Melenchon traite un étudiant en journalisme de petite cervelle

Psst, c'est Mélenchon.

Il l'a déjà fait. Je me souviens l'avoir entendu sur RTL il y a moins d'un mois tenir des propos comparables. (Le soir du deuxième tour, peut-être)

Oui, je l'ai déjà entendu ouvrir sa gueule plusieurs fois face à des journalistes établis. Il est même un peu invité (ou évité) pour ça. Et ça m'a plus l'air d'être un coup de sang qu'un acte de lâcheté. D'ailleurs, quel intérêt journalistique à diffuser cette interview politique ratée qui tombe juste dans le rien du tout si ce n'est de voir un mec exalté s'emporter... :blush:

Franchement, la critique portée par Mélenchon prend encore plus de sens avec ce non-débat.

les sujets qu'il avance sont bien les plus importants.

C'est l'histoire de l'oeuf et de la poule. Mais le mieux est de te répondre par un exemple. Je bossais dans un hebdo à Lyon, c'était il y a cinq/six ans (mais je suis sûr que rien n'a changé). Une semaine, on fait un dossier béton sur le financement du principal théâtre de la ville, dénonçant des dysfonctionnements et nous appuyant sur un rapport de la cour des comptes. On le met en une. Franchement un truc fouillé qui tenait la route. La semaine suivante un truc genre "les endroits chauds à Lyon". Le premier sujet, record de non-ventes. le deuxième, record de ventes. ça m'avait frappé parce que c'était d'une semaine à l'autre. Faut arrêter avec cette généralisation sur les journalistes minables qui ne pensent qu'à racoler. Non, ils ont envie de faire des sujets de fond, des papiers intéressants, et ils le font quand ils le peuvent. Mais il faut aussi tenir compte des contraintes.

Oui, c'est un cercle vicieux mais on ne peut dédouaner personne non plus. Il y en a un peu marre de ce "tout le monde coupable et donc personne". Certains journalistes ont fait beaucoup de mal à leur métier (ce sont ces gens et ces dérives que Jean-Luc Mélenchon incrimine), justement en flattant les basses curiosités des gens. Ceci est une autre sphère que le journalisme.

Le devoir est de résister mais force est de constater que l'ensemble de la profession succombe, bon gré mal gré. Voire que certains sacrifient totalement à cette mode et font du non-journalisme -tout en se réclamant du journalisme.

Leur devoir est quand même de hiérarchiser les choses, les journalistes se voulant être le regard objectif sur notre monde. Quand les gratteurs de croûte remplacent le journalisme, il y a de quoi avoir les boules.

Les gens sont cons aussi, c'est ce qui fait peur, puisqu'ils entretiennent cet état de fait en achetant et en tombant complaisamment dans l'info-spectacle-frisson... Il faut de tout, mais justement ne pas tout mélanger.

Il faut noter que 364 jours par an il échappent à ce genre de critique alors qu'il y a matière à les insulter quotidiennement. Un Mélenchon tous les matins dans les salles de rédaction, ça ferait peut-être du bien...

Je me demande qu'elles auraient été les réactions si Melanchon avait craché avec une telle virulence stigmatisante sur un autre corps de métier: j'imagine le meme truc avec toutes les infirmières, ou tous les eboueurs... tous les arabes ?

Il ne critique pas l'ensemble du journalisme mais les dérives de la profession, qui tombe dans le simple racolage, et les gens qui entretiennent cette démarche, comme ce jeune homme à ses yeux - qui ne se rend même plus compte qu'il a déjà les pieds dedans avant même de faire ses première armes.

C'est fou comme les politiciens sont devenus prompts à défoncer les journalistes. Journalistes, ce n'est pas anodin comme métier.

Vu la qualité de certains papiers, la profondeur des sujets, la mode du vulgaire et de l'inepte, ça le devient de plus en plus. :) Le discours de Mélenchon trouve écho chez des journalistes eux-mêmes, qui sont parfois tout aussi virulents (parfois pire car impuissants) au constat du chemin que prend leur profession.

