Marine Le Pen qualifie le Mrap et le Cran de "porteurs de valises"

On s'addresse depuis un bon moment déjà à "qui de droit"...

La deuxième partie de ton post me fait doucement marrer, on sent encore "la bête immonde encore féconde" derrière tout ça :blush:

Dans ce cas ne nous donnes pas, s'il te plait, de leçon de démocratie (tu sais la représentativité du peuple, tout ça tout ça...).

Décidemment tu es trés drôle, vas y montres moi un quote ou je donne des leçons de démocratie????

vous ne reculez devant rien et surtout pas le ridicule.

continuez.

xris :blush:

quant à te plaindre de la démocratie, c'est l'hopital qui se fout de la charité.

Alors tu peux m'expliquer ça peut-être.

Tu pouvais te contenter de " vas y montres moi un quote ou je donne des leçons de démocratie????", le reste n'étant pour moi que du verbiage inutile sans aucun poids.

Tu as Raison c'est effectivement une leçon, mon cher, tu n'as pas d'arguments, ce quote ne signifie rien, certainement pas ce que tu voulais illustrer. Si tu n'arrives pas à le comprendre....je ne peux rien pour toi....

MDR :blush:

Aurais tu des informations secrètes que personne n'aurait sur un complot contre le petit peuple de France pour le priver de la parole si sacrée de votre chef????

quelles sont tes sources??? de façon littérale, ils le sont suffisamment pour que des parti anti démocratique tel que celui du FN soit présent sur les listes, ait un temps de parole sur les médias et que ses électeurs puissent voter. Donc sans équivoque et à moins de nier la réalité, ils sont démocratiques.

xris

:blush:

"Faites ce que je dis, pas se que je fais"

Voilà une citation qui te vas très bien vu que sur un autre topic tu ne m'a toujours pas montré ta source comme quoi 98% des membres de l'extrême droite était des collabos.

Une ici

Et ici

Une autre là

Et encore une ici

Et oui, on peut pas dire que les autres partis respectent la démocratie que tu prône haut et fort à longueur de post.

Marine, c'est pas clair.

Comme si les autres partis était démocratique. :blush:

Donc en fin de compte le FN est un parti comme les autres?

Aurais tu des informations secrètes que personne n'aurait sur un complot contre le petit peuple de France pour le priver de la parole si sacrée de votre chef????

quelles sont tes sources??? de façon littérale, ils le sont suffisamment pour que des parti anti démocratique tel que celui du FN soit présent sur les listes, ait un temps de parole sur les médias et que ses électeurs puissent voter. Donc sans équivoque et à moins de nier la réalité, ils sont démocratiques.

xris

:blush:

Pour le PS, il y a un livre qui dénonce les pratiques antidémocratique internes (bourrage d'urnes notamment).

Pour l'UMP, il s'est passé quelques petits trucs louches lors des votes. Le fait que ce soit électronique, et sans vérification possible, est déjà hautement suspect (Si le PS avait utilisé le système de vote de l'UMP, on n'aurait jamais su qu'il y avait eu des bourrages d'urnes).

Donc en fin de compte le FN est un parti comme les autres? :blush:

Oui. Du moins le fonctionnement.

Aucun parti peut se targuer d'être honnête.

"Faites ce que je dis, pas se que je fais"

Voilà une citation qui te vas très bien vu que sur un autre topic tu ne m'a toujours pas montré ta source comme quoi 98% des membres de l'extrême droite était des collabos.

Une ici

Et ici

Une autre là

Et encore une ici

Et oui, on peut pas dire que les autres partis respectent la démocratie que tu prône haut et fort à longueur de post.

Et hop suffisait de demander, si tu es vraiment honnète alors dis moi si tout ces mouvements (je ne parle pas des membres)n'étaient pas des droites extrèmes et populistes, rien que leurs intitulés parlent plus que tes discours. tu pourras nier mais la réalité est là et le sera toujours même si tu fermes les yeux.

article de wikipedia

Les partis collaborationnistes (France) [modifier]

Dés juillet 1940, des activistes tentent leur chance en créant des partis politiques favorables à l'occupant nazi. Ils sont ensuite rejoints par les hommes politiques fascistes déçus par le caractère réactionnaire, catholique et moralisant du régime de Vichy (vers l'automne 1940).

