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Chômage.

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JFVP

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Invité David Web
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Invité David Web
Invité David Web Invités 0 message
Posté(e)
Or les produits exportés sont des produits industriels à faible main d'eouvre "ajoutée", mais à forte valeur technologique. En d'autres termes le succès d'un produit à l'exportation tient principalement à son originalité, sa qualité, sa technologie avancée et moins a son prix.

Non désolé, Bibificotin, c'est pas tout à fait le cas : Renault fait du bas prix en "exportant" ses véhicules c'est dans les pays en voie de développement qu'il fait son business, suffit de voir la dégringolade en ce moment pour les ventes en France !

Tout le monde en parle mais personne n'analyse vraiment les chiffres et la stratégie...

PSA minimise ses pertes en Europe parcequ'il a choisi un "rapport intermédiaire" et ça ne l'empêche pas de faire plus de 40 % de son chiffre d'affaire à l'extérieur de l'eurore...

Après c'est sûr que le marché du luxe est en plein essort et qui dit luxe ne dit pas forcément "haute technologie" !

Pour le reste je suis assez d'accord avec toi, on se souvient que la politique de déflation des années 80 à conduit à la ruine de beaucoup d'entreprises avec des taux d'intérêts à faire rebuter tout investissement.

Modifié par David Web
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Membre, 80ans Posté(e)
bibifricotin Membre 12 828 messages
Mentor‚ 80ans‚
Posté(e)

Renault était sensé vendre ces voitures dans les pays à faible niveau de vie, ce qui en parti est vrai.

Par contre je remarque qu'une partie de la population française rejoint un peu ces pays, d'où la nécessité de voitures "low cost."

Par contre, je remarque que l' Air Bus continue à se vendre malgré un euro qui a grimpé de 0,80 à 1,40 de parité avec le dollar !!!

Par ailleurs l'exemple de l' Allemagne confirme aussi mes affirmations.

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Invité David Web
Invités, Posté(e)
Invité David Web
Invité David Web Invités 0 message
Posté(e)

Pour Air bus, ce qui fait son succès c'est un avion qui consomme 25 % d'énergie en moins que le modèle de Boeing.

Pour l'Allemagne la baisse du marché automobile en Europe c'est - 0,3 % autant dire rien...

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Invité Caminde
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Invité Caminde
Invité Caminde Invités 0 message
Posté(e)

Oui, y a qu'à voir le tas de voitures neuves qui circulent

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Membre, Posté(e)
JFVP Membre 52 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Et toi tu mélanges tout aussi, que viennent faire les clandestins là dedans ? il y a une grande partie de ces clandestins qui ont un contrat en bonne et due forme, qui travaillent paient des impôts et consomment comme tout le monde...

S'agissant du travail au noir ce n'est pas seulement le fait des étrangers... Tu prends la voisine pour babysitter à l'occasion tu lui donnes un billet c'est du travail au noir ! faut arrêter de dire n'importe quoi !

Tu veux des solutions au chomâge, crée une entreprise et embauche... et si tu ne peux pas embaucher au moins tu auras créé un emploi : le tien !!

Pas mal :bo: ....

Le clandestins n'ont pas de responsablilités sur le chômage, car ils viennent pour s'en sortir :plus: . Moi je parle des entreprises qui en profitent..

:mef:

Bien entendu il y a des etranger avec un contrat, dont la majorité sont Anglais, Canadiens...etc. Le reste du monde reste souvent à leurs place (Au black) où quelques uns ont de la chanse et sortent uvec un contrat!...

Ensuite le Dépannage entre particulier (babysiter, etc) tout le monde le fait, même le Présidents! Moi je parle des Entreprises qui embauche, qui ont les moyens de ce payer du haut niveau, mais qui cherchent toujours à sous payer..

J'aimerais créer une entreprise...Mais facile à dire ;). D'une part j'ai pas envie de m'endetter et part la suite embaucher au noir pour essayer de payer cette dette. Et j'ai pas d'idée, ni les moyens.

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Invité sfc
Invités, Posté(e)
Invité sfc
Invité sfc Invités 0 message
Posté(e)

pendant 3 ans j'ai fait de la mécanique au black (et oui faut bien manger) , j'ai fait des voiture de juge de flic , ne sont il pas sanser connaitre la loi ?

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Membre, 52ans Posté(e)
hadpludingburg Membre 597 messages
Baby Forumeur‚ 52ans‚
Posté(e)

France : l'accélération de l'activité économique n'a pas fait baisser le chômage

224.000 emplois auraient été créés entre mars 2010 et mars 2011 en France. Pourtant, le taux de chômage s'est maintenu à 9,7% au premier trimestre 2011.

