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La philosophie


alexdesdébats

Messages recommandés

Membre, 42ans Posté(e)
alexdesdébats Membre 4 280 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
Posté(e)

C'est juste un post pour savoir votre vision de la philosophie...

"Sans lecteurs, il n'y a pas d'écrivains et sans philosophie, il n'y a pas d'humain" (citation d'alexdesdébats FFR)

Essayons ensemble d'atteindre le meilleur niveau de tous cette rubrique ici!

(je vous laisse commencer, éblouissez moi!)

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Membre, Empecheur de debattre en rond!, 34ans Posté(e)
tom777 Membre 2 055 messages
34ans‚ Empecheur de debattre en rond!,
Posté(e)

La phylosophie est la preuve qu'un peuple

est évolué...

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Membre, 42ans Posté(e)
alexdesdébats Membre 4 280 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
Posté(e)

Non... La philosophie est la preuve de l'existance humaine!

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Invité château
Invités, Posté(e)
Invité château
Invité château Invités 0 message
Posté(e)

La volonté ne peut-elle avoir de limites ?

En d'autres termes, Icare ne s'est-il brûlé les ailes au Soleil et n'est ce pas cela surtout qui faisait sa beauté (à Icare, mais le soleil aussi)

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Membre, 42ans Posté(e)
alexdesdébats Membre 4 280 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
Posté(e)

En d'autres termes, Jésus serait-il Jésus sans Judas...

Ce sujet n'est pas un regroupement de sujet mais plus un raisonnement philosophique sur la philosophie...

La première réponse était plus dans le fond du sujet exploité bien que l'on puisse amorcer une forme de lien sur n'importe laquelle des réponse!

Alexdudébat serait-il sans FFR?

Nous dérivons dans la réfexion initiale par l'exemple plus ou moins métaphorique quand celui ci n'est qu'une sorte d'amorce!

La réfexion personnelle est un monologue il ne faut pas l'oublier!

L'humain a la capacité d'analyser son environnement par lui même et il en est ainsi pour sa réflexion.

L'aide extérieur ne peut qu'éveiller un raisonnement qui n'arrive pas de lui même à faire surface! (selon moi bien sur... et c'est ce qui fait que ma réfexion reste unique)

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Membre, 42ans Posté(e)
alexdesdébats Membre 4 280 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
Posté(e)

Bon, je vous laisse un temps de réflexion car le but (ou plutot le défis) est de m'éblouir car personnellement, je pense intimement le pouvoir et souhaite désespérement quelqu'un pour m'envoyer ce sentiment qui jusque là m'est inconnu... :yahoo:

Bien sur, ce message est le comble de la philosophie et ceux qui pensent pouvoir le faire son capable de ne pas se sentir attaqué dans leur orgeuil personnel!

Mégalomane diraient certains? Merci, celà me conforte dans mon opinion...

J'aimerais simplement distinguer quelqu'un à mes yeux d'une manière à connaitre profondement ceux à qui je m'adresse!

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Invité Dostoievski
Invités, Posté(e)
Invité Dostoievski
Invité Dostoievski Invités 0 message
Posté(e)
Non... La philosophie est la preuve de l'existance humaine!

Dans quel sens la philosophie serait-elle la preuve de l'existence humaine ?, c'est un peu vague comme raisonnement, en revanche la philosphie permet aux plus ignorants de paraitre intelligents, dans un point de vue intellectuel là aussi.

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Membre, 66ans Posté(e)
venus23H Membre 3 069 messages
Baby Forumeur‚ 66ans‚
Posté(e)

Dans la mesure ou il résulte d'un questionnement de la conscience humaine sur ce qu'elle est elle meme et sur ce qui l'entoure, la philosophie pour moi est une analyse de ce grand objet qu'est notre univers et qui s'éssaye a comprendre qu'elle place l'humain occupe.. Elle tente a décrypter les choix de la sagesse humaine, mais pour ce que l'humain prétend lui meme connaitre!Les éléments qu'elle observe deviennent des pistes pour les hypothèses diverses qui servent la science et parfois organise la prise en compte des consciences dans leurs diversités.. :yahoo: je sais que tu vas trouver ici arguments a discuter sur mon opinion Alex mais bon j'ai tenté!!!

