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Alain75 Membre 27 400 messages
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Curiosity : l'aventure martienne est aussi dirigée depuis Toulouse

Publié le 24 novembre 2012 par Maxime Lambertsur-mars-le-rover-curiosity-recoit-une-partie-de-ses-ordres-depuis-toulouse-credits-nasa_55717_w250.jpgLe robot "Curiosity" qui évolue sur Mars depuis août est désormais dirigé depuis Toulouse par des chercheurs qui reçoivent en direct de la Planète rouge des milliers de données.

Le robot "Curiosity" qui évolue sur Mars depuis août a "déjà fourni plus de données sur la composition de roches que toutes les missions précédentes sur Mars", indique Sylvestre Maurice, le concepteur et responsable de l'instrument ChemCam (Chemical Camera) à l'Irap (Institut de recherche en astrophysique et planétologie). Grâce aux milliers de données récoltées, l’image de la planète rouge se fait ainsi chaque jour un peu plus précise.

Mais si l'on entend beaucoup parler de la NASA, l'agence américaine n'est pas la seule à s'occuper du robot roulant, loin de là même puisqu'en France aussi, on suit aussi l'aventure de Curiosity. Depuis le début de la semaine, les responsables français du ChemCam et d’une partie du Sam-GC (Sample Analysis at Mars - Gas Chromatograph), deux instruments de pointe qui équipent Curiosity, dirige le robot depuis Toulouse. Ils y reçoivent les données venues de Mars et participent aux commandes du rover. Une mission partagée en alternance avec le Laboratoire national de Los Alamos (LANL) au Nouveau-Mexique.

"Un satellite, on lui donne une nouvelle feuille de route tous les 6 mois, alors que nous, nous devons en envoyer une chaque jour", explique à l'AFP M. Maurice. "Nous avons une voiture de Formule 1", se félicite-t-il, soulignant que "tous les instruments fonctionnent très très bien, et le ChemCam de façon magique". Pour le moment, l’outil a effectué "15.000 tirs, offrant autant de spectres à analyser", relève Sylvestre Maurice. Néanmoins, le site de Gale où se trouve Curiosity est "très compliqué".

Quatre mois de pérégrinations et déjà des découvertes importantes

"C'est un terrain volcanique, avec des basaltes qui ont beaucoup plus de variabilités que l'on ne pensait et les roches analysées sont plus complexes qu'attendu", note-t-il. "Très clairement, de l'eau y a coulé, on a vu un lit de rivière" avec des sédiments, des graviers et cailloux dont la forme montre qu'ils ont été transportés par de l'eau. Cependant, Curiosity a fait bien d'autres découvertes dont une n'a pas encore été révélée si ce n'est sous le terme de "stupéfiante".

Alors que l'annonce de cette trouvaille a créé un véritable vent d'enthousiasme chez tout ceux qui suivent la mission

( NDLR: Pas tant que ça, Cf: supra: "Une découverte pas si extraordinaire")

, Curiosity, lui, poursuit tranquillement sa route. Il continue ainsi de "se promener" au gré de ses analyses dans Glenelg, une zone géologiquement intéressante car à l'intersection de trois types de terrains. Et les scientifiques espèrent découvrir dans ses pérégrinations leur graal, des molécules organiques pouvant laisser penser que de la vie a existé sur la planète.

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Alain75 Membre 27 400 messages
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Curiosity : pas de découverte de vie sur Mars "avant longtemps" ?

Publié le 26 novembre 2012 par Émeline Ferard

curiosity-ne-devrait-pas-decouvrir-de-vie-sur-mars-avant-longtemps-selon-les-specialistes-credits-nasa_55762_w250.jpgAprès l'annonce de la mystérieuse découverte de la NASA, les spéculations vont bon train sur ce qu'auraient montré les résultats fournis par le rover Curiosity actuellement sur Mars. Selon le planétologue Gilles Dawidowicz, une découverte de matière organique ne serait pas improbable même si on ne trouvera pas de vie sur la planète "avant longtemps".

Info ou intox ? C'est la question qui taraude depuis mardi dernier tout ceux qui suivent l'aventure du rover Curiosity sur Mars. La semaine dernière, une radio américaine a en effet annoncé que la NASA aurait fait une découverte qualifiée de "stupéfiante" sur la planète rouge. Celle-ci serait issue de résultats obtenus par l'instrument SAM qui a analysé un échantillon de sol mais aucune autre information n'aurait filtré quant à la nature de la découverte. C'est en fait John Grotzinger, principal responsable de la mission Curiosity qui a montré un grand enthousiasme face aux résultats nouvellement arrivés.

