74% des journalistes interrogés sur Twitter ont voté François Hollande !

t'as oublié la religion, un sujet un peu chaud et hop, idem.

74% des journalistes ont voté François Hollande !

Tous des gauchos

90% des journalistes ont appelé les français en 2005 à voter le traité constitutionnalisant le capitalisme en Europe.

100% des journalistes ont approuvé les réformes successives (Balladur, Raffarin, Fillon) visant à amoindrir le système de retraite par répartition.

100% des journalistes n’ont jamais fait aucun bilan critique de la privatisation générale des grandes entreprises engagée en 1986.

=> Tous des larbins du Capital.

Pour info :

Entre 2002 et 2010 la liberté de la presse en France est passé du 11ème rang mondial au 43ème, y'a peut-être aussi un peu de ça...

Ça se mesure au centimètre près la liberté de la presse ?

Classement débile.

Sans parler de qui le tient, et de par qui ce qui est financé.

Tu t'accroches trop aux étiquettes. Il existe des gens de droite antiracistes, antifascistes, il existe des Noirs racistes, des gens de gauche homophobes, etc.

Alors évidemment, si tu ne fréquentes que des forums avec des débats houleux entre partisans d'un bord et partisans de l'autre, tu auras tendance à avoir ce réflexe.

Si tu sors un peu dans la rue, que tu interroges les gens, que tu abordes d'autres sujets, tu verras que ce n'est pas si manichéen.

Certes, et justement : La question se pose, pourquoi ce décalage avec une élite, une caste médiatique et politique et le peuple plus commun ? Pourquoi le "terrorisme intellectuel" qui consiste à faire passer tout ce qui n'est pas conforme avec une certaine idéologie comme fasciste, rétrograde, de droite, est considéré comme la norme dans ces milieux alors qu'il est l'exception quand on se ballade dans la rue ? Pourquoi France inter continues t'elle sur les deniers public d'êtreu ne radio d'opinion de gauche qui éjecte sans complexe le moindre élément trouble fête qui débarque sur ses ondes ?

Je trouve la question pas inintéressante du tout, étant donné que cette ultra minorité à un poids si écrasant...Et que les journalistes sont de plus en plus décriés et perçs comme faisant pleinement parti du milieu politique.

Par ailleurs cela dit peut être beaucoup du fossé de plus en plus insondable entre la france d'en haut, urbaine, moyenne supérieure, integrée, et la france d'en bas, populaire, péri urbaine ou rurale, qui subit tous les effets négatifs de la mondialisation.

90% des journalistes ont appelé les français en 2005 à voter le traité constitutionnalisant le capitalisme en Europe.

100% des journalistes ont approuvé les réformes successives (Balladur, Raffarin, Fillon) visant à amoindrir le système de retraite par répartition.

100% des journalistes n’ont jamais fait aucun bilan critique de la privatisation générale des grandes entreprises engagée en 1986.

Il est vrai que j'en viens à reprendre ce vieux cliché droite gauche qui n'existe plus en France, il faudrait plus parler de "libéral" ou alors "pro mondialisation"...

Je vous rappelle que toute cette discussion est basée sur une information bidonnée.

Et comme par hasard reprise par "Valeurs actuelles" le magazine de la droite de la droite.

Je vous rappelle que toute cette discussion est basée sur une information bidonnée.

Et comme par hasard reprise par "Valeurs actuelles" le magazine de la droite de la droite.

Non, et d'ailleurs depuis 10 ans toutes les enquêtes menées, notamment par Marianne, journal qu'on ne peut pas taxer d'être à la droite de la droite, vont dans la même sens, 10 ans, même sous Jospin.

Pour info :

Entre 2002 et 2010 la liberté de la presse en France est passé du 11ème rang mondial au 43ème, y'a peut-être aussi un peu de ça...

Ça se mesure au centimètre près la liberté de la presse ?

Classement débile.

Sans parler de qui le tient, et de par qui ce qui est financé.

En 2007 et en 2008, le pays d'Europe où les interventions policières et judiciaires contre les jouranlistes ont été les plus nombreuses est........ La France !......

Oui c'est débile... tout à fait débile... :)

Je vous rappelle que toute cette discussion est basée sur une information bidonnée.

Et comme par hasard reprise par "Valeurs actuelles" le magazine de la droite de la droite.

