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souffrir


lounalou

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Membre, Posté(e)
lounalou Membre 4 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

souffrir, c'est aussi espèrer ne plus souffrire, il y a de l'espoir,et tout a gagner , ne pas souffrir,c'est caindre de souffrir, c'est craindre de souffrir et d'avoir tout

a perdre , c'est aussi risquer de s'ennuyer, la souffrance occupe. qu'en penssez-vous?

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Invité Uranie
Invités, Posté(e)
Invité Uranie
Invité Uranie Invités 0 message
Posté(e)

Je pense que c'est un raisonnement assez absurde et illogique, mais chacun sa façon de voir les choses.

Être conscient de ne pas pouvoir tomber plus bas signifie plus désespoir que satisfaction de ne pouvoir qu'aller mieux.

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Membre, 81ans Posté(e)
Chauxneuve25 Membre 2 387 messages
Baby Forumeur‚ 81ans‚
Posté(e)

" Soyez béni, mon Dieu, qui donnez la souffrance

comme divin remède à nos impuretés

Et comme la meilleure et la plus pure essence

Qui prépare les forts aux saintes voluptés!

Bénédiction Baudelaire

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Membre, Posté(e)
lounalou Membre 4 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

la souffrance est une particule normal, elle est le prix a payer pour vivre et elle fait partie des lois de la nature

souffrir signifie que l'on vit , je ne crois pas que l'on puisse parler mais bien plutot de survie , les conséquences de

la souffrance se présentent en 2 axes

l'axe soi autrui , souffrance est unique , solitude de souffrire, blessure et enfer de souffrir

l'axe agir , limpuissance a dire , l'impuissance a faire , l'impuissance a raconter

telle est la réaliter a la souffrance.

<br style="mso-special-character: line-break;"><br style="mso-special-character: line-break;">

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Membre, 35ans Posté(e)
Ved Membre 3 967 messages
Baby Forumeur‚ 35ans‚
Posté(e)

Souffrance est pour moi synonyme d'attachement.

Attachement à un espoir, attachement à certains désirs frustrés, certaines attentes qui n'ont pas obtenues de réponses

Attachement à certaines personnes, qui ont - malgré tous nos efforts - toute leur liberté d'être (ou presque)

Tu dis vrai : elle fait partie des lois de la nature, mais il y a mal être et souffrance :

La souffrance est aujourd'hui ce qui conditionne les élans de notre société, car chacun cherche d'une manière ou d'une autre à fuir ou à extérioriser de manière négative la souffrance qu'il ressent au lieu de la vivre comme il le devrait...

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Membre, Posté(e)
lounalou Membre 4 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

je suis d'accord avec toi souffrance synonyme d'attachement , mais c'est vrai mal être et souffrance , douleur, a ne pas confondre ,

.

le terme douleur a des effets ressentis localisés dans des organes particuliers du corps ou le corps entier.

le terme souffrance à des effects ouvertssur la réflexivité, le langage, le rapport a soi , le raport au sens , au questionnement

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Membre, 57ans Posté(e)
Genesiis Membre 3 206 messages
Forumeur balbutiant‚ 57ans‚
Posté(e)

"suffer well" DM

"Puissiez vous vivre des temps intéressant" malédiction Confuséenne.

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Invité aintiemlaligent
Invités, Posté(e)
Invité aintiemlaligent
Invité aintiemlaligent Invités 0 message
Posté(e)

souffrir, c'est aussi espèrer ne plus souffrire

La je comprend comme on dit plus l' entrainement est dur plus la guerre est facile. L' entrainement doit être dur mais intelligent.

ne pas souffrir,c'est caindre de souffrir,

La je comprend il ne force pas ,il ne vas pas au dela de ses limites par peur d' avoir mal. Je trouve que c' est un probléme de nos jours

c'est craindre de souffrir et d'avoir tout à perdre

La je pense qu'il manque un bout de phrase :"ne rien faire c'est craindre de souffrir et d' avoir tout à perdre". c'est compréhensible aussi.

c' est aussi risqué de s'ennuyer ,la souffrance occupe

Pour certains c' est vrai ,pour moi non. Par contre la souffrance physique me permet de moins me focaliser sur des pensées qui me font souffrir.

