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Psychiatrie . Les asiles de la honte


BM7

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MembreR, 60ans Posté(e)
BM7 MembreR 5 389 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

les asiles de la honte - Forum

Sur le lien ci - dessus , une personne qui fut interné dans un service pasychiatrique nous raconte son vécu . Un témoignage bouleversant . Il y dénonce l' absurdité de la psychiatrie française . Des personnels infirmiers humiliant et abusif à l' égard des patients avec une absence totale de connaissance psychologique , voire d' aptitudes à l' analyse . leurs travailles étaient insignifiants car ils s' enfermaient à longueur de journée dans leurs petit aquarium à lire paris match et autres conneries en sorte que les patients pouvaient fumer du shit et picoler à longueur de journée .

Quand aux traitements utilisés dans tous ses hopitaux psychiatriques , c' est tout simplement un conglomerat de tous les drogues et neuroleptiques qui endorment l' individu , mais ne le soignent aucunement .

Le plus grave dans cette histoire , c' est qu' au fil de son histoire la psychiatrie française qui n' à guère évoluer aurait au contraire contribuée à l' internement d' individus qui n' avaient rien à y faire . Comme le précise Colombani dans son livre " Asiles de la honte ", sur demande d' un tiers on pouvait faire interner n' importe quel personnes de l' entourage et beaucoup de ses internements l' étaient par intèret financier ou d' héritage .Quelquefois pour museler les récalcitrants à l' autorité .

Un jour je regardais un reportage sur la chaine ARTE . On y parlait des rapatriés d' algerie ARQUIS . Ses derniers et leurs familles avaient été isolés de la population française et installé dans des sortes de camps à l' ecars des grandes villes .

Un arquis qui se plaignait de ses conditions de vie déplorables s' était plaint a l' autorité du camp . En reponse l' administration décida de l' interner dans un service psychiatrique .

Y a - t - il vraiment une difference de prescription entre la psychiatrie française et le goulag ?? Le livre de Colombani vous ouvrira peut - être les yeux .

Pascal Colombani : Asiles De La Honte - Achat et vente de Livres ...

Résumé :

Selon un rapport officiel, plus de 40 % des personnes internées en psychiatrie n'ont rien à y faire ! Or, chacun de nous peut en être la victime. En effet, il est trop facile de faire interner un tiers, ce qui autorise les abus et permet de couvrir toutes les turpitudes : argent, sexe, pouvoir... Les histoires que nous conte Pascal Colombani sont bouleversantes, inimaginables, implacables... Pourtant, ce sont bien celles d'hommes et de femmes, à notre époque, en France... Il faut dire aussi que la psychiatrie est un marché qui rapporte : plus de cinquante milliards de francs par an ! Il y a là de quoi susciter quelques convoitises... et oublier au passage les droits de l'Homme... et de l'enfance... Il y a donc urgence à changer la loi et les conditions de l'internement. Ces milliers de vies brisées ne sont plus tolérables, maintenant que nous savons ce qui se passe dans ces Asiles de la honte ! Patrick Pasin, Editeur

A propos de l'auteur :

Pascal Colombani est journaliste indépendant. Après le scandale des cartes bancaires, il s'est intéressé à la psychiatrie. Un an d'enquête pour rencontrer des victimes d'internement abusif, leurs proches, des associations de défense, des avocats, des policiers, des infirmiers... Un résultat accablant, dans cet univers clos où la folie n'est pas toujours de mise !...

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Membre, Nina_Gayané, what is it good for ? Absolutely nothing, 31ans Posté(e)
Nina_Gayané Membre 3 914 messages
31ans‚ Nina_Gayané, what is it good for ? Absolutely nothing,
Posté(e)
Il faut dire aussi que la psychiatrie est un marché qui rapporte : plus de cinquante milliards de francs par an !

Il date de quand ton bouquin ?

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MembreR, 60ans Posté(e)
BM7 MembreR 5 389 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

le livre , c' était pour argumenter mon topic .

Mais je pense que beaucoup d' internaute ne le connaissaient pas .

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Invité AxelLeBriac
Invités, Posté(e)
Invité AxelLeBriac
Invité AxelLeBriac Invités 0 message
Posté(e)

Bonjour,

Comment peut-on imaginer qu'un système puisse être parfait ?

Qu'est-ce qu'un hôpital psychiatrique si ce n'est une prison on le jette hors de la société les indigents, les indésirables, les objecteurs de conscience, les dissidents, les pauvres...etc ?

Au Moyen-ége, c'était les lépreux, puis Louis XIV décréta l'ouverture des hôpitaux généraux de France. Ceci afin d'enfermer les "débauchés, les pères dépensiers, les fils prodigues, les blasphémateurs, les hommes qui "cherchent à se défaire" et les libertins". Ce décret marque le début de "l'emprisonnement à grande échelle des fous".

