Lettre aux personnes de bonne volonté

Chers inconnus, chers semblables,

Il est temps que le bien commun soit la volonté politique du monde.

Chacun de nous avons ¿uvré selon notre propre vision de ce bien　; cette volonté de faire le bien est essentielle, indépendante de ce que nous entendons comme étant bien ; Mais le résultat est loin des espérances des citoyens.

Ténèbres, ignorance, corruption　: Voilà d'où nous venons　; Nous connaissons ces voies et leurs atrocités　: mort, oppression, destruction. Parce que nous les connaissons, nous pouvons les éviter et lever le front vers la lumière, la compréhension et l'espoir. C'est là une heureuse escalade vers une plus grande prise de conscience　; La conscientisation　: principe vital, berceau de l'amour, idéal universel, quête intemporelle, seul véritable progrès, la rose.

Cet élixir d'éternité n'est pas une nouveauté　:

• L'apprentissage de l'outil a assuré la suprématie de la main sur la griffe　;
  
• L'anticipation des cycles naturels a permis le travail de la terre　;
  
• Le désir de connaissance a produit de nombreux fruits　;
  
• La reconnaissance de l'interactivité de notre environnement ne peut que nous amener à le préserver　;
  
• L'estime de la diversité est le seul rempart aux guerres fratricides¿
  

S'il fut un temps où la culture était nécessairement réservée aux seuls aristocrates　; Aujourd'hui, une bonne gestion des ressources et des besoins nous permet de nous élever tous ensembles. S'il fut un temps où la cupidité était portée aux nues　; Aujourd'hui une large adhésion à la conscientisation, cette raison d'être qui magnifie tous les dogmes positifs, peut mobiliser largement.　De plus, nul être de communication ne peut se vanter d'avoir en compréhension la totalité des connaissances de son époque　; Ainsi, ce noble chemin nous ne pouvons l'emprunter qu'ensemble.

Et nous avons besoins de cette prise de conscience pour anticiper et faire face aux défis que la mort malicieuse ne manque pas de mettre sur notre route. Cette même mort qui fait sombrer dans l'oubli, véritables ennemis, ce que les générations qui se succèdent peuvent perpétuer.

Nous voilà, encore, à vivre des temps intéressants　! Comment ne pas avoir la volonté commune d'être les fondations de l'avenir sans être hypocrite　? Faisons de ce courrier une part de notre expression vivante　: que chacun y participe par des apports constructifs, synthétiques et pertinents　; que chacun le diffuse de même en toute bonne volonté.

Chers inconnus, chers semblables,

Il est temps que le bien commun soit la volonté politique du monde.

Chacun de nous avons ¿uvré selon notre propre vision de ce bien　; cette volonté de faire le bien est essentielle, indépendante de ce que nous entendons comme étant bien ; Mais le résultat est loin des espérances des citoyens.

Ténèbres, ignorance, corruption　: Voilà d'où nous venons　; Nous connaissons ces voies et leurs atrocités　: mort, oppression, destruction. Parce que nous les connaissons, nous pouvons les éviter et lever le front vers la lumière, la compréhension et l'espoir. C'est là une heureuse escalade vers une plus grande prise de conscience　; La conscientisation　: principe vital, berceau de l'amour, idéal universel, quête intemporelle, seul véritable progrès, la rose.

Cet élixir d'éternité n'est pas une nouveauté　:

• L'apprentissage de l'outil a assuré la suprématie de la main sur la griffe　;
  
• L'anticipation des cycles naturels a permis le travail de la terre　;
  
• Le désir de connaissance a produit de nombreux fruits　;
  
• La reconnaissance de l'interactivité de notre environnement ne peut que nous amener à le préserver　;
  
• L'estime de la diversité est le seul rempart aux guerres fratricides¿
  

S'il fut un temps où la culture était nécessairement réservée aux seuls aristocrates　; Aujourd'hui, une bonne gestion des ressources et des besoins nous permet de nous élever tous ensembles. S'il fut un temps où la cupidité était portée aux nues　; Aujourd'hui une large adhésion à la conscientisation, cette raison d'être qui magnifie tous les dogmes positifs, peut mobiliser largement.　De plus, nul être de communication ne peut se vanter d'avoir en compréhension la totalité des connaissances de son époque　; Ainsi, ce noble chemin nous ne pouvons l'emprunter qu'ensemble.

Et nous avons besoins de cette prise de conscience pour anticiper et faire face aux défis que la mort malicieuse ne manque pas de mettre sur notre route. Cette même mort qui fait sombrer dans l'oubli, véritables ennemis, ce que les générations qui se succèdent peuvent perpétuer.

