voulu aussi, à travers ce voyage toulousain, marquer un point en Israël à moins de trois mois des élections législatives du 22 janvier 2013.

Nos lecteurs savent tout le mal que Marianne pense de sa nouvelle alliance avec l’extrême-droite d’Avigdor Lieberman, si peu conforme aux valeurs morales juives et à la défense de l’altérité. Malgré ce contexte, François Hollande, la veille du déplacement à Toulouse, a cependant réussi à pousser le premier ministre israélien vers la reprise du dialogue avec Mahmoud Abbas, le président de l’Autorité palestinienne, sous les auspices de la France. Un début de victoire diplomatique élyséenne sur le front moyen-oriental ? Le courant est passé entre les deux hommes. « On sait maintenant qu’Hollande est un ami d’Israël » résumait un diplomate israélien à Toulouse. Netanyahu ne lui a-t-il pas dédié, dans son discours, un étonnant « mon ami François Hollande » ?

Mais, de toute façon, rien ne serait plus faux que d’associer les juifs de Toulouse, et par extension tous les juifs de France, aux calculs tacticiens du leader du Likoud. Le 1er novembre, ils saluaient simplement en lui l’actuel chef de cet Israël dont Martin Buber, philosophe sioniste de gauche, écrivait naguère que sa mémoire ancienne et sa création contemporaine constituaient « le triomphe de la nostalgie ».

C’est ce qu’a saisi, avec un certain courage, François Hollande. À ceux qui lui tiendront grief de s’être déplacé aux côtés d’un leader contesté, premier ministre d’un pays par ailleurs atrocement démonisé, le président de la République a répondu par avance.

« Vous représentez un pays créé au lendemain de la Shoa pour servir de refuge aux juifs, a-t-il dit à Benyamin Netanyahu. C’est pourquoi, chaque fois qu’un juif est pris pour cible parce que juif, Israël est concerné. C’est le sens de votre présence. Je la comprends, je la salue. Et je veux rappeler devant vous la détermination de la République française à combattre l’antisémitisme. Il sera pourfendu dans toutes ses manifestations, les mots comme les actes. Il sera pourchassé partout, y compris derrière toutes les causes qui lui servent de prétexte ou de masques, poursuivi par tous les moyens partout où il se diffuse, en particulier sur les réseaux sociaux qui accordent l’anonymat à la haine ». <br id="sep_para_3" class="sep_para access"> Dans l’assistance, on pense que ce ne sont pas seulement des paroles. « Des paroles, murmure un cadre communautaire, il y en a eu beaucoup du temps de Sarkozy...et puis... » On sait qu’un imam qui haïssait les juifs comme les femmes vient d’être expulsé. Que le démantèlement des réseaux salafisto-djihadistes est une priorité de Manuel Valls. Des adjectifs circulent dans la foule : « rassurés », « réconfortés », « un peu guéris ».

La priorité, ici, ne semble en rien être un départ vers Israël, comme le suggérait la veille Benyamin Netanyahu, fidèle en cela à la position d’un leader sioniste. « Il aurait mieux fait de réserver sa phrase à une réunion privée... » confie un membre du CRIF.

Au contraire, la patrie est tricolore, à l’image du drapeau que les enfants ont accroché à la même hampe que le drapeau juif bleu et blanc. « Là-bas », c’est autre chose : l’Israël mythique, rêvé dans l’illusion ou, plus silencieusement, dans la désillusion de sa réalité difficile, âpre, conflictuelle. Pays hanté et cerné par la guerre : Netanyahu confiait le matin même à quelques journalistes sa détermination à attaquer l’Iran ! Hollande s’est échiné à l’en dissuader...Pays de vacances, pourtant, totalement paradoxales où la minorité s’essaie, pour souffler un peu, à se sentir majorité. Et d’où elle revient. Quitte à affronter les nouvelles figures de l’antisémitisme. « Qu’attend-on de moi ? interroge Eva Sanders, mère de Gabriel, 3 ans, et d’Arié, 6 ans, tués avec son mari Jonathan par Mohamed Merah, sûrement pas de vivre comme une victime mais de faire comprendre que la recherche d’un idéal ne passe pas par le désir de détruire l’autre. Un peu de lumière, disent les maitres du Talmud, chasse beaucoup d’obscurité... »

Sur cette toile de fond tragique, Benyamin Netanyahu n’a pas manqué de rappeler que « les juifs ont désormais les moyens de se défendre contre ceux qui veulent les rayer de la carte ». « Nous n’allons pas nous briser, a martelé le premier ministre israélien sous des applaudissements vibrants, je suis venu ici de Jérusalem, la capitale éternelle d’Israël, pour dire trois mots clairs : Am Israël Haï ! Le peuple d’Israël vivra ! »

Un chant repris par toute l’assistance et sur lesquel s’est achevé le saisissant rendez-vous de Toulouse entre Israël, les juifs et la République.

http://www.marianne.net/Hollande-et-Netanyahu-a-toulouse-la-republique-ses-juifs-et-Israel_a223929.html

Tranquillement, la République reçoit un enculé et prend ses ordres.

J'ai lu plusieurs articles là-dessus mais certains français n'approuvaient pas non plus cette rencontre où Hollande ne parlait surtout que des juifs en oubliant un peu les autres, c'est Netanyahu au contraire qui a fait le rapprochement par rapport aux autres aussi.

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Invité Imanouèl
Invités, Posté(e)
Invité Imanouèl
Invité Imanouèl Invités 0 message
Posté(e)

Le sujet était intérressant.... au début.

Soral qui y va de son deux poids deux mesures, extraordinaire.