Tout en se réclamant officiellement du maréchal Pétain, le petit monde collaborationniste parisien se distingue tout d'abord par sa volonté d'aller plus loin que le régime de Vichy. Au contact direct des forces d'occupation allemandes, il prône l'instauration d'un régime fasciste ou nazi en France, plus « révolutionnaire », et engagé sans arrière-pensée dans la collaboration avec l'Allemagne nazie. Les collaborationnistes parisiens vont progressivement prendre des places au sein du régime de Vichy qu'ils ont tant critiqué au départ et tendront à radicaliser encore plus le régime (Marcel Déat ministre en 1944).

Autre caractéristique du petit monde collaborationniste, l'incapacité à s'unir, et les intrigues entre chefs (la rivalité entre Jacques Doriot et Marcel Déat, mais aussi entre Marcel Déat et Eugène Deloncle, etc.). Marcel Déat a tenté de réaliser un parti unique en 1941 en alliant RNP et MSR, puis en 1943 au sein d'un éphémère Front révolutionnaire national.

Tout ce petit monde là se retrouvera, avec le maréchal Pétain et les derniers fidèles de Vichy en exil en Allemagne, à Sigmaringen en 1944-1945^[11]. Jacques Doriot tentera de rejouer l'aventure gaullienne à l'envers en prenant la tête d'un Comité français de libération nationale et enverra quelques agents pro-allemands dans la France libérée par les alliés. Certains se retrouveront dans la LVF, à défendre le dernier carré des chefs nazis dans le Berlin dévasté au printemps 1945.

• Les 2 principaux partis collaborationnistes :
  • Parti populaire français ou PPF (fondé en 1936 et dirigé par Jacques Doriot, ouvertement fasciste. Maximum de 20 000 à 30 000 membres^{[réf. nécessaire]}).
    
  • Rassemblement national populaire (ou RNP), fondé en 1941 et dirigé par Marcel Déat, ancien député socialiste SFIO puis néo-socialiste, parti de classes moyennes, plus « modéré » que le PPF. Maximum de 20 000 à 30 000 membres.
    

• • Satellites du RNP :
    • Ligue de la pensée française (fondée en 1942 par René Château, ancien député radical-socialiste. Le mouvement le plus étonnant, constitué de sincères intellectuels républicains favorables à la Collaboration pour que, en échange, l'Allemagne permette à la France de rétablir la République !).
      

• Partis collaborationnistes « moyens» (plus de 1 000 membres) :
  • Parti franciste (fondé en 1933 par scission de la Milice socialiste nationale de l'ancien leader socialiste Gustave Hervé. Fondé et dirigé par Marcel Bucard, réactionnaire de droite passé par toutes les ligues. Membres : 5 500 à 8 000 maximum).
    
  • Mouvement social révolutionnaire ou MSR (issu de la Cagoule, fondée en 1936 par scission de l'Action française. Fondée et dirigé par Eugène Deloncle, ancien membre de l'Action française. Puis dirigé en 1942-1944 par Georges Soulès, socialiste SFIO membre du cabinet de Charles Spinasse dans le gouvernement du Front populaire. Parti de comploteurs d'extrême-droite. Membres : vers 1 500 à 16 000 membres maximum selon les sources !).
    
  • Jeunes de l'Europe nouvelle (issu de la branche jeunes du groupe Collaboration. Dirigé par Marc Augier, ancien organisateur du Centre laïque des auberges de jeunesse et membre de cabinet de Léo Lagrange dans le gouvernement du Front populaire, puis par Jacques Schweizer, président des JNS, successeur de la ligue d'extrême-droite des Jeunesses patriotes. Max : 1 500 membres).
    
  • Les jeunes du Maréchal (créée par Jacques Bousquet, professeur de lycée, puis prise en main par Jean-Marie Balestre et Robert Hersant. Membres : 1 400 maximum).
    