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Membre, Posté(e)
La Folie Membre 3 905 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

La philosophie... c'est quand la raison cherche des raisons. :yahoo:

Et si on ne cherche pas de raisons alors il n'y a pas de raison d'être pour la philosophie. :rtfm:

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Membre, 67ans Posté(e)
danielfr40 Membre 1 719 messages
Baby Forumeur‚ 67ans‚
Posté(e)

je ne suis pas d'accord

on peut écrire sans lecteur, et on peut exister sans philosopher

philosopher semble bien vain, c'est souvent tourner en rond

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Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 580 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

bonjour . la philosophie ? pour moi, serait ( l expression ) de la ( sagesse ) humaine , ( dèclamèe ) par des personages dit sages et reconnut en temps que tel . socrate , aristophane , confusius , bergson , kant , j en passe et des meilleurs ( que de fautes que de fautes ) . certain personnage , aurais affirmès que " les sages sont des fou pour dieu " chacun de ceci , expliquant le monde , les travers humains et peut-ètre aussi la meilleur façon de vivre dans ce monde dangereux mais aussi , une ( façon ) de vivre la vie , en respectent autrui , la nature et le reste ce qui permètrait de mourir a la fin de sa vie ( naturellement ) avec la satisfaction du devoir accomplit . prendre la vie avec philosophie oui mais , certain ne le peuvent , obligès d assurer leur subsistance envers et contre tout sans le mental d un philosophe ou d une philosophie . que dire d autre ? la philosophie permètrait de s èlever au dessus de l instinct animale qui est en nous et de nous èlever au sommet de la sagesse dont nous serions les reprèsentants et les ( dèpositaires ) èlus et consentant ? permettant ainsi , un èquilibre entre les humains , la nature et la paix de notre concience ? ( pardont pour les fautes ) . bonne soirèe .

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Invité Dostoievski
Invités, Posté(e)
Invité Dostoievski
Invité Dostoievski Invités 0 message
Posté(e)
je ne suis pas d'accord

on peut écrire sans lecteur, et on peut exister sans philosopher

philosopher semble bien vain, c'est souvent tourner en rond

J'ajouterai peut-on philosopher sans les outils necessaires dans le sens intellectuel (éducation)

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Membre, 32ans Posté(e)
Nîghtfall Membre 111 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
Posté(e)

La seule chose que j'ai appris en philosophie c'est que je ne suis pas une chaise.

Inutile quand même :yahoo:

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Invité château
Invités, Posté(e)
Invité château
Invité château Invités 0 message
Posté(e)
Bon, je vous laisse un temps de réflexion car le but (ou plutot le défis) est de m'éblouir car personnellement, je pense intimement le pouvoir et souhaite désespérement quelqu'un pour m'envoyer ce sentiment qui jusque là m'est inconnu... :yahoo:

Bien sur, ce message est le comble de la philosophie et ceux qui pensent pouvoir le faire son capable de ne pas se sentir attaqué dans leur orgeuil personnel!

Mégalomane diraient certains? Merci, celà me conforte dans mon opinion...

J'aimerais simplement distinguer quelqu'un à mes yeux d'une manière à connaitre profondement ceux à qui je m'adresse!

Que fais-je là ?

Le dard des rayons solaires transperce le feuillage du bouleau.

La lame des nuages s'accroche au papier glacé du ciel.

Un oeil cyclopéen nous surplombe et nous marie de force,

Moi allongé auprès de cet arbre, les piaillements des passants sur le chemin,

Ainsi que l'herbe dont les multiples piques irritent mon dos et ma nuque.

Le cours du ruisseau émet des clapotis tels les cliquettements de chaînes

Du fantôme de quelque prisonnier guettant la venue de la nuit.

Nulle compassion dans les dégradés de verdure du feuillage,

Ni dans les anfractuosités du tronc de ce bouleau visible prés de moi.

Pas de rescousse à travers le chant de l'oisillon au loin,

Non plus dans la trace laissée par le passage, très haut, de l'avion.

Que fais-je là ?

Rien ne me parle ni ce livre ouvert prés de mon épaule,

Racontant une histoire nullement la mienne

Non plus l'idée initiale m'ayant conduit dans ce Bois isolé tel une île,

Un but non atteint en ce lieu aux limites très perceptibles,

Telles les mailles blessantes d'un gigantesque filet.

La position cadavérique me sied mal, je me redresse, m'approche du ruisseau

Et me laisse contempler avec cynisme par les cailloux, les brindilles,

Réalités plus consistantes que la mienne ; je pourrais être mort,

Mes mouvements tels le fantasme de quelque Démon tapi dans le sous-sol

De cette partie de la ville, dépourvus de toute utilité ou logique,

Me donnent l'impression de faire intrusion dans le rêve d'une créature inconnue.

Que fais-je là ?

