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Goldman Sachs surpasse les attentes du marché


Invité David Web

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Invité David Web Invités 0 message
Posté(e)

Goldman Sachs surpasse les attentes du marché

La banque d'affaires américaine a publié un bénéfice au troisième trimestre de 1,5 milliard de dollars, contre une perte de 393 millions un an plus tôt. Elle a profité d'une bonne performance dans les activités obligataires.

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Les résultats trimestriels de Goldman Sachs ont battu les anticipations des analystes. Le résultat net du troisième trimestre s'est établi à 1,5 milliard de dollars (1,15 milliard d'euros), là où le marché attendait autour de 1,2 milliard d'euros. Le tout comparé à une perte de 393 millions de dollars pour la même période de l'an dernier.

Les revenus ont également explosé, en doublant par rapport à l'an dernier, à 8,35 milliards de dollars. La cinquième banque des Etats-Unis, spécialisée dans les activités de marché et la banque d'affaires, a profité d'une bonne performance dans les activités obligataires.

Elle a aussi bénéficié d'une réévaluation de plusieurs de ses participations dans des actions (le chinois ICBC, par exemple), de la dette ou des fonds de capital-investissement. La division concernée a apporté 1,8 milliard de dollars de revenus, contre une perte de 2,48 milliards un an plus tôt.

Lire la suite (les Echos)

Note : Le marché obligataire est le marché sur lequel les entreprises et les Etats se financent.

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Membre, Forumeur confit, Posté(e)
Enchantant Membre 17 746 messages
Forumeur confit,
Posté(e)

Que des banques comme Goldman Sachs, fassent des profits mirobolants sont plutôt l'indice que tous les ingrédients qui sont la source de la crise que nous connaissons sont toujours là, et que les leçons de la crise, du monde financier et du monde politique, n'ont servi à rien.

Toutes les banques font des profits avec l’argent casino d’une part et l’argent des investissements utiles aux entreprises et à l’emploi, tout est dans la même caisse sans distinction, c’est de la carambouille apparemment légale.

Qui dit gros gains ou grosses pertes, sont nécessairement les fruits de l’argent casino.

Lorsque les banques américaines font de grosses pertes avec l’argent casino, elles vont pleurer dans le giron de la banque centrale pour augmenter l’impression de la monnaie-papier dollars.

Ces banques qui étaient en faillite hier ont transmis leurs dettes aux états, qui fait que leurs pertes ont changé d’épaules.

Avec un état US en faillite et des banques US qui caracoles avec des profits anormaux, c’est complètement artificiel?

Il est vrai que tant que la musique ronronne, chacun continue de danser en espérant que le ciel demain ne leur tombe pas de nouveau sur la tête.

Les fous….

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Membre, Posté(e)
Dionyz Membre 334 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

ESCROC

VOLEUR

MANIPULATEUR

VAUTOUR

CHAROGNARD

MARCHAND DE MISÈRE

:police::police::police::police::police::police::police::police::police::police::police::police::police::police::police:

:censored::censored::censored::censored::censored::censored::censored::censored:

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Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Goldman Sachs surpasse les attentes du marché

La banque d'affaires américaine a publié un bénéfice au troisième trimestre de 1,5 milliard de dollars, contre une perte de 393 millions un an plus tôt. Elle a profité d'une bonne performance dans les activités obligataires.

9861405011050202329871279web.jpg

Les résultats trimestriels de Goldman Sachs ont battu les anticipations des analystes. Le résultat net du troisième trimestre s'est établi à 1,5 milliard de dollars (1,15 milliard d'euros), là où le marché attendait autour de 1,2 milliard d'euros. Le tout comparé à une perte de 393 millions de dollars pour la même période de l'an dernier.

Les revenus ont également explosé, en doublant par rapport à l'an dernier, à 8,35 milliards de dollars. La cinquième banque des Etats-Unis, spécialisée dans les activités de marché et la banque d'affaires, a profité d'une bonne performance dans les activités obligataires.