En France, l’activité économique s’est accélérée de 0,9% au premier trimestre 2011, contre 0,3% au trimestre précédent, un taux record depuis le deuxième trimestre 2006. Une accélération poussée par le renforcement de la demande interne dont le concours à la croissance du PIB a augmenté de 0,6 points, contre 0,4 au quatrième trimestre 2010, selon l’enquête sur la conjoncture de l’emploi et du chômage au premier trimestre 2011 du service statistique du ministère du travail, la Dares.

Le rythme de la France devance légèrement celui de la zone euro dont l’activité économique aurait cru de 0,8%, porté par une Allemagne très dynamique avec une hausse de 1,5%, en glissement trimestriel, de son activité économique, selon les estimations Eurostat.

Ainsi, les créations d’emploi se poursuivent, notamment dans les secteurs marchands non agricoles avec 58.200 nouveaux postes au premier trimestre. Au total, ce seraient 224.000 postes qui auraient été créés entre mars 2010 et mars 2011, alors que sur la même période une année auparavant le solde était négatif avec une perte de 42.000 postes.

source.

Pas en surchauffe, il est normal d'avoir de l'inflation dans une période de croissance !

La politique économique avec la crise de la dette c'est au moins 1 point de croissance en moins !!

Donc on devrait, comme je l'ai dit, mais on ne l'est pas... à cause d'une mauvaise gestion de la crise financière, qu'on sauve les banques ok, mais qu'on les laisse encore spéculer et dégrader la situation parceque quelques uns y gagne de l'argent c'est inacceptable.

Pareil pour les agences de notations, qui ont titrisé les subprimes faisant passer de la "merde" pour des placements sûrs...

Tu n'arrives pas à comprendre, mais pour tout mélanger tu es très fort...

Maintenant c'est mon analyse de la situation, mon opinion et tu as le droit comme tout autre de ne pas être d'accord, mais de grâce, ne me réponds pas n'importe quoi.

bon j'ai été assez patient avec ton ignorance mais lorsque tu commences à monter sur tes grands chevaux sans aucune raison particulière, c'est la que je dénonce ta façon d'argumenter...

tu sélectionnes (comme je l'ai dit) mes textes (tu as pris l'extrait de la simplification que j'ai faite de mon énoncé, et tu le réfutes avec des théories basées sur des "si" qui sortent de nulle part... donc je pourrais continuer le débat sur ce petit bout de texte, avec des raisonnements plus philosophiques qu'économiques (ca veut dire que n'importe qui peut trouver n'importe quoi pour affirmer des choses qui ne seront pas justifiée)...

mais pourquoi puisque j'ai déjà écrit un texte qui prouvait mathématiquement, statistiquement, mon opinion.

et ne détourne pas ton ignorance sur moi. je pense qu'il est clair pour tout le monde que tu ne comprends meme pas mon texte, et c'est pour ca que tu ne réponds pas, et c'est pour ca que tu t'empresses de dire que moi-même, je n'ai rien comprit, alors que dans ton texte, il n'y a rien à comprendre et tu te débat dans un argument dont tu ne comprends pas le fond et tu utilises des textes qui te paraissent légitimes puisqu'on y mentionne des termes utilisés, mais tu ne comprends meme pas tes textes.

alors si t'as envie de continuer à débattre comme une personne normale, et si t'as envie qu'on te prenne au sérieux, répond à ce @ù^$ de texte.....

je sens déjà que tu vas trouver une "bonne" raison de ne pas le faire...

Je comprends pourquoi tu nous sors ça : tu bricoles avec les "fondements théoriques du libéralisme" ce serait plus simple de mettre un lien histoire qu'on te prouve tous les bienfaits du libéralisme !!

je comprend pourquoi tu ne veux pas y répondre. tu n'y comprends rien, encore une fois, puisque ca n'a rien à voir avec le libéralisme. en fait, c'est un peu l'inverse... ca prône l'intervention de l'état dans le marché économique

Le smic est le salaire minimum pour qu'un salarié puisse vivre dignement et encore il faut l'accompagner par des aides de l'Etat, de la région, du département (aide au logement, transport,.... etc) ce que j'appelle des subventions indirectes aux entreprises, puisque son salaire ne lui suffit pas pour vivre et compenser l'énergie dépensé dans son travail.

