peut on aider un depressif?

salu les gens!

alors mon problème actuel, c'est que j'ai un ami tres proche qui souffre de dépression je pense (je ne suis pas medecin, donc c'est un diagnostic a vue d'oeil basé sur mes impressions perso).

c'est a dire qu'il est quasi enfermé sur lui meme, il ne fréquente personne d'autre que moi, ne veut rien, n'a envie de rien, ne crois en rien, ne dit rien, bref il est empli de... vide. ah si, il a quand une energie formidable qu'il consacre exclusivement a la mauvaise foi:

tout ce qu'il me repond a chacune de mes tentatives d'aide c'est "A QUOI BON?".

bref, il est blazé de la vie.

de mon coté j'estime avoir tout tenté et etre a court d'idées là.

je fini meme par me laisser contaminé et penser que c'est peut etre lui qui a raison, que toute mes tentatives pour lui faire voir la vie en rose ne sont qu'illusions et supercheries.

si il est aussi bien dans son mal etre et se complait a attendre sa mort pourquoi me tracasser a le changer?

bref, aidez moi a l'aider, si c'est possible!

la première aide à lui apporter et de lui conseiller de consulter un médecin qui diagnostiquera dépression ou pas ... La dépression est une vraie maladie on n'en sort pas par un coup de baguette magique ou par des mots ... pour soigner ses maux il faut malheureusement en passer par une aide médicale (médocs + suivi ).

Ne dis pas le contraire de ses propos.. quand tu l'écoutes soit confirmant au départ et développe avec lui pour aller plus en avant dans la communication.. même si ca n'abouti pas il consacrera ce temps a son analyse et conclura peut etre plus précisément grâce a toi.. Apporte lui plutot de la "solidarité" dans ses propos pour qu'il s'accroche a toi pour sortir de sa déprime.. mais c'est trés long et pas facile.. sans admettre par exemple quand il dit qu'il est inutile.. tu rajoutes que l'inutilité n'existe que si la personne semble ne pas vouloir exister.. il va etre OK mais va se lancer plus loin.. et tu le fait avancer en douceur dans son approche.. bon courage a toi.

J'ai déjà répondu plusieurs fois à ça.

La seule chose à faire avec un dépressif est surtout de le laisser tranquille et de se comporter avec lui comme si de rien n'était.

Plus tu insistes en voulant le faire sortir, lui en parler, et plus tu lui mets sa souffrance au visage et plus il se bloque, puisque ce sont les autres, les données extérieures dont il est sursaturé.

Il n'est pas rempli de vide, il ne croit pas à rien, il n'est pas blasé de la vie.

Au contraire, quand on fait une dépression c'est que le cerveau est plus que sursaturé d'informations, comme un disque dur plein, comme un processeur qui n'arrive plus à traiter le trop plein d'informations qu'on lui envoie.

Par exemple quand plusieurs personnes lui parlent en même temps ou que le téléphone sonne, c'est déjà énorme qu'il réponde à une seule personne. Et tant pis pour ceux qui ne comprennent pas, que ça agace, qui prennent ça pour de l'impolitesse.

Aujourd'hui encore le téléphone, je réagis encore rarement à la sonnerie. Ah oui le téléphone sonne, et alors ? La plupart du temps on me fait remarquer que le téléphone sonne. Je ne l'entend même pas. Et quand je l'entend, la notion d'urgence a totalement disparu de mon cerveau.

Cela fait 10 ans que je suis en dépression, et malgré que j'ai appris à pas trop mal la gérer, à faire avec certaines choses, que j'ai pris certains automatismes, régulièrement, tous les mois ou deux mois, selon, le cerveau ferme les écoutilles et ne peut plus rien enregistrer. Au point que même dire bonjour à ma pharmacienne préférée me coute une énergie telle que je mets deux jours à m'en remettre. Et au bout d'une semaine, terminé, j'ai l'esprit relativement assez clair pour aller bosser à mon petit rythme.

Quand on fait de la dépression on fait de la bradypsychie. On a le cerveau qui, sans prévenir tourne à zero pendant des heures ou des jours, puis, sans raison apparente se met à tourner à plein régime à tous les niveaux pendant quelques minutes ou quelques heures.