Elle a aussi bénéficié d'une réévaluation de plusieurs de ses participations dans des actions (le chinois ICBC, par exemple), de la dette ou des fonds de capital-investissement. La division concernée a apporté 1,8 milliard de dollars de revenus, contre une perte de 2,48 milliards un an plus tôt.

Lire la suite (les Echos)

Note : Le marché obligataire est le marché sur lequel les entreprises et les Etats se financent.

bonjour

goldman sachs est un état dans l'état .ça puissance finançière lui permet de manipuler l'état , et pas mal de choses en amérique et dans le monde .

cette banque ,peut-ètre ,l'une des plus puissante au monde sinon la plus puissante ,à eu plusieurs procès et ses dirigants appelés à la barre pour se justifier .

elle s'est toujours tirés d'affaire .

c'est la ou l'on voit que , l'argent est plus puissant que les politiques et le commun des mortel .

bonne journée

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Membre, Posté(e)
Dionyz Membre 334 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Le Financial Times du 4 décembre énumère les positions-clés occupées par d'anciens cadres dirigeants de Goldman Sachs dans les institutions américaines:

- Hank Paulson, ministre des Finances (ancien chief executive de GS)

- Robert Steel, secrétaire-d'Etat aux Finances, chargé des affaires intérieures (-ancien vice-président de GS)

- William Dudley, nommé récemment président du groupe des marchés de la Fed de New York (ancien chef économiste de GS)

- Reuben Jeffrey, président de la Commodity Futures Trading Commission(ancien managing partner du bureau de Paris)

- Randall Fort, ministre délégué au renseignement et à la recherche (ancien directeur mondial de la sécurité chez GS)

- Joshua Bolten, chef de cabinet à la Maison Blanche (ancien directeur exécutif)

- Jon Corzine, Gouverneur du New Jersey

- John Stain, Chief executive de la Bourse de NY

Le journal rappelle aussi que Robert Rubin fut ministre des Finances de 1995 à 1999 et permet au parti démocrate d'entretenir des liens avec GS. Que Stephen Friedman a travaillé auprès du président de 2002 à 2005 comme assistant pour la politique économique et directeur du National Economic Council. Que John Whitehead a été secrétaire d'Etat aux Finances de 1985 à 1989 et occupé le poste de directeur puis de président de la Fed de NY de 1995 à 1999.

Vous demandez-vous encore comment le dollar ne s'est toujours pas effondré, malgré les lois de l'économie?

Source

http://www.youtube.com/watch?v=0QpJEy_EC8Y

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Membre, Pas cavalier mais grand amateur de Cheval Blanc, 57ans Posté(e)
alkoolik Membre 5 672 messages
57ans‚ Pas cavalier mais grand amateur de Cheval Blanc,
Posté(e)

Le marché français a très bien réagi à cette bonne nouvelle et les valeurs financières ont vu leur cote monter.

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Membre, 32ans Posté(e)
economic dream Membre 3 028 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
Posté(e)

Sur le dos de qui ont -ils amassé tout ça ?

J'ai ma petite idée...

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Membre, Greuh, 44ans Posté(e)
The_Dalek Membre 21 012 messages
44ans‚ Greuh,
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bienvenue dans le monde du 21ème siècle

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  • 2 semaines après...
Membre, Posté(e)
Dionyz Membre 334 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

La banque est accusée d’avoir spéculé sur la faillite de la Grèce tout en conseillant Athènes depuis des années.