D'une manière ou d'une autre il faudra trouver ce niveau de revenu si on ne veut pas précipiter ces personnes dans l'indigence et les rendre inapte au travail.

Dans la formation du prix, le smic déjà largement allégé au niveau charges salariales, n'intervient que très marginalement dans le cout d'un produit et encore moins dans les produits d'exportation qui sont des produits à faible "main d'oeuvre ajoutée".

Pour l'économie domestique, qui représente 80% de notre activité économique, la baisse du smic, entrainera la baisse des autres salaires et entrainera une spirale déflationniste qui finira par dévaluer tous les avoirs en capitaux (mobiliers et immobiliers).

Je ne pense pas que votre école de commerce soit une très grande école, par contre votre prof de marketing est un danger public.:mef:

.

mais pour dire que mon idée de réforme est dangereuse, pourquoi ne pas le démontrer en réfutant les conséquences des mécanismes économiques énoncés dans le récurant paragraphe 2?

Si vous lisez attentivement ma réponse, je vous donne les conséquences de votre politique, à savoir qu'elle entrainerait un risque de déflation.

Déflation signifie: offre supérieure à la demande à cause de la baisse du pouvoir d'achat, donc licenciement dans les entreprises faute de possibilité à écouler leurs produits et chômage .

C'est la pire situation que l'on puisse imaginer .

Je pense que ma réponse est assez clair.

la seule raison pourquoi je répond encore à ce type d'argument, c'est parce que les autres le prennent au sérieux.

j'ai déjà répondu à ca.... la différence dû à la baisse de salaire sera compensé par la hausse du gain des anciens chômeurs...

si on pouvait ne pas me répéter pour la 7ènième fois cet argument...

Je pense que le débat est clos sur le salaire : :plus: on ne peut pas suprimer le SMIC.

L'allemage comment le vivent t-ils? http://www.telos-eu....salaire_minimum

mais quel culot !!!

je ne voulais pas être insolant mais il faut que je disent que les répercutions de telles mesures ne sont pas vraiment à discuter. j'ai utilisé des statistiques et des maths... vous, une logique très peu directe et précise.

alors au lieu de dire que je ne comprend rien, de trouver des autres arguments bidons pour le réfuter, il faudrait commencer à penser (je sais que c'est dûr) à répondre à mon paragraphe 2, que je peux utiliser comme argument pour n'importe le quel des vôtres.

ce que j'ai écrit est généralement admit par les économistes.

la discussion voulue c'était s'il existait un autre moyen plus efficace ou si c'était envisageable en france au plan politique... mais pas ses répercutions, qui sont déjà connues.

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Invité David Web
Invités, Posté(e)
Invité David Web
Invité David Web Invités 0 message
Posté(e)
je sens déjà que tu vas trouver une "bonne" raison de ne pas le faire...

Donne moi une bonne raison de le faire en copiant collant ton fameux paragraphe 2...

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Membre, 80ans Posté(e)
bibifricotin Membre 12 828 messages
Mentor‚ 80ans‚
Posté(e)

la seule raison pourquoi je répond encore à ce type d'argument, c'est parce que les autres le prennent au sérieux.

j'ai déjà répondu à ca.... la différence dû à la baisse de salaire sera compensé par la hausse du gain des anciens chômeurs...

si on pouvait ne pas me répéter pour la 7ènième fois cet argument...

C'est quoi cette théorie soi disant "scientifiquement vérifiée" et diffusée par des économistes éminents.....????

Jamais entendu parlé.

En tout cas si elle est vérifiée il faut rapidement l'appliquée pour sauver le pays.

Je plains les jeunes qui vont venir sur le marché du travail, ils vont être les premières victimes de ce plan...Mais si c'est pour la bonne cause allons-y!!

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Membre, 52ans Posté(e)
hadpludingburg Membre 597 messages
Baby Forumeur‚ 52ans‚
Posté(e)
je sens déjà que tu vas trouver une "bonne" raison de ne pas le faire...

Donne moi une bonne raison de le faire en copiant collant ton fameux paragraphe 2...

?????

je te sort un argument et dans le cadre du débat, je voudrais que t'y réponde sans te faufiler à travers les mailles de mon texte, et tu me demande une bonne raison de le faire?????

et puis avec ton histoire de copier/coller (chose que je t'ai reproché) est-ce que tu insinues que j'ai copié/collé le post de quelque part? parce que je te défie de le trouver sur internet... tu sais il y a des gens qui en savent un petit quelque chose sur l'économie, et n'ont pas besoin de prendre la rédaction d'un autre pour argumenter. encore une fois (si c'est ce que tu voulais de dire) tu détourne tes défauts sur moi.

bon, si tu ne veux pas y répondre, explique le alors, juste pour montrer que t'as comprit... tu vas me dire que tu n'as rien à prouver, mais je met en jeu ta réputation sur ce forum et tous qui me lisent sauront que tu argumentes sur des sujets que tu ne comprends pas.