La folie est culturelle !

Qui crée l'exclusion, qui invente la psychiatrie ? L'Homme blanc au pouvoir !

Qui inventent donc les maladies mentales, qui décrètes qu'elles existent ? L'Etat !

Cela à toujours été chez l'homme blanc et aujourd'hui l'industrie à pour intérêt d'élargir son marché aux autres pays, aux autres civilisations !

Pays et civilisations qui jusqu'à présent réussissaient parfaitement à s'en priver !!!

Si les Chinois par exemple, une des civilisations les plus anciennes, sont des milliards ce n'est pas avec la médecine occidentale !

...

La maltraitance existe aussi dans les maisons de retraites. Où les personnes agées sont méprisés, car de toute façon rejetée par la société. Les vieux sont inutiles !

Les abus d'internement existe toujours, avec bien évidement des tortures telle que la sismographie ou éléctrochoc ! Rappelez-vous Vol au Dessus d'un Nid de Coucou !

Et dites-vous bien que cette pratique est d'actualité.

Le personnel psychiatrique est méprisant envers les patients mais, que représentent les patients pour la société et le pouvoir ?

La psychiatrie n'a pas pour but de soigner. La psychologie et la psychanalyse ne sont pas une science ! Freud n'était pas médecin mais philosophe !

Comme le dit Michel Onfray dans son livre Le crépuscule d'une idole :

Freud a tout prévu pour empêcher qu'intellectuellement on puisse douter de son invention car la doctrine inclut une lecture doctrinaire du refus de la doctrine...

De sorte qu'on ne saurait éviter de relever de l'empire freudien, on ne peut échapper à la domination idéologique de cette pensée totalisante, donc totalitaire, dans laquelle il n'existe aucune porte de sortie.

D'un point de vue idéologique, la société psychanalytique est close, fermée sur elle-même. Elle a prévu le tribunal pour juger les opposants, la plaidoirie existe dans l'oeuvre, l'argumentaire s'en trouve dix fois donné, la péroraison du procureur parlant our l'inconscient se trouve partout distillée dans l'oeuvre complète de Freud.

L'idée même que l'on réfute être un fou c'est l'être pour les médecins. Car eux seuls ont autorité, pour dire ce qu'un patient doit penser, dans le monde dit civilisé et moderne de l'Homme blanc.

L'objection n'est pas permise et elle punit.

La psychiatrie comme la prison sont des territoires à part, là où l'éducation nationale à échoué dans le conditionnement, la psychiatrie et la prison ont pour but de vous remettre sur le droit chemin et par tous les moyens.

Une société en bonne santé est une société où la critique est normale mais, quand on voit le lynchage de Michel Onfray on constate qu'elle est malade d'elle même.

...

Les patients eux, n'osent pas aborder le sujet de leur internement et pour cause, il s'agit là d'un tabou ! En quoi un système créant un tabou est-il saint ? Il ne peut-être que contre-nature !

Hors, n'est-ce pas le but de cette civilisation blanche que de vouloir la contrôler et la purifier ?

Les salariés de cette entreprise ne peuvent en aucun penser autrement que ceux pour lesquels ils travaillent.

Comme en 39-45 ceux sont les plus zélés qui sont les plus récompensés.

Les infirmiers sont des matons ! Et comme dans les prisons ils sont loin d'être tous intègres.

Et ils sont surtout là par cupidité ! Pas pour penser mais, pour toucher un salaire et un jour partir à la retraite. Ce sont des fonctionnaires.

Et dont la vie ne doit être qu'un long fleuve tranquille, jusqu'à leur mort. Ils n'ont pas besoin d'endosser une trop grande charge de responsabilité, au contraire ils veulent poursuivre leur petit bonhomme de chemin en paix. Et pour les plus récalcitrants de leurs patients, quel autre traitement que la violence ou l'indifférence envisagent-ils pour être en paix ?

Quels autres traitements que le mépris pour ces personnes différentes d'eux ?

N'oubliez pas que l'a-priori consistant à croire qu'un humain n'est pas capable de penser, d'avoir une conscience parce qu'il est fou, ne ressent rien donc on peut le taper.

C'est le même a-priori et le même traitement infligé aux animaux que l'on massacre.

Bonne journée.

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Membre, 42ans Posté(e)
razihel Membre 597 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
Posté(e)

lol c'est la blague c'est que maintenant que vos vous en rendait compte ça fait des année que ça dure

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  • 4 semaines après...
Membre, Posté(e)
Laurent MARTIN Membre 3 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bonjour

Je suis psychologue et je pense que la question des enfermements abusifs est une question politique.

