Situation de la Gréce ou la réalité en pleine figure

L'analyse de Rue 89:

Pour tenter de corriger la situation, le FMI et une partie des pays européens exigent un redoublement de l'austérité budgétaire (plus d'impôts, moins de dépenses). Mais cette méthode ne fonctionne pas : en 2010, le tour de vis budgétaire a représenté 5,7% du PIB, aggravant la récession (le PIB a reculé de 4,5%). Or, seule la croissance apportera les recettes fiscales suffisantes pour rembourser la dette.

Les marchés savent tout cela. Et coupent donc tout crédit à la Grèce. Le FMI et les pays européens doivent donc se substituer à eux, en catastrophe. D'où la crise actuelle.

2010: 12% de chômeurs

2011: 15,8%

Angela Merkel, qui a récemment subi quelques défaites électorales, est sous la pression des électeurs allemands : ceux-ci en ont marre de payer pour les Grecs ou pour leurs créanciers, les banques privées.

Bizarrement, les électeurs français semblent plus insouciants sur le sujet.

http://www.rue89.com...r-213837?page=1

et toujours plus d'austérité

ARRETEZ , ARRETEZ , PITIE POUR LES GRECS

ASSEZ DE CETTE POLITIQUE DEBILE ET EN DEPIT DU BON SENS

PITIE POUR LA GRECE

ET DIRE QU'ILS SONT EN TRAIN DE CONDUIRE L'ITALIE SUR LE MEME CHEMIN AVEC LES MEMES RECETTES

A noter que des elections en italie inquiétent déjà les investisseurs (qu'ils se rassurent , on les inquiétera pas , surtout pas)

saint thomas,

L’austérité est effectivement ce qui nous pend tous au nez d’unefaçon ou d’une autre.

La vraie question est qu’elle austérité doit on appliquer oupeut on supporter collectivement?

1) L’austérité radicale pour un pays, une institution, unindividu, c’est la faillite pure et simple, comme elle peut l’être aux USA envers certaineslocalités qui sont gérés temporairement par un juge. Toute l’économie s’écroule,justifiant le licenciement d’un coup detous les fonctionnaires ou les employés de la fonction publique.

2) L’austérité aménagé c’est une attitude moins violente quela faillite radicale, qui tend à modifier dans la durée, certains comportementschroniques qui sont à l’origine des déséquilibres économiques fondamentaux.

Effectivement, on peut à l’infini s’interroger sur la pertinencedes ces deux méthodes, ce que je sais c’est que la faillite, c’est l’applicationd’une austérité ultime et beaucoup plus injuste que celle qui consiste à semettre temporairement sous le contrôle d’un tuteur, comme peut l’être le FMI, en essayant de redresser la situation avecautant de rigueur qu’il est possible.

Mais l’austérité aménagée ne garanti pas nécessairement quel’austérité radicale ne puisse pas survenir, c’est ce que nous apprendrons dansles prochaines années.

Avec toutes les conséquences de blocage, d’instabilité, deconflits ouverts que cette situation favoriserait pour les pays, notamment en Europe,mais pas seulement.

Bonjour, la Grèce ou quand les impôts que vous devez payer correspondent à votre salaire ! Que vous reste t-il pour manger ?

Quand la loi grecque dit formellement impôts non payés = la prison ! Comment avoir une chance de les payer si vous y êtes enfermé ?

Le plan d'austérité est une folie :

Plus de faillite

Plus de chômage

Plus de violence : agression, vol à main armé, meurtre !

Plus de suicide

Plus de sans domicile

Comment rembourser une dette si les citoyens perdent tout ? En vendant un organe ?

La Grèce vend déjà une partie de ces terres, à qui appartiendra t-elle à ce rythme là ? Faudra t-il changer son nom comme la rayer de la carte ?

Le monde perd la tête avec l'argent ! Cette histoire de dette et de remboursement est un gouffre, une ruine pour tout le monde, une ineptie au regard des vies qu'il en coûte !

Les Allemands en ont marre certes mais ce n'est pas au peuple Grec qu'il faut en vouloir, c'est aux élus qui ont pris la décision de faire entrer la Grèce dans la communauté européenne !

Le plan d'austérité est une machine à broyer qui était prévu depuis très longtemps ! Et c'en est d'autant plus dégueulasse !

saint thomas,

L’austérité est effectivement ce qui nous pend tous au nez d’unefaçon ou d’une autre.