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Invité David Web
Invités, Posté(e)
Invité David Web
Invité David Web Invités 0 message
Posté(e)

Je t'ai demandé de copier coller la partie du texte que tu as écris ! ton paragraphe 2 est-ce trop demander ?

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Membre, 52ans Posté(e)
hadpludingburg Membre 597 messages
Baby Forumeur‚ 52ans‚
Posté(e)

la seule raison pourquoi je répond encore à ce type d'argument, c'est parce que les autres le prennent au sérieux.

j'ai déjà répondu à ca.... la différence dû à la baisse de salaire sera compensé par la hausse du gain des anciens chômeurs...

si on pouvait ne pas me répéter pour la 7ènième fois cet argument...

C'est quoi cette théorie soi disant "scientifiquement vérifiée" et diffusée par des économistes éminents.....????

Jamais entendu parlé.

En tout cas si elle est vérifiée il faut rapidement l'appliquée pour sauver le pays.

Je plains les jeunes qui vont venir sur le marché du travail, ils vont être les premières victimes de ce plan...Mais si c'est pour la bonne cause allons-y!!

c'est quoi cette théorie? c'est le paragraphe 2.... statistiquement vérifié.

tu en aurais entendu parler sans doute (pas aux infos puisque c'est un peu trop technique) dans des milieux spécialisés dans le cadre du débat pour ou contre le SMIC.

mais il n'y a pas d'études statistiques faites sur la suppression du SMIC (pas à ma connaissance), mais j'utilise des outils économiques, admis par les économistes, pour en dégager cette nécessité.

la France est un des seuls pays qui a ce type d'organisation donc ce n'est pas pour rien que les autres pays se refusent d'adopter cette contrainte. c'est dans le souci social que cette mesure de suppression est contestée et la création du SMIC vient en partie de cette base.

mais attention, le SMIC peut aussi être bénéfique pour l'économie. comme David l'a si savamment démontré, l'économie se calcule en cycles, et dans les conditions actuelles, je pense que c'est la meilleure façon de se rétablir ==> voilà le sens du débat.

Je t'ai demandé de copier coller la partie du texte que tu as écris ! ton paragraphe 2 est-ce trop demander ?

ca sera la 3ème fois que je le poste mais bon. je l'ai écrit sur Word et pour une certaine raison, on m'a supprimé des espaces lorsque j'allais à la ligne, alors il faut un peu déchiffrer. ah oui, et pour le débat, lorsque j'admet certaines choses, c'est des choses admises par tous les keynésiens... en fait tout le monde sauf les classiques (ce qui n'est vraiment plus d'actualité).

Il faut d’abord admettre que l’économie est un ensemble de marchés pas nécessairement efficaces et que la monnaie n’est pas neutre. la demande de monnaie se fait pour motif detransaction, précaution et spéculation et le partage entre ces 3 est influencépar le taux d’intérêt… si le taux d’intérêt est plus grand, on va mettre plus àla banque puisque logiquement, l’argent qui n’est pas investit nous coûtequelque chose. (important ==> ceciest sur une échelle de masse et des études statistiques l’ont vérifié).

Bon, donc lademande de monnaie dépend du revenu (PIB) et du taux d’intérêt. Plus le taux d’intérêtbaisse, plus la demande de monnaie augmente.

Donc lorsquele taux d’intérêt diminue on veut utiliser notre monnaie puisqu’épargner nerapporte rien. donc baisse du taux d’intérêt ==> hausse de la consommation des ménages ==> hausse de l’investissement des entreprises ==> hausse de l’offre ==> et si la production est la rencontre entre l’offreet la demande, hausse de l’offre = hausse de production puisque la demande adéjà augmenté par la hausse de la consommation des ménages.