Non, et d'ailleurs depuis 10 ans toutes les enquêtes menées, notamment par Marianne, journal qu'on ne peut pas taxer d'être à la droite de la droite, vont dans la même sens, 10 ans, même sous Jospin.

Allez deuxième couche :

Pas un sondage, car « cela coûte cher », admet-il dans l’entretien qu’il nous accorde, mais une consultation : « Il s’agissait d’interroger les journalistes présents sur Twitter », précise Jean- Daniel Lévy, directeur du département politique et opinion de Harris Inter active.

Je rappelle qu'un sondage se fait sur un échantillon représentatif qu'on extrapole en tenant compte de divers paramètres (âge, sexe ...).

Interroger des gens présent sur un seul média est totalement biaisé.

Moi je vais téléphoner à tous les journalistes du Figaro pour leur demander pour qui ils votent et j'en conclurai que 74% des journalistes votent à droite.

Comme d'habitude tu ne réponds pas aux questions :

D'abord le fait que ce sondage est réalisé sous twitter, en quoi cela l'invalide t'il sachant que de nos jours, 99.9999 % des journalistes sont sur Twitter... : En quoi cela diffère t'il d'un sondage de type téléphonique par exemple, qui n'a jamais de valeur scientifique et n'est jamais à 100% d'exactitude . Par ailleurs les journalistes n'ont pas été ciblé selon le journal où ils bossent, ca c'est pour ta mauvaise foi.

Ensuite, que dire sur TOUS les autres sondages réalisés dans la classe journalistique ou estudiantine de type science po etc ? Par exemple celui de 2001 par Marianne

Sondage paru dans Marianne, en avril 2001, sur leurs intentions de vote, ce qui donnait à l’époque les résultats suivants :

En tête, Lionel Jospin : 32 %.

Ensuite, Noël Mamère : 13 %.

Puis Jean-Pierre Chevènement : 8 %.

Arlette Laguiller : 5 %.

Robert Hue : 5 %.

Total gauche : 63 %.

Et la droite ? 37 %, soit la différence entre 100 et 63. Eh bien, non ! Car 31 % des journalistes ne se prononçaient pas. Bref, le calcul : 100, moins la gauche (63), moins ceux qui ne savent pas (31) = 6 %. 6 % seulement pour la droite :

Chirac : 4 % ; Madelin : 1 % ; Bayrou : 1 %.

Commentaire de Marianne:

« N’est-il pas étonnant, au sein d’une démocratie, que 6 % seulement des journalistes osent se déclarer de droite, quand on estime qu’au moins 50 % des Français votent ainsi ? (...) Il faudrait être quelque peu naïf, après cela, pour s’étonner du fossé abyssal qui se creuse entre la caste journalistique et la population. »

Selon ce sondage, 44 % des journalistes considèrent leur activité comme une vocation, et 18 % comme une mission. « Vocabulaire religieux qui ne présage rien de bon dans un milieu généralement athée », relève Jean Sévillia.

En 2003 lors d’une élection : la carte d’identité syndicale des journalistes confirme la tendance.

Résultats :

1° SNJ : 42,5 % ;

2° CGT : 19,9 %

3° CFDT : 15,8 % ;

4° Force ouvrière : 5%

Au total : 83,2 % des voix pour des organisations de gauche.

Que les journalistes fassent ce choix, c’est leur droit. Mais, « fatalement, ce déséquilibre se fait sentir dans les media. Les choix des sujets, la manière dont ils sont traités, les personnalités invitées correspondent aux orientations qui l’emportent dans les rédactions. Le phénomène n’obéit ni à une stratégie organisée, ni à une ligne officielle, ni à des consignes occultes : il provient d’un consensus régnant dans un microcosme. »

Comment expliquer ce consensus, cette inclination des journalistes ?

Où celui là :

le cursus

Ce capital scolaire, c’est souvent à Sciences Po qu’on l’acquiert aujourd’hui. On doit à Bernard Poulet, rédacteur en chef à L’Expansion, ce jugement lapidaire : « Le journalisme, c’est trop souvent la poursuite de Sciences politiques par d’autres moyens, ou l’art de parler de tout sans rien connaître. »

Jusqu’en 2003, Sciences Po laissait partir ses étudiants en fin de cursus vers les écoles de journalisme reconnues. Mais l’école a décidé, en 2004, d’ouvrir sa propre formation au journalisme.