J' ai bien compris ou pas ?:mouai:

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 48 051 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

la souffrance est une particule normal, elle est le prix a payer pour vivre et elle fait partie des lois de la nature

souffrir signifie que l'on vit , je ne crois pas que l'on puisse parler mais bien plutot de survie , les conséquences de

la souffrance se présentent en 2 axes

l'axe soi autrui , souffrance est unique , solitude de souffrire, blessure et enfer de souffrir

l'axe agir , limpuissance a dire , l'impuissance a faire , l'impuissance a raconter

telle est la réaliter a la souffrance.

<br style="mso-special-character: line-break;"><br style="mso-special-character: line-break;">

Vois-tu, si tu dis à Ved de ne pas confondre douleur et souffrance, pour moi, ici-même, tu fais exactement la même erreur.

La souffrance n'a rien de "normal". Ce n'est pas un prix quelconque nécessaire à la vie. La douleur, si tu veux, pas la souffrance.

Si on dit que la mère "souffre" de ta mise au monde, le terme "avoir mal" me semble plus juste puisque, comme tu le soulèves, la souffrance est relative plutôt à un état d'esprit, alors que la douleur est plutôt physique.

Je suis globalement en accord avec ton discours, malgré quelques nuances, comme le chipotage (à tort?) que je viens de faire.

Mais, tu sembles vouloir légitimer la souffrance. Pourquoi?

La souffrance est-elle vraiment nécessaire à la vie, ou disons, à l'être humain, à défaut de vraiment savoir pour les autres?

Ne peut-on pas vivre dans la difficulté sans souffrir?

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Membre, canal de Lumière, 46ans Posté(e)
Immateriel Membre 1 136 messages
46ans‚ canal de Lumière,
Posté(e)
souffrir, c'est aussi espèrer ne plus souffrire, il y a de l'espoir,et tout a gagner , ne pas souffrir,c'est caindre de souffrir, c'est craindre de souffrir et d'avoir tout

a perdre , c'est aussi risquer de s'ennuyer, la souffrance occupe. qu'en penssez-vous?

Pourquoi est-ce que "forcément" cesser de souffrir serait équivalent à craindre la souffrance ?

Personnellement j'ai cessé de souffrir et de me martyriser, parce que j'ai compris que ça ne servait à rien, que c'était contre-productif, et que j'avais le choix. Alors j'ai choisi de ne plus souffrir, mais pas par crainte, pas en enfouissant une souffrance "sous le tapis", mais tout simplement en ayant un état d'esprit différent et avec lequel la souffrance n'est plus compatible :bo:

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Membre, ...... Phoenix ..... Une cendre déterminée, 53ans Posté(e)
Amazones Membre 13 439 messages
53ans‚ ...... Phoenix ..... Une cendre déterminée,
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Bonjour lounalou et à tous,

De tes idées en sont bonnes mais où cela me dérange, c'est où tu invoques que "la souffrance occupe", en rien, elle fait de cela mais bien en déstabilise et de tous, n'y arrive pas à sans sortir. Souffrir de l'instant est un poison en qui l'humain peut s'en consumer mais dès stabilisation ou bonheur de s'en débarrasser, elle peut etre d'une satisfaction à mieux se connaitre ou à comprendre de la cause. Souffrir fait partie de la vie, à nous à prendre conscience qu'elle est de notre allier pour se considérer humain et non de s'en heurter, pour en etre insensible.

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Membre, 35ans Posté(e)
Ved Membre 3 967 messages
Baby Forumeur‚ 35ans‚
Posté(e)
Souffrir de l'instant

Comment peut-on souffrir de l'instant (psychologiquement j'entends) ?

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Invité aintiemlaligent
Invités, Posté(e)
Invité aintiemlaligent
Invité aintiemlaligent Invités 0 message
Posté(e)

peut être souffrir de vivre chaque seconde de plus.

