Grèce : percée de la coalition de la gauche radicale

La gauche radicale monte et fait monter l'extrême droite en même temps. Faut dire en plus que là bas ils se font pas chier, leur extrême droite c'est direct des nazis, avec un bon de 0,3 à 6 % y a véritablement de quoi s'inquiéter.

Je ne vois pas en quoi la poussée de la gauche radicale fait monter les néo-nazis.

Je pense plutôt que la montée des néo-nazis est la conséquence de l’effondrement conjoint de l’autre parti d’extrême droite : le LAOS.

Rappel moi combien l'Europe a déverser de pognon sur la Grèce les 2 dernières années ?

Autour de 100 000 000 000 € (cent milliards)

Sûr que l'étranglement est manifeste !

L’Europe prête à la Grèce pour que la Grèce puisse rembourser ses créanciers, notamment européens.

La Grèce est réellement étranglée, pas par l’Europe, mais par ses créanciers.

L’Union européenne est complice de l’étranglement ; elle n’en est pas le bénéficaire, mais il y a bien étranglement de la Grèce.

La gauche radicale monte et fait monter l'extrême droite en même temps. Faut dire en plus que là bas ils se font pas chier, leur extrême droite c'est direct des nazis, avec un bon de 0,3 à 6 % y a véritablement de quoi s'inquiéter.

Je ne vois pas en quoi la poussée de la gauche radicale fait monter les néo-nazis.

Je pense plutôt que la montée des néo-nazis est la conséquence de l’effondrement conjoint de l’autre parti d’extrême droite : le LAOS.

Je pense que Syriza est justement un rempart contre les néo-nazis: ce ne sont pas les partis classiques, totalement décrédibilisés, qui vont stopper la progression de ces fous.

Je viens de voir sur ton image que le Laos, un petit parti de droite pro-austérité et les écologistes n'ont pas de sièges dans le parlement.

C'est plutôt une bonne nouvelle, sauf l'absence du Laos qui va renforcer l'Aube dorée en cas de nouvelles élections.

Carnifex

Aux dernières nouvelles le leader du LAOS à rejoint la ND, parti du Centre droit de Samaras.

Dans les débats est évoquée l'idée que la ND et le PASOK s'unisssent pour faire front à la SYRIZA.

Est-ce réalisable ?

Athènes, la capitale, est majoritairement pour la gauche radicale aujourd'hui.

Si il y a à la tête du Parlement une coalition de la ND

avec le PASOK je crains un soulèvement de la population.

Et bien évidemment des affrontements avec le parti néo-nazi Chryssi Avgi qui fait encore des siennes.

Aujourd'hui un néo-nazi du parti à évacué d'un trolley des voyageurs dont la tête ne lui revenait pas.

Les débordements de ce genre ne vont pas arranger la situation.

Quoiqu'il en soit aucun des partis présents au Parlement ne souhaite former une nouvelle "troïka".

Si personne ne trouve de solution les Grecs devront revoter en juin et peut-être revoteront-ils moins par colère ?

La majorité des Grecs a voté pour des partis qui se disent hostile aux plans proposés par l’Union Européenne, et appliqués jusqu’à aujourd’hui.

Pour autant, ces partis ne sont pas forcément hostile à la construction européenne et à la monnaie unique.

La coalition Syriza, notamment, est hostile à la politique capitaliste menée jusqu’à présent, mais n’est par contre pas hostile au maintien dans la zone euro.

Les plans de sauvetage de la Grèce étant les ultimes recours à son maintien dans la zone euro, leur refus revient irrémédiablement à sortir la Grèce de la monnaie unique. Je pense que le parti Syriza le sait très bien mais tempère les conséquences de sa position pour ne pas effrayer.

"Pour l'Allemagne, la sortie de la Grèce de la zone euro n'est plus exclue.

De plus en plus d'homme politiques allemands envisagent l'impensable : la sortie de la zone euro de la Grèce.

L'opposition de gauche déplore le manque de solidarité du gouvernement jugé coresponsable."