Ce que pensent en 2009, les étudiants de Sciences Po : la future élite politico-médiatique du pays.

Il en ressort que :

- 71 % des étudiants de Sciences Po ont l’intention de voter à gauche

-28 % à droite ;

Conclusion « La sensibilité politique des étudiants de Sciences Po se situe assez nettement dans le camp de la gauche (...).

Pour info :

Entre 2002 et 2010 la liberté de la presse en France est passé du 11ème rang mondial au 43ème, y'a peut-être aussi un peu de ça...

Source ?

http://fr.wikipedia.org/wiki/France

Bonne lecture...:)

Ps : de 2002 à 2009 et pas 2010...

Je pense que le journalisme a beaucoup plus souffert des chaines infos en continu cheap, des gratuits type 20 minutes, et des blogs internets que Sarkozy et l'état français, qui ont fait beaucoup de mal au journalisme d'investigation plus couteux, et à celui des grandes analyses de fond, battus par la dictature du buzz et de l’immédiateté : je rappelle quand même que la plupart des grands journaux fne survivent que grâce aux subventions payées par les impots des français.

Comme d'habitude tu ne réponds pas aux questions :

D'abord le fait que ce sondage est réalisé sous twitter, en quoi cela l'invalide t'il sachant que

CE N'EST PAS UN SONDAGE !!!

Si vous ne savez pas ce qu'est un sondage documentez vous.

http://fr.wikipedia.org/wiki/France

Bonne lecture...:)

Ps : de 2002 à 2009 et pas 2010...

Merci... En effet. Selon reporter sans frontière enfin bon selon la carte on reste quand même dans la partie supérieure :) .

Il est tout simplement logique que les journalistes soient plus de gauche que de droite.

En effet, la motivation première pour devenir journaliste est " de critiquer le système pour changer les choses". Je ne crois pas que beaucoup de journalistes sont motivés par le fait de défendre le système en place ( = mentalité réactionnaire).

Donc on trouve plus de gens engagés dans ce secteur ( idem pour Sciences Po ) qui veulent changer le système ( = mentalité de gauche).

c'est peut être logique pour toi mais je trouve ça pas normal. les journalistes peuvent défendre le pouvoir en place même lorsqu'il est de droite.

les journalistes vont ils critiquer le pouvoir actuel ? pour changer les choses ? la gauche ne fait pas que de bonnes choses elle fait ou fera des c*******comme les autres !

90% des journalistes ont appelé les français en 2005 à voter le traité constitutionnalisant le capitalisme en Europe.

100% des journalistes ont approuvé les réformes successives (Balladur, Raffarin, Fillon) visant à amoindrir le système de retraite par répartition.

100% des journalistes n’ont jamais fait aucun bilan critique de la privatisation générale des grandes entreprises engagée en 1986.

Il est vrai que j'en viens à reprendre ce vieux cliché droite gauche qui n'existe plus en France, il faudrait plus parler de "libéral" ou alors "pro mondialisation"...

L’antagonisme gauche / droite existe plus que jamais en France :

À droite, on refuse de parler du capitalisme ; on ne dénonce que des idoles indéfinies : « libéralisme » , « mondialisation », et on prétend qu’il n’y a plus de clivage gauche/droite tout en passant son temps à dénoncer les « gauchos ».

Tandis qu’à gauche, on critique les politique capitalistes nationales réelles, et on assume le clivage gauche/droite.

Ça fait une grosse différence, et même : un antagonisme.

J'ai répondu à cette question depuis un bout de temps: ca dépend de votre bord politique. Si vous êtes de gauche, que vous êtes "antiraciste", "antifasciste", "progressiste", etc... tout va bien. On vous encense.

Si vous êtes de droite, il faut sans cesse vous justifier.

Si vous êtes classé à l'extrême-droite, même pas la peine d'ouvrir la bouche.

Jean Sévilla parle très justement de "terrorisme intellectuel".

Caliméro, sors de ce corps !

Tu t'accroches trop aux étiquettes. Il existe des gens de droite antiracistes, antifascistes, il existe des Noirs racistes, des gens de gauche homophobes, etc.

