expérience sur le socialisme

Un professeur d'économie dans un lycée annonce fièrement qu'il n'a jamais vu un seul de ses élèves échouer mais par contre, une année, c'est la classe entière qui a connu l'échec.

Cette classe était entièrement convaincue que le socialisme est une idéologie qui marche et que personne n'y est ni pauvre ni riche, un système égalitaire parfait.

Le professeur dit alors :"OK donc, nous allons mener une expérience du socialisme dans cette classe.

> A chaque contrôle, on fera la moyenne de toutes les notes et chacun recevra cette note. Ainsi personne ne ratera son contrôle et personne ne caracolera avec de très bonnes notes.

Après le 1er contrôle, on fit la moyenne de la classe et tout le monde obtint un 13/20.

Les élèves qui avaient travaillé dur n'étaient pas très heureux au contraire de ceux qui n'avaient rien fait et qui eux étaient ravis.

A l'approche du 2ème contrôle, les élèves qui avaient peu travaillé en firent encore moins tandis que ceux qui s'étaient donné de la peine pour le 1er test décidèrent de lever le pied et de moins réviser.

La moyenne de ce contrôle fut de 9/20! Personne n'était satisfait.

Quand arriva le 3ème contrôle, la moyenne tomba à 5/20.

Les notes ne remontèrent jamais alors que fusaient remarques acerbes, accusations et noms d'oiseaux dans une atmosphère épouvantable, où plus personne ne voulait faire quoi que ce soit si cela devait être au bénéfice de quelqu'un d'autre.

A leur grande surprise, tous ratèrent leur examen final.

Le professeur leur expliqua alors que le socialisme finit toujours mal car quand la récompense est importante, l'effort pour l'obtenir est tout aussi important tandis que si on confisque les récompenses, plus personne ne cherche ni n'essaie de réussir.

Les choses sont aussi simples que ça.

Voici un petit extrait de discours qui résume parfaitement les choses :

"Vous ne pouvez pas apporter la prospérité au pauvre en la retirant au riche.

Tout ce qu'un individu reçoit sans rien faire pour l'obtenir, un autre individu a dû travailler pour le produire sans en tirer profit.

Tout Pouvoir ne peut distribuer aux uns que ce qu'il a préalablement confisqué à d'autres. Quand la moitié d'un peuple croit qu'il ne sert à rien de faire des efforts car l'autre moitié les fera pour elle, et quand cette dernière moitié se dit qu'il ne sert à rien d'en faire car ils bénéficieront à d'autres, cela mes amis, s'appelle le déclin et la fin d'une nation.

On n'accroît pas les biens en les divisant."

>

> Dr. Adrian Rogers, 1931

Je ne suis pas socialiste.

Mais je n'aime pas les blagues carambars.

Surtout celles pleines de sophismes.

-Moi je suis assez d'accord avec cette fable. Heureusement qu'il y a plein de socialiste en France, ça me permet de vivre comme un pacha...Oups, comme un sans papier !! CMU, Alloc, y a bon !!

-Vous aussi, devenez Français, ne foutez rien, et rendez vos papiers !

Mouais, sauf que c'est pas du socialisme que fait ce prof En tout cas, pas tel que je le conçois.

Du gros n'importe quoi.

Un professeur d'économie dans un lycée.... qu'il y reste...

les socialistes sont des utopistes! Ils ne pensent pas que leurs reformes aggravent la vie des classes moyennes et petites.. des reformes progressistes : majorité à 18 ans , légalisation de l' avortement, la loi sur le divorce, la reforme de l'audiovisuel , l'instauration du college unique,la reforme du conseil constitutionnel,ne viennent pas des socialiste s.

"Expérience" merdique.

Appliquer un fonctionnement de société basé sur le collectif à des gens qui raisonnent en individuel ne peut évidemment pas marcher.

Nous avons la preuve aujourd'hui que quel que soit le système, un raisonnement individualiste mène toute société à l'échec.

