Que préférez vous, Paris ou la province ?

ça y est, v'là qu'il nous fait de la littérature lyrique le parigot :p , crébindiou!

le "crébindiou" sonnait si juste que je l'ai entendu jusqu'ici !

ça y est, v'là qu'il nous fait de la littérature lyrique le parigot :p , crébindiou!

Pour la pollution olfactive parisienne, vous ne connaissez pas la douce sensation de flottement lorsque l'on croise le pas parisien d'une demoiselle, vêtu d'une robe légère, laissant diffuser un parfum léger, subtil mélange de stupre et d'élégance retenue dans le rythme affolant des talons hauts assourdi par l’asphalte molle d'un soir d'été.

Les regards se croisent et adieux béton ! L'océan bleu gris que souligne un coûteux maquillage renvoie cette assertion aux bordures de la barrière à bagnoles, car Paris n'est pas fait de gris mais d'une palette infinie que les fenêtres d'âmes nous renvoient. Et merci aux belle provinciales de venir enrichir ce merveilleux catalogue !

Les provinciaux peuvent rester à la maison.

Paris est beige comme ses pierre calcaires sorties de son ventre. Paris gonfle sur lui même comme un soufflet. Notre arrogance planétaire vient peut être de cette autosuffisance.

Paris est une ville auto-phage, où viennent se brûler les ailes ceux que la Lumière attire depuis les confins de la civilisation. Leur sacrifice indispensable alimente ce feu éternel, alors que les vieux parigots fatigués vont éclairer de leur fin de vie la morne province.

Une envolée lyrique égocentrée, arrogante et présomptueuse qui ne ravira qu'une niche, qu'un parterre de nombrilistes sans saveur intellectuelle, commune, finalement, à de nombreux élitistes auto-proclamés (bobos rebelles), et aussi récurrente via certains bouchés du bulbe, présents au sein même de toutes les régions de France et de Navarre.(comme si que tu étais le premier a detesté le voisin d'en face, Parano'...Piètre originalité...)

Je suis sur Paris depuis assez longtemps pour savoir que le Parisien peut-être particulièrement amical, serviable, et qu'il peut se trouver loin de toute cette déglutition verbale saupoudrée de racisme régional. Déglutition qui ne parviendra à effacer cette particularité qui nous touche tous, finalement... Celle d'être avant tout des français.

T'occupes donc pas de ma saveur, elle appréciée à sa juste valeur par la niche concernée. Je défends mon bled, et j'aime la ploucquerie, par moment.

Après, être Français, ça n'a jamais fait des amis. Faut un peu plus que ça.

En bon parigot, j'ai des potes de tous horizons, et ça me va parfaitement. Je ne leurs demande pas leurs papiers avant de leur faire un dîner avec nos belles recettes de provinces.

Certes Paris est la quintessence de la France, mais n’existerait pas sans nos gentils gueux. Nous serions vite seuls.

Une envolée lyrique égocentrée, arrogante et présomptueuse qui ne ravira qu'une niche, qu'un parterre de nombrilistes sans saveur intellectuelle, commune, finalement, à de nombreux élitistes auto-proclamés (bobos rebelles), et aussi récurrente via certains bouchés du bulbe, présents au sein même de toutes les régions de France et de Navarre.(comme si que tu étais le premier a detesté le voisin d'en face, Parano'...Piètre originalité...)

Je suis sur Paris depuis assez longtemps pour savoir que le Parisien peut-être particulièrement amical, serviable, et qu'il peut se trouver loin de toute cette déglutition verbale saupoudrée de racisme régional. Déglutition qui ne parviendra à effacer cette particularité qui nous touche tous, finalement... Celle d'être avant tout des français.

Ben désolée, mais moi l'envolé lyrique de PASDEPARANO m'a plu et m'a même fait rire.

Mais je ne suis qu'une nombriliste sans saveur intellectuelle, commune, bobo rebelle et bouchée du bulbe

Désolée de n'être que moi et de faire partie de la niche et du parterre, de ne pas vous satisfaire par ma prose éclectique et sans saveur, monsieur le clown triste

T'occupes donc pas de ma saveur, elle appréciée à sa juste valeur par la niche concernée. Je défends mon bled, et j'aime la ploucquerie, par moment.

Après, être Français, ça n'a jamais fait des amis. Faut un peu plus que ça.

En bon parigot, j'ai des potes de tous horizons, et ça me va parfaitement. Je ne leurs demande pas leurs papiers avant de leur faire un dîner avec nos belles recettes de provinces.

Certes Paris est la quintessence de la France, mais n’existerait pas sans nos gentils gueux. Nous serions vite seuls.

Gueuserie et province sont deux choses différentes.

Je n'aime pas la "gueuserie" également, toutefois, je ne pose pas une guenille intellectuelle sur chaque français qui a le malheur de vivre au delà de la grande couronne parisienne. Je trouve cela mesquin et court en terme de raisonnement.

Ben désolée, mais moi l'envolé lyrique de PASDEPARANO m'a plu et m'a même fait rire.

Mais je ne suis qu'une nombriliste sans saveur intellectuelle, commune, bobo rebelle et bouchée du bulbe

Désolée de n'être que moi et de faire partie de la niche et du parterre, de ne pas vous satisfaire par ma prose éclectique et sans saveur, monsieur le clown triste

Je suis bien content pour toi. Ouvre un fan club.

PS : Merci, pour le qualificatif.

Personne prétend que les ploucs sont tous des supers ploucs. J'en aime certains, comme Jean Louis Boncoeur, Giono, la Funky Family, et les participantes du comice agricole de Putanges.