La vraie question est qu’elle austérité doit on appliquer oupeut on supporter collectivement?

1) L’austérité radicale pour un pays, une institution, unindividu, c’est la faillite pure et simple, comme elle peut l’être aux USA envers certaineslocalités qui sont gérés temporairement par un juge. Toute l’économie s’écroule,justifiant le licenciement d’un coup detous les fonctionnaires ou les employés de la fonction publique.

2) L’austérité aménagé c’est une attitude moins violente quela faillite radicale, qui tend à modifier dans la durée, certains comportementschroniques qui sont à l’origine des déséquilibres économiques fondamentaux.

Effectivement, on peut à l’infini s’interroger sur la pertinencedes ces deux méthodes, ce que je sais c’est que la faillite, c’est l’applicationd’une austérité ultime et beaucoup plus injuste que celle qui consiste à semettre temporairement sous le contrôle d’un tuteur, comme peut l’être le FMI, en essayant de redresser la situation avecautant de rigueur qu’il est possible.

Mais l’austérité aménagée ne garanti pas nécessairement quel’austérité radicale ne puisse pas survenir, c’est ce que nous apprendrons dansles prochaines années.

Avec toutes les conséquences de blocage, d’instabilité, deconflits ouverts que cette situation favoriserait pour les pays, notamment en Europe,mais pas seulement.

L'austérité toute seule ne méne à rien , le peuple grec en est l'illustration parfaite (18 mois d'austérité pour mener à plus d'austérité et de chômage , difficile ensuite d'aller demander à un peuple plus d'austérité quand ce peuple voit que non seulement cette austérité ne les a pas mené à une économie meilleure mais à une aggravation de celle-ci)

On va pas tarder à mieux comprendre avec l'austérité qui se prépare en France et ce que ça va donner au final sur notre économie avec la monnaie unique et les décisions de Bruxelles

C'est quand on a le nez dedans qu'on pige où est le souci malheureusement

On ne vend pas, tout est importé, pas d'emplois, les jeunes sans travail, qu'est-ce qu'il faut faire ?

J'achète mes pulls à 20€, d'où viennent-il à votre avis ?

Tout le monde fait les soldes, pourquoi ?

Récession, Chine dans l'Europe et ça date, qu'ont fait les précédents gouvernements, Chirac par exemple ? 30 ans qu'on importe taiwannais, japonnais.

Je suis frappée par les amènagements dans ma région, comment peut-on avoir autant de chômeurs et un pays aussi beau ?

En Grèce, la côte devait être belle mais pour qui ? 20% de chômeurs, pas mal non ?

Il y a une solution. Qu'on nous supprime.

l’austérité ne résout rien car en effet cela réduit les dépense, mais réduit encore plus les rentrées donc la dette augmente.

On a la Grèce qui n'est toujours pas guérie, on lui a juste donner des médocs de quoi tenir un moment, mais l’Italie arrive dont l'impacte sera largement plus fort que celui de la Grèce dont nos banques sont plus exposées, l’Irlande, mais après viendra le tour de l'Espagne en fin d'année/ début d'année 2012.

l' euro est mort de plus en plus d'économiste ose le dire, plus top on s'organisera pour une sortie en douceur mieux cela sera.

Conséquences de la crise en Grèce :

- On invente de nouvelles charges. Ainsi, pour déposer une plainte à la police, il faut payer sur le champ 150 euros.

La victime doit sortir son porte-monnaie si elle veut que sa plainte soit prise en compte.

Dans le même temps, les policiers sont obligés de se cotiser pour faire le plein de leurs voitures de patrouille.

- Un nouvel impôt foncier, associé à la facture d’électricité, a été créé.

S’il n’est pas payé, l’électricité du foyer est coupée.

- Cela fait plusieurs mois que les écoles publiques ne reçoivent plus de manuel scolaire.

L’Etat ayant accumulé d’énormes dettes auprès des maisons d’édition, les livraisons ne sont plus effectuées.

Les élèves reçoivent désormais des CD et leurs parents doivent acheter des ordinateurs pour leur permettre de suivre les cours.

On ignore complètement comment les écoles – surtout celles du Nord – vont régler leurs dépenses de chauffage.