Néanmoins, depuis, la NASA a tenté de calmer le jeu en indiquant notamment que c'était toute la mission de Curiosity et non pas seulement cette découverte, qui était capable "d'entrer dans les livres d'histoire". Alors trouvaille extraordinaire ou pas ? Le débat est animé depuis une semaine et plusieurs spécialistes ont émis des hypothèses sur ce qu'auraient montré les fameux résultats. Interrogé par RTL, Gilles Dawidowicz, président de la Commission de planétologie de la Société Astronomique de France a ainsi estimé : "C'est plus de l'intox que de l'info, selon moi. On n'a pas trouvé la vie sur Mars et on ne trouvera pas la vie sur Mars avant longtemps encore." Un avis partagé par de nombreux spécialistes.

Néanmoins, le planétologue ne nie pas totalement le caractère "stupéfiant" de la découverte. "Ce qui pourrait être stupéfiant c'est qu'on découvre de la matière organique. Il s'agit de grosses molécules qui contiennent du carbone, de l'oxygène, de l'hydrogène et pleins d'autres éléments. Le robot Curiosity a probablement trouvé quelque chose de ce type", a t-il expliqué sur la radio. Ces éléments pourraient alors suggérer que la planète Mars serait capable d'abriter de la vie. Toutefois, cette hypothèse reste largement à confirmer. "Pour qu'il y ait de la vie, il faut de la matière organique mais l'inverse ne fonctionne pas toujours", a ainsi précisé Gilles Dawidowicz.

Une découverte qui ouvrira la voie à d'autres

Parmi les autres hypothèses figurent également la découverte d'acides aminés. Mais là encore, ces éléments ne sont pas "nécessairement [...] des briques élémentaires pour construire de la vie", a ajouté le spécialiste. Si la découverte ne sera donc peut-être pas si "stupéfiante" que cela, elle pourrait tout de même être d'une importance cruciale et ouvrir la voie à d'autres trouvailles. D'autant plus que cela fait à peine quatre mois que Curiosity est arrivé sur Mars pour une mission qui devrait normalement durer deux ans. Le rover aura donc encore bien le temps de fournir d'autres résultats.

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Alain75 Membre 27 400 messages
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NASA : Curiosity n'a pas fait de découverte historique sur Mars

Publié le 30 novembre 2012 par Émeline Ferard le-rover-curiosity-ici-en-conception-d-artiste-par-la-nasa-n-a-pour-l-instant-pas-fait-de-decouverte-majeure-sur-mars_55892_w250.jpg Jeudi, la NASA a démenti que le rover Curiosity a fait une découverte majeure sur Mars. Elle a ainsi contredit les propos du responsable de la mission scientifique John Grotzinger qui avait annoncé une trouvaille "capable d'entrer dans les livres d'histoire".

Le suspense était à son comble et c'est une grande déception qui le remplace : Curosity n'a fait aucune découverte historique sur Mars. Après avoir une première fois calmé le jeu, laNASA a en effet démenti les déclarations du responsable scientifique de la mission du rover, John Grotzinger. "Les rumeurs et spéculations selon lesquelles une découverte majeure aurait été faite dans le cadre de la mission Curiosity qui est à ses débuts sont erronées", a déclaré l'agence dans un communiqué.

C'est la semaine dernière que tout a commencé lorsque la radio américaine NPR a révélé que John Grotzinger lui avait fait une annonce majeure au cours d'une visite au Jet Propulsion Laboratory à Pasadena en Floride. Le responsable venait de recevoir, en provenance de Mars, des résultats porteurs d'une découverte "stupéfiante" et "capable d'entrer dans les livres d'histoire". Une annonce qui avait créé une véritable effervescence parmi les scientifiques et tout ceux qui suivent l'aventure martienne de Curiosity, spéculant sur la nature de la fameuse trouvaille.

Moins d'un jour plus tard, un porte parole du JPL, Guy Webster, avait alors fortement minimisé les propos de John Grotzinger. "Concernant sa remarque sur les 'livres d'histoire', la mission dans son ensemble est de nature à entrer dans les livres d'histoire (...) il n'y a rien de spécifique à venir qui soit bouleversant", avait-il affirmé à l'AFP. "John (Grotzinger) était ravi de la qualité des analyses sur les échantillons en provenance du robot [...] il a par le passé déjà été enthousiasmé par de précédents résultats, et il le sera de nouveau à l'avenir", avait-il encore précisé. Mais aujourd'hui, tous les espoirs sont définitivement douchés.