Alors évidemment, si tu ne fréquentes que des forums avec des débats houleux entre partisans d'un bord et partisans de l'autre, tu auras tendance à avoir ce réflexe.

Si tu sors un peu dans la rue, que tu interroges les gens, que tu abordes d'autres sujets, tu verras que ce n'est pas si manichéen.

Ca n'est pas du "calimérisme".

D'autant que je n'ai pas dis qu'il n'existait pas des gens de droite antiracistes et antifascistes.

De une, je prenais ces termes dans leur signification actuelle (d'où les "..."). L'antiracisme et l'antifascisme sont aujourd'hui rien de plus que des machines de guerres aux services de la Gauche et de l'extrême-gauche.

De deux, je fais la différence entre ce que les gens sont et ce qu'ils peuvent en dire. Essayez donc de dire que vous votez pour le FN. Rien qu'ici, on voit immédiatement ce qui se passe: "raciste". "Xénophobe". Et, au mieux (ou au pire) "aveugle qui ne comprend pas pour qui il vote".

Essayez de dire que vous êtes suspicieux sur les chambres à gaz, en vous basant sur un certain nombre de faits. Vous serez un négationniste à vie, marqué du sceau de l'infamie par vos ennemis.

Essayez de vous dire fasciste. Là je n'en parle même pas! Et pourtant, on peut bien se proclamer communiste...

Essayez de critiquer l'immigration.

Essayez de dire que la démocratie n'est pas forcément le meilleur régime. Vous verrez ce qu'on fera avec vos propos.

Oh, certes, on vous laissera le dire. Le terrorisme intellectuel est plus subtil que ça. Mais à l'instant même où vous vous serez montré comme vraiment différent de l'idéologie "officielle", vous serez mort. "Fasciste", "raciste", "xénophobe", "dictateur", "obscurantiste", "fanatique", etc etc etc...

Vous serez ostracisé à vie.

Je vous renvoie à l'ouvrage de Jean Sévilla sur le sujet: Le Terrorisme Intellectuel.

Il est tout simplement logique que les journalistes soient plus de gauche que de droite.

En effet, la motivation première pour devenir journaliste est " de critiquer le système pour changer les choses". Je ne crois pas que beaucoup de journalistes sont motivés par le fait de défendre le système en place ( = mentalité réactionnaire).

Donc on trouve plus de gens engagés dans ce secteur ( idem pour Sciences Po ) qui veulent changer le système ( = mentalité de gauche).

Vous trouvez ça logique?

Si la motivation première des journalistes est bien celle que vous dites, alors le journalisme est mort et enterré. Parce que le journalisme n'a pas pour but de combattre le système. Mais d'informer (le plus impartialement possible) les gens.

delenda : vous avez découverts jean sevillia ???? on ne peut trouver journaliste aussi élitiste et partisan !!!!!!!!!!!!

Mais je comprends que vous l'idolatiez : plume en chef au figaro (horreur, c'est un journaliste !!!!:D ), catholique et vendéen..... tout pour plaire !

Quant à ses essais, même s'ils sont plutot bien documenté, restent très partisans et n'apporte pas grand chose au débat ; d'ailleurs, si vous avez lu "le terrorisme intellectuel", vous devez avouez, objectivement, que son raisonnement est exactement ce qu'il dénonce : il défent un intellectualisme de droite, contre un intellectualisme de gauche....

Bonnet blanc, blanc bonnet

J'étais en vacances lors de la dernière présidentielle et un matin j'entends le journaliste Bourdin sur RMC .Il interviewait sarko .Il lui demande combien de soldats français étaient tombés en Afghanistan . Le président de l'époque fut incapable de citer le bon chiffre et le journaliste reviendra longtemps sur cet épisode. Peut-être que je me trompe mais il me semble bien que dans l'entretien que l'actuel président a eu avec les deux journalistes après le défilé de la fête nationale il cite le nombre de 83 tués alors que c'est 87.. il me semble. Si cela s'avère exact ,on va voir si c'est repris par ce journaliste avec autant de force qu'il ne l'avait fait avec l'ancien ..Observons……!

D'abord le fait que ce sondage est réalisé sous twitter, en quoi cela l'invalide t'il sachant que de nos jours, 99.9999 % des journalistes sont sur Twitter...

Chiffre intéressant.

Pour nous le sortir, vous avez fait un sondage ou une enquête ?