Je ne suis pas d'accord avec la critique de Michel ONFRAY au sujet de la psychanalyse

Ce qui me semble dangereux c'est l' usage abusif des médicaments en psychiatrie

La psychanalyse est une science et non une philosophie, c'est même la science du sujet

Les autres disciplines n' interogent que les objets en oubliant que le départ de toute interrogation (et/ou observation scientifique) c'est le sujet. En conséquence il n' y a rien de plus scientifique que de s'interoger sur son propre fonctionnement.

La psychiatrie comme le droit ne sont pas des sciences mais des idéologies d' une normativité au service d' un pouvoir politique.

La séparation entre le normal et le pathologique est arbitraire et il suffit d'étudier certain systéme politique pour vour que le normal c'est la pathologie ( cf : le nazisme)

Le corolaire est que certaines réactions "anormales" ne sont pas pathologiques , mais sont concidérées comme tel par un pouvoir despotique de façon à éliminer une opposition dissidente qui pourait s"avérer génante par rapport aux buts visé par le pouvoir.

J' ai personellement vécu une situation d' injustice en lien avec des idées en faveur des personnes handicappées , ces idées génaient le pouvoir en place et ses représentants au sein des institutions spécialisés, aussi le pouvoir a essayé de m'éliminer avec des témoignages inexactes et à partir d'une serie d'enfermements avec une médication abusive ...

Je pensais que les goulag étaient une spécialité d' un autre temp et d' un autre lieu , et j'ai fait l'expérience (scientifique) qu' ici celà s'appelait les asiles de la honte ...

La honte est celle des français qui , au moment où l'on m"a enfermé de force en 2002 , ont

porté la honte au second tour des élections présidentielles, c'est à dire la cupidité de l"égoïsme et de l'orgueuil au détriment de la qualité du lien social ( liberté égalité fraternité)

EN 2012 UNE NOUVELLE REVOLUTION DOIT DENONCER CETTE MEDICRITE QUI N' EST PAS LE POUVOIR DU PEUPLE c'est à dire la démocratie , MAIS LE POUVOIR DES NANTIS c'est à dire la ploutocratie ...

http://psychopol-dissidence.monsite.orange.fr

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Membre, 112ans Posté(e)
Encéphale Membre 4 476 messages
Baby Forumeur‚ 112ans‚
Posté(e)
N'oubliez pas que l'a-priori consistant à croire qu'un humain n'est pas capable de penser, d'avoir une conscience parce qu'il est fou, ne ressent rien donc on peut le taper.

Ironie de la chose c'est que Philippe Pinel pilier de la psychiatrie disait la même chose :rtfm: .

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Membre, Posté(e)
Liberte1789 Membre 196 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Comment peut-on imaginer qu'un système puisse être parfait ?
Ya quand meme une différence entre un système pourrit et un systeme bien mais pas parfait.

En l'occurence, ce livre a l'air de dénoncer un système pourrit. Suffit de regarder la société dans laquelle on vit pour se douter fortement que les hopitaux psychiatriques sont plus des centre de torture que des hopitaux, de plus le DSM et le CIM sont tellement vagues et et tellement dénués de raisonnement scientifique qu'il est facile de faire passer des opposants politiques pour des psychotiques et de les soumettre de force à des soi-disant "médicaments" fortement toxiques.

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Membre+, 53ans Posté(e)
Ocytocine Membre+ 17 770 messages
Forumeur Débutant‚ 53ans‚
Posté(e)
sur demande d' un tiers on pouvait faire interner n' importe quel personnes de l' entourage et beaucoup de ses internements l' étaient par intèret financier ou d' héritage .Quelquefois pour museler les récalcitrants à l' autorité .

Il date d'un siècle, ton bouquin! :rtfm: Les procédures d'hospitalisation (on ne dit pas internement) sont extrêmement compliquées et il faut plusieurs certificats médicaux.

Les infirmiers sont des matons ! Et comme dans les prisons ils sont loin d'être tous intègres.

Et ils sont surtout là par cupidité ! Pas pour penser mais, pour toucher un salaire et un jour partir à la retraite. Ce sont des fonctionnaires.

Et tu crois qu'ils touchent 3000¿?

Ils prennent des coups, j'en connais à qui c'est arrivé, il y a des risques dans ce métier que tu oublies. On peut en trouver qui sont cruels, mais tu n'a jamais fait face à un patient en crise ou qui la couve, ça peut être meurtrier. Il y a d'ailleurs déjà eu des meurtres.

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Membre, Posté(e)
Laurent MARTIN Membre 3 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Bonjour

Je suis psychologue et je pense que la question des enfermements abusifs est une question politique.

Je ne suis pas d'accord avec la critique de Michel ONFRAY au sujet de la psychanalyse.