Une mission ambitieuse qui ne fait que commencer

La NASA a indiqué qu'"à ce stade de la mission les instruments du robot n'ont détecté aucune indication définitive de matière organique martienne". En effet, ces dernières semaines, l'instrument SAM de Curiosity a ingéré un échantillon de sol à la recherche notamment de composés contenant du carbone. C'est ainsi l'analyse de cet échantillon qui était censée avoir fourni des résultats étonnants, mais ce ne serait donc pas le cas.

Reste que c'était la première fois que SAM était utilisé pour étudier le sable martien. Il n'est donc pas exclu que des découvertes importantes nous parviennent au cours des prochaines semaines. A ce jour, cela fait moins de quatre mois que Curiosity est arrivé sur Mars pour une mission qui devrait durer au minimum deux ans. Mais comme la NASA le souligne, il est loin d'avoir chômé jusqu'ici. Fin septembre, le rover a ainsi découvert des graviers et cailloux provenant du lit d'une ancienne rivière, confortant les hypothèses d'un passé humide de la planète rouge.

Curiosity n'en est donc qu'au début de son aventure qui reste l'une des plus ambitieuses lancées sur la planète Mars. La prochaine conférence sur la mission Curiosity est prévue lundi prochain.

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Alain75 Membre 27 400 messages
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je traduis le maximum de textes (ceux du JPL qui accompagnent les photos) mais faire des fichiers .srt sur youtube je sais pas faire. Mais le site http://www.maxiscien...over-curiosity/ me donne les infos en Français. par contre l'addresse des photos change et ne sont plus visibles en quelques jours.

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Alain75 Membre 27 400 messages
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NASA Mars Rover Analyse complète du sol abord Samples12.03.12

710601main_Edgett-2-pia16469-43_946-710.jpg

C'est une vue de la troisième (à gauche) et quatrième (à droite) tranchées faites par le 1.6-pouces de large (4 centimètres de large) scoop sur la NASA Mars Rover Curiosity en Octobre 2012. Crédit image: NASA / JPL-Caltech / MSSS

Curiosity de la NASA Mars Rover lui-même échantilonné dans sa zone de travail de travail, une zone appelée "Wind Drift Rocknest," le 84e jour martien , ou sol, de sa mission (31 octobre 2012). Crédit image: NASA / JPL-Caltech / LANL / CNES / PARI

Ce collage montre la variété des sols trouvés sur les sites d'atterrissage sur Mars.

PASADENA, Californie - Curiosity Mars Rover a utilisé sa gamme complète d'instruments pour analyser le sol martien pour la première fois, et j'ai trouvé une chimie complexe dans le sol martien. L'eau et des substances de soufre et contenant du chlore, entre autres ingrédients, sont prélevées par le bras Curiosité et les échantillons livrées à un laboratoire d'analyse à l'intérieur du rover.

La détection de ces substances au cours de cette première phase de la mission démontre la capacité du laboratoire à analyser des sols variés et des échantillons de roche au cours des deux prochaines années. Les scientifiques ont également été vérifier les capacités des instruments du rover.

Curiosity est le premier Mars Rover en mesure de retirer du sol vers les instruments d'analyse mobile. L'échantillon de sol spécifique est venue de la dérive de poussières et de sable appelé "Rocknest." Le site se trouve dans une partie relativement plate du cratère Gale encore miles de destination principale du rover sur le versant d'une montagne appelée Mont Sharp. Le laboratoire mobile comprend l'analyse des échantillons de Mars (SAM) et la chimie et la minéralogie (Chemin) instrument. SAM a utilisé trois méthodes pour analyser les gaz qui se dégagent de la poussière de sable quand il est chauffé dans un four minuscule. Une classe de contrôles SAM substances pour les composés organiques est - contenant du carbone des produits chimiques qui peuvent être des ingrédients pour la vie.

«Nous n'avons pas de détection définitif de matières organiques martiens, à ce stade, mais nous allons continuer à chercher dans les divers milieux de Gale Crater», a déclaré le chercheur principal SAM Paul Mahaffy de la NASA Goddard Space Flight Center à Greenbelt, Md.

L' Instrument APXS de Curiosity et l'objectif Mars main Imager (Mahli) caméra sur le bras du rover a confirmé sur Rocknest un élément chimique de composition et l'apparence de texture semblable à des sites visités par la NASA Mars Pathfinder tôt rovers Spirit et Opportunity.

