Un violeur décapité par sa victime enceinte

Question existentiel : comment se regarder en face sans mourir de honte si on condamne cette femme a de la prisons ou la mort?

La réside la différence entre les occidentaux et les turques!

La réside une des nombreuses raison qui font qu'elle rentrera jamais dans l'europe!

Bonjour

Voilà un acte à la fois de bravoure et de folie, il a mérité son châtiment,

n'a d'égale à la bassesse de cet homme la détresse de cette femme qui malheureusement

au travers de son geste vient de mettre sa vie en suspend.

Mais franchement de là à la traiter de meurtrière faut pas pousser, certes c'est un acte justicier

mais aussi un acte de légitime défense à mon avis.

C'est à souhaiter que le jury soit clément et verra la souffrance de cette femme et ce qu'elle subissait,

se serait un bienfait dans ce pays ou les droits de la femmes sont encore bafoués !

Sha'Do :

Nan mais faut redescendre les amis.

C'est pas une balle dans la tête et c'est fini l'histoire, elle lui vide son chargeur dans les burnes avant de lui couper la tête et de la balancer au milieu du village.

Vous saisissez la nuance là ? C'est pas de la bravoure, c'est de la folie pure.

C'est pas de la bravoure, c'est de la souffrance.

Non, la souffrance n'amène pas forcément la vengeance avec ce degré de barbarie, y abien plus à ce niveau. Le violeur c'est peut être la giutte d'eau qui a fait déborder le vase.

Mais franchement de là à la traiter de meurtrière faut pas pousser, certes c'est un acte justicier

mais aussi un acte de légitime défense à mon avis.

Il ne s'agit pas de la traiter de quoi que ce soit. C'est une meurtrière, c'est un fait, point barre.

Qu'elle ait des circonstances qui expliquent son geste, ce sera à la justice d'en décider. Ca ne changera rien au fait que c'est une meurtrière.

C'est pas de la bravoure, c'est de la souffrance.

T'es balaise pour affirmer ça avec autant d'aplomb, en ayant uniquement lu les quelques lignes d'un journal.

On se demande bien pourquoi la justice se fait chier à instruire les affaires.

Non, la souffrance n'amène pas forcément la vengeance avec ce degré de barbarie, y abien plus à ce niveau. Le violeur c'est peut être la giutte d'eau qui a fait déborder le vase.

La souffrance allié à la douleur qui a suivi d'être mal vue et tout ce qui va avec ? À mon sens largement suffisant.

@Caloli: Je me permets de faire de la conjecture, en effet.

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Je dirais avec une grosse envie de meurtre violent, genre à couper la tête, avec en prime une forte propension au suicide.

C'est donc le rôle de la justice et des services sociaux de prendre en charge ces victimes, déjà pour punir le violeur et l'éloigner de la femme, et ensuite d'accompagner psychologiquement la victime afin qu'elle se reconstruise.

A casdenor, je ne réduis rien. Les hommes considère ça comme ça, moi pas. Il suffit d'assister à un procès pour viol, pour constater comment la légèreté prime chez le mâle, et le traumatisme chez la femme. Les homme considèrent à tort le viol comme un coup de quequette, ça ne fait pas de mal, ça déniaise la godiche, elle aime ça mais ne dit rien...

Cet acte n'a pas la même gravité selon l'oeil qui l'observe, mais quoi qu'il en soit il ne mérite pas la décapitation.

Afin qu'elle se reconstruise ? Après des mois de maltraitance (autant sur le plan physique que psychologique), de viols répétitifs...comment pourrait-elle se reconstruire ? D'autant que chaque fois qu'elle posera le regard sur son enfant, elle se remémorera ce qu'elle a enduré.

La vie de cette femme est détruite. Alors oui, il est plus aisé d'avoir de la compassion pour cette femme que pour son bourreau, même si lui y est resté. Je n'irais pas jusqu'à dire que c'est une héroïne, non plus. C'est une victime. Sans être pour la loi du talion, sur le plan humain sa "réaction" peut se comprendre.

Ce n'est pas de prison dont cette femme a besoin mais d'un hôpital psychiatrique, pas pour l'enfermer mais pour la protéger et la soigner, elle doit être complètement démolie

Il a eu ce qu'il mérité

Je déplore l'acte mais je ne vais pas plaindre la victime, il a eu ce qu'il méritait.