le Street Art, kézako?!

Le « Street art » est l'art, développé sous une multitude de formes, dans des endroits publiques ou dans la rue. Le terme englobe la pratique du graffiti, du graffiti au pochoir, de la projection vidéo, de la création d'affiche, du pastel sur rues et trottoirs. Le terme « street art » est habituellement utilisé pour distinguer une forme d'art d'un acte de vandalisme réalisé par un individu ou un groupe d'individus qui défendent leur territoire, qui expriment par le billet du graffiti leur appartenance à un groupe ou encore qui désirent passer un message qui n'a aucune valeur artistique.

La valeur subversive du « street art » est très puissante et les motivations qui poussent les artistes à afficher leur art dans la rue sont des plus variées. Parfois par activisme, parfois pour signifier un mécontentement face à un fait de société ou tout simplement pour passer un message percutant, le « street art » est un peu la tribune libre des artistes contemporains.

Il s'agit d'un médium de communication très puissant qui vise un large public puisque facilement accessible et visible.

Certains artistes de la rue voient le « street art » comme un large espace vierge pour réaliser leurs oeuvres alors que d'autres adoptent cette forme d'art dans le but de retrouver les émotions fortes qui émanent des risques encourus par la réalisation de projets sur la propriété privée ou publique (arrestations, contraventions, etc.).

Les techniques utilisées sont variées et de diverses proportions. Bien qu'on ait pu observer les graffitis au cours des dernières décennies, suite aux guerres ou aux soulèvement populaires par exemple, le mouvement a prit son véritable sens vers la fin des années 1970, en Europe. Initialement, le « street art » regroupait particulièrement les artistes graffeurs et était associé à la culture « punk ». Ces artistes utilisaient la peinture en aérosol principalement. Cependant, petit à petit, diverses techniques plus élaborées sont venues se greffer à l'art de la rue. é ce jour, on peut surtout observer l'utilisation de l'aérosol, mais aussi de pochoirs, d'autocollants, de mosaïques composés de petites tuiles et de projections vidéo.

Le « street art » demeure une étiquette souvent utilisée par les artistes qui refusent de se fondre à la masse, qui veulent détonner en affichant leurs visions politiques, ce qui les blessent, ce qui les répugnent ou les font réagir, sans toutefois être associés à une forme d'art, un mouvement, un groupe particulier. Les artistes de la rue sont en somme ces réfractaires qui désirent performer sans autorisation, sans consentement préalable, sans tabous et sans limites. On peut observer le « street art » partout au monde, puisque ce dernier n'a pas de frontières, pas de sexe, pas de délimitation établie. C'est ce qui en fait sa grande originalité et sa popularité de plus en plus vaste.

Certains pays et certaines villes possèdent par contre de puissantes législations contre ce type d'art. Ainsi, un « street artist » peut se retrouver parfois avec de lourdes contraventions, voire même des peines d'emprisonnement dans certains cas.

Il s'agit là sans doute d'un grand facteur de motivation pour certains.

J'en pense du bien, je reviens

Miss'Tic... j'adore

pour Miss tic !

plus développé et pourtant ça date..

Muto :

ici

Du trompe l 'oeil à gogo !!!!!!

Miss.Tic ... géniale à en pleurer =')) *vénération!*

Dans le "Street Art", appellation que je découvre, je découvre beaucoup de messages qu'ils soient bon ou mauvais, je les voie, je les regarde, il se porte à mon attention.

Ces mosaïques sous forme de messages à déchiffrer, posées volontairement en des endroits forts, j'ai schooter un sex de femme en pleine angle d'une rue qui avait des ressortis superbe, mais dans son quartier

ces collages "lézards" déposés volontairement afin de passer un message de renoncement, de prise de conscience mais aussi sous forme artistique qui fait son oeuvre,

les graffitis bombés, ont été et sont encore une forme d'expression artistiques avant que certains s'en empare afin de passer des vocabulaires incompris de tous, une sorte de tatouage, à la différence que celui ci ne reste qu'un certain temps et que comme son message, sa direction changera.

L'art de la rue est a elle et lui se sert d'elle pour s'exprimer. Il vaut mieux une galerie de plein air qu'un Saint Germain à 2000 la semaine.

La rue exprime une tendance de son temps et libre à elle de se laisser faire car ses parois sont offertes à ces expressionnistes qui offre leur expression d'un entourage qui les concerne.

J'aime l'art sous sa forme de positivité et non sous sa forme de culpabilité.

Mais à l'écrire il est vrai qu'une bonne prise de conscience lui sert aussi donc je suis pour sa continuité

Allez Mambo, en marche !!

La définition du graffiti se résume pour beaucoup à un vulgaire aplat de peinture sur un environnement urbain...

Et bien NON!!

Le reverse graffiti, ou l'art du graph version écologique!!

Du nettoyage des parois polluées, à la peinture à la terre en passant par l'incorporation de mousse végétale... tout est bon pour faire passer son méssage!!

Pourquoi pas, la solution pour ralier les plus endurcis combatants ce cet art de la rue...

et donc, pour illustrer le propos, quelques exemples...

Paul Curtir, ou Moose.

Sa technique, le contraire même du principe de la peinture, où là, on pose une couche de matière. Lui, il nettoie!! c'est en enlevant trace de pollution, saleté et autre crasse qu'il modèle ses dessins.

Alexandre Orion

Il utilise la même technique que le précédent, pour se qui est du graffiti. (mais il fait également de l'affichisme mis en scène)

Jesse Graves

sa technique, le mudstencil.

Lui garde la technique "base" du pochoir, mais ne peint pas avec de la peinture, c'est de la terre humide qu'il pose, le plus souvent au sol (question de maintient!)

et une dernière, et non pas des moindre, car plus... technique si l'on peut dire...

Anna Garforth

Cet artiste reprend elle aussi le principe du pochoir, mais pour y mettre de la mousse végétal! Les opposants les plus vigoureux aux graffitis ne pourront donc rien dire ici sur la dégradation de l'environnement, puisque l'oeuvre s'intègre à son support, tout en le respectant, jusqu'à l'épouser et faire corps avec... Ils vivent, ils évoluent ensemble...

J'ai beaucoup de photo d'un art de rue que je vis en le voyant mais certaines des tiennes sont très belles, surtout la "Spore", j'aime beaucoup.

La "peel my skin" est touchante à l'attention de gens mal intentionnés à mon goût.

je ferais bien un porte manteau de ta barrière à vélo

le grafitti, un art

Johnny Robles - Miami

Le "Chalk art" dessin à la craie par David Zinn

Mon lien

WD

http://www.wdstreetart.com/

 

Bonjour,

Mon artiste de street art favori, le berlinois EVOL.

http://evoltaste.com/

 

Je constate que "street Art" tu l'écris bien, mais "qu'es aquo", pas du tout...

Désormais j'écrirai "stritarte" ! Et c'est pas de la tarte...

Martin RON, Buenos Aires

http://buenosairesstreetart.com/2012/11/martin-ron-interview-about-his-new-mural-at-meeting-of-styles/

 

MTO, Rennes

http://www.street-art-avenue.com/biographie-de-mto

 

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