L'équipe de Curiosity Rocknest sélectionné comme le premier site d'écopage, car elle contient des particules de sable fin convenant pour le lavage des surfaces intérieures de l'échantillon de manipulation du bras de chambres. Le sable a été vibré à l'intérieur des chambres pour enlever les résidus de la Terre. Mahli Close-up d'images Rocknest de montrer une croûte de poussière couché une ou deux grains de sable épais, couvrant sombre sable plus fin,.

«Dérives (flux ?NDT) actifs sur Mars un aspect plus sombre sur la surface", a déclaré le chercheur principal Mahli Ken Edgett, de Malin Space Science Systems à San Diego. «Il s'agit d'une ancienne dérive(flux ?NDT) qui a eu le temps d'être inactif, laissant la forme la croûte et de la poussière s'accumule sur elle."

Chemin de l'examen d'échantillons Rocknest trouvé la composition est environ la moitié de minéraux communs volcaniques et la moitié des matériaux non-cristallins tels que le verre. SAM a ajouté des informations sur les ingrédients présents dans des concentrations beaucoup plus faibles et sur les ratios d'isotopes. Les isotopes sont des formes différentes d'un même élément et peut fournir des indices sur les changements environnementaux. L'eau vue par SAM ne signifie pas que la dérive(flux ?NDT) était humide. Molécules d'eau liées à des grains de sable ou de la poussière ne sont pas rares, mais vu la quantité était plus élevé que prévu.

SAM provisoirement identifié l'oxygène et du perchlorate (composé de chlore). Il s'agit d'un produit chimique réactif se trouvait auparavant dans l'Arctique sol martien de la NASA Phoenix Lander. Les réactions avec d'autres produits chimiques chauffés dans SAM formé des composés chlorés du méthane - un carbone organiques qui ont été détectés par l'instrument. Le chlore est d'origine martienne, mais il est possible que le carbone peut être d'origine terrestre, apporté par Curiosity et la détecté par haute sensibilité de SAM.

«Nous avons utilisé presque toutes les parties de notre charge utile scientifique examinant cette dérive(flux ?NDT) SAM», a déclaré John curiosité scientifique du projet Grotzinger de l'Institut de technologie de Californie à Pasadena. "Les synergies entre les instruments et la richesse de la ensembles de données nous donnent de grandes promesses pour les utiliser à destination de la mission scientifique principale sur le mont Sharp."

NASA Mars Science Laboratory Project utilise Curiosity pour évaluer si les zones à l'intérieur du cratère Gale ont jamais offert un environnement habitable pour des microbes. Le JPL à Pasadena, une division de Caltech, qui gère le projet pour la Direction des missions scientifiques de la NASA à Washington, et Curiosity

Pour plus d'informations à propos de Curiosity et d'autres missions vers Mars, visitez le site: http://www.nasa.gov/mars.

Vous pouvez suivre la mission sur Facebook et Twitter à l'adresse: http://www.facebook.com/marscuriosity et http://www.twitter.com/marscuriosity.

Dwayne Brown Siège, Washington

202-358-1726

dwayne.c.brown @ nasa.gov

Guy Webster 818-354-6278

Jet Propulsion Laboratory, Pasadena, Californie

guy.webster @ jpl.nasa.gov

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Alain75 Membre 27 400 messages
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Les cicatrices d'impact de MSL Cruise et des Lests d'équilibration (figure 1) (en gros: le bazar qui à posé le rover sur Mars)

Cette image de la NASA (Mars Reconnaissance Orbiter) montre une cicatrice d'impact sur ​​Mars crée par des fragments de la sonde de la NASA éjectés juste avant d'entrer dans l'atmosphère martienne. (résolution: 1 pixel=25m)

PIA16456-Fig1-full.jpg

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Curiosity : la perceuse du rover pourrait menacer la mission

Publié le 11 décembre 2012 par Émeline Ferardcuriosity-selon-les-ingenieurs-la-perceuse-presente-sur-le-bras-robotise-du-rover-ici-en-photo-pourrait-connaitre-des-rates-a-force-d-etre-utilisee-et-ainsi-compromettre-la-mission_56214_w250.jpgAlors que le rover Curiosity s'apprête à se servir de sa perceuse pour obtenir de la poudre à partir de roches martiennes, des ingénieurs ont averti que l'utilisation de l'outil n'était pas sans danger. La perceuse pourrait provoquer un court-circuit capable d'assommer le rover.