Nous voilà, encore, à vivre des temps intéressants　! Comment ne pas avoir la volonté commune d'être les fondations de l'avenir sans être hypocrite　? Faisons de ce courrier une part de notre expression vivante　: que chacun y participe par des apports constructifs, synthétiques et pertinents　; que chacun le diffuse de même en toute bonne volonté.

C'est quoi, cette rose ?

C'est bien gentil, mais cela ressemble à un discours... ne vous fâchez pas... disons : issu d'une secte...

Maintenant ce n'est peut-être pas le cas.

J'aimerai sincèrement comprendre le but de votre démarche.

La rose dans ce contexte (Etait-ce bien utile de citer le texte en entier ?) est un symbole évocateur à décripter de bas en haut : un chemin semé d'épines aboutissant à un coeur épanoui.

Une allégorie de la lute contre l'égo pour accéder à la compréhension.

Une secte ? Non. Voulez-vous dire que mon message est injuste ou la réciproque ? Le but me semble décrit dans le texte.

Second sujet que je lis de vous...

Qui laisse une impression étrange...

Comme un arrière-goût de prosélytisme...

Des mots qui se veulent beaux et forts pour des idées qui se veulent belles et fortes... un rien "hermétique" votre texte... Pas à la porté de toutes les personnes de bonne volonté ou non...

Et qui pourtant dit comme cela ne m'appâte pas du tout...

Peut-être que d'autres trouveront en eux un écho à vos mots...

Je dois être une personne de mauvaise volonté...

Et pourtant je me dis que j'espère que votre volonté n'est pas d'appâter, d'apprivoiser les "fragiles" pour mieux les "manipuler"...

J'espère me tromper...

Parce que finalement, nous faisons tous plus ou moins du prosélytisme pour nos idées... Et c'est humain et non condamnable quand c'est sans intention de nuire ou de tirer profit...

Je crois comprendre votre sentiment et j'y vois en partie (en partie seulement car, pour le moins, vous réagissez) mon échec. Je m'y attendais car même si je fais de mon mieu, pour autant aucun texte ne peut être parfait.

Pourriez vous solliciter votre bonne volonté afin de l'améliorer à votre sens ?

Par contre il me semble contradictoire de considérer un texte à la fois prosélite et hermétique, aurais-je réussi un grand écart ou auriez vous une piètre estime de nos contemporains ?

Accessoirement, trouvez vous mal de chasser le mal ? A la réponse à cette question vous trouverez si vous êtes de bonne où mauvaise volonté.

Bonsoir , votre lettre me semble effectivement obscure, et je ne suis pas sur de bien saisir tous ce qu'y est écrit. Mais le sujet m'intrigue et il n'y a pas beaucoup de réponse . Je relance donc la question quel est le but d'une telle démarche ? A la question : est il mal de chasser le mal ? je répondrai que fondentalement , non mais ce que je définis comme mal sera diférent pour mon voisin , donc c'est une reponse a nuancer ...

La rose dans ce contexte (Etait-ce bien utile de citer le texte en entier ?) est un symbole évocateur à décripter de bas en haut : un chemin semé d'épines aboutissant à un coeur épanoui.

Une allégorie de la lute contre l'égo pour accéder à la compréhension.

Une secte ? Non. Voulez-vous dire que mon message est injuste ou la réciproque ? Le but me semble décrit dans le texte.

Ben nan, c'était pas utile de citer le texte en entier, au vu de la faible distance entre le lancement et les réponses.

Je trouve que pour un coeur se voulant épanoui, tu laisses suinter de ton expression écrite une sorte d'aggressivité sournoise qui ne présage pas d'une grande bonhomie, en tout cas.

P : Je trouve que pour un coeur se voulant épanoui, tu laisses suinter de ton expression écrite une sorte d'aggressivité sournoise qui ne présage pas d'une grande bonhomie, en tout cas.

G : Que cherchez vous pour juger de ma bonhomie ? Comment pouvez-vous y voir "une sorte d'agressivité sournoise" ? Certains pensent que ma gentillesse est une faiblesse, d'autres (et parfois même les mêmes !) pensent que je veux les arnaquer... Mais je n'ai rien a vendre : Ce que je mets en avant vous appartient déjà. Certes je serais gagnant, comme chacun de nous, si nous étions plus conscients.

Bonne question. Je crois que je cherche le paradis.

P : Je crois que je cherche le paradis.

G : Je vous souhaite de le trouver en votre temps. Nous avons beaucoup d'amour à donner avant ce temps.

Salut Genesiis,

En terme concret, tu proposes quoi ?

Quels actes, quel agir ?

P : Je crois que je cherche le paradis.

G : Je vous souhaite de le trouver en votre temps. Nous avons beaucoup d'amour à donner avant ce temps.