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Membre, ...... Phoenix ..... Une cendre déterminée, 53ans Posté(e)
Amazones Membre 13 439 messages
53ans‚ ...... Phoenix ..... Une cendre déterminée,
Posté(e)
souffrir, c'est aussi espèrer ne plus souffrire, il y a de l'espoir,et tout a gagner , ne pas souffrir,c'est caindre de souffrir, c'est craindre de souffrir et d'avoir tout

a perdre , c'est aussi risquer de s'ennuyer, la souffrance occupe. qu'en penssez-vous?

Pourquoi est-ce que "forcément" cesser de souffrir serait équivalent à craindre la souffrance ?

Personnellement j'ai cessé de souffrir et de me martyriser, parce que j'ai compris que ça ne servait à rien, que c'était contre-productif, et que j'avais le choix. Alors j'ai choisi de ne plus souffrir, mais pas par crainte, pas en enfouissant une souffrance "sous le tapis", mais tout simplement en ayant un état d'esprit différent et avec lequel la souffrance n'est plus compatible :bo:

Bonjour Immatériel,

Ne penses-tu pas que tu t'en fais perçois ion, vu que la souffrance est un sentiment où ne ne sommes pas vraiment maître de l'instant mais bien d'un raisonnement de son acte. Néanmoins, que cela doit être bénéfique d'en arriver à se contrôler et de pouvoir en faire un choix. Mais peux-tu être déçu ou malheureux, sans y mettre souffrance, ça, j'en suis moins persuader, en tous les cas, par son début. Tu peux te maitriser, certes, mais cela voudrait dire que tu prends conscience de cette souffrance qui s'y trouve, où sinon, où est l'intérête de s'en poser réflexion. On ne peut cesser de souffrir, tout être souffre par une cause ou un fait ; après maitre de soi, de la canaliser ou d'en faire allier, pour être ce que l'on mais à la base, elle y est présente.

« C'était cela ta douleur: rien qu'une sourde conscience, éparse et compacte à la fois, d'être un point de néant exposé au soleil, toutes ses chairs ouvertes à l'abjection du destin, toutes ses plaies séchant sous le dard d'aubes mauves, inhumaines disais-tu, et pourtant. Pourtant humaines simplement, dans la juste mort des plaies où s'abritent les tâtonnements (...) Le paysage - à l'écart - préparait d'autres définitions, irréductibles: écailles de remords, inscription de l'ombre, distillation du sang des orages. »

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Membre, ...... Phoenix ..... Une cendre déterminée, 53ans Posté(e)
Amazones Membre 13 439 messages
53ans‚ ...... Phoenix ..... Une cendre déterminée,
Posté(e)
Souffrir de l'instant

Comment peut-on souffrir de l'instant (psychologiquement j'entends) ?

Bonjour Ved,

Pour ma part, la souffrance de l'instant, est la prise de conscience où on ne maitrise plus de ces pensées et que l'on se voit impuissant de ce que l'on devrait faire pour être en paix de cela.

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Membre, canal de Lumière, 46ans Posté(e)
Immateriel Membre 1 136 messages
46ans‚ canal de Lumière,
Posté(e)

Ca demande un certain travail sur soi pour comprendre la démarche spirituelle qui permet d'éliminer la souffrance, ainsi que tout ce qui est négatif en soi.

Déjà en ayant tout d'abord une attitude qui nous permette de n'avoir aucun regret : être franc, sincère, faire le bien, aimer.

Ensuite, en ayant la "foi" : tout est parfait, bien plus parfait que nous pourrions l'imaginer. Ne pas "croire" en une injustice fondamentale, en un fatalisme existentiel, comme certaines idéologies nous l'imposent. Cela passe par la transcendance de la matérialité, mais aussi par le fait de constater (et je dis bien constater, et ne pas "croire") que la vie terrestre n'est qu'un passage.

Comprendre que le négatif ne peut pas engendrer du positif. C'est comme de l'eau froide que l'on lance sur une situation, sur les autres ou sur soi : ça ne peut pas apporter le confort de la chaleur. Eliminer donc les excès émotifs comme la colère, la peur, etc...