Observant les mouettes à la dérobée, sous le vent, comptant les vagues,

Le coeur ne connaissant la liesse, l'esprit éternellement insatisfait,

Je voudrais devenir la mer, ou les rochers battus par le ressac,

Ne plus penser, demeurer statufié en hommage à la minéralité, à la liquidité,

Egailler le décor écumeux offert à la vision de quelque Dieu dissimulé

Derrière le ciel bleu, impitoyable prédateur.

La perfection de l'arrangement des bateaux, des vagues, des rochers, des mouettes,

Emporte mon âme aux confins de la réalité, l'incongruité des pavés, de la rambarde

Retenant mon corps à la manière d'un cercueil dans les entrailles de la Terre,

Que fais-je là ?

Nul ne le sait.

:rtfm:

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Membre, 42ans Posté(e)
alexdesdébats Membre 4 280 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
Posté(e)
:rtfm: je sais que tu vas trouver ici arguments a discuter sur mon opinion Alex mais bon j'ai tenté!!!

Rien que pour ca, je ne remets rien en question et dans un sens je suis élouis par la fin! :yahoo:

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Membre, 42ans Posté(e)
alexdesdébats Membre 4 280 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
Posté(e)

Pour Merle, c'est pas les pautes qui font que c'est difficile à lire mais plutot le fait d'en faire un tas... Aère tes textes, penses aux gens en état d'ébriété qui aimeraient le lire!

Regardes par exemple, mon texte est ahéré est plus lisible, il n'en est pas pour autant plus constructif car pour ma part il est plat est sans aucunes vies...

Mais plus accessible pour une majorité selon des études antropologiques sur les lecteurs dans leur globalité... En bref, je le relirais plus tard! (inutile de te repréciser pourquoi.. :o° ) Mais ca m'a l'air pas mal!

La seule chose que j'ai appris en philosophie c'est que je ne suis pas une chaise.

Inutile quand même :yahoo:

Pas compris mais bon... :rtfm:

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Invité château
Invités, Posté(e)
Invité château
Invité château Invités 0 message
Posté(e)

La télé braille la poussière est lasse le temps a assagi le mobilier.

Ne reste que la téléspectatrice fascinée par les images de l'écran.

Comme l'électricité la conscience de la femme est là, existante,

Insistante, persistante, se maintenant au-dessus de l'usure de l'appartement.

Parfois sonne le téléphone, une voix familière s'enquiert des nouvelles.

Il n'y en a pas, seulement les heures qui jasent emplissant le morne espace,

le vent soufflant au-dehors courbant le cou des passants incroyablement,

lentement, bizarrement, faufilant leurs carapaces au sein des ruelles.

Au centre de la pièce un miroir renvoie le reflet des mouvements cathodiques,

les clignotements de la télé rivant les prunelles de la femme assise, n'attendant plus.

Les portes environnantes fermées écartent les démons d'une ancienne vie.

Les jours passent, invariables, sans soucis, plus de mutineries, naïve candeur

d'un for intérieur éternellement soulagé, délesté des rigueurs de ce qui n'est point.

Une nourriture artificiellement renouvelée règne sur ce monde solitaire.

Il en faut peu, drôle de misère, spirituelle, affective, existence qui s'ignore,

Un tableau, un égo, une malice qui s'envole, s'enfuit dans les entrailles du téléviseur.

Les années s'égrènent qui ne comptent plus, les guerres sont loin, les besoins sont dedans,

Ainsi la marche naturelle d'un Ogre géant voûté sous le plafond du Néant ;

Une nuit vivante, une créature gigogne sommeillant à jamais, des toussotements irrépressibles

Montant des tréfonds de la gorge épanouie d'une femme capable de s'extraire

Du périmètre millimétré, anguleux, éclairant, braillant, de son écran de télévision.

La poussière retombe, le téléphone sonne, une voix familière fuse, c'est le début et la fin

Du geste vital unique réitéré mélodieusement au fil des heures sombres

Enrobant une existence ramenée à sa plus basique expression.

:yahoo:

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Membre, 42ans Posté(e)
alexdesdébats Membre 4 280 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
Posté(e)
Que fais-je là ?

Le dard des rayons solaires transperce le feuillage du bouleau.

La lame des nuages s'accroche au papier glacé du ciel.

Un oeil cyclopéen nous surplombe et nous marie de force,

Moi allongé auprès de cet arbre, les piaillements des passants sur le chemin,

Ainsi que l'herbe dont les multiples piques irritent mon dos et ma nuque.

Le cours du ruisseau émet des clapotis tels les cliquettements de chaînes

Du fantôme de quelque prisonnier guettant la venue de la nuit.

Nulle compassion dans les dégradés de verdure du feuillage,

Ni dans les anfractuosités du tronc de ce bouleau visible prés de moi.