Maintenant,des études statistiques encore, ont montré la variation commune du taux d’intérêtet le taux d’inflation. avec l’inflation vient la baisse du taux d’intérêt,donc avec l’inflation vient l’enchainement logique qui mène à la hausse de laproduction, ce qui veut dire, une relance de l’économie.

ca c’est unefaçon de montrer que l’inflation relance l’économie et donc fait baisser le chômage,mais des études empiriques ont été faites qui montrent qu’il existe unerelation stable décroissante entre le taux de variation du salaire nominal etle taux de chômage (c’est à peu près ce que je disais dans mon premierparagraphe).

donc voila lerapport que je trouve entre la suppression du SMIC (baisse des salaires) et le chômage.Et pour en rajouter, on peut considérer que la variation du salaire nominal =inflation (ceci n’est pas sortit au hasard et c’est vérifiablestatistiquement). donc influence de l’inflation sur la production (vérifié plushaut) qui est normal puisque l’inflation a une influence sur le chômage, ce quiaura une influence sur la production…

Modifié par hadpludingburg
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Invité gilles 25200
Invités, Posté(e)
Invité gilles 25200
Invité gilles 25200 Invités 0 message
Posté(e)

c'est bien beau de dire que c'est statistiquement prouvé ou admis dans des "cercles" nous on veux des preuves alors donne des liens!tu énnonces des sois disantes vérités sans donner de preuves

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Invité David Web
Invités, Posté(e)
Invité David Web
Invité David Web Invités 0 message
Posté(e)

Bon j'ai bien relu ton paragraphe, je ne reviens pas sur le PIB etc...

Par contre tu oublies un truc important tu te bases sur le SMIG et non le SMIC.

Le SMIG :

À la différence du SMIG basé sur l'inflation, le SMIC est revalorisé au minimum à hauteur de la moitié de l’augmentation du pouvoir d’achat du salaire horaire de base ouvrier (SHBO). Il peut bénéficier de coup de pouce de la part du gouvernement.

Le Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance, plus connu sous l'acronyme SMIC, anciennement Salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG), est, en France, le salaire minimum horaire en dessous duquel aucun salarié ne peut être payé. Il est réévalué au minimum tous les ans au 1er janvier.

Le SMIC a succédé, en application d'un décret du Premier ministre Jacques Chaban-Delmas du 2 janvier 1970, au Salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG), instauré le 11 février 1950. Le SMIG n'était indexé que sur les prix, qui augmentent moins vite que la moyenne des salaires en moyenne, notamment parce que les salaires croissent en moyenne au même rythme que la productivité (environ 5 % par an pendant les Trente glorieuses, un peu moins de 2 % par an en moyenne ensuite). Le pouvoir d'achat du SMIG n’augmentait pas, et en raison des gains de productivité il y avait de moins en moins de smigards.

Des fortes revalorisations du SMIC entre 1994 et 2005 ont conduit à ce que le SMIC augmente plus vite que le salaire moyen, et ont abouti à un « écrasement de la hiérarchie des salaires ». La proportion de salariés payés au SMIC dans l’ensemble des salariés est passée d’environ 10 % sur la décennie 1987-1996 à plus de 16 % en 2005. Le pouvoir d'achat des travailleurs payés au salaire minimum a cru plus vite en moyenne que celui des autres salariés ; en particulier, les bas salaires sont progressivement rattrapés par la croissance du SMIC car ils augmentent moins vite que le SMIC.

Au cours des années 1990 et des années 2000, les gouvernements ont également baissé les charges sur les bas revenus afin de limiter la croissance du coût du travail des bas salaires, en particulier au niveau du SMIC, pour favoriser l'emploi. Ces actions ont eu comme effet pervers d'augmenter la proportion d'employés payés au SMIC par un effet dit de « trappe à bas salaire ».

La réduction de la durée du travail de 39 à 35 heures entre 1997 et 2002 a donné lieu à la création de cinq SMIC différents. Les niveaux des SMIC ont été réunifiés de 2003 à 2005 par la loi Fillon sur la RTT, avec un mode de convergence qui a abouti à une forte revalorisation du SMIC, qui a augmenté d’un peu plus de 5,5 % en moyenne sur chacune des trois années 2003-2005

La vision keynésienne :

  • Qu'un salaire minimum est un plus pour la consommation, une garantie contre une exploitation excessive des salariés les moins qualifiés.
  • Que le SMIC en France joue un rôle de redistribution, au même titre que la politique fiscale, que c'est un instrument de justice sociale patent.
  • Que le SMIC, en maintenant et en augmentant le pouvoir d'achat des travailleurs peu qualifiés, maintient la consommation, ce qui selon la théorie contestée de l'effet multiplicateur keynésien augmente l'emploi (les entreprises embauchant seulement en perspective de débouchés croissants).

