Découverte d'un traitement miracle contre l'Alcoolisme.

**Découverte d'un traitement miracle contre l'Alcoolisme.

http://www.20minutes.fr/sante/866252-traitement-miracle-contre-alcoolisme-tout-comprendre-baclofene

C'est pour la Grenouille Verte

Génial ce médoc, un des effets secondaires est la faiblesse musculaire ! tu bois pas d'alcool et tu titubes et tombe pareil - drôlement encourageant pour les candidats au sevrage total

mais bon au moins tu n'auras pas de torticolis !

l'alcoolisme est un problème qui a probablement ses racines et dans l'adn et dans le mal-être - je demande à voir les résultats sur les patients, et les résultats au bout de pas mal d'années

On prend le medoc avec un bon verre de vodka ?

J'espère que cela pourra aider. Mon traitement, ça était : "C'est la bouteille ou moi et tes gosses". J'ai choisi la seconde solution. Il y a sept ans.

Bravo !

respect..

Espérons que ce soit efficace. Néanmoins, il ne faut pas se dire qu'on peut boire comme un trou parce que de toute manière il y a un médicament.

ou comment devenir accro a un medoc par remplacement? jreste dubitative

ou comment devenir accro a un medoc par remplacement? jreste dubitative

Pour les accros à l'héroine on file bien du subutex... ça ne les sevre pas et pourtant ... on fait une sorte de transfert de dépendance moins dangereuse... pas de risque d'overdose, de transmission du sida via les aiguilles ou autres comportements à risque ! (bon ça c'est si le traitement est bien suivi et qu'il n'y a pas de rechute, mais c'est pas forcément le cas...!)

Mais pour le baclofène je ne sais pas !

Le baclofène est pour moi un piège, car la dépendance est également très forte, contrairement a ce que beaucoup de médecins affirment en France.

http://baclofene.wordpress.com

Le mieux c'est de prendre une bonne baffe morale dans la gueule et de prendre des tranquillisants sûres (Serestat). Une copine vient de sortir de sa seconde cure à l'hôpital en deux mois. Sa mère lui a dit qu'elle ne serait pas là pour la troisième cure. Ca l'a refroidi. On la contacte demain pour fixer une date pour siffler du café.

C'est pas évident mais on peut y arriver.

Huit patients traités sur dix rechutent rapidement.

Le baclofène est pour moi un piège, car la dépendance est également très forte, contrairement a ce que beaucoup de médecins affirment en France.

Vous avez pris du baclofène pour écrire de telles inepties ?

Le baclofène ne provoque pas de dépendance.

Quant au lien vers le site que vous mettez en avant, pas un messages depuis 2011, est ce vraiment sérieux ..

Bref, en effet on peut aussi choisir de prendre du seresta et attendre de mourir tranquillement, il y a sans doute moins de risques.

Le baclofène ne provoque pas de dépendance.

La dépendance est parfaitement et clairement indiqué, même sur wikipédia (qui pourtant est régulièrement sujet a des interventions de l'industrie pharmaceutique qui s'en sert de page de pub) :

http://en.wikipedia.org/wiki/Baclofen

baclofène (liorésal)

"...L’arrêt du baclofène peut être associée à un syndrome de sevrage qui ressemble au sevrage aux benzodiazépines et au sevrage d’alcool . Les symptômes de sevrage sont plus probables si le baclofène est utilisé pour de longues périodes (plus de 2 mois) et peut survenir à partir de doses faibles ou élevées. La sévérité du sevrage du baclofène dépend de la vitesse à laquelle le baclofène est interrompu. Ainsi pour minimiser les symptômes de sevrage du baclofène, la dose doit être diminuée lentement lors de l’arrêt thérapie au baclofène. L’arrêt brutal est le plus susceptible d’entraîner des symptômes de sevrage sévères. Symptômes aigus de sevrage peut être arrêté en recommençant le baclofène. [ 22 ]