Dans les deux cas on est pas au rythme des autres, impossible de communiquer. Et on mets plusieurs jours à être épuisé, à dormir comme si on avait avalé des somnifères.

Des visites chez le psychiatres régulières, des médicaments adaptés, pas forcement très forts, et surtout du temps, des années en général, du repos, arrêter le boulot et en recommencer un autre six mois ou un an après.

S'habituer à ne pas faire attention aux réactions des autres et aux idées préconçues qu'ils t'envoient dans la tronche, ça ce n'est pas évident.

Il se rend compte de son état. Il sait qu'il est devenu aussi efficace au boulot qu'un débutant à qui il faut tout expliquer. Que ce qu'il savait faire en deux minutes sans réfléchir il lui faut une heure en lisant ses fiches et son petit carnet de notes.

Il se rend compte qu'il fait en une semaine ce qu'il faisait avant en une demie journée.

Surtout ne pas lui faire remarquer pour ne pas qu'il replonge !

Côté émotions, c'est pareil, il est sursaturé et à la moindre évocation de quelque chose d'émotif il peut aussi bien se renfermer par réaction pour se protéger qu'éclater en comportements hyper émotionnels incontrôlables.

Les moindres émotions sont devenue exacerbées et incontrôlables.

Il se rend parfaitement compte de tout cela, même si cela lui prend des mois à en comprendre les rouages, à y comprendre quelque chose.

Il n'attache plus la moindre importance au rythme de vie "normal".

S'il a envie de se faire une entrecôte à 3 heures du matin, ce n'est pas grave.

S'il a envie de bavarder avec le boucher ou la pharmacienne alors qu'il n'a pas ouvert la bouche depuis deux semaines, ce n'est pas grave.

S'il préfère faire ses courses aux heures où les gens mangent ou bossent, ce n'est pas grave.

Déjà qu'il arrive à sortir faire ses courses cela lui demande un effort physique et psychologique insurmontable et un épuisement que l'on imagine pas.

C'est le cerveau qui fait une pause obligatoire, impossible de prendre sur soi.

Petit à petit son esprit va se rouvrir à des choses, à l'humour, à des petites choses qu'il aime, à apprécier la nature et à lire dans le jardin, etc.

Quelques minutes de temps en temps ou quelques heures sans se lasser, c'est imprévisible.

Son cerveau se "reconstruit" à son rythme grâces à des stimuli extérieurs dont il est le seul à trouver de l'importance ou pas.

Il peut trouver fascinante une paire de lunette originale et ne trouver aucun intérêt à rien pendant des semaines, puis sans raison aucune, se mettre à gérer ses papiers, ses impôts, ses comptes, ses factures impeccablement alors que pendant des mois ça l'a laissé totalement indifférent.

Mais une fois que c'est fait, cela ne sert à rien de lui en parler.

C'est déjà du passé.

Il peut sembler ne pas réagir à des évènements comme le 11 septembre 2001 alors qu'il en est traumatisé en état de choc.

Tout en en ayant rien à foutre de qui est président de la république ou du nouveau papier peint de la salle à manger.

Pour le temps, une semaine passe il a l'impression qu'il s'est passé trois jours. Il peut passer la journée dans le jardin à regarder la nature, pour lui il ne s'est passé que quelques minutes alors que pour vous vous vous êtes ennuyé à mort.

Vous lui dites que cela fait 6 mois qu'il n'a pas téléphoné à sa soeur, il est étonné. Pour lui il a la certitude de l'avoir appelée il y a 3 jours.

Ne paniquez pas.

Il en a parfaitement conscience, et petit à petit il met des stratégies en place, des habitudes pour reprendre petit à petit ses repères avec le temps.

Surtout ne pas le gonfler à lui rappeler ceci ou cela.

Il n'en donne pas l'impression, mais il sait encore ce qu'il a à faire pour gérer sa vie.