Cependant, l'effet multiplicateur keynésien, s’il a peut-être fonctionné dans le passé, est de moins en moins efficace à mesure que l’économie devient ouverte (ce qui est le cas de la France où en 2005 54 % de la consommation de biens manufacturés est importée), et la hausse de consommation générée par une hausse du SMIC ne relance que peu l’économie, et essentiellement à court terme, mais contribue à creuser le déficit extérieur

La vision libérale :

Selon la vision libérale, le SMIC, du fait de son niveau élevé, aurait une influence néfaste en empêchant l'ajustement entre l'offre d'emplois (par les entreprises) et la demande d'emplois sur plusieurs marchés de l'emploi. Selon le principe de l'offre et de la demande, les prix sur le marché (ici le prix du travail est le salaire) permettraient un meilleur ajustement entre offre et demande, voire le retour à un état d'équilibre économique, le « plein emploi ». Les marchés de l'emploi concernés par ce problème sont ceux des emplois peu qualifiés (dont la productivité est inférieure au coût du SMIC pour l'employeur), où justement le chômage en France est particulièrement élevé.

Par ailleurs, l'échelle des salaires est aplatie par l'existence du SMIC, et certains employés seraient « bloqués » au niveau SMIC, sans espoir de promotion salariale. Ce phénomène est accentué en France par les allègements de charge qui ont été mis en place sur les bas salaires, incitant les entreprises à ne pas augmenter ces employés. L'Ifrap compare ainsi le pourcentage de salariés au Smic en France (16,8 %) au pourcentage américain (1,5 %).

Le SMIC en France est beaucoup plus élevé que dans les autres pays de l'OCDE, en pourcentage du salaire moyen ou du salaire médian, ce qui peut avoir un effet négatif sur le chômage et la production en empêchant des rmistes de trouver un emploi.

Selon un rapport du Conseil d'analyse économique de Philippe Aghion, Gilbert Cette, Élie Cohen et Jean Pisani-Ferry, le niveau élevé du SMIC pénalise l’emploi des jeunes ; « on ne peut cependant ignorer que le niveau du coût du travail représente pour [les jeunes sans qualification] une barrière significative, accentuée par l’augmentation rapide du niveau relatif du SMIC au cours des dernières années. Il serait donc souhaitable de réexaminer ce que pourrait apporter une modulation selon l’expérience ou l’âge du salaire minimum des jeunes de moins de 25 ans dont le niveau de formation est inférieur au baccalauréat. »

Le SMIC serait selon cette vision une mesure « anti-pauvres »,. Ainsi, la redistribution des revenus se fait au profit non pas de ceux qui en ont le plus besoin, mais de ceux qui ont le pouvoir de pression le plus important sur le gouvernement (les syndicats de la Fonction Publique, masse salariale oblige), bénéficiant ici du soutien des syndicats de salariés français. Les libéraux avancent enfin qu'il existe d'autres moyens de redistribution des revenus moins néfastes pour l'emploi (par exemple, la prime pour l'emploi, l’Impôt négatif, l’Allocation universelle ...) et moins distorsifs pour le marché du travail.

Sources Wikipédia ! pas besoin d'aller chercher trop loin....

Maintenant on peut disccuter de l'efficacité ou non de la suppression du SMIC, mais tu connais déjà mon point de vue...

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Membre, 93ans Posté(e)
Lovery Membre 16 834 messages
Forumeur alchimiste ‚ 93ans‚
Posté(e)

Pfff, on supprime le SMIC et tous les problèmes s'envolent comme par magie :sleep:

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Invité sfc
Invités, Posté(e)
Invité sfc
Invité sfc Invités 0 message
Posté(e)
Pfff, on supprime le SMIC et tous les problèmes s'envolent comme par magie sleep8ge.gif

c'est surtout la nourriture qu'il y a dans les magasin qui vas s'envoler comme par magie .

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Membre, 93ans Posté(e)
Lovery Membre 16 834 messages
Forumeur alchimiste ‚ 93ans‚
Posté(e)

Ah, non faudra bosser mais pas au SMIC (il sera remplacé, pour changer d'appellation :smile2: ) pour gagner sa pitance :sleep:

Modifié par Lovery
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Membre, 80ans Posté(e)
bibifricotin Membre 12 828 messages
Mentor‚ 80ans‚
Posté(e)

Selon un rapport du Conseil d'analyse économique de Philippe Aghion, Gilbert Cette, Élie Cohen et Jean Pisani-Ferry, le niveau élevé du SMIC pénalise l’emploi des jeunes ; « on ne peut cependant ignorer que le niveau du coût du travail représente pour [les jeunes sans qualification] une barrière significative, accentuée par l’augmentation rapide du niveau relatif du SMIC au cours des dernières années. Il serait donc souhaitable de réexaminer ce que pourrait apporter une modulation selon l’expérience ou l’âge du salaire minimum des jeunes de moins de 25 ans dont le niveau de formation est inférieur au baccalauréat. »

Ce qui caractérise l'échelle des salaires en France par rapport aux autres pays, c'est le nombre extrêmement élevé de personnes payées au smic.

