Pas forcément, on recherche aussi des aliments sains. Le goût est frelaté la plupart du temps avec plein d'additifs mis dedans. Il ne faut pas se fier juste au goût, il faut lire la composition des aliments.

Cuisiner soi-même, ça permet de maîtriser le contenu de l'assiette d'un point d'vue nutritif (à condition d'utiliser des ingrédients de qualité) tout en ajustant à son goût. Je pense que c'est le moyen le plus simple de conjuguer les deux aspects.

Pas forcément, on recherche aussi des aliments sains. Le goût est frelaté la plupart du temps avec plein d'additifs mis dedans. Il ne faut pas se fier juste au goût, il faut lire la composition des aliments.

On est combien dans ce cas?

Pas des masses, face au reste de la populasse qui ne désire que sucres, sel et arômes artificiels.

Combien de cancers du côlon ou du rectum dans 20 ans? Ca fait peur...

Cuisiner soi-même, ça permet de maîtriser le contenu de l'assiette d'un point d'vue nutritif (à condition d'utiliser des ingrédients de qualité) tout en ajustant à son goût. Je pense que c'est le moyen le plus simple de conjuguer les deux aspects.

entièrement d'accord.

Concernant cet article (j'ai failli écrire ; consternant cet article).

Il s'agit de l'avis de deux personnes travaillant pour l'industrie agro-alimentaire.

Leurs propos ne se basent sur aucune étude autre que marketing.

Leur mission c'est comment faire faire plus de fric aux grosses entreprises agro-alimentaires qui tentent et parviennent à nous faire bouffer de la M... Pour cela ils sont prêts à tous les mensonges.

Leurs propos sont donc aussi merdiques que ce qu'ils tentent de nous faire avaler.

Pourquoi toujours opposer sain et bon ?

Le plaisir des papilles peut aussi se trouver dans de bon petits plats.

Quand aux produits industriels, nous sommes d'accord, beaucoup comportent des produits qui ne devraient pas se retrouver dans notre estomac.

Mais il y a aussi de bon produits.

Et puis tout est affaire de dosage.

Il ne faut pas tout confondre.

La première règle à respecter, et sans doute la plus difficile, c'est de manger équilibrer, que ce soit de la nourriture bio ou industrielle.

Ensuite, aucun nutritionniste n'interdit de faire une entorse au règlement de temps en temps, tant que cela reste l'exception.

Pour ma part, je sais que si je peux allier le fait de manger et le plaisir des sens, pourquoi me priverai-je ?

En revanche, là où je ne suis pas d'accord avec le titre, c'est que le prix est aussi une très grande préoccupation du consommateur.

Le budget nourriture est (trop) souvent la variable d'ajustement du budget familial...

Le plaisir. C'est sa seule préoccupation. Que l'on soit un homme, une femme, que l'on mange en famille, entre amis ou que l'on soit pressé: manger est un moment de plaisir.

C'est logique. Le goût est ce que l'homme a utilisé pendant des milliers d'années pour distinguer les produits de qualité (bon goût) et les produits néfastes (mauvais goût). La sélection naturelle a fait que nous préférons les aliments sains.

Le problème est que certains industriels arrivent à détourner ce processus de sélection des aliments en trompant le goût des consommateurs par des artifices chimiques ou autres.

On est combien dans ce cas?

Pas des masses, face au reste de la populasse qui ne désire que sucres, sel et arômes artificiels.

Combien de cancers du côlon ou du rectum dans 20 ans? Ca fait peur...

Je sais bien, mais bon, les gens finiront par se rendre compte par eux mêmes que l'alimentation est le socle de la vie. Si on mange de manière déséquilibré et mauvaise, on ne peut qu'être malade.

Oui, cependant c'est comme la clope et le reste... seulement une fois trop tard qu'on arrête les conneries (pour certains).