Les "attention whores" ou l'échec du féminisme

Non, justement, je nie le terme de petite conne. La majorité des attention whore sont des individus en souffrance, masquant la souffrance, derrière une surenchère, soit sexuelle, soit de souffrance, mais ça reste de la souffrance.

des ados quoi, donc des petites connes :D

Votre manière de voir, mais je la trouve considérablement réductrice, méprisante, et faussée.

bah oui, comme une vision d'ado quoi

Il est impossible de nier qu'il y a un problème derrière ce genre de comportement. C'est évident.

mais le problème est simple, ces gamines viennent elle des couches les plus défavorisées? non, pas vraiment, ce sont des gamines pourries gatées qui veulent être le centre du monde sans fournir le moindre effort

Non, justement, je nie le terme de petite conne. La majorité des attention whore sont des individus en souffrance, masquant la souffrance, derrière une surenchère, soit sexuelle, soit de souffrance, mais ça reste de la souffrance.

Les "attention whore" n'ont pas choisi cette voie dans un but d'épanouissement. Elles ont plus subit cette voie que choisie.

mais le problème est simple, ces gamines viennent elle des couches les plus défavorisées? non, pas vraiment, ce sont des gamines pourries gatées qui veulent être le centre du monde sans fournir le moindre effort

tu l'as lu l'article ?

Bien sur

J'ignorais ce phénomène, je découvre.

Je n'ai pas compris toutes les explications sociologiques, notamment ce passage-là:

- Cette hyper-sexualisation est un échec du féminisme. Elle correspond à un manque de questionnement sur les relations maternité/paternité, sans doute l'une des faiblesses des différents mouvements de libération sexuelle qui n'ont pas pris en compte l'"attachement" comme fonction structurante de la tendresse et de l'amour. Elle est également liée à la disparition progressive du clivage enfance-adolescence qui s'apparente à celle du clivage masculin-féminin. Enfin, elle est révélatrice du désarroi amoureux à une époque de fragilisation de la famille et de l'école, et d'un manque d'autorité.

c'est justement le passage le plus explicite et qui corrobore mon point de vue, a force de militer violemment pour l'égalité, des carences se sont créees car le feminisme aggressif a détruit des choses sans les remplacer.

Aujourd'hui on est dans la société du "moi je", l'égoïsme roi sans souci des conséquences puisque assumées par d'autres.

L'individualisme n'est pas une conséquence du féminisme.

L'hyper sexualisation non plus.

ça fait justement référence au fait que le féminisme a construit un système différent, avec la possibilité pour les femmes d'être aussi "prolixe" sexuellement, sauf qu'il a oublié que l'amour et la tendresse sont les points centraux de la construction d'un couple, de la sexualité etc...

Pour le reste, je crois qu'ils indiquent un manque d'autorité, le rapport à l'enfant roi, etc...

Comme je le disais, nous avons supprimé les valeurs fumeuses qu'avait notre société à une époque, mais nous n'avons pas construit de valeurs solides à la place. Ajouté à cela le mal de notre siècle, c'est à dire la désillusion sur la vie, les valeurs, les buts, et la dépression globale qui en est née, et nous avons un cocktail expliquant de nombreuses choses, dont les attention whore, qui sont généralement des ados en manque profond de repère, et cherchant à en trouver (et quoi de mieux pour trouver des repères que de se trouver au centre de l'attention, puisque, lorsque c'est le cas, la dite attention nous porte sans qu'on ait à choisir la voie vers laquelle on se tourne)

ça fait justement référence au fait que le féminisme a construit un système différent, avec la possibilité pour les femmes d'être aussi "prolixe" sexuellement, sauf qu'il a oublié que l'amour et la tendresse sont les points centraux de la construction d'un couple, de la sexualité etc...

Pour le reste, je crois qu'ils indiquent un manque d'autorité, le rapport à l'enfant roi, etc...

Comme je le disais, nous avons supprimé les valeurs fumeuses qu'avait notre société à une époque, mais nous n'avons pas construit de valeurs solides à la place. Ajouté à cela le mal de notre siècle, c'est à dire la désillusion sur la vie, les valeurs, les buts, et la dépression globale qui en est née, et nous avons un cocktail expliquant de nombreuses choses, dont les attention whore, qui sont généralement des ados en manque profond de repère, et cherchant à en trouver (et quoi de mieux pour trouver des repères que de se trouver au centre de l'attention, puisque, lorsque c'est le cas, la dite attention nous porte sans qu'on ait à choisir la voie vers laquelle on se tourne)

non mais faut arreter un peut de chercher des excuse a tout et tout le monde, je veut bien que certaine persone puisse se sentir mal, je suis pas le dernier de se coté mais je n'ai jamais pour autant subit de dérive aussi grave, j'ai toujours tenu tête a enormement de chose et de gens.

dans enormement de cas pour pas dire tous la plupart de ces derive se font chez des gens qui a première vue n'on pas forcement de probleme de cadre de vie, si apres les parent sont pas foutu d'eduqué correctement leur enfant deja y'a un souci a la base de ce coté.

ensuite société permissible et libéré ou pas le bon sens est quelque chose comme cela le laisse suggéré allant de soit, hors la majorité des jeunes en manque cruellement et on dirais qu'il se partage un cerveau pour 100, c'est quand meme incroyable de manqué d'autant de caractère, d'inteligence, de personalité, d'education, de logique, et ainsi de suite.