Tu n'as pas compris, peut-être : je cherche le paradis ici et maintenant, le paradis terrestre.

Tu vas toujours tout droit et lundi prochain tu tournes à gauche.

Oki je sors !

Je crois pas que ce soit une question de localisation géographique.

babrius : En terme concret, tu proposes quoi ? Quels actes, quel agir ?

G : Permettez que je vous envoie au sujet "Serment de personnes de bonne volonté" car à mon sens (mais peut-être veuillez vous suivre une autre voie) ce serment est le premier acte concrétisable, sachant que la présente lettre est le fruit du deuxième serment (bien qu'en fait elle ai été réalisée avant, mais peu importe). Vous même, voyez-vous d'autres pistes ?

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P : Je crois que je cherche le paradis.

G : Je vous souhaite de le trouver en votre temps. Nous avons beaucoup d'amour à donner avant ce temps.

P : Tu n'as pas compris, peut-être : je cherche le paradis ici et maintenant, le paradis terrestre.

G : Es-ce uniquement pour vous (et votre famille (qui a elle-même une famille...) ?) ou pour tout à chacun ? Je pense que si définissiez le plus exactement possible ce que vous voulez comme paradis au monde (?), alors vous verriez la voie pour y accéder. C'est ce que j'entendais par "beaucoup d'amour à donner".

Je crois comprendre votre sentiment et j'y vois en partie (en partie seulement car, pour le moins, vous réagissez) mon échec. Je m'y attendais car même si je fais de mon mieu, pour autant aucun texte ne peut être parfait.

Pourriez vous solliciter votre bonne volonté afin de l'améliorer à votre sens ?

Par contre il me semble contradictoire de considérer un texte à la fois prosélite et hermétique, aurais-je réussi un grand écart ou auriez vous une piètre estime de nos contemporains ?

Accessoirement, trouvez vous mal de chasser le mal ? A la réponse à cette question vous trouverez si vous êtes de bonne où mauvaise volonté.

Certaines personnes font du prosélytisme en mélant les mots simples et un peu plus "rares", en faisant en même temps un peu d'appel aux sentiments tout en se drapant dans la raison, en faisant semblant de tendre la main pour mieux prendre aux personnes qui pretent l'oreille, en jouant la carte de la démagogie tout en donnant l'impression que de comprendre fait que l'on fait partie d'une élite,...

L'art d'attirer l'attention, de la fixer, de manipuler fait qu'il faut parfois utiliser plusieurs registres pour "hypnoptiser" les personnes...

Votre texte est à la fois un appel aux beaux sentiments donc joue la carte de la simplicité et en même temps certains mots sont d'un niveau différent : beaucoup plus intellectuel, beaucoup plus philosophique en quelque sorte...

Je n'ai pas une piètre estime de tous mes contemporains...

J'ai une piètre estime de certains de mes contemporains...

Qui justement ont l'art et la manière d'appâter ceux qui souffrent, qui sont fragiles...

Je ne dis pas que vous êtes comme ceux-là...

Juste que votre texte me fait penser à ce type de quête...

Et oui vous réussissez un grand écart : l'idée de base que vous développez à votre manière est "bonne". Qui peut dire qu'il préfère voir le mal régner que le bien ?

Sauf que finalement vous n'arrivez pas à emporter l'adhésion disons totale...

Et la question que vous me posez "Accessoirement, trouvez vous mal de chasser le mal ?" montre bien le grand écart que vous faites et que vous nous demandez de faire...

Répondre non serait faux car si le terme de chasser me semble trop fort, je dirais moi plutôt ne pas l'encourager lutter quand nous rencontrons des personnes que nous croyons animés de mauvaises intentions pour que leurs impacts soient moindre...

Répondre oui serait faux aussi car cela ne tiendrait pas compte de ce que je sous entends par là et qui n'est pas forcément ce que je retrouve dans votre texte, je ne veux pas vous donner un blanc-seing...

Je crois qu'au final les personnes qui veulent vraiment parler aux coeurs des hommes n'emploient que rarement votre style littéraire...

Des mots simples sont le moyen le plus sur et le plus court pour y arriver...

Les votres me font penser à ceux des prêcheurs...

Mes mots ne veulent pas vous faire du mal, juste vous me demander de préciser, je précise donc...

Mon impression première ne se trouve que conforter par votre réponse...

Et pour conclure ma réponse, je dirais que vous ne pouvez me tenir rigueur d'agir pour lutter contre ce que je considère comme potentiellement "mal" et à risque... J'avertis juste qu'il faut parfois se méfier des personnes qui manient aussi bien les mots...