Source : EurActiv.fr

Suspendre les aides

Le ministre des Finances bavarois Markus Söder (CSU) a appelé à suspendre immédiatement toutes les aides à la Grèce,

au cas où le pays ne mettait pas en œuvre les réformes exigées par les bailleurs de fonds internationaux.

"Nous voulons un euro fort, stable", a déclaré M Söder jeudi 10 mai.

C'est pourquoi la zone euro "ne devrait pas traîner un patient difficile", a-t-il expliqué.

Merkel coresponsable

Le dirigeant de l'opposition sociale-démocrate Sigmar Gabriel,

a accusé la chancelière Angela Merkel d'être coresponsable du sort de la Grèce.

"Madame Merkel et Monsieur Sarkozy sont allés dans la mauvaise direction jusqu'à présent",

a déclaré celui qui a soutenu François Hollande pendant sa campagne, jeudi 10 mai à l'hebdomadaire "Die Zeit".

"Celui qui refuse la solidarité aux Grecs maintenant,

risque de faire glisser le pays dans des structures autoritaires que nous croyions dépassées depuis longtemps",

a-t-il déclaré, en visant le gouvernement d'Angela Merkel.

Dans les débats est évoquée l'idée que la ND et le PASOK s'unisssent pour faire front à la SYRIZA.

Est-ce réalisable ?

Ils ont gouverné ensemble jusqu’à ces élections. Ils ont presque la majorité des sièges à eux-deux.

Cependant, seule une minorité des suffrages exprimés se sont portés sur eux. La grande majorité des Grecs a voté contre la politique capitaliste des dernières années.

Le problème pour constituer une majorité découle du bonus de 50 sièges pour le parti en tête. C’est la ND qui est en tête, du fait de la fragmentation de la gauche, et qui a donc remporté les 50 sièges bonus. Cette disposition visant à favoriser, j’imagine, la formation d’une majorité, joue ici en sens contraire.

Les plans de sauvetage de la Grèce étant les ultimes recours à son maintien dans la zone euro

Plan de sauvetage de la Grèce ?

Plan de sauvetage des créanciers de la Grèce, à la limite.

Les « plans d’aide » ont pour contrepartie des politique publiques ; c’est là leur objectif.

Ces politiques de privatisations et de baisse des salaires ne sauvent pas la Grèce, elles la coulent.

Elles ne visent ni à « sauver la Grèce », ni à sauver l’euro, mais à promouvoir les intérêts des capitalistes et des possédants en général, tout en sauvegardant, en particulier, les intérêts des créanciers de la Grèce.

La gauche radicale monte et fait monter l'extrême droite en même temps. Faut dire en plus que là bas ils se font pas chier, leur extrême droite c'est direct des nazis, avec un bon de 0,3 à 6 % y a véritablement de quoi s'inquiéter.

Je ne vois pas en quoi la poussée de la gauche radicale fait monter les néo-nazis.

Je pense plutôt que la montée des néo-nazis est la conséquence de l’effondrement conjoint de l’autre parti d’extrême droite : le LAOS.

Je pense que Syriza est justement un rempart contre les néo-nazis: ce ne sont pas les partis classiques, totalement décrédibilisés, qui vont stopper la progression de ces fous.

Je viens de voir sur ton image que le Laos, un petit parti de droite pro-austérité et les écologistes n'ont pas de sièges dans le parlement.

C'est plutôt une bonne nouvelle, sauf l'absence du Laos qui va renforcer l'Aube dorée en cas de nouvelles élections.

Je pense que l'extrême-droite grecque est un rempart contre les types de l'extrême-gauche. Ce ne sont pas les partis classiques, totalement décrédibilisés, qui vont stopper la progression de ces fous.

Je savais que tu avais des sympathies d’extrême-droite, mais de là à défendre les néo-nazis et dire qu'ils sont préférables à l'équivalent grec du FDG...

Ça m'inquiète plutôt.