Cette situation est tout à fait anormal et contribue largement au malaise social actuel.

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Membre, 52ans Posté(e)
hadpludingburg Membre 597 messages
Baby Forumeur‚ 52ans‚
Posté(e)

Bon j'ai bien relu ton paragraphe, je ne reviens pas sur le PIB etc...

Par contre tu oublies un truc important tu te bases sur le SMIG et non le SMIC.

Le SMIG :

À la différence du SMIG basé sur l'inflation, le SMIC est revalorisé au minimum à hauteur de la moitié de l’augmentation du pouvoir d’achat du salaire horaire de base ouvrier (SHBO). Il peut bénéficier de coup de pouce de la part du gouvernement.

Le Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance, plus connu sous l'acronyme SMIC, anciennement Salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG), est, en France, le salaire minimum horaire en dessous duquel aucun salarié ne peut être payé. Il est réévalué au minimum tous les ans au 1er janvier.

Le SMIC a succédé, en application d'un décret du Premier ministre Jacques Chaban-Delmas du 2 janvier 1970, au Salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG), instauré le 11 février 1950. Le SMIG n'était indexé que sur les prix, qui augmentent moins vite que la moyenne des salaires en moyenne, notamment parce que les salaires croissent en moyenne au même rythme que la productivité (environ 5 % par an pendant les Trente glorieuses, un peu moins de 2 % par an en moyenne ensuite). Le pouvoir d'achat du SMIG n’augmentait pas, et en raison des gains de productivité il y avait de moins en moins de smigards.

Des fortes revalorisations du SMIC entre 1994 et 2005 ont conduit à ce que le SMIC augmente plus vite que le salaire moyen, et ont abouti à un « écrasement de la hiérarchie des salaires ». La proportion de salariés payés au SMIC dans l’ensemble des salariés est passée d’environ 10 % sur la décennie 1987-1996 à plus de 16 % en 2005. Le pouvoir d'achat des travailleurs payés au salaire minimum a cru plus vite en moyenne que celui des autres salariés ; en particulier, les bas salaires sont progressivement rattrapés par la croissance du SMIC car ils augmentent moins vite que le SMIC.

Au cours des années 1990 et des années 2000, les gouvernements ont également baissé les charges sur les bas revenus afin de limiter la croissance du coût du travail des bas salaires, en particulier au niveau du SMIC, pour favoriser l'emploi. Ces actions ont eu comme effet pervers d'augmenter la proportion d'employés payés au SMIC par un effet dit de « trappe à bas salaire ».

La réduction de la durée du travail de 39 à 35 heures entre 1997 et 2002 a donné lieu à la création de cinq SMIC différents. Les niveaux des SMIC ont été réunifiés de 2003 à 2005 par la loi Fillon sur la RTT, avec un mode de convergence qui a abouti à une forte revalorisation du SMIC, qui a augmenté d’un peu plus de 5,5 % en moyenne sur chacune des trois années 2003-2005

La vision keynésienne :

  • Qu'un salaire minimum est un plus pour la consommation, une garantie contre une exploitation excessive des salariés les moins qualifiés.
  • Que le SMIC en France joue un rôle de redistribution, au même titre que la politique fiscale, que c'est un instrument de justice sociale patent.
  • Que le SMIC, en maintenant et en augmentant le pouvoir d'achat des travailleurs peu qualifiés, maintient la consommation, ce qui selon la théorie contestée de l'effet multiplicateur keynésien augmente l'emploi (les entreprises embauchant seulement en perspective de débouchés croissants).