Farceur...

T'as oublié de mentionner que tu es président d'honneur du grand concour annuel de confection de canevas en thierache, le tout sponsorisé par "Singer", siouplé.

Tu es vraiment le bienfaiteur des produits de terroir, l'anarcho...

C'est un fait. J'aime le terroir et justement pour ça, Paris me permets de tout avoir sous la main, et pas que le terroir français, puisque c'est le monde qui est représenté.

Ca gomme un certain sentiment de lassitude qui m'habite lorsque, loin de mon âtre, je rêve de rollmops à l'aquavit. Il y a un côté très linéaire en province qui me hante. L'ennuie me guette. Pire que tout, la campagne sans une connection haut débit. Un bistrot sans fille, un dimanche sans boulangerie ouverte, voilà les angoisses me poussant inexorablement sur le chemin du retour, comme Ulysse en son temps, retardé par des épreuves. Cela va de la route sans panneaux, de la station service imaginaire, et dernièrement j'ai eu le loisir de me rendre compte que le train, et bien ce n'est pas le métro, il n'en passe pas toutes les 5 min.

Je suis bien content pour toi. Ouvre un fan club.

PS : Merci, pour le qualificatif.

De rien

Nan, moi suis à classer dans tout ce que t'as écrit + ordinaire vieillissante solitaire qui se fait chier quand même dans sa cambrousse qui se distrait en lisant le monde forumesque et en y mettant ce qu'elle croit avoir compris qui est certainement faux

Je te laisse rajouter les qualificatifs de ton choix, je t'en prie

La province, je peux consentir que l'on peut, à certains moments, s'y "geler l'euphorie", surtout si on a passé son enfance ou la majeure partie de sa vie sur Paname.

Son effervescence peut charmer de manière trés insidieuse et il est vrai que l'on peut y retrouver toutes les saveurs planétaires ou encore "un arrière goût ponctuel du pays" et je n'aborde même pas le côté culturel même si la province n'est pas en reste. Sûr que, pour celui qui sort tout droit du placenta lutécien, le depaysement "made in province" pourrait être probablement de courte durée.

Toutefois, ma critique portait sur ta vision du provincial type et non de la "bouse" dans laquel il patauge.

Il est clair et net que pour moi vivre en ville tel que Paris est comme vivre dans une bulle je ne comprend pas comment des personne peuvent y vivre tant de temps sans devenir fou l'air n'y est plus respirable

De rien

Nan, moi suis à classer dans tout ce que t'as écrit + ordinaire vieillissante solitaire qui se fait chier quand même dans sa cambrousse qui se distrait en lisant le monde forumesque et en y mettant ce qu'elle croit avoir compris qui est certainement faux

Je te laisse rajouter les qualificatifs de ton choix, je t'en prie

Pas question de fustiger ceux qui n'aiment pas "la cambrousse", la chose est bien trop subjective, mais juste mettre en évidence un pré-jugé émanant souvent d'un certain parisianisme malodorant qui tend à faire du monde de la province, le maillon faible de l'intellect français. C'est, à mon sens, l'impérium de l'absurdité. Pour le reste, libre à chacun de ne pas aimer "la grande verte". Ensuite, tout peut arriver. Ma petite amie est parisienne de souche et c'est toujours le plus grand des plaisirs de découvrir Paris en sa compagnie alors que j'étais moi-même gorgé de "splendides pré-jugés".

A moins que ce ne soit elle qui tend à rendre Paris si belle...

Fustigez, fustigez, il en restera toujours quelque chose...peut-être en bien ou peut-être en mal, qui sait?

En mal, certes, non... En ce qui me concerne, je ne caricature personne...

Ca gomme un certain sentiment de lassitude qui m'habite lorsque, loin de mon âtre, je rêve de rollmops à l'aquavit.

Ikea est aussi, et surtout, en province. D'ailleurs, il n'y en a pas à Paris.

Par contre, je suis d'accord que le rat qu'on trouve en province, lui, il est vivant, pas dans ton assiette au restaurant :D

Quant au peon, il a bien raison de préfèrer attraper des mycoses dans ses bottes en caoutchoux plutôt que dans les pataugeoires pour beaufs parisiens surpeuplés de chiards immondes. Le résultat est le même, mais au moins, c'est pas des mycoses de seconde main ! C'est ses siennes à lui :p

Nous sommes immunisés contre la toxocarose. L'aquavit d'Ikéa c'est pour les enfants.

Quand aux rats, je t'invite à flâner sur les boulevard, le soir, notamment vers le Moulin Rouge, et tu verras si nos rats ne sont pas vivants !

Quand on dit que Paris est un gruyère, c'est pas une rumeur.

J'aime ce que Paris propose mais je me sens terriblement mal à l'aise dans cette ville où j'ai l'impression d'être un rat passant sa journée à parcourir un labyrinthe. Je n'aime pas le regard condescendant que posent les parisiens (même d'adoption) sur nous, les provinciaux. Quand je vais à Paris j'ai l'impression que mes amis se sentent toujours obligées de m'en faire la publicité.

Finalement tout est question de choix et de concessions. Perso, je ne suis pas prête à sacrifier mon appart' pour un 15m carré, pas prête à troquer les plages du SUD Ouest contre celles de Normandie, pas prête à me serrer la ceinture pour un resto quand le coeur m'en dit ...

Finalement ce que je regrette, ce n'est pas tant tout ce qu'on peut faire à Paris que le fait que tout y soit centralisé.