Célébration-Matinée oecuménique sur France 2.

Jai tester cette nouvel chaine au top du top , je regarde que sa en ce moment 

https://urlz.fr/hMgG

"Extinction", film américain de 2018, sur Netflix.

A première vue, c'est une version fauchée de "La Guerre des mondes" (ou du très nul "World War Z"). Et puis on se rend compte que c'est assez différent... Le titre prête à confusion. Le film est d'ailleurs original, en ce qu'il renverse le propos de bien des histoires de science-fiction. Bon, c'est pas le chef-d'œuvre du siècle, quand même.

Je dois dire qu'une partie du film (sorti en 2018, donc) fait tout à fait penser à ce qu'ont dû ressentir les Ukrainiens dans les premiers temps de l'invasion russe : terreur, incompréhension, impression que le ciel vous tombe sur la tête, sentiment de n'avoir nulle part où se réfugier... Je crois que le début de toutes les guerres ressemble à ça, surtout quand il s'agit d'agressions non provoquées et d'attaques-surprise. Et puis après les survivants s'organisent, ripostent et rendent les coups. On en est là en Ukraine. 

En ce moment j'suis à fond sur une série sur Prime Video c'est The Outpost. 3 saisons 36 épisodes, j'enchaine 3 ou 4 épisodes d'un coup tous les soirs jusqu'à minuit et demi... 

ISLAM (Prier pour s'élever) sur France 2.

Intéressant.

Je regarde la saison 2 d'une série Britannique "Gentleman Jack".

L'action se situe en 1832 dans le Yorkshire. Anne Lister, propriétaire terrienne et industrielle homosexuelle, veut briser les conventions sociales et épouser une riche héritière nommée Ann Walker pendant la Révolution Industrielle, au grand dam de leurs familles respectives.

La série est adaptée des correspondances codées qu'elle entretenait avec ses maitresses. Meme si l'homosexualité féminine était regardée de travers à l'époque, Anne Lister était une aristocrate et était donc protégée par son statut. Cela n'aurait pas été le cas pour une femme de la classe ouvrière.

La série est assez légère, voire drôle par moment, et dynamique.

OZ on re regarde...

Ca fait plusieurs fois que je regarde sur la 8, présenté par P.LABRO, de vieux films en noir et blanc. c'est sympa, (il y en a de très bons), et ça a un petit côté désuet marrant. 

Remarquable documentaire historique sur la 3 : "La rafle du Vel d'Hiv, la honte et les larmes".

C'est vrai qu'on va commémorer cette semaine les 80 ans de cet épisode très noir de l'occupation. Mais, en l'occurrence, bien qu'organisée par les SS et la police allemande, la rafle du Vel d'Hiv fut réalisée presque exclusivement par la police et la gendarmerie françaises. Grâce à l'aide de la population parisienne, et aussi d'une partie des flics, écœurés de la sinistre besogne dont on les avait chargés, seul un tiers des plus de 37.000 Juifs visés a été arrêté.

Oregon22 , athlé.

France 2  et en direct.

Regardé ces derniers jours sur Netflix :

"Yesterday", de Danny Boyle. Un médiocre chanteur, à la suite d'un accident, se réveille dans un monde... où les Beatles n'existent pas. Ni Coca Cola et Harry Potter, d'ailleurs. Flairant la bonne affaire, il se met à chanter les chansons des 4 gars de Liverpool... et devient une star. Amusant, sans plus. Franchement, les chansons des Beatles auraient-elles connu le succès mondial que l'on sait... si Lennon et ses potes avaient chanté aussi mal que ça? Pas sûr. Seul moment émouvant du film : quand le héros rencontre un John Lennon de 77 ans, qui n'a jamais connu la gloire mais semble très content de la vie qu'il a menée.

Et aussi : "Enola Holmes".

Uniquement pour Milly Bobby Brown, la star de "Stranger Things", qui joue le rôle-titre. Avec Henry Calvill interprétant Sherlock Holmes, ce qui est quelque peu inattendu. Pas un chef-d'oeuvre, mais pas désagréable.