Ce qui me semble dangereux c'est l' usage abusif des médicaments en psychiatrie.

La psychanalyse est une science et non une philosophie, c'est même la science du sujet

Les autres disciplines n' interogent que les objets en oubliant que le départ de toute interrogation (et/ou observation scientifique) c'est le sujet. En conséquence il n' y a rien de plus scientifique que de s'interoger sur son propre fonctionnement.

La psychiatrie comme le droit ne sont pas des sciences mais des idéologies d' une normativité au service d' un pouvoir politique.

La séparation entre le normal et le pathologique est arbitraire et il suffit d'étudier certain systéme politique pour vour que le normal c'est la pathologie ( cf : le nazisme)

Le corolaire est que certaines réactions "anormales" ne sont pas pathologiques , mais sont concidérées comme telle par un pouvoir despotique de façon à éliminer une opposition dissidente qui pourait s"avérer génante par rapport aux buts visés par le pouvoir.

J' ai personellement vécu une situation d' injustice en lien avec des idées en faveur des personnes handicappées , ces idées génaient le pouvoir en place et ses représentants au sein des institutions spécialisés, aussi le pouvoir a essayé de m'éliminer avec des témoignages inexactes et à partir d'une serie d'enfermements avec une médication abusive ...

Je pensais que les goulags étaient une spécialité d' un autre temp et d' un autre lieu , et j'ai fait l'expérience (scientifique) qu' ici celà s'appelait les asiles de la honte ...

La honte est celle des français qui , au moment où l'on m"a enfermé de force en 2002 , ont porté la honte au second tour des élections présidentielles, alrs que je peux témoigner de l'absence de démocratie lors de ces éléctions (je fus empéché de voter de façon violente) c'est dire la cupidité de l"égoïsme et de l'orgueuil au détriment de la qualité du lien social ( liberté, égalité, fraternité , où ça ?)

EN 2012 UNE NOUVELLE REVOLUTION DOIT DENONCER CETTE MEDIOCRITE QUI N' EST PAS LE POUVOIR DU PEUPLE c'est à dire la démocratie , MAIS LE POUVOIR DES NANTIS c'est à dire la ploutocratie ...

http://psychopol-dissidence.monsite.orange.fr

http://www.forum-anti-psychiatrie.com/

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Membre, 56ans Posté(e)
Sequine Membre 856 messages
Baby Forumeur‚ 56ans‚
Posté(e)
Quand aux traitements utilisés dans tous ses hopitaux psychiatriques , c' est tout simplement un conglomerat de tous les drogues et neuroleptiques qui endorment l' individu , mais ne le soignent aucunement .

Prés de chez moi , il y a un homme d'une quarantaine d'années

qui est suivi pour schizophrénie........Quand il est à l'hopital ,

il prend son traitement (oui on l'y oblige mais heureusement)

et quand il sort il est tout à fait normal et se comporte mieux.

Mais chaque fois , au bout de quelques jours il arrête ses médocs ,

et là c'est la catastrophe !! Il insulte les gens , danse dans la rue ,

se proméne avec un couteau à la main ....bref , un fou quoi.

Quand on appelle la police (qui le connaisse bien à force)

elle ne se déplace plus , disant que tant qu'il ne fait de mal à

personne , rien ne peut être fait.... :rtfm: Je précise qu'il peut

poignarder un passant à tout moment...........

Il faut donc attendre qu'il fasse un carnage pour l'hospitaliser

à nouveau.......J'ai en mémoire le fameux schizophrène "Moitoiret"

qui a poignarder à mort un jeune enfant de 11 ans dans la rue.

Tout ceci pour dire que les traitements psychiatriques endorment

peut-être l'individu , mais c'est un moindre mal , si cela peut éviter

des drames.............Au passage , le traitement des schizophrènes

me semble tres au point , car je le répète , l'homme qui habite pres

de chez moi , est tout à fait normal et pas endormi du tout ,

quand il prend son traitement.

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Invité Leodagan_
Invités, Posté(e)
Invité Leodagan_
Invité Leodagan_ Invités 0 message
Posté(e)

Nos hôpitaux sont nuls, nos hôpitaux psychiatriques sont nuls, nos prisons sont nulles, nos aéroports sont nuls, notre police est nul, nos gouvernants sont nuls, nos footballeurs sont nuls etc ...

A se demander comme ça se fait qu'il y ait encore plus de 60 millions de personnes qui acceptent de vivre dans cette médiocrité plutôt que d'émigrer.

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Membre, 56ans Posté(e)
Sequine Membre 856 messages
Baby Forumeur‚ 56ans‚
Posté(e)
A se demander comme ça se fait qu'il y ait encore plus de 60 millions de personnes qui acceptent de vivre dans cette médiocrité plutôt que d'émigrer.