  • Ligue française d'épuration, d'entraide sociale et de collaboration européenne (Mouvement social européen) (dirigé par Pierre Costantini, officier bonapartiste. Membres : 1 000 à 3 000 membres maximum).
    

• Organisations collaborationnistes de notables et d'élus
  • Groupe Collaboration (dirigé par Alphonse de Châteaubriant, écrivain réactionnaire. Groupe de notables conservateurs spécialisés dans les conférences à thèmes sur la collaboration. Audience : 33 comité en zone sud et un nombre inconnu en zone nord).
    
  • Comité d'action antibolchévique (CAA) (dirigé par Paul Chack, officier de marine et écrivain d'extrême-droite, membre de l'Action française jusqu'en 1939. Groupe de soutien à la LVF. Membres : vers 1 000 mais qui appartiennent aussi à d'autres organisations collaborationnistes)
    
  • Parti ouvrier et paysan français (POPF) (dirigé par Marcel Gitton, ancien n°3 du PCF puis Marcel Capron, député-maire PCF d'Alfortville. Parti regroupant l'aile collaborationniste des communistes. Membres : 300 en zone nord).
    
  • Comité ouvrier de secours immédiat (Cosi) (dirigé par Georges Yvetot, figure historique du syndicalisme français, puis par René Mesnard, socialiste passé au RNP, et Jules Teulade, ancien communiste passé au PPF. Organisation « caritative » pour les ouvriers bombardés, en fait instrument de propagande collaborationniste envers les milieux ouvriers).
    
  • Les Energies françaises (ébauche de futur parti unique piloté fin 1942 par Pierre Laval. Chef : Léon Cayla, ancien gouverneur général de Madagascar. Mais restera un petit groupe de notables conservateurs).
    

• Groupuscules collaborationnistes (moins de 1 000 membres)
  • Parti français national-collectiviste (PFNC) (fondé en 1934 et dirigé par Pierre Clémenti, journaliste de la presse radicale-socialiste. Membres : quelques centaines). Proche en 1940 du Jeune front (dirigé par Robert Hersant, ancien membre des Jeunesse socialistes) et des Gardes françaises,
    
  • Front franc (dirigé par Jean Boissel, ancien combattant d'extrême-droite et ultra-raciste. Membres : quelques dizaines).
    
  • Le Feu (dirigé par Maurice Delaunay, ancien député apparenté au PDP démocrate-chrétien. Il se fait appeler « François Henry Prométhée », « le Maître du feu » et prône une renaissance de la France sans idée politique claire. Cette histoire de fou ne dure que 6 mois mais largement subventionnée par l'Allemagne qui voulait peut-être discréditer les collaborationnistes).
    
  • Autres groupuscules : Parti national-socialiste français (PNSF) (environ 50 membres), Croisade française du national-socialisme (CFNS), Formations éclaires révolutionnaires (50 membres maximum), Les Hitlériens français (une douzaine de membres), Mouvement national-syndicaliste-L'Union française, Les Gardes du peuple révolutionnaire, Comité d'épuration de la race française, Cadets de Francs (organise quelques camps de jeunesse de 100 à 300 membres).
    

• Collaborationnistes régionalistes
  • Parti national breton pro-nazi
    
  • Brezona, détaché du Parti national breton, qui se réclame du national-socialisme ; et dans cette mouvance Galv ouvertement pro-nazi, et formé à partir des rédacteurs de la revue Arvor, Stur d'Olier Mordrel, et le Bezen Perrot formé par une fraction du Parti national breton.
    

La presse collaborationniste, ou collaboration de plume (France) [modifier]

La presse française sous l'occupation soutenait très majoritairement la politique collaborationniste et antisémite de Pétain. Une partie de cette presse était aux mains des Allemands, qui finançaient certaines publications, notamment (mais pas uniquement) à travers les éditions Le Pont.

Des dizaines d'écrivains ou journalistes de renom furent des collaborateurs, parfois même rémunérés par la « Propaganda Staffel » allemande, qui finançait certaines publications. Les articles spécialisés permettent de connaître plus en détail la nature des engagements de différents écrivains de renom en faveur de l'occupant ou de la Révolution nationale.