Les symptômes de sevrage peuvent inclure des hallucinations auditives , hallucinations visuelles , hallucinations tactiles , délire , la confusion , l’agitation , le délire , la désorientation , la fluctuation de la conscience, l’insomnie , des étourdissements , nausées , sensation d’évanouissement , de l’inattention, troubles de la mémoire, troubles de la perception, prurit / démangeaisons, l’anxiété , dépersonnalisation , hypertonie , hyperthermie , troubles de la pensée formelle , la psychose , manie , troubles de l’humeur, l’agitation et les troubles du comportement, tachycardie , des convulsions , des tremblements , une dysautonomie , hyperpyrexie , l’extrême rigidité musculaire ressemblant syndrome malin des neuroleptiques et de rebond de la spasticité..."

et qui dit symptome de sevrage dit obligatoirement dépendance.

de prendre des tranquillisants sûres (Serestat).

Les drogues de la famille des benzodiazépines agissent sur les mêmes recepteurs que l'alcool, et ils sont donc totalement déconseillées, voir a proscrire chez la personnes ayant des antidécédents d'alcoolisme.

C'est indiqué sur de nombreuses notices.

Hors, le seresta est une benzodiazépines :

http://nonauxbenzodiazepines.wordpress.com

Le mieux c'est de prendre une bonne baffe morale dans la gueule et de prendre des tranquillisants sûres (Serestat). Une copine vient de sortir de sa seconde cure à l'hôpital en deux mois. Sa mère lui a dit qu'elle ne serait pas là pour la troisième cure. Ca l'a refroidi. On la contacte demain pour fixer une date pour siffler du café.

C'est pas évident mais on peut y arriver.

Huit patients traités sur dix rechutent rapidement.

Plus facile à dire qu'à faire. C'est comme toute addiction, il y a un gros travail psy derrière à faire........ être motivé ne suffit pas toujours.... certains ont aussi biologiquement tendance à être dépendant... on est pas tous foutu pareil aussi...

Le syndrome de sevrage n'a rien à voir avec le pouvoir addictogène d'un médicament.

Devenir dépendant d'un médicament c'est être obligé d'augmenter les doses au fil du temps pour avoir le même effet.

Or avec le baclofène, une fois la bonne dose atteinte, les personnes diminuent la dose tout en conservant le même effet positif, c'est à dire pas de reprise d'alcool.

Pour la simple raison que le baclo a cassé la dépendance.

Nous avons réalisé plusieurs enquêtes à ce sujet.

Les résultats sont clairs

Dose seuil moyenne : 170mg/j (400 personnes)

Dose résiduelle moyenne : 102mg/j répartis ainsi selon l'année de début du traitement

121 mg/j - 2012

112 mg/j - 2011

96 mg/j - 2010

77 mg/j - 2009

Quant au syndrome de sevrage, oui il existe, ce qui n'empêche pas les médecins réticents à ce traitement d'interrompre brutalement le baclo en cas par ex d'hospitalisation non prévu.

Puis de dire que les hallucinations qui en résultent sont dus au sevrage alcoolique ...

Depuis septembre 2012 un ex (34ans aujourd hui qui picole ses deux bouteilles de rose au minimum depuis ses 15 ans) prend du baclofene (36 cachetons/jour).... Euh...tres sceptique quand meme car il boit tjrs autant.... Moi je dis, de la volonté et une psychothérapie avec!!!

"Quelles sont les principales critiques apportées contre ce traitement?

Malgré les études essentiellement américaines présentées par Olivier Ameisen, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a estimé en juin dernier qu’à l’heure actuelle, «le bénéfice de cette molécule n’est pas démontré et que ses effets secondaires à haute dose sont inconnus», rapporteLe Parisien ce mardi. Le quotidien cite notamment une étude indienne évoquant «l’apparition de troubles psychotiques» après un mois de traitement. Ceux-ci ont été confirmés ce mardi lors de la conférence par la mère d’un jeune homme dépendant au cannabis et traité au Baclofène. Le cardiologue s’est contenté de lui répliquer que son fils courait d’autant plus de risques en continuant à consommer du cannabis."

Ton médicament, c'est de la merde, comme ceux utilisés en psychiatrie

Ya que la médecine holistique, homéopathique et chinoise qui marchent

HEUREUSEMENT que les indiens sont plus conscients que ces idiots d'européens