Poésie

Madoka.. ca résume toute la bêtise de certains, bravo

et oui c'est sûr, c'est sur eux qu'il faudrait pleurer je te fais un gros bisou au passage.

Allez, juste pour montrer que je ne fait pas toujours dans le coup de geule, je peut aussi faire des déclarations :

Hier, aujourd'hui, demain

Je reste dans tes bras.

Hier, aujourd'hui, demain

Mon regard est tourné vers toi.

Hier, aujourd'hui, demain

Mes pensée volent vers toi.

Hier toujours présent,

Aujourd'hui, toujours plus fort,

Et demain,

Quand les feuilles d'automne

De la vieillesse jauniront,

Mes yeux seront toujours

Illuminé de toi.

Madoka : C'est très vrai

Boomerang : Comme d'ab. j'adore ta prose.

papa

depuis que tu es parti

je n'ai plus de saison

ma vie est sans raison

depuis que tu es parti

plus rien n'a de couleur

mon ame pleure

depuis que tu es parti

un ocean c'est vidé

laissant une terre inculte et dessechée

depuis que tu es parti

l'espace n'est que neant

mes larmes un torrent

depuis que tu es parti

mes reves sont a tes cotés

a la chaleur de ta simplicité

depuis que tu es parti

pas un instant je ne t'ai oublier

j'ai meme appris a prier

depuis que tu es parti

tu me manque tout simplement

le tourment de chaque instant

depuis que tu es parti

le ciel se fissure

plus rien ne me rassure

@ boom : j'aime beaucoup !

@entourloupe : un peu de bonheur, ça fait du bien à lire !

@laubaine : ... c'est beau et c'est triste...

Il faut que cela me vienne comme un bal de six reines,

Chevauchant les fées aux corps entrelacés,

De nos ames mélées.

Je veux que brule l'azur au delà des coteaux,

en moi se consume ta peau.

Du matin blème à la tombée de la nuit nos corps en harmonie

se meurent au paradis.

Connaitre-je un jour la chevauchée fantastique de nos ames mystiques.

Impuissant cortèges de fleurs, je flambe de ton ardeur, au dela des frontières,

avec toi, je meurs sous terre.

J'innonde de bonheur lorsque tu m'éfleures, j'aime te voir frémir,

Quand sur moi ton corps chavire.

Frénésie érotique de nos ames mystiques,mon corps rebelle mélé à ton ame

sensuelle, divine beauté de nos ames mélées jusqu'aux entrailles de la terre

Je veux puiser les chimères.

J'innonde de bonheur lorsque ton coeur s'épanche dans mon coeur.

Corps contre corps nos ames son en accords.

Fouette cochet, jusqu'au sang de tes veines à jamais en moi versé.

Regarde je ruisselle de bonheur lorsque tu m'éfleures

Par tes caresses limpides comme une eau claire en toi mon ame se vide.

N'est ce pas l'effervescence de ton sang , qui se répand en moi comme

Un ferment mouillé d'acide.

La pluie sur les carreaux , longtemps ne dure lorsque pareil aux fruits des chenes

Le mien, le tien se confondent en humain que nous sommes,

Homme Femme , tous se mélange.

Et cet instant d'éternité pour le moins étrange,

Ma drogue à foison qui me laisse comme un gout de miel

Au creux de notre nid.

Adlin.

Zorro

Salut les poètes j'écris un poème pour ma copine et je cherche quelque chose qui finisse en "yon" ou en "on" ... Peut-être pouvez-vous m'aider ?

Salut les poètes :D j'écris un poème pour ma copine et je cherche quelque chose qui finisse en "yon" ou en "on" ... Peut-être pouvez-vous m'aider ?

ben un verbe conjuguer à la premier personne du pluriel "nous nous aimions" ou alors "ions" ou "pion"

en tout cas voila un petit truc que j'avais ecrit y a un bout de temps

1

Ouvre les yeux ô douce lune,

Allume ces grands flambeaux,

Qui éclaire le tombeau,

Où repose en lambeau

Mon c¿ur vide de rancune.

2

Cruelle douceur, joyeuse

Douleur, qui noie mon c¿ur

Désolé dans un leurre,

Où règne en reine la peur,

Et l'angoisse vaporeuse.

3

Sourit, sourit encore,

Perle voiler de nuages

Colorés; où l'¿il sage

Ne quitte les paysages

Peupler de déserts morts.

4

Et pleurs sur cet éther,

Où la poudre d'astre expire

Sur ton flan plein de myrrhe

Son souffle, et puis périr

Seule sur le bord de mer.

5

Eclaire et fait toi sombre

Dans la lumière du jour

Par haine ou par amour

T'éclipser tour a tour

Pour nous enivrer d'ombre.

6

Louange à Allah, le Dieu

Unique qui ta crée, sois belle

Pour lui, et sois fidèle ;

Or chère mystère, recèle

Encore tes charme au cieux.

7

Le vent se lève, la nuit

Sombre gagne l'abîme de mer,

L'âme des hommes se resserre,

Et mes larmes coulent sur terre

Lentement, avec ennui.