Tout ceci et bien d'autres choses sont difficiles à comprendre pour les gens de son entourage qui fonctionnent sur des valeurs et des rythmes qui ne sont plus les siens.

contre tout attente, je suis tres ravi des premières réponses que vous me postez!!!

il y a donc une (des) solution(s)!

cela dit je suis bien triste de constater que la depression est quelque chose d'aussi grave et destructif. et moi en tant qu'ami ca me crée et confirme un nouveau problème:

comment partager ca avec lui?

parce que bon... vivre au gré de sa maladie quelque temps ok je m'en sens capable, mais je ne sais pas si notre amitié sera resister si cela doit durer des années.

ce que je veux dire (egoistement je l'avoue) c'est que c'est tres pénible pour moi au quotidien de le voir peindre le monde en noir, et comme je l'ai dit initialement je ne voudrais pas qu'il me refile son "mal" a force de le fréquenter.

(enfin bon, c'est hyper cruel ce que je dis la tout de meme!)

"comment partager ca avec lui?"

Il le sait que tu es présent pour lui, il apprécie vraiment, même s'il n'est pas forcement capable de le montrer.

Petit à petit il va réapprendre à te le montrer à sa manière.

Ta présence lui fait vraiment du bien même si certains moment tu as l'impression que ta présence lui pèse.

Ce n'est pas évident, courage.

Et ne t'en veux pas si tu craques et si tu en a marre.

Bon en premier , est ce qu'il a tout le temps été comme ça ? ben oui , c'est peut -être pas un dépressif mais quelqu'un qui pense de façon différente ou bien ça ne fait qu'un moment qu'il l'est , peut -être suite à un évènement négatif dans sa vie ?

Etre en dépression est quelque chose propre à chacun, nous ne réagissons pas tous de la même façon, lui venir en aide est bien de ta part, mais il faut savoir le pourquoi, si toutefois il veuille bien en parler et comme tu l'as dit , tu n'es pas psy, donc suite à ses réponses, il faudra rester neutre et objectif, ce que tu penses toi, ne lui conviendra peut -être pas .

Donc , je ne vois pas bien comment tu pourrais l'aider, c'est à lui à en faire la demande, tu pourras toujours lui proposer, lui dire que tu remarques que ça ne va pas fort en ce moment ou en parler si besoin est, à sa famille, mais rien ne sert non plus de le bassiner avec son mal être, tu pourrais que l'enfoncer un peu plus.

Je n'ai pas tout lu mais laisses-le faire le vide tout seul dans sa tête et faites des activités d'hommes, je ne connais pas vos habitudes mais ça peut le faire souffler un peu.

ça ne sert à rien de le mettre face à lui-même puisqu'il se dégoutte. Et puis aller dans son sens c'est l'enfoncer un peu plus chaque fois dans sa grotte. Alors allumes la lumière, tamises là un peu parce qu'il risque de ronchonner, rires, comme à son, habitude. Je sais pas vous avez bien des passions communes ou tu peux en créer quelques-une en fonction de vos gout, un exemple genre jouer aux cartes entre vous et lancer des challenges un peu con pour donner un peu d'entrain en lui faisant penser à autre chose ou petite once de motivation en lui,de te mettre une raclée au jeu. Développer ses gout musicaux, en lui montrant des chanson ou artistes qu'il ne connais pas, parler de sujet neutre qui ne l'implique pas directement, des choses qui ne se rapporte pas à lui.

Et s'il le fait ne porte aucun jugement, ne va ni dans son sens mais comprends-le et puis surtout ne lui enlève pas ton amitié même dans la distance montre que tu tiens toujours à lui. Ne le force pas non plus à faire ce qu'il ne souhaite pas.

Mais une question à quoi est dû, son humeur dépressive parce qu'il est peut-être simplement en remise en question, ou qu'il regrette des choses des fois ça met beaucoup de temps pour cicatriser mais ça ne veut pas dire qu'il est dépressif.