• Jacques Benoist-Méchin, historien
  
• Henri Béraud, journaliste, écrivain
  
• Abel Bonnard, académicien
  
• Georges Albertini, journaliste et secrétaire général du RNP
  
• Robert de Beauplan, journaliste, écrivain
  
• Robert Brasillach, journaliste, écrivain
  
• Charles Spinasse, député socialiste et fondateur de l'hebdomadaire collaborationniste Le Rouge et le Bleu
  
• Louis-Ferdinand Céline, écrivain
  
• Paul Chack
  
• Jacques Chardonne, romancier
  
• Alphonse de Chateaubriant
  
• Pierre Drieu La Rochelle
  
• Abel Hermant, académicien
  
• George Montandon, ethnologue
  
• Lucien Rebatet, romancier
  
• Camille Mauclair, écrivain
  
• Charles Maurras, directeur du journal L'Action française.
  
• Maurice Sachs, écrivain, juif, collaborateur.
  

L'engagement militaire aux côtés des Allemands [modifier]

• La LVF
  

La Légion des volontaires français contre le bolchévisme fut une initiative privée des chefs des partis collaborationnistes parisiens en juillet 1941 et non pas une création du régime de Vichy. Mais le maréchal Pétain l'a encouragé publiquement à sa création (par exemple en novembre 1941) avant d'adopter une attitude plus prudente par la suite. La LVF fut reconnue d'utilité publique et Pétain déclara que ses soldats détenaient « une part de notre honneur militaire ». Ceux-ci prêtaient serment de fidélité personnelle à Adolf Hitler.

• La Waffen SS française
  

Articles détaillés : Brigade Frankreich et Division Charlemagne. La constitution d'une Waffen-SS française (unité militaire de la SS) fut autorisée par le régime de Vichy en juillet 1943.

les refs liées à cet article

1. ^{a et b} « Pétain, Philippe : Message du 30 octobre 1940 » [archive], Themenportal Europäische Geschichte, sur le site europa.clio-online.de, consulté le 26 mai 2009
   
2. ↑ Robert Paxton, « La Collaboration d'état », in la France des années noires, Le seuil, 1993, tome I.
   
3. ↑ Philippe Burrin, « La Collaboration d'état, in la France des années noires, Le seuil, 1993, tome I.
   
4. ↑ Jean-Pierre Azéma et Olivier Wieviorka, Vichy, 1940-44, Perrin, 1997, chap. « Le temps des profiteurs », p. 231 de l'édition de poche.
   
5. ↑ Claude d'Abzac-Epezy, postface à L'Armée de Vichy de Robert Paxton, Taillandier, coll. « Points Histoire », p. 547.
   
6. ↑ Philippe Burrin, La France à l'heure allemande, éditions du Seuil, 1995.
   
7. ↑ Pierre Laborie, Dictionnaire Historique de la Resistance, « Montoire », Robert Laffont, Paris, 2006, p. 600.
   
8. ↑ Marc Ferro, Questions sur la deuxième Guerre Mondiale, Firenze, Casterman, 1993.
   
9. ↑ Jean-Pierre Azéma et Olivier Wieviorka, Vichy, 1940-1944', Perrin, 1997, « Le temps des profiteurs », p. 71 et p. 78 de l'édition de poche.
   
10. ↑ Asher Cohen, Persécutions et sauvetages, Cerf, 1993, (voir l'article « Shoah »)
    
11. ↑ Lire à ce sujet Louis-Ferdinand Céline, D'un chateau l'utre, Gallimard, 1957.
    
12. ↑ Renaud de Rochebrune et Jean-Claude Hazera, Les Patrons sous l'occupation, Odila Jacob, 1995, (ISBN 2-7381-0328-6).
    
13. ↑ Philippe Bourdrel, L'épuration sauvage, 1944-45, Perrin, 2002.
    
14. ↑ Peter Novick, L'épuration française, Seuil, 1986.
    
15. ↑ Fabrice Virgili, La France virile ¿ Des femmes tondues à la Libération, Payot, 2000.
    