Et ce n'est pas que cela, la liste est longue ! Mais où vont-ils ???

et oui le rêve européen, et dire que certaines personnes osent dire que l'on a sauvé les grecs

La réalité en pleine figure la voici : On va droit à un " génocide financier"

PS: article très intéressant pour ne pas le reciter et donner une chance supplémentaire aux lecteurs de le lire. merci

et oui le rêve européen, et dire que certaines personnes osent dire que l'on a sauvé les grecs

Oui, un cauchemar ! Personne ne sauve personne c'est clair, le but de l'Europe étant de sauver de l'argent, non des vies humaines.

C'est à se demander à quoi sert-il aujourd'hui de travailler ? Les salaires ne suffisent plus !

très bon article, bien mis en silence par les grands médias !

la version officiel: la Grèce est sauvé l'euro va bien !

Les grec vont de plus en plus se tourner dans le radicalisme, que se soit contre eux même (suicide) mais aussi contre leurs voisins. A la place des élites grecs je me ferais du soucis, lorsque l'on pousse un homme au point ou il n'a plus rien a perdre, il faut être préparé aux pires

en meme, l'UE impose de tels sacrifices aux Grecs et en plus ils piétinent la souveraineté nationale.

Pas étonnant que quand Merkel et Sarko interdisent ce référendum et disent que les Grecs sont irresponsables, que les Grecs se sentent humiliés.

Le Traité de Versailles dans les années 30 perçu comme un diktat de l'étranger, me fait penser aux plans "d'aide" actuels imposés par l'UE aux Grecs.

Les 2 sèment la pauvreté et une haine de l'étranger.

très bon article, bien mis en silence par les grands médias !

la version officiel: la Grèce est sauvé l'euro va bien !

Les grec vont de plus en plus se tourner dans le radicalisme, que se soit contre eux même (suicide) mais aussi contre leurs voisins.

A la place des élites grecs je me ferais du soucis, lorsque l'on pousse un homme au point ou il n'a plus rien a perdre, il faut être préparé aux pires

Le pire oui, et il déjà présent en Grèce où un homme surendetté s'est immolé !

Cet ultime acte de désespoir prend de l'ampleur dans le monde, c'est dire à quel point les peuples sont poussés sur le bord du précipice et dans l'indifférence des élus !

Si travailler ne sert plus à rien et voter non plus que reste t-il ?

Pendant ce temps le FMI accorde un prêt de 133,6 millions de dollars à l'Afghanistan.

Dans ce ciel sombre une note amusante : Passage de témoin

Nouvel article du journal Londonien "Financial Times" : Les technocrates à l'épreuve de la politique

Des carrières chez Goldman Sachs

Les technocrates ont tendance à afficher des parcours étonnamment semblables. Comparons les curriculums vitæ de MM. Monti, Papademos et Mario Draghi, qui vient d’être placé aux commandes de la Banque Centrale Européenne. Tous trois sont des économistes formés aux Etats-Unis. Tous trois ont occupé des postes à responsabilité dans la bureaucratie de l’Union Européenne.

Monti et Draghi ont l’un et l’autre travaillé chez Goldman Sachs. Des carrières qui ne peuvent que satisfaire les marchés et ulcérer les antimondialistes. Or, l’Europe, et avec elle le monde, a toutes les raisons d’espérer que MM. Monti et Papademos accomplissent des miracles. Car si les technocrates n’y parviennent pas, les extrémistes, eux, rongent leur frein en coulisses.

En Grèce, près d’un quart de l’électorat se dit désormais en faveur de formations de l’extrême gauche, et ils sont en outre 8 % à soutenir la droite nationaliste. Collectivement, les extrêmes politiques du pays rassemblent aujourd’hui davantage de voix que l’un ou l’autre des deux grands partis traditionnels.

Après la démission forcée de Silvio Berlusconi, la confusion va probablement régner pendant un moment dans la politique italienne. Mais le pays a accouché par le passé de puissants mouvements communistes et d’extrême droite. Pendant ce temps, Umberto Bossi, de la Ligue du Nord, s’affirme ravi de rentrer dans l’opposition – d’où il pourra invectiver contre l’UE, les immigrés et les Italiens du Sud.