J'espère juste pour vous et ceux qui vous liront et qui trouveront un écho en eux de vos mots, que vous êtes sincère et dénuè de mauvaises intention...

Merci a vous mimisoleil. Le soucis que j'ai actuellement est que je vois partout autour de moi les gens se mettrent en garde contre tout et n'importe quoi. Certes, ce n'est pas injustifié contre les choses du monde. Mais voilà, nous nous mettons en garde contre le bien également ; pour ce que vaut l'expression : nous jetons le bébé avec l'eau du bain. N'es-ce pas ainsi que le mal gagne, par dérision du manichéisme ?

Depuis longtemps nous sommes prévenu : nous devenons gris. Parce que nous le voulons bien.

Après avoir longuement réfléchi : Je fais mon devoir.

Quelle part de vous trouve le terme "chasser" trop fort ?

Vois-tu Genesis, je mange, je chie, je pisse, je dors, j'ai besoin de chauffage, d'un toit, de me laver etc...

Il semble que tu n'aies pas de corps puisque pour toi les seuls actes concrets sont des mots. Mais en ce cas nous ne sommes pas sur le même plan d'existence. Communiquer ensemble ne nous sert alors à rien.

Car mon intellect se porte bien, n'a aucun besoin d'élévation. Nous sommes nombreux ici à pouvoir écrire la même chose que toi. Et sur internet cela concerne des millions de gens. Ces mots ont déjà été prononcé par des millions de gens, sur des centaines voir des milliers d'année... Le vide ou ça, c'est idem.

Avec 7 milliard de gens, ce qui est maintenant nécessaire, se sont des idées qui vont vers des actes concrets : consommer autrement, produire autrement, vivre matériellement autrement, le reste.... C'est acquis, y en a plus besoin, fini, the end, koblek, za zun ifard...

Chasser fait de nous un prédateur...

Que serait la lutte contre le mal si elle est menée par un prédateur...

Loin de moi l'idée de tendre l'autre joue au "mal" ou aux personnes mal intentionnées...

Loin de moi aussi l'idée de les traquer...

Quand je croise à l'occasion la route de quelqu'un qui me parait mal intentionné, j'essaie d'intervenir à ma petite échelle et il m'arrive souvent de mettre en garde (surtout les adolescents qui sont sur les forums) sur le fait qu'il ne faut pas trop donner d'infos personnelles...

Comme dans la vie réelle, il faut être dans les mêmes rapports de confiance pour se dévoiler un peu, beaucoup, passionnément,...

Je n'irais pas faire une croisade contre le mal, ni une chasse aux sorcières...

Juste si à l'occasion je peux aider, j'aide...

Quand à la méfiance des personnes, il faut bien dire que les faits prouvent que quelques individus ici ou ailleurs, dans la vie réelle ou dans ce monde virtuel inspirent confiance et abusent des personnes...

Je ne dis pas de se méfier de tout le monde mais ici, il manque le regard, les mimiques, les gestes, l'intonation, les sourires ou les non-sourires,... Tous les éléments qui font que l'instinct que nous avons en nous pourraient nous alerter en nous disant : "attention danger !"...

Pour vivre bien, il faut justement savoir que tout le monde n'a pas toujours un comportement bien et ce serait mentir que de dire que tout le monde est blanc-bleu... Comme cela serait mentir de dire que tout le monde est mauvais...

Je crois que nous sommes un peu gris par moment en effet...

Un peu de bien en nous, un peu de mal et parfois l'un prend le pas sur l'autre...

Victime et bourreau tour à tour...

L'homme qui subit au travail et qui fait subir à sa femme en rentrant de son travail...

La femme qui subit dans sa vie privée ou professionnelle ou qui a subi dans son enfance et qui fait subir à ses enfants...

Je ne suis pas un diable ni un ange... Juste une femme... Qui peut faire le bien... Qui peut faire le mal... Selon l'envie le moment... Et nous sommes nombreux comme cela... Qu'un rien peut faire basculer dans l'excès...

Vos mots sont beaux, esthétiquement beaux... Juste comme une oeuvre d'art, l'impression qu'il reflète plus votre réalité que la mienne...

Je vois dans le tableau ce que vous avez voulu mettre et peut-être un peu de ce que vous ne vouliez pas révéler... Je vois un peu de vous et un peu de moi... Un autre verra autre chose... Selon son histoire et son humeur...

Les couleurs sont variées et ne se résument pas à du blanc (bien), à du noir (mal) et à du gris (bien et mal alternativement ou quasi en même temps)...

Une femme peut maltraitée son enfant et être au bénévole auprès des personnes agèes...

Faire du mal à son enfant et se dévouer corps et âmes pour d'autres personnes...

Nous sommes cela...