Quand on inculquera aux mômes la notion de conscience collective au lieu de les gaver de "chacun pour sa gueule", je pense que que que soit le système, cela ira mieux.

Pour le fun, tentons "l'expérience capitaliste" en conditions réelles : 30 élèves dans la classe, de la bouffe pour 20, un sac rempli de biftons et 10 fusils au fond de la salle... C'est quoi le résultat ?

Pour le fun, tentons "l'expérience capitaliste" en conditions réelles : 30 élèves dans la classe, de la bouffe pour 20, un sac rempli de biftons et 10 fusils au fond de la salle... C'est quoi le résultat ?

A ton avis ?

-Si tu me dis, que dans des conditions réel et extrême, tout le monde va se partager le gateau dans la joie et la bonne humeur, alors tu est un bisounours et je comprend pourquoi tu dis que l'expérience sur le socialisme est un exemple de merde.

-Si tu me dis, qu'il va y avoir des bagarres pour savoir qui va manger, qui va tenir les flingue et le fric, alors je ne comprend pas pourquoi tu dis que l'exemple sur le socialisme est un exemple de merde.

Je déteste la TV-réalité, mais elle est pourtant un bon exemple de la preuve que l'être humain est fourbe, manipulateur et qu'il constitue des clans, avec des faibles et des forts. L'égalité n'existe pas, la lutte de pouvoir est omniprésente.

Rendre les gens égaux, c'est les rendre amorphes, et l'expérience sur le socialisme cité plus haut est je trouve très bon. Sans concurrence, sans chef, sans lutte de pouvoir, le peuple se meurt.

ET bien disons que le bisounours (marrant comme cette expression est revenue à la mode avec un coté péjoratif et dédaigneux...) que je suis préférerais que les 30 mômes se partagent le tout et se débarrassent des fusils.

Mais je suis bien conscient que ce n'est pas cela qui se produira...

PS, ouvres les yeux : Avec concurrence (déloyale évidemment car tous les coups sont permis), chefs (usurpateurs), et luttes de pouvoir (fric power) : le peuple se meurt.

Et ça, ce n'est pas une supposition, c'est la réalité.

Donc avoir pour seul idéal l'acceptation de ce monde merdique, je trouve cela un peu limité. C'est marrant comme il est devenu de bon temps de cracher sur ceux qui souhaitent un monde meilleur pour la collectivité...

Ou ne serait ce pas plutot que les partisans de ce système de merde préfère inculquer à tous qu'il n'y a aucune option ?

Cette experience me fais penser au film La Vague (Die Welle en VO). Faudrait que j'arrive à le voir, mais c'est un peu le même principe, un prof, une classe, une expérience.

PS, ouvres les yeux : Avec concurrence (déloyale évidemment car tous les coups sont permis), chefs (usurpateurs), et luttes de pouvoir (fric power) : le peuple se meurt.

-C'est le modèle actuel, capitaliste. Le peuple se meurt en partie mais ça augmente la productivité et la compétitivité. Seul les plus faibles reste sur le carreau, ça créer des riches et des pauvres.

-Le modèle socialiste, lui veux créer une égalité qui est techniquement impossible de créer, le peuple de plus en plus assisté fini par ne plus rien faire, il ne réclame ensuite que des droits, et fuit ses devoirs.

-Donc le top, c'est, de sécher les cours...

Ou ne serait ce pas plutot que les partisans de ce système de merde préfère inculquer à tous qu'il n'y a aucune option ?

-Nous sommes coincé, car ce n'est pas tant une question de système, mais surtout de nature humaine; tu auras beau éduqué l'homme dans tout les sens, il renait toujours avec la même nature, avec son amour et sa haine, avec ses forts et ses faibles. Détruit la société et tu t'apercevras en construisant la nouvelle qu'elle n'est pas si différent de l'ancienne, et qu'elle pourrait même être au final bien pire. C'est la dure condition humaine, c'est la sélection naturel, l'homme est un loup pour l'homme.