L'avortement a de lourdes répercussions sur la santé mentale

Ca reste néanmoins traumatisant.

Qu'en sais-tu? L'as-tu vécu personnellement?

Sûrement traumatisant pour certaines et libérateur pour d'autres.

Ne généralise pas et ne te mets pas à la place des principales intéressées.

Il a pourtant raison.

Un traumatisme est un ensemble de troubles provoqués par une émotion, un choc, une blessure, plus ou moins violente.

Les femmes ayant traversé cette épreuve en ont un souvenir à vie. Elles vivent avec et le mettent de côté comme toute douleur, mais c'est une épreuve difficile !

Il suffit d'en discuter avec elles pour en être persuadés !

Qu'en sais-tu? L'as-tu vécu personnellement?

Sûrement traumatisant pour certaines et libérateur pour d'autres.

Ne généralise pas et ne te mets pas à la place des principales intéressées.

Libérateur ça n'empèche pas le traumatisme non plus .... Sur ce bonne nuit. Mais bon.... Même si je l'avais vécu tu me dirait "ne prend pas ton cas pour une généralité" Excuses moi de prendre en compte les inconvénients de ce qui te semble justifié

Si tu l'avais vécu personnellement, oui il serait plus légitime et motivé pour toi d'en parler.

Moi sur le sujet vasectomie, je ne me permettrais pas de juger ceux qui l'ont connu, seulement de débattre.

L'IVG dans sa grande majorité est thérapeutique

J'ai de très très gros doutes sur cette allégation.

Tant que des gens considéreront l'avortement comme une solution de facilité, il sera difficile d'envisager un soutien post-ivg qui effectivement peut s'avérer nécessaires pour pas mal de jeunes filles.

C'est d'ailleurs à mon sens le problème. L'ivg a été tellement revendiqué par les femmes, que cela a été pris comme une volonté de le faire et non comme une contrainte.

Les personnes qui le font par facilité, ne sont pas vraiment conscientes ou trop jeunes pour comprendre, mais je pense quand même qu'un avortement même s'il est choisi est bien souvent fait dans une certaine contrainte et que plusieurs le vivent assez mal.

Thérapeutique : par voie médicamenteuse, en ambulatoire, sans anesthésie, sans passage au bloc et sans curetage.

Concernant es IVG médicamenteuses, j'ai trouvé ces chiffres :

Oui 49% il y a 4 ans et en 2011 ?

Pour l'IVG non médicamenteuse c'est parce que le nombre de semaines est avancé, la plupart du temps par le fait qu'il devient très difficile de trouver un centre ou hôpital IVG.

Oui 49% il y a 4 ans et en 2011 ?

Pour l'IVG non médicamenteuse c'est parce que le nombre de semaines est avancé, la plupart du temps par le fait qu'il devient très difficile de trouver un centre ou hôpital IVG.

Tout à fait.

Voir les sujets :

• IVG : un droit menacé
  
• IVG en danger
  

Je ne suis pas certaine que l'IVG médicamenteuse soit plus facile à vivre qu'un curetage à l'hôpital... parce que ça revient quand même à faire une fausse couche toute seule chez soi... et qu'on n'a pas forcément envie de voir ça.

Toujours est-il que quelles que soient les méthodes, l'aspect physique est pris en charge (et tant mieux), en revanche on occulte l'aspect psychologique. Certaines le vivront bien et n'auront pas besoin d'aide... mais en propose-t-on vraiment à celles qui pourraient en avoir besoin ? Est-ce qu'il ne vaut mieux pas proposer quelque chose qui se révèlera accessoire, plutôt que de laisser se débrouiller seules celles qui auront besoin de soutien pour avancer ?

Et puisqu'on est sur les nombres, je vais me permettre un léger HS : plus de 200 000 IVG/an alors qu'on a supposément accès à pas mal d'informations sur la sexualité et la contraception, je trouve ça énorme, y'a quand même un souci quelque part en amont...

Bref, y'a encore de la marge pour progresser...

C'est malheureux à constater et à dire, mais il semblerait que le monde s'abêtissent. Si si !

Là où nous faisions attention il y a 10 ou 20 ans, MST et autres, pas mal s'en tapent à présent.

On devait savoir lire à l'époque !

Plus étonnant, au moindre bobo, on entend parler de mises en place de cellules psychologiques ... remontons 10 ou 20 ans en arrière !!

Rien à faire on était moins co .. comment dire ,

Oui 49% il y a 4 ans et en 2011 ?

Les chiffres ne sont pas connu. Je ne vois pas comment tu pourrais affirmer quoi que ce soit sur l'année courante.

Pour l'IVG non médicamenteuse c'est parce que le nombre de semaines est avancé, la plupart du temps par le fait qu'il devient très difficile de trouver un centre ou hôpital IVG.

Tout à fait.

Voir les sujets :

• IVG : un droit menacé
• IVG en danger

Je n'ai pas parlé de l'année en cours mais au moins plus récent , genre 2009 c'est mieux que 2007 non?

