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Un président SOS Racisme condamné pour violences conjugales


gloupsgloups

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Membre, Posté(e)
Javade Membre 1 381 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Grattez le vernis...!!! la vérité voit le jour...!!!

Les anti-racistes sont plus violents en general que ceux qu'ils disent pretendre combattre.

Tout à fait d'accord :bo:
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VIP, Gonade Absolutrice, Posté(e)
yop! VIP 20 446 messages
Gonade Absolutrice,
Posté(e)

Je donne de la confiture aux cochons voilà mon défaut. :o°

La critique de fond, je peux la justifier aisément même si elle sort un peu du sujet, c'est que SOS Racisme porte une idéologie qui se soucie peu du racisme anti-blanc, si ce n'est qui en est responsable, à tel point que je trouve amusante l'idée qu'il reste dans ses fonctions si on découvre que sa victime est blanche. Chacun s'amuse à sa façon...

Nan, mais t'as pas besoin de m'expliquer, j'avais compris avant même que tu ne postes sur ce sujet. :D Ce qui me gène : profiter du tabassage d'une femme pour venir étaler une nouvelle tartine de "le racisme anti-blanc est nié ", ce qui est tout à fait déplacé, tout en se cachant derrière le paravent de l'humour noir. Mais bon oui, tu t'amuses comme tu veux. Si ça te fait marrer...

L'humour noir est mal vu ici,j'ai remarqué!!

J'adore l'humour noir, pas forcément la façon de l'utiliser (que je suis en droit de critiquer puisqu'il a eu la liberté de s'exprimer). Et pour information, il n'y a que moi qui ai tiqué sur la tentative de Hussard Noir. ;)

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Membre, Posté(e)
Moriarty Membre 3 624 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Ridicule de jouer le racisme à ce sujet car c'est dans le Nord de la France que les violences conjugales sont le plus fréquentes et le plus grave,j'y vois là plutôt un parfait exemple d'intégration aux coutumes locales bien de chez nous!! (enfin de chez eux,moi je ne suis pas Ch'ti!!).

:o°

Source..??

Désolé mais les stats sont là!!

On peut les voir..??

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Membre, 42ans Posté(e)
Yoannbzh Membre 11 816 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
Posté(e)

Positions de SOS Racisme vis-à-vis du racisme antiblanc

Les reproches à l’encontre de l’association sur la question

Des hommes politiques et certains journalistes de droite accusent les associations antiracistes comme SOS Racisme d'ignorer, voire de favoriser le racisme « antiblanc » et la xénophobie « antifrançaise ». Ainsi, pour l'ex-leader du Front national Jean-Marie Le Pen: « L’antiracisme, instrument politique d’aujourd’hui, comme le fut l’antifascisme avant guerre n’est pas un non-racisme. C’est un racisme inversé, un racisme antifrançais, antiblanc, antichrétien33. »

Pour l'éditorialiste de droite Ivan Rioufol : « Ces mouvements prétendument exemplaires mènent des combats à sens unique qui les rendent pour cela indéfendables. Il y a de l'imposture derrière leur posture. [...] Il est ahurissant de constater que le flot de haine que déversent certains rappeurs contre la France et les Français laisse les censeurs indifférents à ces propos tenus dans l'impunité. Mais cette surdité dépasse ce seul domaine, souvent rappelé à juste titre. L'aveuglement est, plus généralement, sur ce nouveau et banal racisme anti-blanc observable dans des banlieues. S'en émouvoir vaut, pour les flics de la pensée, d'être accusé de tenir des propos d'extrême droite34. »

Pour le polémiste Éric Zemmour (s'adressant à l'ex porte-parole de SOS Racisme Harlem Désir) : « SOS Racisme a aggravé le racisme en faisant campagne pour le droit à la différence, pour l'exaltation des racines, contre l'assimilation [...] c'est à cause de vous que vingt ans plus tard les uns tapent sur les autres parce qu'ils ne se sentent pas français35. »

Pour les journalistes de droite, Eric Brunet et Jean Robin, SOS Racisme n'aurait, depuis sa création, jamais pris position dans des affaires de racisme antiblanc et n'aurait jamais intenté de procès pour racisme antiblanc36.

Les actions et les positions de l’association sur la question

L'association, pour sa part, présente son projet comme une lutte contre toutes les formes de racisme et de discrimination raciale1, y compris celles tournées envers les blancs. À cet égard, comme le rapportent Le Figaro et le Nouvel Observateur, l'association s'est positionnée notamment dans le cadre d'une affaire de racisme antiblanc sur l'île de Saint-Martin en 200637,38. L'association s'est indignée de l'attitude des badauds qui se seraient réjouis de la mort accidentelle du gendarme Raphaël Clin et qui auraient proféré des propos racistes à son encontre37,38. SOS Racisme a annoncé par voie de communiqué qu' « après avoir contacté la famille du défunt, elle avait décidé de se porter partie civile37,38 » Une annonce restée sans suite39.