Dire que l'extrême-gauche peut être un rempart contre l'extrême-droite n'est pas plus intelligent.

Partout où l'extrême-gauche s'est installé, les dictatures ont suivies.

Je ne défend pas des néo-nazis. Je m'oppose à cette vue de l'esprit qui consiste à croire que l'extrême-gauche est fréquentable alors que l'extrême-droite ne le serait pas.

Syriza, comme le front de gauche, est un parti de gauche, et pas d'extrème gauche. Va être temps d'apprendre à faire la différence.

Dire que l'extrême-gauche peut être un rempart contre l'extrême-droite n'est pas plus intelligent.

Partout où l'extrême-gauche s'est installé, les dictatures ont suivies.

Je ne défend pas des néo-nazis. Je m'oppose à cette vue de l'esprit qui consiste à croire que l'extrême-gauche est fréquentable alors que l'extrême-droite ne le serait pas.

Delenda Carthago est

Toute dictature de gauche ou de droite est infréquentable.

L'une ou l'autre ne donne en effet aucune perspective constructive.

Certes, il y a aura toujours des gens qui les remercieront pour leur avoir donné du travail.

Ceci étant, tuer l'avenir en massacrant la jeunesse étudiante grecque, en 1973, par exemple, était inutile.

Le leader de l'Aube Dorée dirait le contraire aujourd'hui vu la nostalgie qu'il porte à la dictature des Colonels.

Le problème avec les dictateurs, qui se veulent toujours être les protecteurs d'un pays et d'un peuple,

est qu'une fois au Pouvoir ils ne lésinent jamais pour massacrer leur propre population.

Il n'y a aucune confiance à avoir aux dirigeants de partis politiques extrêmes.

Leur radicalité est une promesse de violence,

d'ailleurs un des membres de L'Aube Dorée est chanteur dans un groupe nommé " Pogrom"...tout un programme !

En Grèce, la chasse aux "immigrés" se fait couteau à la main, voire même à la tronçonneuse !

Que peut-il advenir d'une telle violence si elle devient légale et qu'elle se généralise ?

Les Allemands, l'Europe, Les Etats-Unis... sont inquiets parait-il,

mais ces effets étaient parfaitement prévisibles en laissant jouer les créanciers fous !

Il n'y a pas de solution envisageable sans heurts pour sortir de la dette.

Le coup de semonce est déjà avancé et la douleur va empirer.

J'espère simplement que ce sera un mal pour un bien...

...un mal qui ne s'éternise pas longtemps histoire que la Grèce et sa population,

en voit la sortie et le bénéfice un jour sans être trop dévastés.

Syriza, comme le front de gauche, est un parti de gauche, et pas d'extrème gauche. Va être temps d'apprendre à faire la différence.

Le Front de Gauche est un parti d'extrême-gauche.

La majorité du FdG est formé par le PCF et autres partis du genre. C'est l'extrême-gauche.

Après, ce n'est pas aussi radical que les bouffons du NPA. Mais ça reste l'extrême-gauche.

Syriza, c'est pareil.

Dire que l'extrême-gauche peut être un rempart contre l'extrême-droite n'est pas plus intelligent.

Partout où l'extrême-gauche s'est installé, les dictatures ont suivies.

Je ne défend pas des néo-nazis. Je m'oppose à cette vue de l'esprit qui consiste à croire que l'extrême-gauche est fréquentable alors que l'extrême-droite ne le serait pas.

Delenda Carthago est

Toute dictature de gauche ou de droite est infréquentable.

L'une ou l'autre ne donne en effet aucune perspective constructive.

Certes, il y a aura toujours des gens qui les remercieront pour leur avoir donné du travail.

Ceci étant, tuer l'avenir en massacrant la jeunesse étudiante grecque, en 1973, par exemple, était inutile.

Le leader de l'Aube Dorée dirait le contraire aujourd'hui vu la nostalgie qu'il porte à la dictature des Colonels.