Par JEAN QUATREMER BRUXELLES (UE), de notre correspondant, GRÉGOIRE BISEAU Et si Michael Moore, et son film Capitalism : a Love Story, était bien en deçà de la réalité ? Et si le fleuron des «banksters», le surnom que Main street, l’homme de la rue, donne depuis la crise aux banquiers de Wall Street, était au cœur d’une affaire de subprimes étatique en Europe ? Goldman Sachs, la banque la plus puissante du monde, a spéculé sur le dos de la Grèce tout en se faisant rémunérer par Athènes pour l’aider à gérer sa dette. Voilà l’accusation qui trotte dans la tête de tous les banquiers européens. Et même au-delà. Fait rarissime, les politiques sont montés au créneau pour mettre en doute l’intégrité de la pieuvre Goldman Sachs. Sans jamais la nommer, la chancelière allemande Angela Merkel a dégainé la première mercredi. Elle juge «scandaleux» que certaines banques aient pu aider à maquiller le déficit budgétaire de la Grèce et provoquer ainsi une crise de toute la zone euro. Le lendemain, c’est au tour de la ministre de l’Economie, Christine Lagarde de se demander si «The Firm», comme on la surnomme, avait aidé la Grèce à maquiller la réalité de sa dette. «C’est une question à laquelle on doit avoir la réponse», a-t-elle dit sur France Inter. Ce n’est pas la seule. La banque américaine aux 13,3 milliards de dollars de bénéfice en 2009 est de tous les conflits d’intérêts potentiels dans cette crise grecque. A la fois conseiller et spéculateur. Bref le pire visage de la finance mondialisée…

Destination Athènes

Nous sommes début novembre 2009. Le nouveau gouvernement socialiste de George Papandreou s’arrache les cheveux. Comment convaincre les marchés et Bruxelles qu’il pourra bien tenir son programme d’austérité pour réduire une dette abyssale (112 %du PIB) ? La situation semble intenable. C’est à cette date, raconte le New York Times, qu’une délégation de banquiers de Goldman Sachs emmenée par leur numéro 2, Gary Cohn, débarque à Athènes. Nos chers banquiers ont pris rendez-vous pour présenter leur dernière petite merveille : «Un instrument financier permettant de remettre à un avenir très lointain le coût de système de santé du pays.» Et donc permettre à Athènes de se redonner un peu d’air. Goldman Sachs se sent ici un peu chez elle. Gary Cohn aurait rencontré au moins à deux reprises le Premier ministre grec. Cette proximité n’étonne personne. «Cela fait partie de la culture de la finance américaine et particulièrement de Goldman Sachs d’entretenir un contact direct avec les chefs d’Etat ou leur ministre des finances», raconte un banquier européen. L’ex-institution d’Henry Paulson, le secrétaire d’Etat au Trésor de George Bush, connaît très bien toutes les subtilités de la dette grecque. Il en fait une spécialité. «Goldman ne s’intéresse pas au marché de la dette des grands pays comme la France ou l’Allemagne, il préfère celle des petits, comme la Grèce ou le Portugal, car elle est plus volatile et donc plus spéculative, assure un responsable de la dette d’un pays européen. C’est beaucoup plus facile de se faire de l’argent vite». Et plus discrètement.

Déjà, entre 2001 et 2004, Goldman Sachs se retrouve à la manœuvre pour aider les Grecs à camoufler leur dette. Comment ? De deux façons distinctes. D’abord, grâce à des swaps de change. Des swaps, késako ? Quand un pays vend sa dette au marché, il a la possibilité d’émettre des obligations en euros ou libellées dans une autre monnaie. Pour se couvrir contre le risque de change, le gouvernement en question a recours à des instruments financiers (les fameux swaps). Jusque-là, rien que de très normal. Plusieurs pays ont utilisé ce type de technique, assez basique. Là où l’affaire se complique, et peut se révéler, pour le coup, illégale aux yeux de la Commission européenne, c’est que le gouvernement et sa banque conseil peuvent décider de changer en cours de route la parité du taux de change de leur couverture. Sans en avertir personne. Et donc d’améliorer - artificiellement - la valeur de leur dette. L’autre astuce, c’est d’anticiper des recettes futures. C’est ce qu’aurait recommandé Goldman Sachs au gouvernement conservateur de l’époque en «anticipant notamment le versement des redevances d’aéroport, pour lui permettre de faire baisser sa dette d’un montant de 0,5 % point de PIB», selon un très bon connaisseur du dossier. La banque aurait touché, selon la presse américaine, entre 200 et 300 millions d’euros pour cette consultation.