Unique en son genre, Curiosity est bardé d'instruments de haute technologie qui n'avaient encore jamais été sur Mars. Depuis son arrivée en août dernier, le rover a ainsi pu mener de nombreuses analyses, du sol et des roches notamment, dont les résultats se sont avérés particulièrement intéressants. Mais aujourd'hui, il s'apprête à utiliser un nouvel outil : sa perceuse qui doit servir à attaquer les roches pour récolter de la poudre et en savoir plus sur leur composition. Reste que cette opération ne serait pas sans danger, ont averti les ingénieurs de la mission.

En effet, utiliser l'outil pourrait selon eux, affecter toute la mission de Curiosity, en causant une panne dans tout le système. Ils expliquent qu'il est tout à fait possible qu'à un moment ou à un autre, un élément du mécanisme de forage fasse défaut, à force d'utilisation, et que ceci provoque un court-circuit capable d'"assommer" le rover. "A moins que vous n'y fassiez quelque chose, tout devient fou électroniquement, parce que cela emporte notre "bus de puissance" et le fait crépiter", a expliqué à Space.comRob Manning du Jet Propulsion Laboratory de la NASA. "C'est un peu comme si la perceuse attrapait le rover et secouait toute la chose électroniquement", a t-il précisé.

Néanmoins, la situation n'est pas si critique puisque les ingénieurs estiment que la perceuse devrait au moins tenir, sans incident, les deux ans de la mission initiale du rover. En vérité, ils ont réalisé le risque deux mois avant le décollage de Curiosity mais il était alors trop tard pour retravailler toute la perceuse, a ajouté Manning. Les ingénieurs ont donc mis en place une sécurité : ils ont rajouté un ensemble de câbles supplémentaires qui pourrait être utilisé pour protéger le "bus de puissance" de Curiosity. Concrètement, ceci permettrait de le court-circuiter temporairement avant qu'un problème ne survienne avec la perceuse.

En quête de roches cibles pour utiliser la perceuse

"Donc si ce court-circuit se produit sur l'engin, cela ne fait pas tout crépiter. Nous allons continuer de tester tout cela - pour voir ce qu'il se passe, pour être sûr que tout marche normalement", a indiqué Manning. Le vrai test aura donc lieu au cours des prochains mois quand Curiosity utilisera à plusieurs reprises sa perceuse sur les roches martiennes.

L'outil est capable de percer jusqu'à 2,5 centimètres dans les roches, soit plus profond que ce qui a été fait jusqu'ici. Ceci devrait permettre d'obtenir de la poudre qui sera ensuite transférée dans d'autres instruments pour être analysée. D'ailleurs, les chercheurs sont actuellement à la recherche de cibles pour effectuer cette nouvelle opération qui, ils l'espèrent, aura lieu avant les vacances de Noël.

Si la perceuse devrait durer au moins deux ans sur Mars, Curiosity lui pourrait être capable d'arpenter la planète rouge bien plus longtemps que cela. Techniquement, sa source d'énergie, un générateur nucléaire, devrait durer au moins une décennie, et peut-être bien plus. Une bonne nouvelle dans la mesure où la NASA ne compte pas lâcher le rover de sitôt. La semaine dernière, l'agence a annoncé qu'elle continuerait de faire fonctionner Curiosity et les autres engins martiens tant qu'ils seraient scientifiquement viables.

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Mars Rover Curiosity a utilisé sa caméra de mât (Mastcam) au cours de la mission 120ème jour martien, ou sol (7 décembre 2012), pour enregistrer ce point de vue d'un affleurement rocheux officieusement nommé "Shaler."

pia16550_Shaler-Mastcam-whitebalanced-br2.jpg

Couches frappants d'affleurements, les quelques angles à l'autre dans un modèle appelé stratification oblique, en fait une cible d'intérêt pour l'équipe scientifique de la mission. Le site est proche où trois types de terrain se rencontrent à un endroit appelé «Glenelg," à l'intérieur du cratère Gale.

La zone couverte par l'image s'étend sur environ 3 pieds (90 centimètres) au premier plan.

Figure 1 comprend un 10 centimètres (4 pouces) barre d'échelle.

pia16550-Fig1_Shaler-Mastcam-whitebalanced-scalebar-full.jpg

L'image a été corrigée sur la balance des blancs pour montrer ce que le roc pourrait ressembler si il était sur ​​la Terre. La figure 2 est une version brute de couleur, montrant ce que la roche ressemble sur Mars à la caméra.

pia16550-Fig2Shaler-Mastcam-rawcolor-br.jpg

Malin Space Science Systems, San Diego, développé, construit et exploite Mastcam. JPL, une division du California Institute of Technology, Pasadena, gère le Mars Science Laboratory projet de la Direction des missions scientifiques de la NASA, à Washington. JPL a conçu et construit Curiosity.

