Pour redonner du piquant à votre pénis, vous pouvez l'enduire de tabasco.

Blague à part, leur étude est intéressante et ouvre pas mal de pistes sur l'étude chemins évolutifs et des "stratégies". La réduction du nombre de partenaires par la prolongation du rapport sexuel, je me demande à quel impératif ça obéit (j'exclue l'impératif divin). Une sorte d'eugénisme naturel ?

je pense que pour notre race,l,évolution,est assez dévelopée

il en a fallu des milliers d,années

La prolongation du rapport permet sans doute de fidéliser les partenaires, et également les fatigue !

Il est une hypothèse qui explique qu'une partenaire fatiguée ne cherche pas à avoir d'autre rapport dans les heures qui suivent. Ce qui permet au mâle de s'assurer que ce sont bien ses gamètes qui fécondent.

Comme le biochimiste Larry Moran je pense que la perte des «piquants» de notre pénis pourrait très bien être purement aléatoire et du à la simple dérive génétique!

L'affirmation selon laquelle la perte des piquants de notre pénis pourrait avoir une utilité en favorisant la monogamie me paraît être une Just-So Story ultra-adaptionnisme spéculative se basant sur pratiquement que dalle!

Tout expliquer par le hasard ne me semble guère plus étayé

Les mutations génétiques surviennent de façon aléatoire, il me semble.

Certaines sont ensuite « sélectionnées » et répandues par une utilité réelle. La plupart sont neutres. Leur apparition, mais aussi leur diffusion, ne relèvent donc que du hasard.

Que les mutations arrivent par hasard, c'est un fait établi.

Que la sélection des mutations se fassent par hasard en revanche n'est pas une évidence. Il semble en effet logique que les mutations qui donnent un avantage notamment en matière de reproduction soient transmises plus que les autres.

L'affirmation selon laquelle la perte des piquants de notre pénis pourrait avoir une utilité en favorisant la monogamie me paraît être une Just-So Story ultra-adaptionnisme spéculative se basant sur pratiquement que dalle!

moui, le rapport n'est pas si évident...

Que les mutations arrivent par hasard, c'est un fait établi.

Que la sélection des mutations se fassent par hasard en revanche n'est pas une évidence. Il semble en effet logique que les mutations qui donnent un avantage notamment en matière de reproduction soient transmises plus que les autres.

Le truc c'est que la dérive génétique peut très bien expliquer la fixation de nombreux caractères au sein d'une population et que donc la fixation d'un caractère n'a de loin pas forcément une cause adaptative.

La perte des épines de notre pénis n'a aucun avantage avéré d'un point de vue sélectif et donc le fait de trouver à cette perte des utilités tel qu'une perte de sensation, un rallongement des rapports sexuels et un comportement soit disant plus axé vers la monogamie (alors que la polygamie a toujours existé chez Homo sapiens sapiens), revient à faire des spéculations se basant sur pas grand chose en omettant une explications tout aussi plausible si ce n'est même d'avantage logique à savoir la simple dérive génétique. Encore une fois toutes les allèles mutés fixés et donc toutes caractéristiques phénotypiques n'ont pas forcément une origine adaptatives, la dérive génétique est également un facteur très important dans l'évolution des espèces!

Ma femme l a echappé belle.