Quand il parle d'agressivité, de voir des rapaces accourir pour grapiller du croustillant (comme un coup de sang ou un avis sur les putes), il a tout à fait raison. L'acte de cet étudiant n'est pas isolé. Je pense qu'après avoir passé une journée à être sollicité sur des questions de merde et à voir les sujets importants passés à la trappe par les gens dont c'est le devoir d'en parler, je pense qu'on peut avoir ce genre de réaction.

"Petite cervelle !" C'est pas très sympa mais ce n'est pas excessivement agressif, ni gratuit parce qu'il lui justifie son insulte.

Il ne critique pas l'ensemble du journalisme mais les dérives de la profession, qui tombe dans le simple racolage, et les gens qui entretiennent cette démarche, comme ce jeune homme à ses yeux - qui ne se rend même plus compte qu'il a déjà les pieds dedans avant même de faire ses première armes.

"Votre sale corporation de voyeuristes"

" Vous êtes tous les mêmes"

Cela me parrait assez générale comme critique...

Ztes tous des voleurs Vraiment bravo.

APres sur la critique du mauvais journalisme oui mais pas comme cela, avec un ferme ta petote bouche en prime, c'est vrai que museler le journaliste pour un politique ce serait le pied. et a force de se sentir soutenu pour traiter la presse de cette manière, soutenu en effet par une parti de cette profession, la plus médiatisée d'ailleurs :blush: , cela ne risque pas de s'arranger...et je pense que les politiques savent bien surfer sur le créneau.

Bref sur le fond du propos qui serait de discuter et de critiquer une certaine forme de journalisme et la disparition ( pourquoi d'ailleurs) d'une forme de journalisme plus neutre, plus profond, ok, de le faire comme cela, vraiment boaf!

Quoique cela denote de la difficulté extremement dangereuse dans laquelle cette profession tout entiere cette fois se trouve d'ailleurs.

Après sur la critique du mauvais journalisme oui mais pas comme cela, avec un ferme ta petote bouche en prime, c'est vrai que museler le journaliste pour un politique ce serait le pied. et a force de se sentir soutenu pour traiter la presse de cette manière, soutenu en effet par une parti de cette profession, la plus médiatisée d'ailleurs :blush: , cela ne risque pas de s'arranger...et je pense que les politiques savent bien surfer sur le créneau.

Oui, les politiciens aussi savent bien profiter de ce journalisme spectacle et l'entretiennent parce que ça les arrange souvent. Mélenchon pourrait aussi balayer dans sa propre corporation de pourris, escrocs et menteurs ( ).

Mais son "vous", je ne le perçois pas comme adressé à tous les journalistes (ce qui serait idiot puisqu'il semble défendre une autre idée du journalisme). C'est un discours qui déborde mais je ne suis pas trop choqué par ça.

Plus par la violence directe envers ce jeune qui a dû passer un sale quart d'heure.

melenchon ou pas les journiste sont pour ma part plutot suspect ou sinon tres peu compétent:

http://www.dailymotion.com/video/x8plm1_re...-nous-ma_webcam

l'information est un outil, qui utilisé par les mauvais personnes devient une arme.

L'information devient surtout une arme de "destruction massive" surtout lorsque les gens s'arrêtent de penser pour laisser les journalistes ou les politiques penser à leur place...

Je pense que les français ont une grande part de responsabilité lorsqu'ils sont victimes de mystifications... :blush:

"beuh... beuh... mais si les journalistes l'ont écrit c'est que c'est surement vrai..."

Ces deux corporations nagent trés souvent dans la faisanderie toutefois, contrairement aux politiques qui la pratique face caméra, les journalistes sont bien plus coupables que ces derniers...

Ce sont (pas tous, of course...) des manipulateurs à visage couverts et ça c'est un truc que je ne peux pas blairer...

Oui, c'est un cercle vicieux mais on ne peut dédouaner personne non plus. Il y en a un peu marre de ce "tout le monde coupable et donc personne".