Cependant, l'effet multiplicateur keynésien, s’il a peut-être fonctionné dans le passé, est de moins en moins efficace à mesure que l’économie devient ouverte (ce qui est le cas de la France où en 2005 54 % de la consommation de biens manufacturés est importée), et la hausse de consommation générée par une hausse du SMIC ne relance que peu l’économie, et essentiellement à court terme, mais contribue à creuser le déficit extérieur

La vision libérale :

Selon la vision libérale, le SMIC, du fait de son niveau élevé, aurait une influence néfaste en empêchant l'ajustement entre l'offre d'emplois (par les entreprises) et la demande d'emplois sur plusieurs marchés de l'emploi. Selon le principe de l'offre et de la demande, les prix sur le marché (ici le prix du travail est le salaire) permettraient un meilleur ajustement entre offre et demande, voire le retour à un état d'équilibre économique, le « plein emploi ». Les marchés de l'emploi concernés par ce problème sont ceux des emplois peu qualifiés (dont la productivité est inférieure au coût du SMIC pour l'employeur), où justement le chômage en France est particulièrement élevé.

Par ailleurs, l'échelle des salaires est aplatie par l'existence du SMIC, et certains employés seraient « bloqués » au niveau SMIC, sans espoir de promotion salariale. Ce phénomène est accentué en France par les allègements de charge qui ont été mis en place sur les bas salaires, incitant les entreprises à ne pas augmenter ces employés. L'Ifrap compare ainsi le pourcentage de salariés au Smic en France (16,8 %) au pourcentage américain (1,5 %).

Le SMIC en France est beaucoup plus élevé que dans les autres pays de l'OCDE, en pourcentage du salaire moyen ou du salaire médian, ce qui peut avoir un effet négatif sur le chômage et la production en empêchant des rmistes de trouver un emploi.

Selon un rapport du Conseil d'analyse économique de Philippe Aghion, Gilbert Cette, Élie Cohen et Jean Pisani-Ferry, le niveau élevé du SMIC pénalise l’emploi des jeunes ; « on ne peut cependant ignorer que le niveau du coût du travail représente pour [les jeunes sans qualification] une barrière significative, accentuée par l’augmentation rapide du niveau relatif du SMIC au cours des dernières années. Il serait donc souhaitable de réexaminer ce que pourrait apporter une modulation selon l’expérience ou l’âge du salaire minimum des jeunes de moins de 25 ans dont le niveau de formation est inférieur au baccalauréat. »

Le SMIC serait selon cette vision une mesure « anti-pauvres »,. Ainsi, la redistribution des revenus se fait au profit non pas de ceux qui en ont le plus besoin, mais de ceux qui ont le pouvoir de pression le plus important sur le gouvernement (les syndicats de la Fonction Publique, masse salariale oblige), bénéficiant ici du soutien des syndicats de salariés français. Les libéraux avancent enfin qu'il existe d'autres moyens de redistribution des revenus moins néfastes pour l'emploi (par exemple, la prime pour l'emploi, l’Impôt négatif, l’Allocation universelle ...) et moins distorsifs pour le marché du travail.

Sources Wikipédia ! pas besoin d'aller chercher trop loin....

Maintenant on peut disccuter de l'efficacité ou non de la suppression du SMIC, mais tu connais déjà mon point de vue...

donc en gros, maintenant t'es d'accord avec moi sur les effets de la suppression du SMIC (d'après ce que tu as posté, et puisque tu n'as pas répondu à mon paragraphe). je ne confond pas SMIC et SMIG puisque l'indexation l'influence pas les conséquences de sa suppression.

mais bon, tu es contre cette politique.... pourquoi?

Pfff, on supprime le SMIC et tous les problèmes s'envolent comme par magie :sleep:

si t'es réellement intéressé par la réponse de ta dernière question, relis la conversation. je donne les conséquences supposées de sa suppression.

Selon un rapport du Conseil d'analyse économique de Philippe Aghion, Gilbert Cette, Élie Cohen et Jean Pisani-Ferry, le niveau élevé du SMIC pénalise l’emploi des jeunes ; « on ne peut cependant ignorer que le niveau du coût du travail représente pour [les jeunes sans qualification] une barrière significative, accentuée par l’augmentation rapide du niveau relatif du SMIC au cours des dernières années. Il serait donc souhaitable de réexaminer ce que pourrait apporter une modulation selon l’expérience ou l’âge du salaire minimum des jeunes de moins de 25 ans dont le niveau de formation est inférieur au baccalauréat. »

Ce qui caractérise l'échelle des salaires en France par rapport aux autres pays, c'est le nombre extrêmement élevé de personnes payées au smic.

Cette situation est tout à fait anormal et contribue largement au malaise social actuel.

beaucoup sont payés au SMIC mais le SMIC est un salaire plus élevé que la moyenne nationale de beaucoup de pays.

Modifié par hadpludingburg
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