"Je ne suis pas pro-musulman" : Mais son association compte 1/3 de musulmans, et ses salles de conférence c'est souvent du même tonneau. (Freysinger en a fait le constat, comme beaucoup d'autres).

"deux poids deux mesures" : et nous expliquer ensuite qu'il y a "profusion d'épiceries casher" à Paris et en banlieue. (à l'entendre autant que d'épicerie hallal... allons, allons, Alain...).

"deux poids deux mesures" : ça le faisait marrer, visiblement, l'entartage de BHL (moi aussi d'ailleurs), et il s'est ému de l'empeinturage d'une autre anti-France (doublée d'une aboyeuse aux ordres), Bouteldja.... Vidéo, commentaires, etc... Il aime visiblement le sous-chiennisme.

"deux poids deux mesures" : ça fait 6 ans qu'on bouffe de son agression (au début "une trentaine de types du Betar", maintenant c'est la LDJ, donc des gamins... c'est sûr que ça faisait mieux de dire Betar, ils étaient plus âgés et quand ils y allaient, c'était pas la LDJ et ses 8 pequenots, y'avait carnage... enfin bref, maintenant c'était la LDJ... évidemment, le Betar avait raccroché les crampons depuis belle lurette déjà à cette époque). Soral s'est fait coincer par des maghrébins (il était livide ce jour là, comme quoi, mettre des baffes à Beigbeder c'est bien, mais...) et a été bien malmené.

On en a pas beaucoup soupé pour le coup, du commando à Mohamed venu le faire se pisser dessus. Deux poids deux mesures ?

Ayant pratiqué la boxe française et toujours aujourd'hui en "Loisir", j'ai un entraineur qui a pas mal bourlingué dans cette discipline. Jamais entendu parler de Soral. Alors j'espère qu'il n'est pas allé s'acheter des coupes dans un magasin de coupe, ce serait.... pathétique.

J'aime bien Soral. Saud quand il essaie de me faire passer des vessies pour des lanternes.

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Membre, Collabo, 48ans Posté(e)
Djizus Membre 3 400 messages
48ans‚ Collabo,
Posté(e)

Soral s'est fait coincer par des maghrébins (il était livide ce jour là, comme quoi, mettre des baffes à Beigbeder c'est bien, mais...) et a été bien malmené.

On en a pas beaucoup soupé pour le coup, du commando à Mohamed venu le faire se pisser dessus. Deux poids deux mesures ?

C'était à quelle occasion ça ?

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Membre, Collabo, 48ans Posté(e)
Djizus Membre 3 400 messages
48ans‚ Collabo,
Posté(e)

Tzipi Livni avoue "avoir pratiqué le sexe" avec des personnalités arabes 09/11/2012

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Tzipi Livni, ancienne ministre des Affaires étrangères israélienne, a révélé qu’elle a pratiqué le sexe avec plusieurs personnalités arabes lorsqu’elle travaillait en tant qu’agent du Mossad, "dans le but de les impliquer dans des scandales sexuels, de les faire chanter et de leur soutirer des informations secrètes et des concessions politiques à la faveur d’Israël". Elle a encore avoué avoir perpétré des assassinats dans des pays européens, dont les victimes étaient des savants arabes, précisant que le Mossad est intervenu et l’a sauvée à l’époque.

Dans une récente rencontre avec le journal britannique "The Times", relayée par la presse israélienne et arabe, Livni a affirmé qu’elle ne voit pas d’inconvénient "de recourir aux pratiques sexuelles et au meurtre pour l’intérêt d’Israël". Elle s’est dite "fière" de ce qu’elle a fait, signalant qu’elle pourrait recourir de nouveau aux mêmes pratiques pour Israël.

Les aveux de Tzipi Livni interviennent dans la foulée d’un avis émis par le Hakham israélien, Ari Chafat, qui a autorisé aux Israéliennes "de recourir aux pratiques sexuelles avec les ennemis, en contrepartie d’informations importantes", prétendant que "la religion juive le tolère".

Tzipi Livni a occupé plusieurs postes au sein de l’entité sioniste, comme le rappelle le site d’élaph. Elle était aux premiers rangs du parti Likoud, puis, elle l’a quitté pour se rallier à Ariel Sharon qui a alors crée le parti Kadima. Elle a occupé le portefeuille des Affaires étrangères sous Olmert, et a été associée aux décisions de la guerre contre le Liban en 2006 et Gaza en 2008.

Après la chute d’Olmert, elle a présidé Kadima lors des élections législatives de 2009 face au Likoud, mais elle a échoué à former un gouvernement qui a fini par être dirigé par Netanyahu. Elle était auparavant au Mossad au rang d’un officier, qui ratissait les capitales européennes, en quête d’une proie palestinienne ou arabe.

Tzipi Livni pourrait revenir bientôt à la tête d’un nouveau parti pour participer aux élections législatives israéliennes. Elle pourrait réussir à diriger le prochain gouvernement israélien, et poursuivra certainement ses politiques guerrières et expansionnistes qu’elle a menées lors de son ancien mandat. Livini pavoise de ses "actes héroïques, à travers l’exécution d’opérations spéciales", elle avoue sans vergogne être pour "les pratiques sexuelles et le meurtre, si cela lui permet d’obtenir des informations pour Israël".

http://www.alterinfo.net/notes/Tzipi-Livni-avoue-avoir-pratique-le-sexe-avec-des-personnalites-arabes_b4903833.html

***

Aucun honneur ces bâtards.

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  • 1 mois après...
Invité Velvetshead
Invités, Posté(e)
Invité Velvetshead
Invité Velvetshead Invités 0 message
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La devoir de mémoire c'est Norman Finkelstein et pas Elie Wiesel(l'imposteur).sleep8ge.gif

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