Faut des sous :rtfm:

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Membre, Posté(e)
Mijeong Membre 264 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Tout ça me rappelle de mauvais souvenirs.

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Invité shari
Invités, Posté(e)
Invité shari
Invité shari Invités 0 message
Posté(e)

AxelLeBriac

Beaucoup trop d'amalgames et d'anachronismes dans tes dires ... beaucoup trop pour être crédible en fait.

Il y a un gros problème avec les hôpitaux psychiatriques et même la medecine en général , c'est une évidence , mais se baser sur les délires fantasmatiques et narcissiques d'Onfray (j'ai une idée assez critique de la psychanalyse , mais le livre d'Onfray c'est un ramassis de conneries édifiant , l'illusion orgueilleuse d'embrasser une cause , d'aller contre un pouvoir , un exercice trop difficile pour lui) , affirmer que Freud n'était pas medecin (neurologue de formation hein) , avoir une vision et une idée si binaire de la dite folie (la folie comme maladie sociale , ce n'est pas entièrement faux , mais en même temps , c'est bien loin d'être vrai , d'être complet) , les patients lobotomisés à coup d'électrodes dans les HP , la généralisation extrême du personnel soignant (ou il y a de vrais salopards c'est vrai , mais pas plus que dans les métiers qui offrent de semblables responsabilités , un pouvoir équivalent) , tout ça fait un peu trop dans ton analyse , c'est dommage , car des mecs qui pensent comme toi il en faut , mais jamais ils ne seront crédibles , jamais ils n'évoqueront une image de lucidité , avec de tels arguments et une vision si caricaturale.

C'est un conseil qui me tient à coeur en aucun cas un lynchage , entends le bien.

Les vraies questions portent sur

-les camisoles chimiques abusives ,

-l'ambivalence et l'impasse de la psychiatrie (et de la medecine à degrès moindre) entre l'idée politique et sociale de la folie , de la normalité , et l'idée médicale , ambivalence qui conduit à de nombreuses idées faussées , à des diagnostics tronqués , et qui amène le responsable dans un confort de pensée , et donc un immobilisme , très dangereux dans ce milieu ...

-la rationalité , le coté scientifique , qui prend de plus en plus de place dans les hôpitaux , au détriment de lignes de soin largement aussi importantes.

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Membre, 114ans Posté(e)
Tatiana00001 Membre 1 947 messages
Forumeur survitaminé‚ 114ans‚
Posté(e)

c'est pas nouveau et très vrai l'hopital psychiatrique c'est du n'importe quoi.

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Membre, 42ans Posté(e)
banlieusard Membre 977 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
Posté(e)

Est ce que l'ump est un asile? :rtfm::o°:yahoo:

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Membre, Posté(e)
Liberte1789 Membre 196 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Au passage , le traitement des schizophrènes

me semble tres au point , car je le répète , l'homme qui habite pres

de chez moi , est tout à fait normal et pas endormi du tout ,

quand il prend son traitement.

Pour dire ça tu te base sur uniquement le cas d'une personne. Cette personne est peut etre un cas particulier qui a vraiment un probleme biologique au nveau de la dopamine.

Mais le diagnostique de schizophrènie n'est jamais fait sur des examen biologiques, il est fait sur des "symptomes" décrits dans le CIM et le DSM. Le problème est que ces symptomes sont très vagues et ne sont pas forcément causés par une schizophrénie, de plus, les diagnmostiques symptomatiques ne prennent pas en compte les statistiques concernants ces symptomes (ce qui est une très grosse erreur de raisonnement scientifique). La façon dont sont fait les diagnostiques fait donc sortir du domaine médical, c'est n'importe quoi et on peut déclarer quasiment n'importe qui schizophrène.

On peut raisonablement considérer que 80% des gens déclarés "schizophrènes" ne le sont pas, et que les traitements qui leur sont imposé n'ont qu'un effet négatif, car ces gens n'ont pas de problèmes biologiques au niveau de la dopamine. De plus, la psychiatrie ignore complètement les problèmes psychologiques, qui évidement ne se soignent pas avec des médicaments, et bien souvent quand on force les gens a prendre des "médicaments", leur état psychologique s'aggrave.

Si je me souvient bien, une enquete faite au USA a montré que 100% des membres du groupe schizophrénie chargé de rédiger le DSM, avait les liens financiers avec l'industrie pharmaceutique. Faire des critères vagues permet de multiplier les prescriptions de "médicaments" qui ont de lourds effets secondaires comme le diabète et la diskinésie, ces effets secondaires donnent eux aussi lieu à des prescriptions d'autres médicaments. En imposant des critères vagues, l'industrie pharmaceutique peut donc multiplier ses bénéfices par 2, 3, voir beaucoup plus. Le marché des neuroleptiques représente à lui seul plusieurs disaines de milliards de dollars chaque année, les laboratoires pharmaceutiques sont donc très intéressés par le fait de multiplier ne serait-ce que par 1,5 ou par 2 le nombre de diagnostiques "schizophrènes" et par conséquents le nombre de prescriptions et leur bénéfices.