16. ↑ Henry Rousso, « L'épuration en France une histoire inachevée », Vingtième Siècle. Revue d'histoire, n^o 33, janvier-mars 1992, p. 78-105.
    

Bibliographie [modifier]

Ouvrages généraux

• Christophe Belser, La Collaboration en Loire-inférieure 1940-1944, Geste éditions, 2 vol., 2005 (ISBN 2-84561-210-9 et ISBN 2-84561-211-7)
  
• Philippe Burrin, La dérive fasciste. Doriot, Déat, Bergery 1933-1944, éditions du Seuil, Paris, 1986, 530 p. (édition de poche avec une préface inédite, 2003) (ISBN 202009357X et ISBN ISBN 2020589230)
  
• Philippe Burrin, La France à l'heure allemande 1940-1944, éditions du Seuil, Paris, 559 p., 1995 (édition de poche, 1997) (ISBN 2020183226 et ISBN ISBN 2020314770)
  
• Michèle Cotta, La collaboration 1940-1944, Armand Colin, coll. « Kiosque », 1964
  
• Pascal Ory, Les Collaborateurs 1940-1945, éditions du Seuil, 1976 (ISBN 2-02005-427-2)
  
• Pascal Ory (présenté par), La France allemande, Paroles du collaborationnisme français (1933-1945), Gallimard, coll. « Archives », 1977.
  
• Robert O. Paxton, La France de Vichy 1940-1944, éditions du Seuil, coll. « Points Histoire », 1973.
  
• Henry Rousso, Pétain et la fin de la collaboration, éditions Complexe, 1984.
  
• Henry Rousso, Le syndrome de Vichy, 1944-198..., éditions du Seuil, 1987 (ISBN 2-02-009772-9)
  
• Eberhard Jäckel, Frankreich in Hitlers Europa ¿ Die deutsche Frankreichpolitik im Zweiten Weltkrieg, Deutsche Verlag-Anstalg GmbH, Stuttgart, 1966 ; traduction : La France dans l'Europe de Hitler (préface de Alfred Grosser, traduction de Denise Meunier), éd. Fayard, coll. « Les grandes études contemporaines », 1968, 554 p.
  

Partis et mouvements politiques

• R. Handourtzel et C. Buffet, La collaboration... à gauche aussi, éd. Perrin, Paris, 1989.
  
• Pierre Philippe Lambert, Gérard Le Marec, Partis et mouvements de la Collaboration, Jacques Grancher éditions, Paris, 1993.
  
• (de) Ahlrich Meyer, Täter im Verhör. Die 'Endlösung der Judenfrage' in Frankreich 1940-1944, Wissenschaftliche Buchgesellschaft, Darmstadt, 2005, 471 p. (ISBN 3534175646)
  

Police et la Justice (cf. surtout régime de Vichy)

• Jean-Marc Berlière, avec Laurent Chabrun, Les policiers français sous l'occupation d'après les archives inédites de l'épuration, éd. Perrin, 2001 (ISBN 2-262-01626-7)
  
• Hervé Lamarre, L'Affaire de la Section Spéciale, 2 vol., éd. Fayard, coll. « Folio », Paris, 1973.
  

Presse

• Pierre-Marie Dioudonnat, L'argent nazi à la conquête de la presse française (1940-1944), Jean Picollec éditions, Paris, 1981.
  

Entreprises françaises

• Le groupe de recherche du CNRS sur les entreprises françaises sous l'occupation.
  
• Annie Lacroix-Riz, Industriels et banquiers français sous l'Occupation : la collaboration économique avec le Reich et Vichy, éd. Armand Colin, Paris, 1999.
  
• Annie Lacroix-Riz, « Les entreprises françaises et l'Allemagne de l'avant-guerre à l'occupation, Des capitaux aryens », dans Le Manifeste n^o 4, mars 2004.
  
• Renaud de Rochebrune et Jean-Claude Hazera, Les patrons sous l'occupation,éd. Odile Jacob, 1995 (et collection semi-poche en 2 volumes 1997).
  

Entreprises étrangères

• Edwin Black, IBM et l'holocauste, éd. Robert Laffont, 2001
  

Et où y a t-il ecris que 98% des membres d'extrême droite étaient collabos ?