Rumeurs de faillite

Toute cette tambouille était-elle illégale aux yeux d’Eurostat, qui fixe la règle du jeu en matière d’endettement public ? Pas sûr. Il semble que la Commission et les Etats membres savaient parfaitement ce qui se tramait à Rome et à Athènes. Mais voilà, les règles ont changé. «Depuis 2004, on ne peut plus réduire ainsi son déficit et sa dette», explique un porte-parole de la Commission. Toujours est-il que le sujet est aujourd’hui explosif et la réputation de Goldman Sachs passablement sulfureuse pour que Eurostat décide il y a peu de diligenter une enquête en profondeur sur cette période. Pour savoir si la banque a, oui ou non, franchi la ligne jaune.

La fin de l’année 2009 vire au scénario catastrophe pour la Grèce. Les agences de notation, Fitch la première, dégradent, la signature de sa dette, à BBB +. Ce qui équivaut à un bonnet d’âne. Les marchés commencent à douter de la solidité et de la crédibilité du plan d’Athènes. L’euro décroche. Les taux d’intérêt payés par la Grèce s’envolent. Le scénario d’une faillite circule dans les salles de marché. Les traders adorent se faire peur. Goldman Sachs va bien les aider. Le lundi 25 janvier, la Grèce a rendez-vous avec le marché. Elle veut émettre pour 3 milliards d’euros d’emprunt. Une dette est un produit financier comme un autre. Un bout de papier, avec un prix (son taux de rémunération) et une échéance (la date de remboursement). Après, il vit sa vie, sur un marché, son prix évoluant au gré de l’offre et de la demande des investisseurs.

Pour aller démarcher les clients, Athènes fait appelle à une poignée de banques d’affaires. Dont, une nouvelle fois, Goldman Sachs. Leur mission ? Rassurer les acheteurs potentiels (compagnies d’assurance, fonds de pension, mais aussi hedge funds…) sur la qualité du «papier» grec. L’opération s’avère un gros succès : 25 milliards d’euros de demande, pour 8 milliards d’euros finalement émis. Tous les joueurs de la finance veulent de la dette grecque. Pour une raison simple : elle est rémunérée à un taux défiant toute concurrence : autour de 6 %.

Information bidon

C’est l’accalmie… Enfin, pendant vingt-quatre heures. Le mercredi 27 janvier, le Financial Times, la bible des opérateurs de marché, affirme que la Chine a refusé d’acheter 25 milliards d’euros d’emprunt grec, apporté en exclusivité par l’intermédiaire de… Goldman Sachs. C’est Gary Cohn, en personne, écrit le FT, qui aurait proposé le deal au Premier ministre grec. La nouvelle sème la panique. Pour les traders, Athènes est proche du gouffre puisqu’il est obligée de solliciter la Chine en direct. Athènes dément illico. Mais les investisseurs exigent immédiatement une prime de risque encore plus élevée. C’est d’autant plus étrange que tous les professionnels ont vite compris que cette information était bidon. «Aucun pays n’achète 25 milliards d’euros de dette d’un seul coup. On a tous rigolé quand on a lu ça», se souvient un banquier français. Un professionnel décrypte : «Je ne peux pas imaginer que le Financial Times n’a pas vérifié une information aussi importante auprès de Goldman Sachs. Ce qui signifie que la banque avait un intérêt à ce que ce genre de rumeur se propage même si elle est fausse.» Et pour quelle raison ? Pour faire du cash. Car quand on s’appelle Goldman Sachs, il semble qu’on ne se contente pas de toucher, d’une main droite, des commissions pour son rôle de banquier conseil auprès du gouvernement grec. Mais qu’on spécule aussi avec la main gauche contre… la Grèce.