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Invité shari
Invités, Posté(e)
Invité shari
Invité shari Invités 0 message
Posté(e)
Pour dire ça tu te base sur uniquement le cas d'une personne. Cette personne est peut etre un cas particulier qui a vraiment un probleme biologique au nveau de la dopamine.

Mais le diagnostique de schizophrènie n'est jamais fait sur des examen biologiques, il est fait sur des "symptomes" décrits dans le CIM et le DSM. Le problème est que ces symptomes sont très vagues et ne sont pas forcément causés par une schizophrénie, de plus, les diagnmostiques symptomatiques ne prennent pas en compte les statistiques concernants ces symptomes (ce qui est une très grosse erreur de raisonnement scientifique). La façon dont sont fait les diagnostiques fait donc sortir du domaine médical, c'est n'importe quoi et on peut déclarer quasiment n'importe qui schizophrène.

On peut raisonablement considérer que 80% des gens déclarés "schizophrènes" ne le sont pas, et que les traitements qui leur sont imposé n'ont qu'un effet négatif, car ces gens n'ont pas de problèmes biologiques au niveau de la dopamine. De plus, la psychiatrie ignore complètement les problèmes psychologiques, qui évidement ne se soignent pas avec des médicaments, et bien souvent quand on force les gens a prendre des "médicaments", leur état psychologique s'aggrave.

Si je me souvient bien, une enquete faite au USA a montré que 100% des membres du groupe schizophrénie chargé de rédiger le DSM, avait les liens financiers avec l'industrie pharmaceutique. Faire des critères vagues permet de multiplier les prescriptions de "médicaments" qui ont de lourds effets secondaires comme le diabète et la diskinésie, ces effets secondaires donnent eux aussi lieu à des prescriptions d'autres médicaments. En imposant des critères vagues, l'industrie pharmaceutique peut donc multiplier ses bénéfices par 2, 3, voir beaucoup plus. Le marché des neuroleptiques représente à lui seul plusieurs disaines de milliards de dollars chaque année, les laboratoires pharmaceutiques sont donc très intéressés par le fait de multiplier ne serait-ce que par 1,5 ou par 2 le nombre de diagnostiques "schizophrènes" et par conséquents le nombre de prescriptions et leur bénéfices.

"la schizophrénie est relative et sociale" , "tout le monde peut être diagnostiqué schizophrène" , c'est faux. Les neuroleptiques sont efficaces pour gérer les accès schizophrèniques , dans 95% des cas , après on peut parler d'étique , d'exclusion sociale , de camisole chimique , d'usurpation d'unicité pour reprendre Walken , mais en aucun cas de traitements foireux , ces traitements sont efficaces , ce n'est pas le problème.

Je réponds aux truc que j'ai mis en gras dans ton poste liberté ...

Il y a quelques trucs à bien comprendre avant de lancer l'assaut sur la medecine occidentale (qui si ses contradicteurs avaient été plus au fait ne continuerait pas à tendre vers un laboratoire géant) et sur la psychiatrie (même remarque):

-Le cerveau humain est d'une immense complexité , la dopamine n'est pas directement responsable (dans de rares cas si) de la schizophrénie , c'est un peu le catalyseur , le neuro transmeteur roi du système nerveux , elle active des tas de secrétions , en inhibe tout autant , et se retrouve dans la plupart des chaines métaboliques du cortex , voilà pourquoi les anti dopaminergiques sont efficaces ... la schizo est multi factorielle , comme la plupart des maladies neurologiques complexes , mais comme d'autres maladies systémiques comme le diabète par exemple ==> en inhibant la dopamine on inhibe le tout ... Les freins de ma bagnole marchent pas , je débranche le moteur comme ça on reste à l'arrêt et pas de problème de freins ... :rtfm:

-Comme dit précédemment , il y a un amalgame sérieux entre les définitions sociales et politiques de la psychose. Il y a dans la psychose une rigidité d'adaptation involontaire , c'est à dire que les psychotiques auront énormément de mal à s'adapter à un environnement qui ne leur correspond pas , la corolaire c'est que chaque psychotique a son environnement de prédilection , on parle alors d'hyper adaptation. Dans la société actuelle il y a donc pas mal de psychotiques qui passent totalement inaperçus parce qu'ils font chier personne (au sens redéfinition de règles , de logique , de système de pensée etc ...) , ceux là on les emmerde pas et parfois même on les adule , on les idéalise (le meilleur mouton du troupeau c'est le chien). L'impact social a donc un effet énorme sur les internements. Quand les normes changent , les fous changent , c'est logique. Si on veut trouver des vrais schizophrènes dans la nature , on le peut , c'est d'ailleurs un des points de divergence entre les labos pharmaceutiques et les autres grandes puissances (concernant les hyper adaptés).