Si en plus tu ne sais pas lire, ou va t'on???

bah, je m'attendais à cette réaction, les gens de ce parti sont tellement prévisibles que ça en est ennuyeux.

je retourne dialoguer avec des gens de qualité qui ont le sens de la discussion , jouer sur les mots ne m'intérrèsse pas, la mauvaise foi non plus.

a bon entendeur.

xris :blush:

Et où y a t-il ecris que 98% des membres d'extrême droite étaient collabos ?

?????????????????

Pour le forumeurs, un livre trés intérréssant:

Dictionnaire de l'extrême droite

j

Erwan Lec¿ur Dictionnaire de l'extrême droite, (dir.), Larousse - à Présent, 2007

Compte rendu rédigé par Antoine Tresgots, Lycée Durzy - Villemandeur (45)

L'ouvrage dirigé par Erwan Lec¿ur est plus un travail de sociologie et d'actualité qu'une étude d'historien, il est d'ailleurs publié dans la collection « à présent » de Larousse. De ce fait, bien que très récent (mars 2007), il peut paraître déjà daté car ne tenant pas compte des dernières élections présidentielles et législatives. Il s'inscrit dans le cadre d'une collection de 4 livres : l'extrême-gauche, la gauche, la droite et l'extrême-droite. Erwan Lec¿ur est sociologue, spécialiste de l'extrême-droite. Les autres auteurs sont principalement des chercheurs sociologie ou en sciences politiques qui ont consacré de travaux à l'extrême-droite en France ou en Europe.

Plus que d'un dictionnaire, c'est d'un véritable précis de l'extrême-droite actuelle en France qu'il s'agit. La première partie de l'ouvrage : « l'extrême-droite en question » s'interroge d'abord sur l'importance du vocabulaire pour l'extrême-droite puis fait le point sur la situation de ce courant politique dans le monde et se termine sur une question concernant l'avenir du Front national : « 2007, et après ? ».

Le seconde partie « Temps forts » retrace les moments forts de l'histoire de l'extrême-droite française de la Révolution à la fin 2006. Elle peut se diviser en 4 périodes correspondant à des attitudes faces aux situations politiques du moment. Elle est d'abord « Contre-révolutionnaire et anti-républicaine » sous les Révolutions, les Restaurations et les Empires. Ce mouvement qui meurt peu à peu pendant l'installation de la République ne disparaîtra vraiment qu'avec la seconde guerre mondiale. Sous la IIIe République la « Revanche » et la l'opposition à la Commune sont les deux moteurs de l'extrême-droite qui bascule dans le fascisme dans les années 30 et trouve son aboutissement dans le régime de Vichy. La troisième période est celle de la réapparition d'une extrême-droite que le collaboration avait discrédité. Elle prend d'abord la forme de la poussée poujadisme de 1956 puis se poursuit avec le combat pour l'Algérie française. Ce n'est qu'après Mai 68 qu'elle se dote de véritables structures comme la nouvelle droite ou le Front national, même si celui-ci n'émerge électoralement que dans les années 80. Le dernier moment - dont on peut parler au présent - est celui de l'installation électorale du Front national et de ses vicissitudes, de la scission provoquée par Bruno Mégret à la qualification de Jean-Marie Le Pen pour le second tour de l'élection présidentielle en 2002. L'historique dressé ici se termine avec le retour de Bruno Mégret auprès du Front national à la fin de l'année 2006.

La troisième partie est le dictionnaire proprement dit qui passe au crible les « mots » de l'extrême-droite. Ceux qu'elle emploie, ceux qui la désigne, ceux qu'elle exploite, mais aussi des noms propres. Les articles sont, logiquement, de longueurs inégales mais dégagent assez clairement les enjeux essentiels du sujet.