Crédit image: NASA / JPL-Caltech / MSSS

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18/12/2012

pia16553-Sol-125-leftNav-lookback-br2.jpg

Entrée en «baie de Yellowknife»

Le Rover Curiosity a utilisé sa caméra de navigation de gauche pour enregistrer ce point de vue de l'étape de descente dans une dépression peu profonde appelée «baie de Yellowknife." . Le Sol 125, le trajet dans baie de Yellowknife a été d'environ 86 pieds (26,1 mètres). La descente dans le bassin franchi un pas (une "marche". NDT) d'environ 2 pieds (un demi-mètre) de haut, visible dans la moitié supérieure de cette image.

Laboratory de la NASA Jet Propulsion, une division de l'Institut de technologie de Californie à Pasadena, gère la mission Mars Science Laboratory de la Direction des missions scientifiques de la NASA à Washington. Le Rover Curiosity a été conçu, développé et assemblé au JPL.

Crédit image: NASA / JPL-Caltech

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21/12/2012

pia16562_Sol-130_cyl-br2.jpg

Au bord de la «baie de Yellowknife, 'Sol 130

Dans une petite dépression appelée «baie de Yellowknife," le Rover Curiosity remplit les objectifs de la journée 130e martien, ou sol, de la mission (17 décembre 2012) et a utilisé son appareil de navigation pour enregistrer ce point de vue de la corniche à la marge et une vue sur la «baie».

Laboratory de la NASA Jet Propulsion, une division de l'Institut de technologie de Californie à Pasadena, gère la mission Mars Science Laboratory de la Direction des missions scientifiques de la NASA à Washington. Curiosity a été conçu, développé et assemblé au JPL.

Crédit image: NASA / JPL-Caltech

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Curiosity passe Noël sur Mars à explorer "Yellowknife Bay"

Publié le 26 décembre 2012 par Émeline Ferardle-rover-curiosity-se-trouve-actuellement-sur-un-site-martien-appele-yellowknife-bay_56547_w250.jpgToujours sur Mars, le rover Curiosity a passé ces derniers jours à explorer une nouvelle région de Mars appelée "Yellowknife Bay". Le but : collecter des informations pour choisir une roche à forer.

Si toute la planète est actuellement en train de célébrer la fin de l'année, Curiosity lui poursuit son aventure martienne. Malgré la pause des vacances de Noël, le rover est ainsi loin de chômer, il explore même depuis mi-décembre, un tout nouveau site de Mars baptisé "Yellowknife Bay". Ce terrain est différent de tout ce qu'a rencontré Curiosity depuis son arrivée en août et constitue l'un des trois types présents dans la région de Glenelg choisie par les équipes deux semaines après l'atterrissage.

Le 11 décembre dernier, le rover a ainsi quitté le site qu'il explorait pour effectuer une descente d'environ un demi mètre et un déplacement de 14 mètres en direction de Yellowknife Bay. Puis le jour suivant, un déplacement de 26 mètres à amener le robot roulant en plein milieu du bassin. C'est là que les équipes ont déployé la MastCam et la ChemCam pour étudier les roches aux alentours. Quelques jours plus tard, Curiosity s'est ainsi approché de deux roches d'intérêt baptisée "Costello" et "Flaherty" afin qu'il puisse les examiner avec ses autres instruments : l'Alpha Particle X-Ray Spectrometer (APXS) et le Mars Hand Lens Imager (MAHLI).

Après avoir fini ces analyses, le rover s'est une nouvelle fois déplacé de 5,6 mètres pour s'enfoncer encore plus dans Yellowknife Bay. Une mini-promenade qui a porté à 677 mètres la distance parcourue par Curiosity depuis son arrivée. Si un autre déplacement était prévu au cours des derniers jours, l'explorateur martien ne bouge plus désormais : les équipes de la mission font une pause de Noël ! Celui-ci se contente donc d'étudier l'environnement martien dans la position où il se trouve actuellement et dans laquelle il restera jusqu'à la fin de l'année.

Ce n'est qu'en 2013 que les choses sérieuses recommenceront quand les ingénieurs choisiront enfin la roche où Curiosity utilisera pour la toute première fois sa perceuse. L'outil servira à récupérer de la poudre au plus profond de la roche et ainsi d'en savoir plus sur la composition de cette dernière.