-Pour le diagnostic de la psychose , justement il ne faut absolument pas tomber dans ces statistiques de symptôme , sinon on peut très bien confondre un hystérique et un schizophrène , c'est un savoir relayé qu'il serait bien difficile d'illustrer sous forme de tableau avec la bonne justesse. C'est l'oubli dans l'autre avec le recul nécessaire , le jonglage entre son savoir et ses réactions inconscientes et profondes , tout un art , plus qu'une science (la medecine en générale se doit d'être plus qu'une science)

-Les problèmes psychologiques des psychotiques sont bien plus durs à cerner , car il ne correspondent

pas à notre conditionnement logique , il faut essayer de saisir s'ils souffrent ou pas , et ça déjà c'est assez compliqué quand on ne connait pas très bien la personne. Certains sont des maitres en matière de compréhension des rouages psychotiques (Israel , Marceli , qui ont fait de très bons ouvrages d'ailleurs , très critiques de la psy et de la medecine , si ça vous intéresse).

Un bon médecin , un bon psychiatre , devrait être libéré de ses chaines de confort , à savoir les pressions sociales , familiales , hiérarchiques (ordre) , et morales , ce qui dans l'état actuel des hôpitaux , ne peut qu'être un exercice de haute voltige , et c'est bien là le problème.

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Membre, Posté(e)
Liberte1789 Membre 196 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
"la schizophrénie est relative et sociale" , "tout le monde peut être diagnostiqué schizophrène" , c'est faux.
Le premier est faux, la schizophrénie n'est ni relative, ni sociale, par contre c'est le fait de de déclarer quelqu'un "schizophrène" qui est relatif et social: ça dépend des comportements admis par la société, et de celui qui déclare "schizophrène" qui se base sur son opinion personnelle et sur ce qui est admis par la société alors qu'il ne devrait pas.
Les neuroleptiques sont efficaces pour gérer les accès schizophrèniques , dans 95% des cas
C'est du baratin, 95% des "accès schizophréniques" n'en sont pas et les neuroleptiques sont donné à des non-schizophrènes. Pour gérer les accès, les neuroleptiques sont donnés très souvent à longueurs de journée pendant plusieurs mois et plusieurs années, et sont hautement toxiques.
, après on peut parler d'étique , d'exclusion sociale , de camisole chimique , d'usurpation d'unicité pour reprendre Walken
De viol psychologique, de viol du corps car il y a penetration de produit contre le grès de la personne. Et empoisonnement à cause de la toxicité des neuroleptiques.
mais en aucun cas de traitements foireux , ces traitements sont efficaces , ce n'est pas le problème
Non ils ne sont pas efficaces, car dans la majorité des cas la personne n'est pas schizophrene, par contre ces medicament sont déclaré "efficaces" d'une par parceque l'industrie pharmaceutique veut les vendre, et d'autre par parceque les très nombreux non-schizophrènes qui le sont déclarés à tord comprennent vite qu'ils doivent jouer la comédie et adoptent volontairement (et non sous l'effet des neuroleptiques) le comportement attendu par les psychiatres, et affichent les opinions que les psychiatres attendent qu'il aient, et non leur opinion réelle.
-Le cerveau humain est d'une immense complexité , la dopamine n'est pas directement responsable (dans de rares cas si) de la schizophrénie
En tout cas, le problème c'est le diagnostique: si on déclare schizophrène les gens qui n'ont pas d'amis ou des problèmes professionnels (comme recommandé par le DSM), pourquoi ne pas déclarer schizophrène les gens qui mettent des boucles d'oreilles ? Faut etre taré pour s'enfoncer des bout de métal dans la peau ?

Le DSM ressemble fortement à un complot contre les non-schizophrène, dans le but de vendre plus de neuroleptiques.