La radicalisation de la politique

Cette radicalisation de la politique est aussi perceptible dans les pays créditeurs de l’Europe que chez les débiteurs. Marine Le Pen, du Front National d’extrême droite, aura un impact considérable sur la présidentielle de 2012 en France, même s’il est peu vraisemblable qu’elle l’emporte. Aux Pays-Bas, le gouvernement s’appuie aujourd’hui sur les voix du Parti pour la Liberté de Geert Wilders, en deuxième position dans les sondages. En Autriche, le Parti de la Liberté talonne le Parti populaire au pouvoir. En Finlande, les Finlandais [ex-Vrais Finlandais], formation nationaliste, continuent de gagner du terrain et sont largement crédités de plus de 20 % dans les sondages.

en meme, l'UE impose de tels sacrifices aux Grecs et en plus ils piétinent la souveraineté nationale.

Pas étonnant que quand Merkel et Sarko interdisent ce référendum et disent que les Grecs sont irresponsables, que les Grecs se sentent humiliés.

Le Traité de Versailles dans les années 30 perçu comme un diktat de l'étranger, me fait penser aux plans "d'aide" actuels imposés par l'UE aux Grecs.

Les 2 sèment la pauvreté et une haine de l'étranger.

Papademos en Gréce est aux ordres

il essaie actuellement de faire ce que Bruxelles et les technocrates lui demandent : faire signer par les partis un accord écrit comme quoi ils acceptent l'aide

Le nouveau Premier ministre grec Lucas Papadémos a déclaré lundi que le déficit budgétaire du pays atteindrait 9% du produit national brut en 2011, soit un niveau supérieur aux objectifs précédemment visés. Rester dans la zone euro est "notre seul choix", a-t-il souligné devant le Parlement, exhortant les dirigeants politiques à soutenir un engagement écrit concernant le nouveau plan d'aide international de 130 milliards d'euros issu de l'accord du 27 octobre à Bruxelles.

http://fr.news.yahoo.com/lucas-papadémos-maintien-grèce-zone-euro-seul-choix-183318765.html

La population n'en veut pas à une immense majorité, pauvres grecs

On leur dit déjà que la date de leur election , fixée en février , est provisoire , du provisoire qui pourrait durer vu ce qu'ils ont fait pour le référendum

On apprend que les législatives italiennes , fixées en 2013 , inquiétent déjà....les marchés (entendu à la radio ce matin en allant bosser) mais ce ne sont pas les marchés qui ont mis d'autorité Monti en Italie que je sache , ce ne sont pas les marchés qui passent par les parlements quand les peuples ne donnent pas la bonne réponse

Justement voici un article du Daily Telegrah : Bienvenue dans l’Union forcée

La France et l’Allemagne sont pour beaucoup dans la décision du Premier ministre grec Georges Papandréou de renoncer à un référendum sur le plan d’aide de l’UE et du FMI à la Grèce. Une démonstration de force brutale qui n’augure rien de bon pour l’égalité au sein de l’Union.

Cela n’aura pas surpris grand monde : la proposition, par Georges Papandréou, d’organiser un référendum sur le dernier accord d’aide européenne à la Grèce n’aura tenu que 72 heures, avant d’être poussée aux oubliettes sous la pression des Allemands et des Français.

...Mais que dire de l’Allemagne ? Respecte-t-elle ses propres obligations, elle ? Elle continue d’exiger que la monnaie unique, et la Banque centrale européenne qui en assure la gestion, soient mises au service de ses propres intérêts économiques, et non de ceux de l’ensemble de la zone euro.

Tous les grands et beaux mots sur le noble projet européen volent ainsi en éclats face aux dures réalités du pouvoir. Si l’Allemagne peut exercer sa souveraineté nationale, c’est parce qu’elle possède le poids économique nécessaire pour le faire. Les pays périphériques comme la Grèce et l’Irlande, eux, sont balayés d’un revers de la main.

Un autre article du journal Grec Eleftherotyria : La Grèce et l’Italie, destins parallèles

A Athènes comme à Rome, la crise a balayé les dirigeants élus pour les remplacer par des technocrates. Leur mission : la mise en oeuvre de plans d’austérité exigés par Bruxelles et par les marchés et que leurs prédécesseurs n’ont pas pu appliquer.

GRECE : l'extrême droite au pouvoir !

