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Les patrons déçus par le gouvernement


Invité David Web

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Membre, forumeur révolutionnaire, 52ans Posté(e)
transporteur Membre 23 297 messages
52ans‚ forumeur révolutionnaire,
Posté(e)

Il faut différencier les petites entreprises et les PME des grosses entreprises sachant que souvent les petites soustraite pour les grosses.:sleep:

Il est impossible de rendre un patron heureux même en Chine ils trouvent encore le moyen de trouver la main d’œuvre trop chère.

Après avoir exploiter les hommes et les enfants,polluer la nature mis sur la paille de milliers de foyers je ne vois pas pourquoi on serais compatissants avec ces salopards.:sleep:

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Invité yakiba
Invités, Posté(e)
Invité yakiba
Invité yakiba Invités 0 message
Posté(e)

PE,PME et entreprises du CAC40 sont deux choses totalement différentes:

  • les PE,PME font vivre la région car ont un marché globalement régionnale voir nationnale et souvent ne roulent pas sur l'or et bénéficient rarement d'aides de l'état(une vingtaines de salariés au chomage ça inquiéte pas trop l'état)
  • les entreprises du CAC40 font rarement vivre la région en délocalisant à l'étranger où la main d'oeuvre est moins chére et font souvent du chantage à l'emploi pour avoir des aides de l'état.

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Membre, 80ans Posté(e)
bibifricotin Membre 12 828 messages
Mentor‚ 80ans‚
Posté(e)

Puisque nous sommes dans les clichés...

Patrick Robin : "Nous, entrepreneurs vilipendés "

La tribune de Patrick Robin (*) : "Ne dites pas à ma mère que j'étais un entrepreneur de gauche, elle croit que je suis devenu un salaud de riche"

Moi, entrepreneur, j'ai mis 2 ans à oser me verser mon premier salaire.

Moi, entrepreneur, j'ai épuisé mes maigres économies pour investir dans mon premier projet.

Moi, entrepreneur, durant plusieurs années j'étais le moins bien payé de mon entreprise.

Moi, entrepreneur, il m'a fallu attendre 8 ans avant de prendre mes premières vacances.

Moi, entrepreneur, je travaille 6 jours sur 7 et ne parlons pas des horaires.

Moi, entrepreneur, j'ai sacrifié des amis et des amours.

Moi, entrepreneur, si je dépose le bilan, je suis marqué au fer rouge.

Moi, entrepreneur, si j'échoue je n'aurai pas le droit au chômage.

Moi, entrepreneur, après un dîner je retourne souvent travailler.

Moi, entrepreneur, je me suis souvent demandé comment j'allais faire mes échéances.

Moi, entrepreneur, je ne passe pas toujours de très bonnes nuits, ni de très bonnes journées d'ailleurs.

Moi, entrepreneur, en 30 ans j'ai créé une quinzaine d'entreprises et quelque 300 emplois sans doute.

Moi, entrepreneur, je n'ai jamais considéré l'argent comme un moteur, et quand il y en a je l'apprécie parce qu'il me permet d'entreprendre encore et encore.

Moi, entrepreneur, je suis souvent reparti à zéro, animé uniquement par la foi, l'enthousiasme et le goût de l'aventure.

Moi, entrepreneur, j'ai pris chaque fois tellement de plaisir à créer, construire, partager.

Moi, entrepreneur, j'ai fait des rencontres extraordinaires

Moi, entrepreneur, je crois avoir créé de la valeur pour mon pays et j'en suis assez fier.

Moi, entrepreneur, sans doute coupable d'avoir "réussi", aux yeux des autres tout du moins, je ne crois pas mériter d'être la cible de qui que ce soit comme si je devais avoir honte aujourd'hui d'avoir gagné de l'argent.

Moi, entrepreneur, je ne crois pas devoir être catalogué de 'riche" comme s'il s'agissait d'une insulte simplement parce que j'ai la chance d'avoir cédé certaines de mes entreprises à des montants qui ont été à la hauteur des risques et des renoncements qui leur ont permis de se développer.

Moi, entrepreneur, après avoir vendu ma première société j'ai tout réinvesti dans la suivante. Mais surtout je suis resté en France et j'étais même fier de payer mes impôts dans mon pays.

Moi, entrepreneur, depuis 15 ans j'ai investi une partie de cet argent pour aider d'autres jeunes entrepreneurs - pour ceux qui s'imaginent que l'on ne fait cela que motivé par l'appât du gain, la rentabilité moyenne de ce type d'investissement est d'environ 2% l'an avantages fiscaux inclus. (Mais les projets de la prochaine loi de finances pourraient bien nous décourager à tout jamais de continuer à prendre ce genre de risques imbéciles.)

Moi, entrepreneur, je me sens persécuté, dénigré, mais aussi énervé, révolté et pour la première fois en 30 ans, découragé, démotivé... À quoi bon réussir, c'est tellement mal vu ces derniers temps.