Dans la société actuelle il y a donc pas mal de psychotiques qui passent totalement inaperçus parce qu'ils font chier personne
Mais on a aussi le cas inverse: quelqu'un qui s'enerve parceque des gens les font chier, quelqu'un lui met une HDT pour cause "énervement", et c'est lui qui est déclaré schizophrène alors qu'il ne l'est pas, mais que ses agresseurs le sont, les agressions psychologiques par harcellement moral ne sont pas bien admises comme cause d'énervement, et la victime est souvent déclarées schizophrène alors qu'elle ne l'est pas (mais ses agresseurs le sont, et contre eux: pas de HDT ni de HO, car eux ils ne s'énervent pas puisqu'ils ne sont pas attaqués).
-Pour le diagnostic de la psychose , justement il ne faut absolument pas tomber dans ces statistiques de symptôme , sinon on peut très bien confondre un hystérique et un schizophrène
C'est l'inverse: quand on repère un symptome listé dans le DSM:

- déjà c'est peu etre une erreur, le symptome n'a peut etre rien à faire dans le DSM, comme ce fut le cas pour l'homosexualité, qui a été retirée du DSM.

- quelqu'un qui n'a pas d'amis, dans combien de pourcent des cas ce symptome est du à une schizophrénie ? A un problème d'hystérie chroniques, d'épilepsies ? Dans combien de pourcent des cas c'est parceque la personne est très très moche ? Dans combien de pourcent des cas il est su à une homosexualité, à des problèmes sociaux diers, à une personalité saine mais simplement différente et incompatible avec 99% des gens, à une opinion politique qui fait que lq personne veut quitter le pays et ne garder aucune relation en France, etc... ?

- idem pour le "disfonctionnement professionnel", dans combien de pourcent des cas c'est du à une schizophrenie ? dans combien de pourcent des cas c'est du à une dépression ? au fait que la personne est très très moche et ne trouve pas d'emploi à cause de ça, au fait qu'elle subit un complot social organisé par un manipulateur psychologique qui lui est réèlement schizophrène ? Au fait qu'elle a un patron schizophrène ? etc... ?

Ni le DSM, ni le CIM ne précisent ces pourcentages. Et aucun psychiatre ne les prend en compte pour ses diagnostiques: le psychiatre lit le DSM, symptone repéré chez le patient, ça a duré plus de 6 mois, patient directement déclaré "schizophrène", prescription de neuroleptiques, ça se passe souvent voir systématiquement comme ça. Et si le patient ne prend pas les neuroleptiques: le psychiatre demande le placement en HO au le préfet + traitement forcé par injection intra-musculaire (parfois intra-veineuse) + procédure judiciaire afin de placer la victime sous obligation de soins. On torture des gens non-malades, et difficile pour eux de faire valoir leur droit quand il ont le cerveau diminué par des soi-disant médicament et leur santé psychologique fortement affaiblie par des drogues toxiques, et la torture médicamenteuse subie. De plus le juge se basera sur l'avis de l'expert, lui meme psychiatre qui se basera sur le DSM, donc les chances d'obtenir justice sont très faibles.

c'est un savoir relayé qu'il serait bien difficile d'illustrer sous forme de tableau avec la bonne justesse. C'est l'oubli dans l'autre avec le recul nécessaire , le jonglage entre son savoir et ses réactions inconscientes et profondes , tout un art , plus qu'une science (la medecine en générale se doit d'être plus qu'une science)
Non, elle se doit de devenir une science, les diagnostiques devraient etre systématiquement justifiés par un raisonnement logique écrit de façon explicite, et ce afin que le patient et des spécialiste en logique et en sciences cognitives puissent le vérifier. Le raisonnement est une science et on peut repérer des erreurs de raisonnement, qui sont nombreuses et certaines systématiques dans certains diagnostiques comme celui de la schizophrénie: pas de prise en compte des statistiques.
Les problèmes psychologiques des psychotiques sont bien plus durs à cerner
Plein de gens sont considérés psychotiques par des psychiatre alors qu'ils ne le sont pas, et inversement. Par exemple, contrairement aux psychiatres, je considère les gens qui s'enconcent des bout de métal dans la peau comme schizophrènes, parmis eux les gens qui mettent des boucles d'oreilles. De l'autre coté, les psychiatres considèrent les gens qui n'ont pas d'amis comme schizophrènes, moi je les considèrent comme normaux car ils ne sont pas un danger pour eux-memes ni pour autrui: par conséquent ce n'est pas une maladie, il n'y a rien de médical.
Un bon médecin , un bon psychiatre , devrait être libéré de ses chaines de confort , à savoir les pressions sociales , familiales , hiérarchiques (ordre) , et morales , ce qui dans l'état actuel des hôpitaux , ne peut qu'être un exercice de haute voltige , et c'est bien là le problème.
Les médecins et psychiatre s'intéressent en premier lieu à leur santé à eux, celle du patient passe après. Et la santé des médecin passe par leur compte en banque, les produit bio coutent plus cher, les grandes maisons spacieuses et luxueuses coutent plus cher, les vaccances de luxe coutent cher, la santé future de leur enfant passe par l'héritage, défois que l'un d'eux ait des difficultés financières ou un métier mal payé, etc...
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