8

Tandis que mes yeux, bas,

Allèrent chercher au ciel

Ton image pleine de miel ;

Une attente si cruel

Sur mon triste c¿ur tomba.

9

Une sinistre nébuleuse,

Masqua le luminaire

De ta face débonnaire;

Et cet veille solitaire

Peina mon âme brumeuse.

10

M'éviter ainsi, moi,

L'amer astre moribonde

Qui baignait sur cette onde

Et vivait dans ton monde

Avec rêve et émoi.

11

De l'ombre à la lumière,

De la lumière à l'ombre,

Le destin m'est si sombre,

Et l'aube m'est peu en nombre

Et visible qu'en prière.

12

Je cherchais réconfort

En ton visage, l'image

Qui défiait mes orages

Et mes rage en mirage

Et m'appela à la mort.

13

Mais je crois qu'en cette vie

Je ne t'aurai jamais

Et même si je t'aimais

Mon âme tant affamée

Te plaindra comme l'envie.

14

Adieu ! adieu, douce peine,

Adieu lune opaline,

Ma passion la plus fine

Se change en nimbe d'épine,

En une souffrance sereine.

15

Désespoir ou sourde liesse

Ces pensée indécises

Accablent mes tempes grises

Et mon âme s'amenuise

A trouver la paresse

16

Le destin est railleur,

Et c'est l'âme qui en souffre

Enterrer dans un gouffre

Où se fusionne le soufre

Pour infecter mon c¿ur.

17

Dans cette vie solitaire

Je retrouverai ce thème

Où sonne un requiem

Teinté de rêve que j'aime

De surréelle chimère.

18

Sur cette onde infini,

Où aiment se perdre mes yeux,

Ton symbole somptueux

M'apparaît plein de feux,

De flammes indéfini.

19

Oh ! vois-tu cette lueur,

Teintée d'un rouge carmin

Est-ce le soleil certain,

Qui triomphe par sa main

Des ténèbres qui se meurent.

20

Mais tu pars sans cortège,

Disparaître de la sorte,

Comme la brume qu'on exhorte

En laissant la nuits morte

Mais quand te reverrai-je ?...

Peur......

Seul......

Une triste mélodie rythme mon coeur.

Ode à la joie où a tu été écrite?

Hier la beauté était une image

Aujourd'hui mon temps est un mirage.

Quand Désillusion et espoir sont conjugués

le bonheur reste un espace improbable,

un instant dans le néant,

un son inaudible.

Le chant sinistre de la peur

ma compagne

laisse au choeur de mon âme

un vide

Inutile

merci madoka.. très joli tous ces nouveaux poèmes.. je l'aime décidemment beaucoup ce topic

Bien sûr.

Bien sûr,

Il est des baisers qu'on ne saurait oublier

Il est des souvenirs qu'on aime à se construire

Il est des plaisirs qui tiennent en un sourire

Il est des caresses d'une si douce tendresse

Bien sûr,

Il est des pleurs qui vous déchire le coeur

Il est des ruptures, des coups durs

Il est le mot adieu qui toujours nous émeut

Il est des mots qui s'étouffent en sanglots

Oui, bien sûr.

Mais jamais entre elle, entre lui

Ne se dessinera

Cet ignoble silence

Que l'on nomme

L'ignorance.

yui

chercheur d'or (inspiré de la chanson de grand corp malade)

Moi, je suis la sans de but bien précis

asile ou bar, tu me trouvera sans doute par ici

je discute, je rigole avec chacun d'entre vous

je me lie d'amitié mais je suis parfois déçu

alors j'insiste, je persiste à raison ou à tord

peut être n'etes vous pas pret à me donner un peu d'or ?

j'ai beau dire, je n'arriverai jamais à m'y faire

on m'a dis de prendre du recul, que ce serait salutaire

mais je reste et je ne perd jamais l'espoir

je ne pense pas que c'est un défaut d'être reveur

alors j'insiste, je persiste à raison ou à tord

et je resterai toujours un chercheur d'or

Attention ca va être très poétique ce que je vais dire :D

Angelo, arrete de chercher l'or, il est tout prêt de toi.. dans ton coeur

Oui bon d'accord je sors :(

Mais n'empeche que angelo je veux juste te dire.. que je t'aime beaucoup.

Zut on est dans le topic poésie, faut pas que je sois hors sujet.. bon je vais te le dire en poème alors :(

Angelo, un drôle de forumeur

Qui a un coeur gros comme ca

Et meme que c'est pour ca

Qu'parfois l'en a gros sur le coeur.

On en a déja parlé ensemble

Cette superficialité du virtuel

Où est le vrai du faux, où est le réel?

Qu'est c'qui fait qu'on se rassemble?

Le mieux est peut etre simplement

Ne pas trop réfléchir à cela

Passer de bons moments, sans tracas

S'amuser tout bêtement

Je crois dur comme fer en l'amitié virtuelle

Mais forcément y a des déceptions

Soit même parfois on se décoit

A ne pas assez montrer à l'autre qu'on est là

Des gens sur qui on s'est fait des illusions

Mais quelques relations sont vraiment belles

Alors angelo je te demande officiellement

De m'accorder ta main d'amitié :(

Au dela de toute virtualité

Qu'on soit amis, et pour longtemps

woow et dire qu'il y a des gens qui croient que tous les bons poètes sont morts...sacré pied de nez a ces gens...c un plaisir de lire vos poèmes les gens...mais pour les incultes comme moi...