C'est pas exactement, ce que j'ai dit. Mais le fait est qu'il y a une responsabilité collective. Tiens essaye-donc ici de lancer un énième sujet sur la fellation (caresses des bourses en sus, ou non ?) et le concept de l'inflation/déflation sur les deux dernières décennies, lequel marchera mieux selon toi ?

C'est un peu comme pour les politiques, on a vite fait de reprendre l'antienne du "tous pourris" mais lorsqu'il s'agit de voter, le même "on" élit le plus pourri d'entre les pourris. Tiens, je suis prêt à parier que Tapie sera encore capable de se faire élire comme député ou dans une autre fonction.

Que faire contre cet état de fait ? Je n'en sais rien. Mais je sais en revanche que les grandes tirades populistes visant à stigmatiser telle ou telle catégorie professionnelle, n'apportent pas grand chose à la qualité des débats.

Tiens, sur les journalistes, si tu veux vraiment les incriminer, ce n'est pas le journaliste de base ni l'apprenti-journaliste qu'il faut attaquer. Mais ceux qui sont tout en haut, les fameux patrons de presse qui, souvent, c'est là un paradoxe assez savoureux, n'ont jamais été journalistes.

Une réalité que néglige Mélenchon, curieux pour un homme de gauche...

L'information devient surtout une arme de "destruction massive" surtout lorsque les gens s'arrêtent de penser pour laisser les journalistes ou les politiques penser à leur place...

Je pense que les français ont une grande part de responsabilité lorsqu'ils sont victimes de mystifications... :blush:

"beuh... beuh... mais si les journalistes l'ont écrit c'est que c'est surement vrai..."

Pas mieux ! Et malheureusement la section débat est pleine de sujet dans le genre :/ Eteignez votre télé ! (enfin, je trouve Arte Info pas trop mal, au moins on a de l'international, du vrai, pas du "bidule s'est pris 30 coups de feu par le redneck du coin"). Je préfère encore la radio et deux ou trois journaux (par les gratuits Y_Y) histoire d'avoir des avis différents.

L'audience joue bien un rôle là dedans, mais en France je rappelle que les médias sont aussi financés par des fonds publics. Vous savez combien de quotidien pourrait survivre sans ces subventions ? Un seul: le canard enchaîné.

En ce sens, l'Etat et par la même le peuple sont en droit d'exiger des médias plus qu'une course à l'audience.

Et à mon sens, c'est surtout ça qu'il faut remodeler: le système. Entre autre, je n'ai aucun scrupules à dire que l'Etat devrait imposer des émissions politiques. De même qu'on peut s'interroger sur le pourquoi de l'homogénéisation de la classe journalistique et tenter de la résoudre.

Il suffit de voir la vidéo pour comprendre que Mélanchon voulait parler politique et non d'autre chose il la d'ailleur signalé a plusieur reprise au journaliste sans succes d'ou son coup de sang.

Franchement je ne lui jette pas la pierre si ce n'est dans la forme qui aurait pu étre plus concenssuelle.

Pas mieux ! Et malheureusement la section débat est pleine de sujet dans le genre :/ Eteignez votre télé ! (enfin, je trouve Arte Info pas trop mal, au moins on a de l'international, du vrai, pas du "bidule s'est pris 30 coups de feu par le redneck du coin"). Je préfère encore la radio et deux ou trois journaux (par les gratuits Y_Y) histoire d'avoir des avis différents.

"Pas mieux Bis" MAGUS...

RMC : Les grandes Gueules, Bourdin

RTL

ARTE

20 minutes et quelques canards gauche/droite afin de me forger un juste milieu... :blush:

Tiens, en passant, je signale que le débat sur les maisons closes, n'est pas venu des de ces vilains journaleux bons qu'à lécher les caniveaux mais de députés UMP. http://www.liberation.fr/societe/010162533...gression-enorme

Mélanchon a parfaitement raison.

Les putes sont loin d'être la préoccupation des français, et ce genre de débat stupide émanant de l'UMP, alors qu'on voudrait parler de chômage, de dette, de fiscalité, ne m'étonne plus.