L’omniprésence de l’érotisation dans toutes les sphères de l’espace public

ne constitue-t-elle pas une violence systémique contre laquelle il faut se

prémunir? Une violence symbolique par la transmission de stéréotypes du

genre femme-objet et homme-dominateur; une violence sociale engendrée

par la banalisation et la pornographisation de l’univers médiatique;

une violence économique par la glorification de l’acte de consommer et

la pression sur les plus jeunes; une violence politique entretenue par

l’inhabilité de l’État à protéger les enfants et les jeunes

du capitalisme débridé

À qui doit-on imputer la responsabilité de ces deux phénomènes sociaux?Nous sommes

toutes et tous responsables : jeunes, parents, écoles, publicitaires, industries et autorités

publiques. En fait, si on ne fait pas partie de la solution, on fait partie du problème.*

Le poète du 19eme Percy Bysshe Shelley a écrit que, dans la rapacité

créée par la révolution industrielle, les gens abandonnent d’abord leur

esprit ou leur capacité à raisonner, puis leur coeur ou leur capacité

d’empathie, jusqu’à ce qu’il ne reste de l’équipement humain originel que

leurs sens ou leurs demandes de satisfactions égoïstes. À ce stade, les

humains entrent dans la catégorie de produits de consommation et de

consommateurs du marché – un élément de plus dans le paysage

commercial. Sans coeur et sans esprit, ils sont instrumentalisés à acheter

tout ce qui calme leurs sens exigeants et apeurés - des mensonges officiels,

des guerres immorales, des poupées Barbie et des enseignements en

faillite

Lilia Goldfarb

le corps des femmes comme marchandise et bien d échange c est un vieux délire machiste .. les premier responsable ce sont les machiste de m .. les féministe elles ne peuvent en 1siecle renverser 4000 ans de délire sexiste ... que de travail encore a accomplir

Le problème CYRRIC, c'est que l'absence de problème de cadre de vie ne signifie pas l'absence de souffrance. Oh, je connais le sempiternel discours du "Y a pire", ou du "Il a tout pour être heureux". Les pires discours que j'ai jamais entendu d'ailleurs.

Oh, j'imagine qu'il est nettement plus facile de se dire que ce ne sont que des cons, et qu'au final, c'est tant pis pour leur gueule.

Et quelque part, c'est ce que j'ai écrit un jour, je ne peux pas m'empêcher de sourire en pensant à Jessie Slaughter, et désolé pour elle, mais j'ai le droit.

Mais il faut regarder la réalité en face. Notre siècle a compris les erreurs des siècles passé, mais n'a pas trouvé comment les remplacer. Il est aisé de stigmatiser des individus, il est beaucoup plus de comprendre les raisons qui amènent une situation. On peut se retrancher derrière un "ce sont des cons" ou "ils n'ont pas de cerveau".

Mais à mon sens, ça n'est qu'une fuite, et ça ne résoudra rien. C'est un argument d'autorité inutile et foireux. J'ai, parmi mes meilleures amies, une fille qui, à une époque, aurait été incapable, littéralement, de dire "non" sexuellement à un mec. Il aurait été facile de se dire "c'est une conne et une salope". Mais le fait est que c'était nettement plus complexe. (je ne rentrerais pas dans les détails, mais clairement, très éloigné du "salope et conne")

Le corps humain devient de plus en plus une marchandise, une vitrine a conformer et entretenir non pour le bien être mais pour le paraitre.

Pour ma part, du haut de mon mètre 88 et de mes 109 kilos, je n'ai pas de problèmes de santé et ça me va, mais aujourd'hui les jeunes ont l'obligation de se conformer aux standards, peu importe leur personne.

Franchement, regardez dans la rue, les jeunes sont véritablement en uniformes codifié selon leur appartenance sociale, pas une once de personnalité.

Le problème CYRRIC, c'est que l'absence de problème de cadre de vie ne signifie pas l'absence de souffrance. Oh, je connais le sempiternel discours du "Y a pire", ou du "Il a tout pour être heureux". Les pires discours que j'ai jamais entendu d'ailleurs.

Oh, j'imagine qu'il est nettement plus facile de se dire que ce ne sont que des cons, et qu'au final, c'est tant pis pour leur gueule.

Et quelque part, c'est ce que j'ai écrit un jour, je ne peux pas m'empêcher de sourire en pensant à Jessie Slaughter, et désolé pour elle, mais j'ai le droit.

Mais il faut regarder la réalité en face. Notre siècle a compris les erreurs des siècles passé, mais n'a pas trouvé comment les remplacer. Il est aisé de stigmatiser des individus, il est beaucoup plus de comprendre les raisons qui amènent une situation. On peut se retrancher derrière un "ce sont des cons" ou "ils n'ont pas de cerveau".

Mais à mon sens, ça n'est qu'une fuite, et ça ne résoudra rien. C'est un argument d'autorité inutile et foireux. J'ai, parmi mes meilleures amies, une fille qui, à une époque, aurait été incapable, littéralement, de dire "non" sexuellement à un mec. Il aurait été facile de se dire "c'est une conne et une salope". Mais le fait est que c'était nettement plus complexe. (je ne rentrerais pas dans les détails, mais clairement, très éloigné du "salope et conne")

est ce que c'est ce que j'ai dit ? je precisé juste la stupidité en effet de ces personne mais je n'ai pas dit tant mieux pour eux je suis pas du genre a me rejouir du maleur des autres, je ne suis pas quelqu'un d'insensible bien au contraire le je suis beaucoup, mais tout depend des situation d'un point de vue général je dirais plutot que je suis detaché de la misère des autres, c'es très différent.

je disais surtout que faut arrete de leur trouver des excuses beaucoup font ce qu'il font parce que ne veulent pas faire d'effort.

On parle de fillettes, 11,12,13 ans quoi..