Enfin, résoudre nos problèmes intérieurs en démêlant les noeuds mentaux qui sont encore présent dans notre psyché. Pour cela, il suffit d'observer objectivement nos expériences, que ce soient des échecs ou des réussites, et comprendre ce qu'elles avaient à nous apprendre. On apprend souvent beaucoup plus des échecs, mais dans les réussites également, en analysant nos réactions. Il est contre productif de se projeter sur l'émotivité que nous avions dans le passé, car depuis, nous ne sommes plus la même personne. Chaque jour, chaque minute, nous sommes différents et nous avons donc le choix de NE PAS rester triste, de NE PAS rester en colère, de pardonner, d'avoir confiance et foi, d'aimer le monde et les autres.

Ces démarches conjointes permettent d'accéder à une stabilité émotive qui au bout d'un moment, ne peut plus être ébranlée.

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Membre, 35ans Posté(e)
Ved Membre 3 967 messages
Baby Forumeur‚ 35ans‚
Posté(e)
Pour ma part, la souffrance de l'instant, est la prise de conscience où on ne maitrise plus de ces pensées et que l'on se voit impuissant de ce que l'on devrait faire pour être en paix de cela.

Je pense que pour être en paix de cela, il faut vivre justement dans l'instant, où la souffrance n'est plus.

Eliminer donc les excès émotifs comme la colère, la peur, etc...

Peux tu approfondir là dessus, car je sais bien que tu ne parle pas de les refouler (or le mot éliminer renvoie davantage à "éliminer de la conscience" qu'à éliminer réellement)

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Invité aintiemlaligent
Invités, Posté(e)
Invité aintiemlaligent
Invité aintiemlaligent Invités 0 message
Posté(e)

Ca demande un certain travail sur soi pour comprendre la démarche spirituelle qui permet d'éliminer la souffrance, ainsi que tout ce qui est négatif en soi.

Déjà en ayant tout d'abord une attitude qui nous permette de n'avoir aucun regret : être franc, sincère, faire le bien, aimer.

Ensuite, en ayant la "foi" : tout est parfait, bien plus parfait que nous pourrions l'imaginer. Ne pas "croire" en une injustice fondamentale, en un fatalisme existentiel, comme certaines idéologies nous l'imposent. Cela passe par la transcendance de la matérialité, mais aussi par le fait de constater (et je dis bien constater, et ne pas "croire") que la vie terrestre n'est qu'un passage.

Comprendre que le négatif ne peut pas engendrer du positif. C'est comme de l'eau froide que l'on lance sur une situation, sur les autres ou sur soi : ça ne peut pas apporter le confort de la chaleur. Eliminer donc les excès émotifs comme la colère, la peur, etc...

Enfin, résoudre nos problèmes intérieurs en démêlant les noeuds mentaux qui sont encore présent dans notre psyché. Pour cela, il suffit d'observer objectivement nos expériences, que ce soient des échecs ou des réussites, et comprendre ce qu'elles avaient à nous apprendre. On apprend souvent beaucoup plus des échecs, mais dans les réussites également, en analysant nos réactions. Il est contre productif de se projeter sur l'émotivité que nous avions dans le passé, car depuis, nous ne sommes plus la même personne. Chaque jour, chaque minute, nous sommes différents et nous avons donc le choix de NE PAS rester triste, de NE PAS rester en colère, de pardonner, d'avoir confiance et foi, d'aimer le monde et les autres.

Ces démarches conjointes permettent d'accéder à une stabilité émotive qui au bout d'un moment, ne peut plus être ébranlée.

il y a du bouddhisme la dedans. à la base le bouddhisme c' est la recherche des causes de la souffrance humaine.

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Membre, ...... Phoenix ..... Une cendre déterminée, 53ans Posté(e)
Amazones Membre 13 439 messages
53ans‚ ...... Phoenix ..... Une cendre déterminée,
Posté(e)

Je suis en admiration de ce que tu es, mais laisse-moi le doute de la capacité humaine d'en arriver à ce résultat. Mais si cela en est le cas, j'en suis heureuse pour celle qui en fait de cette maitrise. Pour ma part, j'ai beau être stable mais j'en évite pas la souffrance que l'on m'inculque, cependant je fais tout pour m'en débarrasser et avancer.

Chapeau Immateriel ;)

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