De façon plus générale, Samuel Thomas, l'un des leaders de SOS Racisme reconnaît que le racisme se trouve dans toutes les couches de la population française, y compris dans celles issues de l'immigration. Il considère donc nécessaire d'éduquer aussi bien les uns que les autres. Il refuse toutefois le terme de « racisme antiblanc » parce que non seulement il privilégierait une logique communautariste, mais aussi parce que le terme est instrumentalisé par l'extrême-droite40. L'association dit vouloir lutter contre le racisme, sans faire de distinction communautariste et antagoniste entre les racismes. Peu de temps après la pétition de 2005 contre les « ratonnades anti-blancs », il déclara à ce sujet :

« SOS Racisme n’a jamais pratiqué l’angélisme sur les formes variées de racisme. Nous voulons éduquer les Français, mais aussi les publics issus de l’immigration.[...]La pédagogie antiraciste ne peut supporter le discours de «victimisation », qui encourage les gens à ne défendre que leur communauté. Il faut défendre tout le monde.[...]Nous ne pouvons accepter la notion de racisme anti-blanc parce qu’elle est une thèse défendue depuis longtemps par l’extrême droite
. »

Wikipédia

16 mai 1999: meurtre raciste à Vauvert?

Deux coups de feu retentissent à 4 heures du matin dans la cité HLM des Bosquets, à Vauvert. Mounir Oubajja, 18 ans, qui sort d'une fête de mariage non loin de là, s'écroule. Touché à la cuisse et à l'épaule par des balles de 22 long rifle tirées d'un appartement au dernier étage de l'immeuble le Coudoyer, le jeune homme succombe à ses blessures. On apprendra quelques heures plus tard le nom du meurtrier: Joël Elie, un chauffeur routier de 36 ans, qui a tiré en croyant qu'on était en train de lui voler sa voiture.

Ce fait divers tragique, repris par tous les médias parisiens, est aussitôt présenté comme un meurtre raciste, emblématique des problèmes des banlieues. Un révélateur des tensions qui s'accumulent depuis des années dans la petite ville du Gard, comme partout ailleurs en France. Construit voilà une trentaine d'années, le quartier du Bosquet est devenu un ghetto où se concentrent les familles d'immigrés et de harkis venus travailler dans les champs environnants, victimes du chômage et de l'exclusion. Les jeunes désoe; uvrés sont devenus indésirables au centre-ville et se voient refuser l'entrée des cafés. La population excédée dénonce les chahuts et les dégradations. Des échauffourées éclatent régulièrement dans la commune, les gendarmes et la police municipale sont débordés. Deux jours avant le drame, un cafetier a tiré des coups de feu en l'air devant un groupe de jeunes, déclenchant une sanglante bagarre: cinq blessés graves. Le lendemain de la mort de Mounir, les bars et les commerces de la vieille ville sont vandalisés et incendiés.

Pour les jeunes des Bosquets comme pour les associations antiracistes, la cause est entendue. Le meurtrier est blanc, la victime maghrébine: le mobile est d'autant plus clair que trois jeunes ayant assisté à la scène affirment, dans des attestations écrites destinées à la justice, avoir entendu le tireur proférer des injures racistes.

Pourtant, en décembre 2000, lors du procès de Joël Elie devant la cour d'assises de Nîmes, les trois témoins se montrent évasifs. Et finissent par reconnaître que leur version des faits leur a plus ou moins été dictée par Samuel Thomas, vice-président de SOS-Racisme, venu "enquêter" dans la cité quelques jours après le meurtre. "Mounir a été victime de la haine ordinaire", titre alors Le Parisien. Les jurés ont finalement condamné Joël Elie à dix ans de prison.

L'express

Et d'autres plaintes non divulguées mais quand certains quittent SOS Racisme témoigne sur le racisme anti-blanc.

Je donne de la confiture aux cochons voilà mon défaut. :o°

La critique de fond, je peux la justifier aisément même si elle sort un peu du sujet, c'est que SOS Racisme porte une idéologie qui se soucie peu du racisme anti-blanc, si ce n'est qui en est responsable, à tel point que je trouve amusante l'idée qu'il reste dans ses fonctions si on découvre que sa victime est blanche. Chacun s'amuse à sa façon...

Faux, SOS racisme traite toutes les formes de racisme y compris le racisme anti-blanc!

Faux !!!

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Membre, Polémiste, Posté(e)
Hussard Noir Membre 2 682 messages
Polémiste,
Posté(e)
Nan, mais t'as pas besoin de m'expliquer, j'avais compris avant même que tu ne postes sur ce sujet. :D Ce qui me gène : profiter du tabassage d'une femme pour venir étaler une nouvelle tartine de "le racisme anti-blanc est nié ", ce qui est tout à fait déplacé, tout en se cachant derrière le paravent de l'humour noir.

Chaque occasion est bonne pour taper SOS Racisme, je m'en fais un devoir républicain.

J'adore l'humour noir, pas forcément la façon de l'utiliser (que je suis en droit de critiquer puisqu'il a eu la liberté de s'exprimer). Et pour information, il n'y a que moi qui ai tiqué sur la tentative de Hussard Noir. ;)

Il vaut mieux critiquer que censurer, c'est plus intéressant et je vous en suis gré.

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