Front de Gauche : un élu occupe un logement social

Bha hélas un de plus il y en a dans tous les partis.

Mais un chose a savoir Les plafonds de revenus, pour être éligible à un logement social à Paris, se situent, pour un couple, entre 19 614 euros et 42 962 euros selon la catégorie de logement.

Combien Corbière a t'il de personne a charge pour savoir si il est vraiment hors de clous ?????.

le pouvoir est maudit ! c 'est pour ça que je suis anarchiste !!!!!

tu peux en rire ou peux hurler à l' escroc napo ! ta secte a fait déjà fait dans le même genre ( c 'est à dire profiter de son statu politique ! ex bruno mégret !! au hasards !) et recommencera dès qu 'ils auront un brin de pouvoir !!

C'est sur que le couple Maigret a fait fort,il a même été condamné pour ça.

http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20061018.OBS6086/le-couple-megret-condamnea-un-an-d-ineligibilite.html

et Môssieur Chevènement , il vit en HLM et possède des logements qu'il met en location.

c'est y pas révoltant ?

Chevènement payait lui l’impôt sur le revenu c'est encore pire.

Mais c'est reprendre aux riches pour redonner aux pauvres non? J'ai pas bien compris le socialisme ou du moins ceux qui le représentent? Enfin je critique mais à droite ils sont pas mieux ^^

Moi aussi je veux un logement hlm de luxe, et j'ai les revenus qui vont avec ...

En habitant dans un logement social, il et plus proche du peuple.

Je suis très proche du peuple alors.

Un récent rapport de la Chambre régionale des comptes (CRC) juge que "le taux de rotation structurellement faible à Paris" est en parti dû à des occupants "'aisés" que "le coût des logements sur le marché privé" incite "à ne pas quitter leur logement social", laissant des demandeurs plus modestes chercher un logement dans le privé.

Ce n'est hélas pas nouveau.

Un récent rapport de la Chambre régionale des comptes (CRC) juge que "le taux de rotation structurellement faible à Paris" est en parti dû à des occupants "'aisés" que "le coût des logements sur le marché privé" incite "à ne pas quitter leur logement social", laissant des demandeurs plus modestes chercher un logement dans le privé.

Une preuve que l'immobilier à Paris est impayable.

Alors que faire?

-Etre plus sévère dans l'octroi des logements sociaux.

Par exemple, dans la liste d'attente, pénaliser ceux qui ont un passé criminel.

-Construire des nouveaux logements sociaux verts et créer des quartiers 100 % écologiques qui ont prouvé en Suède par exemple leur efficacité pour éradiquer la criminalité.

La baisse de prix des loyers grace à une plus forte offre, sera un énorme bénéfice pour la collectivité, bénéfice valant l'investissement.

- Taxer très fortement les logements vides

- Faire travailler les chomeurs de longue durée dans la rénovation de logements vétustes.

Comme ça, les logements seront à nouveau habitables.

-Taxer plus fortement ceux qui possèdent au moins 3 logements.

Un récent rapport de la Chambre régionale des comptes (CRC) juge que "le taux de rotation structurellement faible à Paris" est en parti dû à des occupants "'aisés" que "le coût des logements sur le marché privé" incite "à ne pas quitter leur logement social", laissant des demandeurs plus modestes chercher un logement dans le privé.

Vous voulez vous attaquer aux classes moyennes ? Vous voulez les empêcher de garder leurs logements sociaux ?

Ce n'est hélas pas nouveau.

Encore un gauchiste qui demande aux classes moyennes de payer pour les pauvres.

Je suis d'accord pour être sévère dans l'octroi des logements sociaux mais pénaliser les criminels plus qu'il ne le sont déjà (par la prison) est dangereux car ça augmenterai le taux de récidive vu que la récidive est plus importante en cas de non réinsertion sociale et avoir un logement est déjà un pas pour se réinsérer.

Le problème de nos villes française viens aussi je pense de la difficulté réglementaire à faire des travaux (permis de construire et réglementations sur les aménagements autorisés ou pas). Par exemple à Bordeaux, dans mon appartement, le propriétaire a fait des travaux de rénovation il y a deux ans, il a mis du double vitrage aux fenêtres. Le problème est qu'il n'a pas changé le cadre des fenêtres, ce qui fait que dans ma chambre il y a des courants d'airs. Il y a un mois j'ai demandé à l'agence pourquoi ces fenêtres n'avaient pas été changées (vu qu'elles sont nases), elle m'a répondu que vus qu'il y a des règles en terme d'urbanisme, il fallait uniquement un certain type de fenêtre (qui sont très spécifiques), en changer deux couterais environ 3000€. Mon logement me coute donc bien plus cher car je dois surchauffer pour avoir une température décente. Ces réglementations sont donc plutôt pénalisante pour les revenus faibles qui doivent subir la vétustés des installations.

Encore un gauchiste qui demande aux classes moyennes de payer pour les pauvres.

:gurp:

Faut arrêter la fumette toi.

Je suis très proche du peuple alors.

Mais ne faites-vous pas partie du peuple ?

et Môssieur Chevènement , il vit en HLM et possède des logements qu'il met en location.

c'est y pas révoltant ?

Il ne vit pas dans une HLM, mais dans une ILN (IMMEUBLE A LOYER NORMAL). Complétement différent.

Aidenbaum (qui est régisseur de ces ILN), qui l'a lancé là-dessus, s'est vite fait clouer le bec et on ne l'a plus entendu par la suite.

Il paie plus de 1700 euros par mois et son loyer sera bientôt de 1950 euros par mois du à une clause. (promulguée par son détracteur lui-même parce que "prix du marché" !)

1900 euros par mois pour une HLM... ?

Il habite un immeuble qui n'a rien de flamboyant, ni de cossu, au 4ème étage sans ascenseur.

A noter que Chevènement aurait pu toucher sa petite retraite de député (vu le nombre d'années de cotiz') qui atteint la somme de son salaire de sénateur, mais il ne la touche pas (pas cumulable, et il ne s'en plaint pas).

Je doute qu'a 1900 euros il ai piqué la place a un RMIste.

Un récent rapport de la Chambre régionale des comptes (CRC) juge que "le taux de rotation structurellement faible à Paris" est en parti dû à des occupants "'aisés" que "le coût des logements sur le marché privé" incite "à ne pas quitter leur logement social", laissant des demandeurs plus modestes chercher un logement dans le privé.

Vous voulez vous attaquer aux classes moyennes ? Vous voulez les empêcher de garder leurs logements sociaux ?

Des occupants "aisés" vous appelez ça la classe moyenne ? moyenne supérieure alors...