MArché opaque

La banque reconnaît une seule chose : en même temps qu’elle conseillait le gouvernement grec, elle recommandait à ses clients (principalement des hedge funds) d’acheter du CDS (Credit default swap) grec. Qu’est ce qu’un CDS ? Un produit financier, une sorte d’assurance destinée à se prémunir contre la potentielle défaillance d’un Etat. Un bout de papier qui peut se révéler un titre hautement spéculatif. En clair, si Goldman Sachs conseille d’acheter du CDS, cela veut dire qu’elle anticipe une hausse du prix dudit CDS. Et donc qu’il y a un risque sur la Grèce. Pas très élégant, pour la première banque conseil d’Athènes. Le plus grave, c’est que Goldman Sachs est, à cette époque, un des très gros acteurs qui spéculent sur le marché du CDS contre la Grèce. En cheville avec le hedge fund américain Paulson. Celui-là même qui s’était enrichi lors de la crise des subprimes. «C’est une règle éthique de notre métier, assure un banquier européen, on ne peut pas à la fois être rémunéré pour aider un gouvernement et spéculer sur les CDS de la dette du pays. Et pourtant il semble bien que Goldman Sachs le fait.»

Le hic c’est qu’il est impossible de le prouver. Car le marché du CDS est totalement opaque et non réglementé. Et quand on pose la question à un porte-parole de Goldman Sachs, c’est toujours la même réponse : «no comment.» Une chose est sûre : la fausse information du FT a fait les affaires de la banque, en créant un climat propice à la spéculation. Selon le bon vieil adage «on achète à la rumeur et on vend aux faits», Goldman Sachs a spéculé contre l’euro. D’après les autorités américaines, entre le 26 janvier et le 2 février, des fonds spéculatifs et des banques d’investissements (dont Goldman Sachs) ont vendu massivement des euros contre des dollars. Ils ont liquidé 43 741 contrats en euros, soit environ 5,5 milliards d’euros, c’est-à-dire autant de contrats qu’en septembre 2008, au plus fort de la crise. Bref, la banque américaine aurait gagné sur tous les tableaux.

tentation du complot

Malgré nos demandes répétées auprès de la banque, il a été impossible d’avoir des réponses précises à nos questions. Même la plus banale. Un organigramme des opérations de Goldman Sachs en Europe ? «Il n’existe pas». Une vraie boîte noire aux procédures de fer. D’autres personnalités parlent pour elle. Mais masquée. Ainsi, le 15 février, en pleine tempête contre la Grèce, Otmar Issing (lire ci dessous), ancien « chief economist » de la Banque centrale européenne, signe une tribune dans le Financial Times (encore lui). Il estime que les partenaires de la Grèce ne doivent pas voler à son secours. Cet honorable banquier central, ancien de la Bundesbank, signe son papier comme ancien de la BCE et président du Centre for Financial Studies. Il oublie délicatement de préciser qu’il est aussi conseiller international de… Goldman Sachs. Une nouvelle illustration du double jeu de la banque.

Faut-il alors céder à la tentation du «complot» anglo-saxon, piloté en majeure partie par Goldman Sachs, contre la zone euro ? Pas au sens où il s’agirait d’une attaque coordonnée et planifiée. Comme on le dit au sein du gouvernement français : «Ils font de l’argent, rien de personnel là-dedans.» Cela étant, «beaucoup d’économistes et d’opérateurs de marchés anglo-saxons sont ravis de ce qui arrive, analyse un haut fonctionnaire français, ils ont un sentiment de revanche : après l’effondrement du modèle libéral américain, les problèmes de la zone euro sont une divine surprise.» Et évidemment pour les profits et les bonus des banquiers de Goldman Sachs.

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