Le problème avec les dictateurs, qui se veulent toujours être les protecteurs d'un pays et d'un peuple,

est qu'une fois au Pouvoir ils ne lésinent jamais pour massacrer leur propre population.

Il n'y a aucune confiance à avoir aux dirigeants de partis politiques extrêmes.

Leur radicalité est une promesse de violence,

d'ailleurs un des membres de L'Aube Dorée est chanteur dans un groupe nommé " Pogrom"...tout un programme !

En Grèce, la chasse aux "immigrés" se fait couteau à la main, voire même à la tronçonneuse !

Que peut-il advenir d'une telle violence si elle devient légale et qu'elle se généralise ?

Les Allemands, l'Europe, Les Etats-Unis... sont inquiets parait-il,

mais ces effets étaient parfaitement prévisibles en laissant jouer les créanciers fous !

Il n'y a pas de solution envisageable sans heurts pour sortir de la dette.

Le coup de semonce est déjà avancé et la douleur va empirer.

J'espère simplement que ce sera un mal pour un bien...

...un mal qui ne s'éternise pas longtemps histoire que la Grèce et sa population,

en voit la sortie et le bénéfice un jour sans être trop dévastés.

Je ne suis pas favorable à la montée en puissance de tels extrêmes. Quels qu'ils soient.

Je pensais que Siryza était, logiquement, pour une sortie de l'Euro.

Non, ils demandent, comme Mélanchon, un peu de répit au bourreau finalement.

Syriza, comme le front de gauche, est un parti de gauche, et pas d'extrème gauche. Va être temps d'apprendre à faire la différence.

Le Front de Gauche est un parti d'extrême-gauche.

La majorité du FdG est formé par le PCF et autres partis du genre. C'est l'extrême-gauche.

Après, ce n'est pas aussi radical que les bouffons du NPA. Mais ça reste l'extrême-gauche.

Syriza, c'est pareil.

Dire que l'extrême-gauche peut être un rempart contre l'extrême-droite n'est pas plus intelligent.

Partout où l'extrême-gauche s'est installé, les dictatures ont suivies.

Je ne défend pas des néo-nazis. Je m'oppose à cette vue de l'esprit qui consiste à croire que l'extrême-gauche est fréquentable alors que l'extrême-droite ne le serait pas.

Delenda Carthago est

Toute dictature de gauche ou de droite est infréquentable.

L'une ou l'autre ne donne en effet aucune perspective constructive.

Certes, il y a aura toujours des gens qui les remercieront pour leur avoir donné du travail.

Ceci étant, tuer l'avenir en massacrant la jeunesse étudiante grecque, en 1973, par exemple, était inutile.

Le leader de l'Aube Dorée dirait le contraire aujourd'hui vu la nostalgie qu'il porte à la dictature des Colonels.

Le problème avec les dictateurs, qui se veulent toujours être les protecteurs d'un pays et d'un peuple,

est qu'une fois au Pouvoir ils ne lésinent jamais pour massacrer leur propre population.

Il n'y a aucune confiance à avoir aux dirigeants de partis politiques extrêmes.

Leur radicalité est une promesse de violence,

d'ailleurs un des membres de L'Aube Dorée est chanteur dans un groupe nommé " Pogrom"...tout un programme !

En Grèce, la chasse aux "immigrés" se fait couteau à la main, voire même à la tronçonneuse !

Que peut-il advenir d'une telle violence si elle devient légale et qu'elle se généralise ?

Les Allemands, l'Europe, Les Etats-Unis... sont inquiets parait-il,

mais ces effets étaient parfaitement prévisibles en laissant jouer les créanciers fous !

Il n'y a pas de solution envisageable sans heurts pour sortir de la dette.

Le coup de semonce est déjà avancé et la douleur va empirer.

J'espère simplement que ce sera un mal pour un bien...

...un mal qui ne s'éternise pas longtemps histoire que la Grèce et sa population,

en voit la sortie et le bénéfice un jour sans être trop dévastés.