Tu deviens de plus en plus laxiste dans tes recherches, du coup ta crédibilité, coac, elle en prend un sacré coup dans les palmes.

Allez c'est Noël un ptit lien, instruits toi. Chiffres IVG

Non, non, ne me remercie pas, j'insiste....

Manhattan..; : Même si je suis plutôt d'accord avec l'ensemble de vos écrits, sur le fond, vous avez écrit UNE ENORME BETISE !!! :

Thérapeutique : par voie médicamenteuse, en ambulatoire, sans anesthésie, sans passage au bloc et sans curetage : PAS DU TOUT

Cela n'a rien a voir avec les modalité de procédure ! Une IVG thérapeutique peut être décidé jusqu'à 5 mois de grossesse (peut être plus, je ne sais plus,, en cas de trisomie 21), s'il est diagnostiqué une maladie ou un handicap grave pour l'enfant, ou menaçant la mère et/ou l'enfant.

ATTENTION, il faut faire très attention à ce que l'on donne comme info sur ce genre de forume, surtout sur ce type de sujet. Merci

Som28 : "Thérapeutique" voulant dire, entre autre' médicamenteux, je ne vois pas où j'ai dit une bêtise.

Je pense plutôt que c'est vous qui n'avez pas compris , ça arrive c'est humain.

Je faisais simplement le distingo entre les 2 sortes d'avortement : l'IVG médicamenteuse uniquement pour le délai de 12 semaines (pas d'intervention invasive), et l'ivg avec passage au bloc, anesthésie et curetage pour les hors délais.

sauf qu'il y a une terminologie médicale, et ce n'est pas pour les chiens. Il existe des avortements chimiques ou chirurgicaux, mais l'avortement thérapeutique désigne tout autre chose. Vous ne pouvez employer ce terme n'importe comment, car il signifie quelque chose de très précis : une interruption de grossesse pour raison médicale.

J'ai lu dans ce forum que vous demandiez à d'autres forumeurs d'être précis et de ne pas parler de ce qu'il ne connaissent pas; Appliquez le à vous même.

De plus, un IVG reste un IVG et les conséquences psychologiques restent assez similaires. C'est très compliqué d'inventorier les complications et les conséquences des iVG médicamenteux puisque, par définition, les femmes restent à la maison. Mais je pense qu'i y a des risque psychatriques non anodins. cela dit, ce n'est qu'une pure hypothèse (sauvage...) de ma part et il n'existe pas d'étude randomisé, à ma connaissance, sur le sujet.

Étude

L'avortement ne cause pas de problème de santé mentale

Agence QMI 22/12/2011 17h32

© Shutterstock

Subir un avortement n'accroît pas les risques des femmes de souffrir de problèmes de santé mentale, notamment de dépression et d'anxiété, selon une étude réalisée par des chercheurs britanniques. Les scientifiques soulignent toutefois que les risques reliés à une grossesse non désirée sont bel et bien réels. « Nos résultats indiquent que les femmes qui ont une grossesse non désirée ont besoin de soutien et de soins, car les risques de problèmes de santé mentale augmentent, et ce, quelle que soit l'issue de cette grossesse », expliquent les chercheurs du National Collaborating Centre for Mental Health, qui ont passé en revue les données de 44 études.

Ils ont constaté que la moyenne d'anxiété et de dépression chez les femmes en général est de 11 à 12 %, mais que ce taux est trois fois plus élevé chez celles qui ont eu des grossesses non désirées. Le fait que ces femmes aient subi un avortement ou non ne semble pas avoir d'incidence sur leur santé mentale.

Les conclusions de ces travaux ne minimisent toutefois pas l'impact que peut avoir un avortement sur la santé mentale d'une femme. Elles indiquent que chaque femme réagit à sa façon selon les circonstances. «Certains éléments peuvent constituer des facteurs de risque pour la santé mentale dans le cadre d'un avortement, par exemple la pression du conjoint à se faire avorter, ou les préjugés de la femme vis-à-vis de l'avortement», ajoutent les chercheurs.

http://tvanouvelles....222-131711.html

Personnellement, je préfère me fier à ce genre de source qu'à celles de "Dieu tv".

@Lucy van pelt

Certains éléments peuvent constituer des facteurs de risque pour la santé mentale dans le cadre d'un avortement, par exemple la pression du conjoint à se faire avorter, ou les préjugés de la femme vis-à-vis de l'avortement», ajoutent les chercheurs.

http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/lemonde/archives/2011/12/20111222-131711.html

Je suis assez d'accord avec ça, je pense que s'il y a une contrainte, une pression importante... La femme aura beaucoup plus de difficultés à s'en remettre que si elle choisit d'avorter parce qu'elle ne se sent pas prête pour diverses raisons.

Personnellement, je préfère me fier à ce genre de source qu'à celles de "Dieu tv". du British Journal of Psychiatry