Voici quelques-uns de mes poèmes. Si ça vous plaît, vous en trouverez d'autres sur mon site (http://eillis.free.fr). Dites-moi ce que vous en pensez, merci!

[Hérésie] 16.03.07

Je cracherai sur les drapeaux de toutes les nations

Me damnerai à mort pour attirer leur attention

Alors on viendra de par le monde, jeunes, âgés

Piétiner des talons ô! ma pauvre tombe enneigée

Car j'ai choisi de tourner le monde en dérision

De rire de la foule comme je me moque des saisons

Et si un jour je trébuche sous le poids de mon hérésie

Pas de Pardon, pas d'Absolution. Qu'il en soit ainsi

Et non, pourquoi donc s'agenouiller

S'écorcher la peau, les os, devant ce dédale

D'illusions quelque peu bancales

Ces types si affables que j'entends murmurer

Affublés de vanité, parés d'une auréole

Prosternés devant les fables idiotes de l'idole

[L'Amant Meurtrier] 10.09.06

Mon amie est morte ce matin

Comme emportée par le train

Empoisonnée ou étranglée

Je sais plus très bien c'que j'ai fait

Pourtant j'ai du sang sur les mains

Et les flics de me cueillir demain

Elle s'est mis du rouge plein la robe?

Mon amoureuse, demain dès l'aube:

Il faudra te réveiller avant d'éveiller

Les soupçons qu'auront les gens à mon encontre

Je ne puis soulever le pour et le contre

Je ne puis détacher de moi le faux du vrai

Qu'ai-je fait? Je ne me rends pas bien compte

Chérie, m'entends-tu? Allez relève-toi donc

[La Fuite] 19.08.06

Il est parti sans faire un bruit

Aussi vite qu'il est venu

Au monde, à la Terre, à la pluie,

Et aux cadavres dans la rue

Comme un vaincu, fait ses adieux

Comme un déserteur convaincu,

Mais quand même les larmes aux yeux

Qu'a-t-il à dire, qu'a-t-il vécu?

S'en mordre les lèvres

D'attendre cette foutue trève

Qui ne viendra pas en somme

L'arracher de la grogne

De la tombée des bombes

De la folie des Hommes

Qui n'en finit pas, dégénère,

Cette nuit pour lui est la dernière

Il est parti en coup de vent

Sur des pattes de velour

Il n'aura pas pris son temps

N'aura pas sauté son tour

Comme sautent ces enfants

Sur les mines aux détours

Des rues à feu et à sang

Qu'il fasse nuit, qu'il fasse jour

[L'Homme aux Semelles de Vent] 03.08.06

Il en a parcouru des miles

En a vu de belles sous les cils

Des crèves-la-faim, des vauriens

De tout, de rien sur son chemin

Pas un rond dans les poches trouées

Il y tient au chaud ses poings serrés

Et observe d'un air enfantin le soir venu

Le paysage incertain d'un gosse perdu

A la nuit tombée, s'en va composer

Pour son ami quelques sonnets

Qu'il intitule Paul et Arthur

A la douce rosée s'éveille l'indigent

Incompris des misérables gens

S'en va panser ses blessures

chercheur d'or (part II)

C'est vrai qu'ici j'ai trouver 2 ou 3 pépites

moi je voudrai un gisement mais est ce que j'le mérite ?

peut importe je cherche encore et encore

sans ça, je pourrai pas m'appelé chercheur d'or

C'est vrai qu'en virtuel je suis beaucoup plus exigant

on me donne un tissu et moi j'demande tout le gant

alors m'en voulez pas si je demande un peu fort

moi je suis juste un simple chercheur d'or

Boom tu m'offres aujourd'hui ton amitié

c'est claire que j'me vois mal la refusé

seulement tu me parle d'amitié virtuelle

alors qu'en fait la mienne est réelle

Tout ce que j'espere c'est qu'une fois j'serai parti

ne pas être oublié, avoir un peu marqué vos vie

j'en demande beaucoup mais ai je tord ?

j'y peux rien, moi je suis un simple chercheur d'or

Perdu

Qu'est donc devenu ce gentil petit enfant ?

Cet être si innocent

Qui, inconscient, jouait dans la rue ?

Quand a-t-il disparu ?

Est-il tombé ?

Le pauvre, s'est-il blessé ?

Peut-être s'est-il caché

Voyant un monstre arriver.

[- Je suis là !

- Je ne te voit pas.]

Faut-il que je revienne sur mes pas ?

Que je continue d'avancer ?

Dans cette jungle que je ne connaît pas.

Je voudrais tant le retrouver.

A nouveau, avec lui, jouer.

Pourquoi je l'ai laissé ?

Je ne peux plus reculer.

Mon destin, je l'ai scellé.

J'aurais tellement aimé

T'avoir à mes cotés ..

Wild