Les articles biographiques concernent principalement des personnalités de l'extrême-droite actuelle (Le Pen, Megret, Bompard, Gollnisch...), dont on analyse le parcours et le rôle dans la vie politique française. Une place est faites aux personnalités qui ont un rapport particulier à l'extrême-droite, c'est le cas de Jacques Chirac qui se caractérise à la fois par des ambiguïtés mais aussi des prises de positions claires contre l'extrême-droite et ses valeurs. De Gaulle est évoqué comme repoussoir et modèle paradoxal d'une extrême-droite à la recherche de la fierté nationale. On peut s'étonner qu'aucun article ne soit consacré aux personnalités de gauche. L'éclairage de leur rapport à l'extrême-droite aurait peut-être été appréciable. Cela dit, certains, comme François Mitterrand, sont parfois évoqués dans le corps des articles.

Un part importante du dictionnaire est consacrée aux différentes familles de l'extrême-droite française : nouvelle droite, nationalistes-révolutionnaires, néo-fascistes, catholiques traditionalistes, monarchistes... A chaque fois, on trouve un historique du courant une analyse de son influence intellectuel et militante sur l'extrême-droite ainsi qu'une présentation de sa situation politique actuelle. é coté des courants on trouve les média qui s'y associent : Minutes, Présent, Radio courtoisie, éléments.

Les thématiques chères à l'extrême droite (race, nation, affaire, banlieues...) sont analysées. Il s'agit alors de voir quelle place occupent ces notions dans le discours de l'extrême droite, comment elles sont exploitées, éventuellement détournées et finalement mise au service de la propagande électorale. C'est également le cas pour les mots désignant les adversaires ou les menaces (Sida, bande des quatre, cosmopolitisme...) D'autres thématiques sont plus marginales, mais elles sont analysées à l'aune de leurs rapports avec l'extrême-droite. On peut citer la secte Moon ou la question de messe en latin.

On peut regretter que le choix des mots étudiés ne soit pas toujours évident pour retrouver immédiatement une information, mais le système de renvois et un index très fourni compense largement ce problème.

L'ouvrage n'a pas a-priori d'utilisation scolaire directe, mais certains articles pourraient être utilisés en Terminale générale sur la Ve République ou plus sûrement en ECJS, principalement en classe de première.

Antoine Tresgots

Un livre assez complet qui place ce mouvement politique dans sa lignée historique et la continuité de ses revendications politiques

xris :blush:

Si en plus tu ne sais pas lire, ou va t'on???

bah, je m'attendais à cette réaction, les gens de ce parti sont tellement prévisibles que ça en est ennuyeux.

je retourne dialoguer avec des gens de qualité qui ont le sens de la discussion , jouer sur les mots ne m'intérrèsse pas, la mauvaise foi non plus.

a bon entendeur.

xris :blush:

C'est bien toi qui demandes des sources qui soit précise à tes contradicteurs mais tu ne l'appliquent pas toi-même.

Donc je te répètes: d'où sors tu ce chiffre de 98% des membres de l'extrème-droite étaient des collabos ?

Beaucoup de membres étaient dans la résistance et beaucoup d'autres restaient tous simplement tranquille à attendre que la guerre se passe.

Ton affirmation est complètement fausse surtout que je ne parle pas de parti, mais d'individualité.

Mais c'est ou qu'il a écrit ça?

Sur un autre topic.

Et où y a t-il ecris que 98% des membres d'extrême droite étaient collabos ?

C'est une source "à la Zemmour" qui le prouve. Tout le monde sait bien que l'extrême droite était collaborationniste. Qui se ressemble s'assemble.

Bien ^sur, ce ne fut pas tous les membres mais les mouvements et groupuscules dans une trés grande majorité( pour le savoir, il suffit d'ouvrir n'importe quel livre d'histoire moderne) Pourquoi Lepen aurait il repris le nom front national(fondé par la résistance comuniste) si ce n'est pour se détacher de l'héritage embarrassant de ces mouvements de collabos et milices et emprunter une image plus honorable liée à la résistance??? le pire la dedans c'est que les personnes issues de ce parti n'ont même pas la franchise et l'honnèteté intelectuelle de le reconnaitre!!!!!!!!

comment dans cette optique croire qu'il y a seulement une possibilité infime de dialogue????

xris :blush:

Mais je n'es jamais dis le contraire. Je dis juste que ton chiffre de 98% est érroné.

C'est tout se que je dis.