(crédits : NASA/JPL-Caltech)

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le merle Membre 21 521 messages
Maitre des forums‚
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Curiosity passe Noël sur Mars à explorer "Yellowknife Bay"

Publié le 26 décembre 2012 par Émeline Ferardle-rover-curiosity-se-trouve-actuellement-sur-un-site-martien-appele-yellowknife-bay_56547_w250.jpgToujours sur Mars, le rover Curiosity a passé ces derniers jours à explorer une nouvelle région de Mars appelée "Yellowknife Bay". Le but : collecter des informations pour choisir une roche à forer.

Si toute la planète est actuellement en train de célébrer la fin de l'année, Curiosity lui poursuit son aventure martienne. Malgré la pause des vacances de Noël, le rover est ainsi loin de chômer, il explore même depuis mi-décembre, un tout nouveau site de Mars baptisé "Yellowknife Bay". Ce terrain est différent de tout ce qu'a rencontré Curiosity depuis son arrivée en août et constitue l'un des trois types présents dans la région de Glenelg choisie par les équipes deux semaines après l'atterrissage.

Le 11 décembre dernier, le rover a ainsi quitté le site qu'il explorait pour effectuer une descente d'environ un demi mètre et un déplacement de 14 mètres en direction de Yellowknife Bay. Puis le jour suivant, un déplacement de 26 mètres à amener le robot roulant en plein milieu du bassin. C'est là que les équipes ont déployé la MastCam et la ChemCam pour étudier les roches aux alentours. Quelques jours plus tard, Curiosity s'est ainsi approché de deux roches d'intérêt baptisée "Costello" et "Flaherty" afin qu'il puisse les examiner avec ses autres instruments : l'Alpha Particle X-Ray Spectrometer (APXS) et le Mars Hand Lens Imager (MAHLI).

Après avoir fini ces analyses, le rover s'est une nouvelle fois déplacé de 5,6 mètres pour s'enfoncer encore plus dans Yellowknife Bay. Une mini-promenade qui a porté à 677 mètres la distance parcourue par Curiosity depuis son arrivée. Si un autre déplacement était prévu au cours des derniers jours, l'explorateur martien ne bouge plus désormais : les équipes de la mission font une pause de Noël ! Celui-ci se contente donc d'étudier l'environnement martien dans la position où il se trouve actuellement et dans laquelle il restera jusqu'à la fin de l'année.

Ce n'est qu'en 2013 que les choses sérieuses recommenceront quand les ingénieurs choisiront enfin la roche où Curiosity utilisera pour la toute première fois sa perceuse. L'outil servira à récupérer de la poudre au plus profond de la roche et ainsi d'en savoir plus sur la composition de cette dernière.

(crédits : NASA/JPL-Caltech)

bonjour

interressant ,la soeur jumelle de la terre livre ses secrets petit à petit .

je me suis toujours demandé si mars avait évoluée , comme notre planète et développée la vie , si cette vie aurait suivie la mème évolution ?

bonne journée

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 62ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 400 messages
62ans‚ Marxiste tendance Groucho,
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La théorie en cours voudrait que Mars aie connu la vie. Mais comme son atmosphère à été rapidement soufflée par le vent solaire, et la surface bombardée par le rayonnement solaire, (faute de champ magnétique), celle çi n'aurai pas pu dépasser le stade monocellulaire.

Il en subsiste encore peut etre en sous sol, ou des traces, d'ou le coup de perceuse prévu.

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Lutinian Membre 1 453 messages
Baby Forumeur‚
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bonjour

interressant ,la soeur jumelle de la terre livre ses secrets petit à petit .

je me suis toujours demandé si mars avait évoluée , comme notre planète et développée la vie , si cette vie aurait suivie la mème évolution ?

bonne journée

La soeur jumelle de la Terre n' est pas Mars mais Venus ...du moins en apparence

Je dirais plutôt pour Mars "petite cousine" .

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Alain75 Membre 27 400 messages
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Pas "directement" sur la planète rouge..........

Découverte de "Black Beauty", une météorite martienne pas comme les autres

Publié le 04 janvier 2013 par Maxime Lambertblack-beauty-la-meteorite-martienne-riche-en-eau-decouverte-en-2011_56676_w250.jpgUne météorite martienne vieille de 2,1 milliards d'années a été récemment découverte en Afrique du Nord. Baptisée "Black Beauty", celle-ci est exceptionnellement riche en eau et se rapproche grandement des roches analysées par les sondes de la NASA sur la planète rouge.