étre journaliste, ce n'est pas traiter de sujets futiles.

C'est pas exactement, ce que j'ai dit. Mais le fait est qu'il y a une responsabilité collective. Tiens essaye-donc ici de lancer un énième sujet sur la fellation (caresses des bourses en sus, ou non ?) et le concept de l'inflation/déflation sur les deux dernières décennies, lequel marchera mieux selon toi ?

En effet, les thèmes les plus basiques et fédérateurs drainent le grand public.

Seulement, est-ce quelque chose d'insoluble. La ligne de défense (et là il ne s'agit pas d'un grand patron de presse mais d'un étudiant journaliste) est : "C'est ce que les gens veulent !".

Ce qui montre que la gangrène s'installe dans les esprits des futurs petites mains de la profession.

Les gens veulent surement de ce genre de sujets, mais s'agit-il encore vraiment d'une démarche journalistique ? Un patron de presse défend ses ventes, son profit et à ce titre est tout à fait responsable de ce qu'il publie.

Les magazines "people" se vendent très bien. Peuvent-ils se réclamer vraiment du journalisme ? Le divertissement fédère bien plus que l'information.

Mélanger les deux n'est même pas en soi un délit. C'est confondre les deux qui commence à en être un.

L'opium du peuple.

Que faire contre cet état de fait ? Je n'en sais rien. Mais je sais en revanche que les grandes tirades populistes visant à stigmatiser telle ou telle catégorie professionnelle, n'apportent pas grand chose à la qualité des débats.

La tirade est peut-être orchestrée, je ne sais pas si Mélenchon a voulu faire un coup. éa le dessert tellement que je le pense sincère sur le coup, même si dans son propos, il cible petit.

La faute n'incombe pas qu'aux journalistes puisque les chiffres de vente dictent les lignes éditoriales et que l'on tend à s'y plier. Ce qui est à dire, par contre, c'est qu'il est intolérable de voir les journalistes ne plus résister et même plier leur mentalité à cette course au croustillant, au graveleux.

Tiens, sur les journalistes, si tu veux vraiment les incriminer, ce n'est pas le journaliste de base ni l'apprenti-journaliste qu'il faut attaquer. Mais ceux qui sont tout en haut, les fameux patrons de presse qui, souvent, c'est là un paradoxe assez savoureux, n'ont jamais été journalistes.

Une réalité que néglige Mélenchon, curieux pour un homme de gauche...

Il n'a pas eu le temps de tout dire, et je ne crois pas qu'il avait préparé un grand débat sur le journalisme. Il faudrait bien plus de temps.

S'attaquer aux journalistes n'empêche a priori pas de reconnaître la tyrannie des chiffres de ventes et du profit des patrons de presse. Pousser un coup de gueule pour les réveiller me semble légitime : si les journalistes ont encore du respect pour leur métier, ça leur parlera. S'il ne se rendent même plus compte qu'à peine sorti de l'école, ils sont déjà gangrenés par une philosophie mercantile il est bon de leur secouer les neurones.

Ils sont censés être nos objecteurs de pensée non ? :blush:

Il n'a pas eu le temps de tout dire, et je ne crois pas qu'il avait préparé un grand débat sur le journalisme. Il faudrait bien plus de temps.

il a été invité partout après cet incident mais il a préféré botter en touche en disant à chaque fois aux journalistes qui l'ont interviewé: mes propos n'étaient pas déstinés à vous, vous, vous faites bien votre travail etc, mais ça concerne tel ou tel média. et c'est cela qui est frustrant, quand la dénonciation aurait de l'impact et quand il est au lieu opportun et au bon moment il se dégonfle.

parce que la dénonciation des médias ça été déjà fait par Bayrou, Peillon, Lepen, Aubry, et d'autres d'une manière frontale et dure. mais pour Mélenchon franchement il s'agissait plus d'un égo démesuré voire de narcissisme et un grand mépris mélangé avec beaucoup de condescendance envers la personne qui était devant lui, rien à voir avec la dénonciation des médias et de leur médiocrité.

c'est comme si pour dénoncer le président de la république on prend à partie un petit électeur de base de l'UMP pour lui mettre tous les maux de la politique de Sarkozy sur le dos, ça n'a aucun sens.