PS : Nous aurions été des milliers d'entrepreneurs à pouvoir écrire ces quelques lignes. Un de mes amis, célèbre et talentueux entrepreneur lui, en réponse à la question d'un journaliste qui lui demandait s'il était de gauche ou de droite, eut cette réponse juste et pleine d'ironie :

"Quand on a ma fortune et qu'on reste en France, c'est déjà être un peu de gauche, non ?"

Tout ça pour nous dire que créer son entreprise c'est comme la naissance d'un enfant, on y consacre la même énergie. Rien de plus normal.

Pour le patron qui se demande s'il devrait quitter le pays, qu'il attende d'avoir épuisé toutes les aides et subventions de l’État et des régions avant de partir.

Une fois tout empocher il pourra se plaindre du fisc, de l'administration et du manque de considération. :bo:

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Membre, Posté(e)
Javade Membre 1 381 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Les patrons ne cherchent pas la considération mais l’appât du gain.:sleep:

C'est exactement ce genre de remarque basique qui fait qu'ils vont s'installer à l'étranger. On se doute bien que toi tu bosses pour la gloire, sans demander de "gains", mais tu es un exception. Personnellement, je travaille aussi pour gagner de l'argent. Et que mon boss en gagne plus que moi me semble assez logique, c'est lui qui a créé la boite, pas moi.

Toujours est il qu'en dehors de nos frontières, les patrons sont considérés comme ce qu'ils sont : des créateurs d'emplois.

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Membre, forumeur révolutionnaire, 52ans Posté(e)
transporteur Membre 23 297 messages
52ans‚ forumeur révolutionnaire,
Posté(e)

Je n'ai pas de probléme pour que mon boss en gagne plus que moi,là ou j'ai un problème c'est qu'il veuillent en gagner encore plus par tous les moyens,détruisant les acquis sociaux,exploitants la main d’œuvre d'autres pays et en faisant du chantage a l'emploi (je suis dans une entreprise coté).:sleep:

Ils ne vont pas s'installer a l’étranger a causez de mes remarques mais pour ce foutre encore plus de fric a la poche en dépit des droits des travailleurs et des conditions environnementales.

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Membre, Posté(e)
Javade Membre 1 381 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Puisque nous sommes dans les clichés...

Patrick Robin : "Nous, entrepreneurs vilipendés "

La tribune de Patrick Robin (*) : "Ne dites pas à ma mère que j'étais un entrepreneur de gauche, elle croit que je suis devenu un salaud de riche"

Moi, entrepreneur, j'ai mis 2 ans à oser me verser mon premier salaire.

Moi, entrepreneur, j'ai épuisé mes maigres économies pour investir dans mon premier projet.

Moi, entrepreneur, durant plusieurs années j'étais le moins bien payé de mon entreprise.

Moi, entrepreneur, il m'a fallu attendre 8 ans avant de prendre mes premières vacances.

Moi, entrepreneur, je travaille 6 jours sur 7 et ne parlons pas des horaires.

Moi, entrepreneur, j'ai sacrifié des amis et des amours.

Moi, entrepreneur, si je dépose le bilan, je suis marqué au fer rouge.

Moi, entrepreneur, si j'échoue je n'aurai pas le droit au chômage.

Moi, entrepreneur, après un dîner je retourne souvent travailler.

Moi, entrepreneur, je me suis souvent demandé comment j'allais faire mes échéances.

Moi, entrepreneur, je ne passe pas toujours de très bonnes nuits, ni de très bonnes journées d'ailleurs.

Moi, entrepreneur, en 30 ans j'ai créé une quinzaine d'entreprises et quelque 300 emplois sans doute.

Moi, entrepreneur, je n'ai jamais considéré l'argent comme un moteur, et quand il y en a je l'apprécie parce qu'il me permet d'entreprendre encore et encore.

Moi, entrepreneur, je suis souvent reparti à zéro, animé uniquement par la foi, l'enthousiasme et le goût de l'aventure.

Moi, entrepreneur, j'ai pris chaque fois tellement de plaisir à créer, construire, partager.

Moi, entrepreneur, j'ai fait des rencontres extraordinaires

Moi, entrepreneur, je crois avoir créé de la valeur pour mon pays et j'en suis assez fier.

Moi, entrepreneur, sans doute coupable d'avoir "réussi", aux yeux des autres tout du moins, je ne crois pas mériter d'être la cible de qui que ce soit comme si je devais avoir honte aujourd'hui d'avoir gagné de l'argent.

Moi, entrepreneur, je ne crois pas devoir être catalogué de 'riche" comme s'il s'agissait d'une insulte simplement parce que j'ai la chance d'avoir cédé certaines de mes entreprises à des montants qui ont été à la hauteur des risques et des renoncements qui leur ont permis de se développer.

