Un jeune canadien vit comme un SDF par choix !

Un jeune et heureux Canadien étudiant la philosophie à l’Université McGill de Montréal a affirmé vivre dans la rue par choix.

Shane Dussault, un étudiant en philosophie à l’Université McGill de Montréal a avancé une thèse particulièrement surprenante : "Avoir un logement où vivre n’est pas un besoin élémentaire, mais simplement un luxe", affirme-t-il. Mais les sans-abris risquent de ne pas apprécier…

Pour confirmer sa théorie, le jeune Canadien a quitté son domicile depuis le mois de juillet de l’année dernière, selon Oddity Central. Il passe ses nuits couvert par un simple sac de couchage, il étudie à la bibliothèque, mange lors des cocktails où il est convié et prend des douches à la salle de gym de son campus. Toutefois, même si il présente ce mode de vie comme un véritable choix, il faut savoir que le jeune homme ne roule pas sur l’or. Les revenus de ses parents ne sont pas suffisants pour satisfaire tous ses besoins et il a dû faire un prêt pour payer son école ainsi que ses livres. Par contre, Shane Dussault a délibérément décidé de ne pas se trouver un emploi.

Le froid du Canada est son pire ennemi

Le SDF aime vivre de cette manière atypique, qui ne lui cause aucun problème. Il aborde sa journée avec insouciance, comme n’importe quel autre étudiant. Il suit les cours avec assiduité et prend des notes à partir de son ordinateur portable. Ensuite, il passe le reste de sa journée à la bibliothèque. Puis, le soir, au lieu de rentrer à la maison comme tous les autres, il s’installe dans son sac de couchage, sur le campus, dans un endroit qu’il a voulu garder secret pour des raisons de sécurité. Les agents de sécurité ont été aimables avec lui, lui donnant même des conseils sur les endroits où il pouvait cacher ses effets personnels durant la journée. Ces derniers se composent simplement de son ordinateur portable, d’un sac d’outils, d’une bouilloire, de vivres et d’un sac de toilette. Il porte la même chemise tous les jours et se vêtit d’un chandail en laine quand il fait froid.

L’apprenti philosophe veut montrer que l’on peut garder confiance et espoir en la vie même avec peu de moyens. Il n’exclut pas un jour de vivre dans sa propre maison, mais se contente pour l’instant de ce que lui offre le monde. Les autres étudiants de son université sont aimables avec lui : "Je pense que la plupart des gens sont tolérants", a t-il confié. Son seul ennemi est le froid en hiver à Montréal qui est particulièrement intense. Mais l’homme dit s’en être bien accommodé, notamment grâce à son duvet et son tapis de sol imperméable.

Source : http://www.buzzinti.com/faits-divers/insolite/un-jeune-canadien-vit-comme-un-sdf-par-choix.html

Voilà pourquoi je n'ai jamais été fan de philo j'aimerai voir ses cours au gars .....et son prof a décidé de dormir dehors au fond du fosse septique ?? car comme je le pense les profs de philo ne supportent pas d'avoir comme modèle un ..... élève.

Jedino, quel est votre propre point de vue sur cette information ?

 sdf par choix  alors qu il y a  des gens qui dorment dehors est eux s ets pas leur choix 

C'est son droit de le penser , mais bon ... je reste perplexe

Jedino, quel est votre propre point de vue sur cette information ?

Disons que son action peut être aussi mal que bien perçu. D'un côté, cela pourrait revenir à dire "Vous n'avez pas de logements, mais regardez, si j'en ai pas besoin, de quoi vous plaigniez vous?".

Maintenant, le fait qu'il fasse des études peut, dans sa tête, être une forme de militantisme contre la démonstration que l'aisance matérielle actuelle n'est pas une nécessité absolue. Et, qu'importe les raisons X ou Y englobant l'histoire, c'est en ce sens que j'aime le prendre : un questionnement, quelque part, contre l'aisance matérielle, ici le logement, dont on pourrait peut-être se passer.

La raison pour laquelle j'ai mis l'article n'est pas tant de dire "posséder c'est mal". Juste que je trouvais l'idée assez singulière pour mériter la création d'un sujet, bien qu'apparemment, l'entière volonté puisse être remise en question du fait de la pauvreté de sa famille (là encore, selon la personne qui a rédigé l'article, donc aucune certitude).

Personne n'a pensé au fait que cet étudiant cherche plutôt à se faire connaitre, son action aurait elle réussit ??, tout comme une grève de la faim devant une institution gouverneu mentale.,?

Peut être une préparation de thèse sur l'aliénation de l'homme devant le confort d'une société consumériste?

pour l'instant son action se situe au canada ouf, c'est vrai on a déjà garou et céline dion... faudrait pas pousser

Personne n'a pensé au fait que cet étudiant cherche plutôt à se faire connaitre, son action aurait elle réussit ??, tout comme une grève de la faim devant une institution gouverneu mentale.,?

L'impact sur sa vie m'importe peu : je ne vais pas suivre sa personne pour ça. Mais, c'est sûr que c'est tout à fait possible. Plus grand ne chose ne m'étonnerait à l'heure actuelle.

En revanche, l'éventuel message, même incorrect avec sa propre intention, m'intéresse, rien que parce que ça permet de réfléchir sur le sujet en question.

Allez, bonne soirée à vous!

Intéressant. Merci du partage

9a fait parler , c'est bien.

Il croit que c'est son choix.

Lara fabian a fait le test aussi un jour, ça lui a couté sa carrière car les français l'on prit comme une indécence sans nom !

Etrange démarche...

Si elle est volontaire...

Il n'est pas le seul...

Mais les autres que je connais ne font pas d'études...

Ils ont tout quitté suite à un gros "bug" dans leur vie...

Séparation, deuil, problème de travail,...

Et ils ont vu la rue comme un espace où disparaitre...

Pour certains, cela n'a duré qu'un temps, trois ne veulent pas intégrer le système...

Refus d'avoir un toit pour être libre...

Pour eux, accepter un logement, un travail n'est pas de l'ordre du possible...

L'alcool les a aussi conduit sur ce chemin...

Et les empêche aussi de reprendre pieds...

Enfin pour un aucune dépendance...

Les gens glissent parfois sans se rendre compte dans une vie marginale...

D'autres le font volontairement...

Et je ne sais pas si ils continuent par envie ou par obligation...

Ils se disent libres, anarchistes,...

Je ne sais pas ce qui fait qu'ils n'ont plus l'envie de vivre comme le commun des mortels...

Pourtant, ils vivent en société, entre eux, recréant une ébauche de vie sociale avec ses lois et ses enjeux... Et ils vivent en partie de la société par la mendicité et par les aides financières...

Deux refusent les aides institutionnelles et ne comptent que sur la solidarité des gens pour vivre...