Parce que pour être honnête, vu mon mode de vie, on pourrait me penser dépressive d'un regard extérieur mais c'est simplement que j'ai besoin de souffler et que je ne privilégie que certaines compagnies avec qui je me sens bien, je ne réponds pas toujours au téléphone pour cause qu'il y a des personnes à qui je n'ai pas envie, ou que je n'ai pas envie de parler au-travers d'un téléphone, et qu'il a des personnes que j aime bien mais que je n'ai pas envie de voir mais que je prends des nouvelles.

D'autres avec qui j'aime être avec même si on ne parle pas, juste parce qu'on est bien ensemble de par la présence. Ou l'un ou l'autre respecte, le fait que les choses ne sont pas forcés d'être dites si on a pas le coeur à ça et bizarrement ça passe plus facilement que d'entendre sans cesse une personne qui veut que l'on se remette en question parce qu'à elle ce n'est pas son mode de fonctionnement.

Je communique les choses clairement après il faut savoir juste tendre l'oreille, et parler quand il le faut et pas parce qu'on en a envie, il faut respecter le cercle de l'autre et sa limite si tu veux qu'il s'en sorte, on est tous passer par des moments de solitude qui font mal mais qui construise par la suite.

Fin, c'est compliquer mais certains désirs que l'on éprouve dans notre vie ne sont pas forcément celles des autres même si on les apprécie, même si on a le même âge, on ne vit pas tous de la même manière et on évolue différemment mais surtout pas en même temps.

Il met p'tre plus de temps que toi à se remettre mais il en a besoin, il a besoin de se retrancher sur lui mepe sans se sentir juger même si toi tu penses que ce n'est pas le cas, il peut le sentir comme celà. Tu dis les choses une fois, il les comprends il n'est pas bête, ce n'est pas un enfant. Il a juste besoin de trouver le moyen de comment sortir, exprimer ce qu'il a vraiment, il faut qu'il cherche à se comprendre avant d'être compris par les autres car chaque mots qu'il expriment peut être une arme contre lui car il n'exprime pas bien ou le fond réel de ce qu'il le touche en l'heure actuelle.

Après on ne sait pas ce qui a provoquer ce renfermement en lui, toi seul, le sait, on ne peut que dire des choses en gros mais n'oublies pas que ce qui n'est pas si important pour toi à tes yeux peut l'être pour quelqu'un d'autre car on est pas tous pareil. Je comprends que c'est lassant pour toi et devenu répétitif peut-être parce que tu t'épuise à toujours faire les choses dans le même sens et pour la même raison que tu as envie de retrouver ton ami comme il était avant mais cela est impossible quelque chose à changer en lui, un p'tit rien pourra lui redonner vie à conditions que tu ne continues pas à vouloir le remonter toujours de la même manière car tu ne peux que le surcharger.

C'est comme un lavage de cerveau et tu le mets en position encore plus faible qu'il ne l'ai, c'est épuisant pour toi et pour lui, de revenir toujours à la même chose.

franchement merci du fond du coeur a tout ceux qui repondent sur ce sujet car vous me redonnez vraiment la motivation de l'aider.

comme il a été souvent dit, je constate en effet que c'est juste une question d'harmonie.

il est en "déphasage" avec le monde et ses exigences. il a un rythme de vie, de pensée different.

et je pense meme avoir cerner la ou les causes de ce déséquilibre.

la solution est donc une réhabilitation progressive jusqu'au retour a la normale. (enfin si tant il etait qu'il y en eut une!) et le plus dur dans cette thérapie va etre de la faire a l'insu de son plein gré.

car le connaissant, s'il avait conscience que je cherchais a l'aider, je suis convaincu que son orgeuil et sa fierté prendraient cela pour de la pitié et ca le braquerai davantage.

donc bref il va me falloir de la patience et de la volonté pour combattre ce mal être a ces cotés.

mais je pense que pour lui ca en vaut toutes les peines du monde. il est plus qu'un frere pour moi, je ne peux pas l'abandonner, et je m'en voudrais trop s'il lui arrivait quelque chose.

merci encore pour tout!

Aye, aider un dépressif...

Deux termes qui font pas bon ménage ensemble ^^ C'est toujours assez risqué ^^

Le premier conseil que je peux te donner, c'est de penser à toi ! Si tu veux réussir à l'aider.