Je ne suis pas favorable à la montée en puissance de tels extrêmes. Quels qu'ils soient.

Moi non plus et force de constater que la Grèce est dans une impasse.

De plus, il y a d'autres menaces à prendre en compte aussi : celle des Balkans au Nord, et celle de la Turquie au Sud.

Le Front de Gauche est un parti d'extrême-gauche.

La majorité du FdG est formé par le PCF et autres partis du genre. C'est l'extrême-gauche.

Ben non :

Le PCF est un parti de gauche : http://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_communiste_fran%C3%A7ais

Le parti de gauche est un parti de gauche (wouhaou) : http://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_de_gauche_(France)

L'extrème gauche, c'est ça : http://fr.wikipedia.org/wiki/Extr%C3%AAme_gauche

Voilà, tu as encore appris un truc aujourd'hui. Bientôt tu seras aussi cultivé que nous.

Plan de sauvetage de la Grèce ?

Plan de sauvetage des créanciers de la Grèce, à la limite.

Les « plans d’aide » ont pour contrepartie des politique publiques ; c’est là leur objectif.

Ces politiques de privatisations et de baisse des salaires ne sauvent pas la Grèce, elles la coulent.

Elles ne visent ni à « sauver la Grèce », ni à sauver l’euro, mais à promouvoir les intérêts des capitalistes et des possédants en général, tout en sauvegardant, en particulier, les intérêts des créanciers de la Grèce.

Plan de sauvetage de la Grèce dans la zone euro. Il eut été mieux pour eux et pour nous qu'ils retournent à leur indépendance monétaire au lieu de nous faire dépenser des milliards pour rien et leur faire démanteler leur État providence pour une lubie européiste.

La crise a l'avantage de montrer les choses en accéléré, car le démantèlement des services publiques, des acquis sociaux et des emplois industriels, c'est ce que nous vivons depuis que l'euro a fait du continent européen une zone de "libre-échange".

"La sortie de la Grèce de l'euro est imminente, c'est une question de jours ou de semaines."

"Si la Grèce quitte l'euro c'est ensuite l'Espagne, et après la France."

http://youtu.be/hFVA8aonJwA

Je ne pense pas qu'on abandonne la Grèce à ses nazis pour tout salut.

J'irais plutôt vers une négociation d'effacement de la dette.

La crise a l'avantage de montrer les choses en accéléré, car le démantèlement des services publiques, des acquis sociaux et des emplois industriels, c'est ce que nous vivons depuis que l'euro a fait du continent européen une zone de "libre-échange".

L’euro a été instauré en 2002. L’union européenne est une zone de libre échange depuis 1993, si ce n’est depuis 1957.

Le démantèlement du secteur public et des droits sociaux remontent au moins au milieu des années 80 (les privatisations commencent en 1986), bien avant l’introduction de l’euro.

C’est taire les véritables raisons et bénéficiaires de ces politiques publiques que de les mettre sur le dos de l’euro.

Le Front de Gauche est un parti d'extrême-gauche.

La majorité du FdG est formé par le PCF et autres partis du genre. C'est l'extrême-gauche.

Ben non :

Le PCF est un parti de gauche : http://fr.wikipedia....e_fran%C3%A7ais

Le parti de gauche est un parti de gauche (wouhaou) : http://fr.wikipedia...._gauche_(France)

L'extrème gauche, c'est ça : http://fr.wikipedia....%C3%AAme_gauche

Voilà, tu as encore appris un truc aujourd'hui. Bientôt tu seras aussi cultivé que nous.

Le Front de Gauche et le PCF sont des partis d'extrême-gauche.

Wikipédia n'est pas franchement une source de premier ordre.

La FdG comme le PCF analysent de façon sympliste la société et réagissent de façon extrêmistes. Les mesures et les "solutions" prônées sont extrêmistes.

Et ce ne serait que des partis de gauche? La bonne blague.

J'espère bien ne jamais devenir aussi cultivé que vous. Le vide intellectuel m'attire peu.