Pas de rescousse à travers le chant de l'oisillon au loin,

Non plus dans la trace laissée par le passage, très haut, de l'avion.

Que fais-je là ?

Rien ne me parle ni ce livre ouvert prés de mon épaule,

Racontant une histoire nullement la mienne

Non plus l'idée initiale m'ayant conduit dans ce Bois isolé tel une île,

Un but non atteint en ce lieu aux limites très perceptibles,

Telles les mailles blessantes d'un gigantesque filet.

La position cadavérique me sied mal, je me redresse, m'approche du ruisseau

Et me laisse contempler avec cynisme par les cailloux, les brindilles,

Réalités plus consistantes que la mienne ; je pourrais être mort,

Mes mouvements tels le fantasme de quelque Démon tapi dans le sous-sol

De cette partie de la ville, dépourvus de toute utilité ou logique,

Me donnent l'impression de faire intrusion dans le rêve d'une créature inconnue.

Que fais-je là ?

Observant les mouettes à la dérobée, sous le vent, comptant les vagues,

Le coeur ne connaissant la liesse, l'esprit éternellement insatisfait,

Je voudrais devenir la mer, ou les rochers battus par le ressac,

Ne plus penser, demeurer statufié en hommage à la minéralité, à la liquidité,

Egailler le décor écumeux offert à la vision de quelque Dieu dissimulé

Derrière le ciel bleu, impitoyable prédateur.

La perfection de l'arrangement des bateaux, des vagues, des rochers, des mouettes,

Emporte mon âme aux confins de la réalité, l'incongruité des pavés, de la rambarde

Retenant mon corps à la manière d'un cercueil dans les entrailles de la Terre,

Que fais-je là ?

Nul ne le sait.

:yahoo:

Ca sent l'absinthe et le plagiat mais je vais lire quand même... :rtfm:

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Invité château
Invités, Posté(e)
Invité château
Invité château Invités 0 message
Posté(e)

nan ça sent le château, c'est purement de moi.... (j'ai publié pas mal sur "jepoème", si tu veux ^^

mon pseudo là bas : architeutisdux)

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Membre, 42ans Posté(e)
alexdesdébats Membre 4 280 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
Posté(e)
La télé braille la poussière est lasse le temps a assagi le mobilier.

Ne reste que la téléspectatrice fascinée par les images de l'écran.

Comme l'électricité la conscience de la femme est là, existante,

Insistante, persistante, se maintenant au-dessus de l'usure de l'appartement.

Parfois sonne le téléphone, une voix familière s'enquiert des nouvelles.

Il n'y en a pas, seulement les heures qui jasent emplissant le morne espace,

le vent soufflant au-dehors courbant le cou des passants incroyablement,

lentement, bizarrement, faufilant leurs carapaces au sein des ruelles.

Au centre de la pièce un miroir renvoie le reflet des mouvements cathodiques,

les clignotements de la télé rivant les prunelles de la femme assise, n'attendant plus.

Les portes environnantes fermées écartent les démons d'une ancienne vie.

Les jours passent, invariables, sans soucis, plus de mutineries, naïve candeur

d'un for intérieur éternellement soulagé, délesté des rigueurs de ce qui n'est point.

Une nourriture artificiellement renouvelée règne sur ce monde solitaire.

Il en faut peu, drôle de misère, spirituelle, affective, existence qui s'ignore,

Un tableau, un égo, une malice qui s'envole, s'enfuit dans les entrailles du téléviseur.

Les années s'égrènent qui ne comptent plus, les guerres sont loin, les besoins sont dedans,

Ainsi la marche naturelle d'un Ogre géant voûté sous le plafond du Néant ;

Une nuit vivante, une créature gigogne sommeillant à jamais, des toussotements irrépressibles

Montant des tréfonds de la gorge épanouie d'une femme capable de s'extraire

Du périmètre millimétré, anguleux, éclairant, braillant, de son écran de télévision.

La poussière retombe, le téléphone sonne, une voix familière fuse, c'est le début et la fin

Du geste vital unique réitéré mélodieusement au fil des heures sombres

Enrobant une existence ramenée à sa plus basique expression.

:yahoo:

Ne pas confondre littérature, poésie et philosophie... Je préfère le 2eme mais je ne suis pas fan pour autant!

(désolé pour ma sincérité... Il est vrai qu'il est plus appréciable d'entendre un hypocrite!

Pour ma part, je préfère la sincérité!

Re: Mais il est vrai que je suis blasé par nature d'où ce sujet à la recherche d'autre chose peut-être innateignable mais que je peux mesurer par la requête initiale! :rtfm:

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