Jugée pour alcool au volant, elle arrive ivre au tribunal

[JUSTIFIER]

    L'affaire qu'a eue à traiter le tribunal correctionnel de Toulouse mercredi est malheureusement habituelle. La prévenue l'était beaucoup moins… Florence, agent de service de 43 ans, était jugée pour avoir conduit malgré 2,16 grammes d'alcool dans le sang et l'annulation judiciaire de son permis de conduire. Elle avait été interpellée à Toulouse, en pleine nuit, par des policiers alors qu'elle essayait de garer sa voiture aux deux roues crevées.
    
    À l'audience, la prévenue n'avait pas un « comportement normal », elle avait notamment des difficultés à articuler, et le procureur de la République n'a pas manqué de le remarquer sous entendant qu'elle était « ivre »…


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Quand est-ce que la justice reconnaitra l'alcoolisme comme une maladie et non un vice ?

Au point d'arriver pétée comme un coin devant un juge...

Quand on est interpellé pour alcoolémie, déjà, il y a une garde à vue (on sait tous plus ou moins ce que c'est, dans le froid, à dormir -ou pas- sur un banc en béton, avec une tartine à moitié rassie comme repas le lendemain midi, obligation de faire ses besoins la porte ouverte, sur demande, enfermé dans 3 mètres carrés avec l'impression qu'une minute est une heure etc...), déjà, ça doit donner matière à reflechir, l'électrochoc.

Ensuite, il est proposé au contrevenant un programme pour se soigner, si besoin. Et là, elle en a besoin !

Chose qu'elle a du zapper ou refuser.

Le programme est gratuit. Dans un institut spécialisé. Il y a une convocation obligatoire (je me souviens plus du nom de la structure) devant un type qui insiste pour vous faire soigner et ne vous lâche pas avant que vous donniez votre accord. C'est un psychologue compétent sur la question.

Arriver devant le juge sans n'avoir fait aucun effort sur ce qui est reproché.

Si elle avait montré un suivi sur papier, du remord, et montré qu'elle avait compris.

La c'est carrément de la défiance envers le juge. Quand on sait que les sanctions sont de plus en plus sévères pour ces infractions, c'était pas la meilleure stratégie à adopter.

Il y a un minimum de décence à avoir. Lorsqu'on est poursuivi pour alcoolémie au volant, venir saoule au procès, c'est le comble.

L'alcoolisme est à la fois un vice (puisque c'est choisi) et une maladie (puisqu'une fois qu'on a fait le choix de boire, c'est trop tard, on est coincé).

Au moins elle est restée naturelle devant le juge! XD

:smile2: :smile2:

Il y a un minimum de décence à avoir. Lorsqu'on est poursuivi pour alcoolémie au volant, venir saoule au procès, c'est le comble.

L'alcoolisme est à la fois un vice (puisque c'est choisi) et une maladie (puisqu'une fois qu'on a fait le choix de boire, c'est trop tard, on est coincé).

Ho tu sais la décence et l'excès d'alcool ne vont pas vraiment de paire ...

A un certain stade , l'alcoolique n'a plus la notion de la bien séance et hors mit ce fait la maladie a le dessus sur lui .

Rien donc d'étonnant que cette dame se soit présentée saoule , la provocation est aussi un aspect de l'alcoolisme ..

Elle a bu pour se donner le courage d'aller au tribunal ...

Et elle boira sans doute pour oublier qu'elle y est allée ....

Quand est-ce que la justice reconnaitra l'alcoolisme comme une maladie et non un vice ?

j'espère pour elle que le juge sera dans cet état d'esprit..

Quand est-ce que la justice reconnaitra l'alcoolisme comme une maladie et non un vice ?

On ne condamne pas une personne parce qu'elle est malade et c'est à double tranchant .

la pauvre elle a du ce dire un peu plus ou un peu moins !!!