Toujours sur Netflix : "The Gray Man".

Les frères Russo, transfuges de Marvell, signent ce film genre action/espionnage qui ne brille pas particulièrement pas son originalité (impression d'avoir vu ça 50 fois). Mais le casting est brillant : Ryan Gosling, et surtout Chris Evans, qui abandonne pour un temps l'air constipé* du Captain America pour le rôle d'un tueur psychopathe. Et les scènes d'action sont particulièrement réussies : la bataille dans les rues de Prague vaut tous les James Bond. On a deux protagonistes (dont une femme) qui ont à peu près la puissance de feu de tous les "Expendables", face à une armée d'agents secrets dirigés par un méchant tout à fait retors et barbare, qui est aussi le seul personnage marrant du film, le héros ayant à priori décidé de ne jamais sourire (qu'on lui colle une paire d'oreilles pointues, et il fera un Vulcain tout à fait honorable pour "Star Trek").

Il ne serait pas étonnant qu'il y ait une suite...

* Mais qui convient tout à fait à un homme des années 40 égaré dans notre époque.

Je viens de revoir Thelma et Louise 

et cette réplique " il y ' a de l ' attende dans l ' air " 

"Le dernier Vice-Roi des Indes", film Indo-britannique (2017) sur Arte.

Un film spectaculaire, tourné en partie sur les lieux, qui raconte comment lord Louis Mountbatten, en 1947, a mis fin, dans des conditions... troubles, à trois siècles de présence britannique en Inde. C'est dommage, Hugh Bonneville, très connu depuis "Downtown Abbey", n'a pas du tout le physique du personnage. Gillian Anderson, qui incarne son épouse, est plus crédible.

L'intérêt de ce film est qu'il évoque une période mal connue - surtout en France - de l'histoire de l'Inde. Depuis sa mort tragique au cours d'un attentat de l'IRA en 1979, lord Mountbatten est un personnage quasiment intouchable, mais on ignore trop souvent qu'il était bien moins lisse qu'on a tendance à l'imaginer. En particulier, la façon dont il a géré l'indépendance et la partition de l'Inde a été très critiquée. Outre le peu de ressemblance de l'acteur principal avec son modèle, l'historicité de ce film est discutable - les événements historiques étant de plus mêlés à une intrigue sentimentale indienne qui fleure bon son Bollywood -, mais il a le mérite d'exister. Quelques scènes pittoresques, dont le partage des biens du palais entre l'Inde et le Pakistan. La fin du film montre la gigantesque catastrophe humanitaire qui accompagna la division de l'Inde en deux pays séparés.

Là, rien

hier "les liaisons dangereuses" de S. Frears, mais je préfère "Mary Reilly", je le regarderais peut être à nouveau

"Paris au Moyen-Age", l'emission de Stephane Berne et Lorant Deutsch sur France 2. J'adore cette émission et les effets speciaux qui vont avec. On s'y croirait.

J'ai vu cette semaine sur ARTE une série de documentaire sur l'origine des goulags en URSS, édifiant à ne pas manquer en Replay. 

L'épisode N°1

Goulag: une histoire soviétique 

"Diana", de Oliver Hirschbiegel, sur 6ter. Avec Naomi Watts.

Oliver Hirschbiegel est l'homme qui avait réalisé "La Chute", le film sur les derniers jours de Hitler. "Diana" raconte les dernières années de la "Princesse des coeurs", en particulier sa relation passionnée avec un cardiologue pakistanais. D'une certaine manière, c'est aussi une chute, même si on a un peu aidé l'héroïne à tomber. Quand ce film était sorti en 2013, il avait été littéralement assassiné par une bonne partie de la critique - en autre britannique. A croire qu'un certain nombre d'Anglais ne pardonneront décidément jamais à Diana d'avoir existé... Bon, ce n'est pas le chef d'oeuvre du siècle, mais ce n'est pas si mal. Évidemment, ça ne vaut pas le film qui avait été consacré au prince Charles il y a déjà une trentaine d'années, "le Silence des agneaux".

la liste de Schindler mais je survole, déjà vu 2 fois