T'as pas à le "sortir de ça", "à bras le corps". C'est une aide que tu dois lui apporter. Pas le sortir de son problème. Faut mesurer ce que tu lui apporte à l'aune de ce que tu peux lui apporter.

Et pour l'aider, je pense que la juste mesure, c'est de rayonner ta propre bonne humeur, simplicité de vie, calme et sérénité, vie sociale. Sans insister.

Si tu commence à ne plus en avoir. Bah tout simplement ne la rayonne plus.

C'est vraiment pas un truc que tu dois lui donner de toi. Sinon, ça va simplement te vider, tu lui en voudra, lui va le sentir (même si tu ne lui montre pas), et à terme, tu tiendra pas la distance et ça l'aidera pas.

Essaye pas de partager son problème ou sa dépression avec toi. Essaye plutôt, toi, de partager des moments sympa que tu vie, avec lui, sans te soucier du fait qu'il réagisse pas forcément (les choses passent quand même. C'est ça l'important. Pas que tu ai une réaction). (ça me fait penser à une infirmière joyeuse qui s'occupe d'un homme qui ne peut plus bouger le moindre muscle. Le soutiens, important, il est dans la joie qu'elle a et qu'elle rayonne.)

ça lui montrera qu'il y a de la vie, de l'humour, des choses stables dans son entourage.

L'aide la plus forte qu'on apporte, c'est pas l'aide la plus intense, et c'est pas non plus l'aide qui consomme le plus d'énergie. C'est celle qui est la plus adaptée tout simplement.

Le seul vrai mal de la dépression, c'est que ça coupe du reste du monde. Si le monde (toi) continu d'exister à côté de lui, sans trop de problème, et en continuant d'échanger avec lui, même si ça a l'air un peu d'une discussion à sens unique, ça sera d'une très grande aide.

Pas agir comme s'il n'existait pas... même si faire comme s'il n'existait pas, tant qu'on est avec lui, ça serait pas forcément si grave en sois : c'est toujours mieux que rien ^^ et simplement voir des gens autours de sois s'amuser, c'est quand même avoir une vie sociale. Et qui plus est, ça peut être reposant (voir intéressant )

Et vaguement indiquer un exemple qu'on pourrait suivre.

é mon avis, même si le problème est grave (et il l'est pas forcément autant que ça... toutes les dépressions durent pas forcément des années.), faut pas considérer qu'il doit te prendre plus d'énergie que ça.

Faut vraiment faire ça naturellement. ça suffira.

C'est aussi la meilleure manière de pas encourager un travers que j'appelle la "fausse dépression", c'est à dire en fait un comportements enfantins que peuvent développer des vrais dépressif, ou des pas dépressifs du tout (qui finissent par le devenir, à force) : de jouer les caliméro pour qu'on s'occupe d'eux. (Simplement parce qu'ils sentent qu'ils ont vraiment besoin d'aide, et qu'étrangement on s'occupe d'eux quand ils affichent un désintérêt et des idées noires. Mais c'est un piège, autant pour ceux qui les aide que pour ceux qui cherchent à l'utiliser. Parce que ce genre d'aide n'est pas utile, et que, contrairement à ce que les "caliméro" pensent eux même, ça ne comble pas leur réels besoins, qui sont plutôt de voir de la joie et de la bonne humeur, et d'avoir une vie sociale )

(Attention, j'ai pas dis que c'était ça Mais c'est un comportement qu'on peut plus ou moins favoriser et développer si on "aide" "à bras le corps" ceux qui ont l'air dépressif. Et il faut s'en méfier. D'ailleurs, l'aide par "rayonnement", c'est à mon avis aussi la plus adapté dans les cas de simples déprime affective, ou pour aider les enfants quand ils ont des ennuis )

merci tista pour tes conseils.

par ailleurs c'est tres interressant l'idée de "fausse dépression" que tu avances.

mais je n'arrive pas encore bien a saisir les nuances!

(je pense que pour cela une discussion en PV serait plus approprié pour ne pas faire du HS)

bonne journée a toi!