Moi, entrepreneur, après avoir vendu ma première société j'ai tout réinvesti dans la suivante. Mais surtout je suis resté en France et j'étais même fier de payer mes impôts dans mon pays.

Moi, entrepreneur, depuis 15 ans j'ai investi une partie de cet argent pour aider d'autres jeunes entrepreneurs - pour ceux qui s'imaginent que l'on ne fait cela que motivé par l'appât du gain, la rentabilité moyenne de ce type d'investissement est d'environ 2% l'an avantages fiscaux inclus. (Mais les projets de la prochaine loi de finances pourraient bien nous décourager à tout jamais de continuer à prendre ce genre de risques imbéciles.)

Moi, entrepreneur, je me sens persécuté, dénigré, mais aussi énervé, révolté et pour la première fois en 30 ans, découragé, démotivé... À quoi bon réussir, c'est tellement mal vu ces derniers temps.

PS : Nous aurions été des milliers d'entrepreneurs à pouvoir écrire ces quelques lignes. Un de mes amis, célèbre et talentueux entrepreneur lui, en réponse à la question d'un journaliste qui lui demandait s'il était de gauche ou de droite, eut cette réponse juste et pleine d'ironie :

"Quand on a ma fortune et qu'on reste en France, c'est déjà être un peu de gauche, non ?"

Voila pourquoi les ouvriers se contentent de gueuler, accrochés aux basques des syndicats, car ils n'auraient jamais eut les C... et l'intelligence de monter eux même leur boite. Je comprends qu'ils s'en aillent, et d'ailleurs, nombreux jeunes en cours d'études, ne comptent pas non plus monter leurs boites en France.
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Membre, 80ans Posté(e)
bibifricotin Membre 12 828 messages
Mentor‚ 80ans‚
Posté(e)

C'est exactement ce genre de remarque basique qui fait qu'ils vont s'installer à l'étranger. On se doute bien que toi tu bosses pour la gloire, sans demander de "gains", mais tu es un exception. Personnellement, je travaille aussi pour gagner de l'argent. Et que mon boss en gagne plus que moi me semble assez logique, c'est lui qui a créé la boite, pas moi.

Toujours est il qu'en dehors de nos frontières, les patrons sont considérés comme ce qu'ils sont : des créateurs d'emplois.

Il faut être un imbécile pour vouloir créer sa boite 'a l’étranger.

Non seulement il perd tous les avantages et aides qu'il peut avoir en France, mais si son affaire foire il se retrouve comme un pov ' type 'a l’étranger.

En attendant il s'en crée 600000 par an chez nous.

Pas mal vous ne trouvez pas :bo:

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Membre, forumeur révolutionnaire, 52ans Posté(e)
transporteur Membre 23 297 messages
52ans‚ forumeur révolutionnaire,
Posté(e)

Ce n'est pas tout a fait exact du moins pour les PE et PME peut être mais les grosses boîtes délocalise une partie de leur production tout en continuant de toucher les deniers public via de nombreuses ficelles comme l'optimisation fiscale ou en faisant des boîtes a l'étranger des cellules de la boîte Françaises.

Les patrons actionnaires savent très bien faire pour entuber le contribuables avec l'aval des politiques.:sleep:

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Invité David Web
Invités, Posté(e)
Invité David Web
Invité David Web Invités 0 message
Posté(e)

Les Français ont le goût d'entreprendre. Ils ont créé 580.200 entreprises en 2009. Et 2010 sera une année record pour la création d'entreprises. Malgré ces chiffres spectaculaires qui s'expliquent par le succés du statut de l'auto-entrepreneur, la France continue de souffrir d'un handicap: les PME ont du mal à grandir rapidement et à créer des emplois. « Pour lancer de telles entreprises, il faut pouvoir mobiliser 500 000 euros facilement.», explique Agnès Verdier-Molinier, directeur de la fondation Ifrap.

Mais relever ce défi est difficile. Les entrepreneurs se plaignent d'avoir du mal à réunir quelques centaines de milliers d'euros pour développer leur projet. Résultat, la France crée moins d'emplois marchands que d'autres grands pays industrialisés. Elle en a créé 3,1millions en trente ans pendant que l'Angleterre en créait 6,8 millions et les Etats-Unis 8,2 millions. Et le nombre de création d'entreprises de croissance est, à populations égales, trois fois plus faible en France qu'aux USA, en Grande-Bretagne et en Allemagne.

Source.

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Membre, 80ans Posté(e)
bibifricotin Membre 12 828 messages
Mentor‚ 80ans‚
Posté(e)

Sans contester vos chiffres, avez vous un résultat sur le solde net c'est 'a dire en déduisant les entreprises qui ferment ?

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Invité David Web
Invités, Posté(e)
Invité David Web
Invité David Web Invités 0 message
Posté(e)

Je n'ai pas trouvé grand chose :

838245FermetureEntrepriseFrance.png

En milliers.

Pour plus de détails.

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