On a retrouvé, à ce jour, une centaine de météorites d'origine martienne sur Terre. Si on ne connaît l’origine de ces débris que depuis 1980 on saitmaintenant qu’elles proviennent de la ceinture d'astéroïdes, une région du système solaire située entre Mars et Jupiter. Parmi celles récemment retrouvées, se trouve NWA 7034 (pour Northwest Africa), également surnommée Black Beauty ("Beauté noire"). Or, ce débris martien de 320 grammes "raconte comment étaient les volcans sur Mars il y a 2 milliards d'années", indique Carl Agee, de l'université du NouveauMexique.

En effet, dans l’étude que publie aujourd’hui ce scientifique dans la revue Science, il explique que "la roche basaltique [lave refroidie] contenue dans cette météorite est similaire à la composition de la croûte martienne". Ainsi, cette météorite contient environ dix fois plus de molécules d’eau que toutes les autres météorites d’origine martienne connues à ce jour. Elle présente de plus des caractéristiques tout à fait uniques et notamment des isotopes de l'oxygène dont le mélange est "différent" de celui trouvé sur les autres météorites martiennes et "qui pourrait provenir d'une interaction avec l'atmosphère de Mars", explique la NASA dans un communiqué.

Tous ces éléments uniques laissent donc légitimement supposer que Black Beauty se trouvait initialement à la surface de la planète rouge il y a longtemps de cela. Grâce à leur étude, les chercheurs ont ainsi déterminé que la météorite s'était formée il y a 2,1 milliards d’années de cela lors du commencement de la période géologique martienne la plus récente appelée l'Amazonien. "L'âge de NWA 7034 est important parce qu'elle significativement plus vielle que la plupart des autres météorites martiennes. Nous avons maintenant un aperçu sur une pièce de l'histoire de Mars à un moment critique de son évolution", a commenté Mitch Schulte, scientifique du Mars Exploration Program de la NASA.

D'autres surprises à révéler ?

NWA 7034 "nous donne aussi un aperçu de l'ancienne surface et des conditions d'environnement sur Mars comme une autre météorite ne l'a jamais fait", poursuit de son côté M. Agee. D'après les scientifiques, les molécules d’eau retrouvée auraient soit une origine volcanique soit proviendrait d'un aquifère proche de la surface. Cette seconde hypothèse laisse penser qu'une activité aqueuse a persisté à la surface de Mars au début de l'Amazonien qui a débuté il y a 3 milliards d'années.

"Nos analyses du carbone montrent également que la météorite a subi une seconde transformation à la surface de Mars, ce qui explique la présence de macro-molécules de carbone organique", relève Andrew Steele, de la Carnegie Institution, autre auteur de l'étude. Ainsi, pour ce scientifique, "il s'agit de la météorite martienne la plus riche géochimiquement jamais trouvée et les analyses qui se poursuivent vont probablement révéler d'autres surprises".

"Le contenu de cette météorite pourrait alors remettre en question beaucoup de notions connues de la géologie sur Mars" et Black Beauty pourrait peut être devenir "une référence importante pour le robot Curiosity" actuellement en mission sur Mars, avance John Grunsfeld, à la direction des sciences de la NASA. En effet, à l’heure actuelle, Curiosity se trouve dans le cratère de Gale sur l'équateur martien pour déterminer si la planète Rouge a été dans son passé propice à l'existence d'une vie microbienne.

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Alain75 Membre 27 400 messages
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PIA16565_modest.jpg

Première utilisation de l'outil de de Dépoussiérage du Mars Rover Curiosity

Cette image de la lentille Mars Main Imager (Mahli) de la NASA Mars Rover Curiosity montre le zone de roche nettoyés après la première utilisation de l'outil du rover Dépoussiérage (DRT).

L'outil est un moteur, une brosse métallique sur la tourelle à l'extrémité du bras du robot. Sa première utilisation sur le 150e jour martien, ou sol, de la mission (6 janvier 2013). Mahli a pris cette image à partir d'une distance d'environ 10 pouces (25 centimètres) après que le brossage ait été achevé sur cette cible rocher appelé "Ekwir_1." La zone de la roche où la poussière a été essuyée est d'environ 1,85 pouces par 2,44 pouces (47 millimètres par 62 millimètres). La barre d'échelle au bas à droite est 1 centimètre (0,39 pouce).

Une vue de la tourelle de Curiosity à http://photojournal....atalog/PIA15699 montre la DRT sur le côté droit de l'image et du Mahli au centre.

PIA15699_modest.jpg

Honeybee Robotics, New York, NY, a construit la DRT pour Curiosity. Malin Space Science Systems, San Diego, a construit le Mahli.

Crédit image: NASA / JPL-Caltech / MSSS

Modifié par Alain75
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