En même temps il a assez répétté qu'il désirait parler politique et non pas des maisons closes,le journaliste en insistant a provoqué l'agacement. :blush:

Tiens, sur les journalistes, si tu veux vraiment les incriminer, ce n'est pas le journaliste de base ni l'apprenti-journaliste qu'il faut attaquer. Mais ceux qui sont tout en haut, les fameux patrons de presse qui, souvent, c'est là un paradoxe assez savoureux, n'ont jamais été journalistes.

Une réalité que néglige Mélenchon, curieux pour un homme de gauche...

Il est clair que le journalisme comme tous les autres corps de métier est soumis a la la sacro sainte rentabilité, or pour etre rentable faut vendre, et pour vendre ben faut du cul, faut du drame, faut de la paillette et du sang: bien loin de l'explication d'un projet de loi de finance, des cavaliers budgetaires que l'on peut y trouver ou de l'introduction de la question prioritaire de constitutionnalité.

C'est un cercle vicieux qui se doit de devenir plus vertueux, cela passe aussi par le consommateur, consommateur qui est un citoyen , citoyen qui fut un eleve , un elve que l'ecole républicaine a formé ( ou pas ...cf reforme de la formation des enseignats ca fait peur quant à la quelité desd cours que nos enfants actuels recevronts pour devenir les citoyens duturs) au libre arbitre, à la capacité d'analyse et de reflexion ect...

Pour ma part, on m'a appris a lire différentes soources d'information.

Mais je me suis égarée je voulais rappeler que le journaliste, est un employé lambda et que s'il rechigne a faire du sttrass et paillettes il peut aussi se voir diriger vers la sortie. Donc oui, je crois en effet que ceux qui sont en haut ont une part de responsabilité plus important que le pigiste et Melanchon l'a bien zappé.

Maintenant oui sans doute, il n'avait pas préparé cela, je note toutefois que si Melanchon trouve la presse a scandale voyeuriste et minable, il vient d'en obtenir un sacré coup de pub et lui a permi de s'alimenter.

Don't feed the troll Melanch' !!!

Maintenant les journalistes doivent aussi avoir la conscience de leur métier et nous transmettre les informations que nous devrons nous meme analyser! Ce ne sont pas des distibuteurs d'opinions.

Et au regard de la troupe de politicards que l'on a au pouvoir en ce moment , il serait temps qu'ils se reveillent!! mais nombreux veillent toutefois au grain, mais on notera que lorsque l'un d'entre eux fait un peu trop " fort" son patron doit s'excuser pour lui , ce meme patron qui accordera ou non la liberté de ton a ses journaliste et qui donc frappe sur le patron?....n'estce dopnc pas les memes qui regrettent que les journaleux ne fassent pas leur taf?

Bref, fin bref j'ai ete mega longue :blush: et je pardonne a ceux qui ont abandonné mon post depuis longtemps.

Ce qui est à dire, par contre, c'est qu'il est intolérable de voir les journalistes ne plus résister et même plier leur mentalité à cette course au croustillant, au graveleux.

Ils essayent. Si ça peut te rassurer. La lutte est malheureusement inégale et surtout elle ne se voit pas. Tant le bon grain disparaît sous la masse de l'ivraie. Et tant le bon journalisme n'est pas encouragé. Voire même fui par les politiques et le "grand public".

Bref, fin bref j'ai ete mega longue :blush: et je pardonne a ceux qui ont abandonné mon post depuis longtemps.

Mais non, mais non. On sait que les femmes aiment ce qui est long. Surtout quand ce n'est pas inintéressant.

http://www.agoravox.fr/actualites/medias/a...iquer-les-72796

Excellent article !

Quand ce ne sont pas des journalistes qui écrivent, ça arrive.

J'ai parfois cette bonne surprise dans le monde.