Makis Voridis (LAOS), nouveau ministre des Transports au sein du cabinet euromondialiste de Lucas Papademos

L’entrée de l’extrême droite grecque au gouvernement euromondialiste d’Athènes n’est pas une « excellente nouvelle »,

n’en déplaise à ceux qui ont la mémoire courte…

Rappel :

Grèce : Le LAOS, allié objectif des nantis (Nations Presse Magazine n°8, octobre 2010, p. 10)

Dicté depuis Bruxelles par les technocrates euro-mondialistes à une Grèce économiquement exsangue, un plan de rigueur fut concocté dans l’urgence par le gouvernement socialiste de George Papandreou.

Imposant une nette diminution du salaire des fonctionnaires, une fiscalité accrue pour l’alcool et le tabac,

une législation drastique pour la retraite, ce plan d’austérité pénalise lourdement les classes moyennes et populaires.

Les nantis restent épargnés dans un pays plombé par sa prodigalité et l’évasion fiscale.

Lors du vote au Parlement le 6 mai 2010, 172 députés ont approuvé ce plan (PASOK, LAOS) et 121 l’ont rejeté (conservateurs, communistes et gauche radicale).

Dirigé par Georgios Karatzaferis, le LAOS s’est comporté en allié objectif du PASOK, incarnation caricaturale du clientélisme, du népotisme et de la corruption en matière politique et économique.

Afin de justifier ce vote attendu impatiemment par tous les lobbies euro-mondialistes, Karatzaferis avait cyniquement déclaré qu’il n’y avait pas d’autre solution !

Lors du scrutin législatif du 4 octobre 2009, le LAOS (Alerte populaire orthodoxe) avait obtenu 5,63 % et 15 des 300 sièges au Parlement monocaméral.

Les deux eurodéputés du LAOS siègent au sein de l’eurogroupe ELD (Europe, Libertés, Démocratie) au côté de l’ineffable vicomte de Villiers, des pseudo-souverainistes britanniques de l’UKIP, des euro-régionalistes atlantistes de la Ligue du Nord et des islamophobes occidentalistes du Parti du peuple danois.

Une seule solution : la faillite.

En effet, il faudrait de la croissance, mais c'est impossible, car pour la croissance il faudrait emprunter, et qui serait assez fou pour prêter de l'argent à la Grèce ?

Regardons la réalité en face : les grecs sont foutus.

D'autres solutions sont-elles réalisables ?

Journal El País, Madrid : L’exemple latino-américain

Journal DIE PRESSE, Vienne : Le sauveur chinois est lui aussi endetté décidément !

Une seule solution : la faillite.

En effet, il faudrait de la croissance, mais c'est impossible, car pour la croissance il faudrait emprunter, et qui serait assez fou pour prêter de l'argent à la Grèce ?

Regardons la réalité en face : les grecs sont foutus.

L'Argentine était en faillite en 2001 , 10 ans plus tard , toute seule , aprés s'être debarrassé en priorité du FMI (qui les plombait avec ses exigences) , nationaliser les banques , dévaluer , elle fait 6% de croissance mais a beaucoup d'inflation

Maintenant , si on veut payer in éternum pour la Gréce , faut que ce pays reste dans l'euro , avec une monnaie pareille , sa dette ne peut qu'enfler aussitôt effacée , ce yo yo ferait rire s'il ne fallait pas en pleurer avec des dirigeants de l'UE complétement dingues

Et qu'on vienne pas me dire qu'enfoncer toujours plus profondément les grecs et de la faute de son peuple parce que c'est faux

En Gréce les mesures d'austérité non accompagnées par d'autres mesures (mesures interdites par Bruxelles) ont dopé le marché noir , les gens veulent survivre

En Italie , ça pourrait bien faire pareil

Papademos part à Bruxelles chercher des financements

Le nouveau Premier ministre grec va tenter de débloquer une nouvelle tranche d'aide sans laquelle son pays devra se mettre en situation de défaut en décembre.

Les Grecs s'attendent à un retour aux Drachmes avant 2012 !

Pendant ce temps Bruxelles cherche et tente de proposer de nouvelles solutions :

Crise de la dette souveraine : Bruxelles s'apprête à se prononcer en faveur d'euro-obligations

La Commission européenne étudie trois scénarios pour la mise en commun de la dette des pays de la zone euro.

Le lancement "d'eurobonds", ou euro-obligations - une mesure à laquelle l'Allemagne est fermement opposée -

pourrait "rapidement atténuer la crise de la dette souveraine actuelle", et "renforcer la résistance" de la zone euro à de futures crises,

juge la Commission européenne dans un document qu'elle doit publier la semaine prochaine.