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Les trois Vies. Les liens du passé (Tome 1)


miss-j'écris

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miss-j'écris Membre 7 messages
Baby Forumeur‚ 30ans‚
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Je suis une jeune romancière, adorée par quelques amis rencontrés sur plusieurs forums spécialisés pour les débutants, professionnels ou amateurs d'écriture. Je tiens à vos critique, vos impressions ainsi que vos ressentis.

Sur ce forum, j'étais connus sous le pseudo (Ophélie.R) mais ne trouvant plus mon mot de passe et avec l'inscription qui déconne, j'ai dû changé.

-----J'ai disons...corrigé les premier chapitre du roman que j'avais déjà quelque peu posté dans une rubrique nommée (ceux qui aime écrire ou un truc du genre).

Je vous laisse lire. =D et cela dit, vous souhaite une agréable lecture qui vous emmenera (je l'espère) dans mon petit monde.

Les Trois Vies.

Les liens du passé.

(Tome 1)

Première vie:

Laétia.

Prologue.

[/size]

Tous mes subterfuges s'étaient révélés inutiles.

------Normalement, j'aurais dû mourir mais ¿ au moment où je m'y attendais le moins -

une personne m'avait sauvé. Hélas, cela date d'il y a bien longtemps à présent. Trop

longtemps pour que je puisse me souvenir des détails qui ont changé ma vie à jamais.

------Je m'apprêtais désormais à dire « oui » à un homme. Accepter de devenir une autre

femme. Pas celle que j'étais avant : fragile, mais dure et sauvage.

------Comment avais-je pu être ce que j'étais à cet instant ? Découvrirai-je un jour l'identité de celui qui m'avait fait « ça »¿s'il y a un responsable ?

------Les chances de recouvrer la mémoire et de connaître mon passé semblaient minces.

------Derrière mes yeux noirs aux iris en feu et en dépit de ce qui aurait dû être mon

trépas, mon intense concentration trahissait ma solitude. Dévoilant tous les dangers qui

m'entouraient.

------Quelque part au loin, dans les tréfonds d'une immense forêt sous la lune éclatante, une bête hurla. C'était moi.

1.

------Je n'aurais jamais cru avoir aussi mal !

------J'ouvris enfin les yeux et aperçus quelques particules de poussière. Malencontreusement couchée sur le côté, mon bras droit semblait être écrasé sous mon poids et pourtant ¿ à part mon mal de crâne - je ne sentais absolument rien.

------Je clignai des yeux et vis de grands barreaux de fer et des chaînes d'acier éparpillées au sol. Derrière, il y avait des jambes qui marchaient tranquillement, qui s'arrêtaient pour se tourner dans ma direction ou pour courir et ensuite disparaître dans la foule. Elles n'étaient pas fines comme celles d'une femme, mais musclé et poilues. Oh merde ! Me voilà dans de beaux draps !

Je me relevai lorsque des chaînes m'arrêtèrent net et je sus de suite à qui elles appartenaient.

Soudées sur des petites boucles d'acier incrustées sur le sol crasseux, mes attaches rampaient par terre comme des serpents. Mes chevilles, mes poignets et ma gorge étaient enchaînés. Tel que je donnais l'air d'une bête en cage.

Je grimaçai de douleur pendant que mon mal de tête s'intensifiait.

Je tirai sur les chaînes durant quelques minutes, mais elles refusaient de céder. Je regardai autour de moi et m'aperçus que l'on m'observait. La plupart me fixaient sans comprendre et j'en déduisis donc - au bout d'un moment - qu'il valait mieux leur poser mes questions tout de suite avant qu'ils ne partent

¿ Hé oh ! Quelqu'un pourrait m'aider ? Où suis-je ?

Ils me regardaient fixement mais ne répondaient pas.

Leurs yeux sombres m'étudiaient attentivement comme si j'étais intéressante. Sottises.

Je m'approchai d'eux tant que la longueur des chaînes me le permettait et agrippai les barreaux de ma prison.

¿ Pouvez-vous m'aider ? Demandai-je avant de tirer un bon coup sur l'une des chaînes qui bloquait ma cheville.

Les trois hommes me regardèrent puis partirent sans me répondre.

¿ Salopards ! Grognai-je.

Soudain, un ronflement bruyant se fit entendre. Je tournai rapidement la tête et m'aperçus avec ironie que ce n'était pas ce que je prétendais. Le bruit venait simplement d'un gars qui dormait dans la cage à côté. Je ne lui prêtai pas plus d'une seconde de mon attention et regardai à travers les barreaux.

J'examinai l'extérieur de ma cage. J'étais dans une immense maison où l'air dégageait une odeur sucrée que je ne sus identifier avec plus de précision.

Et puis¿ Quelle foule !

Est-ce vraiment ça ? Où suis-je alors ? Et puis, comment suis-je arrivée ici ? Me demandai-je intérieurement.

J'avais l'impression d'être faible, le cerveau vidé et fatigué à cause d'une horrible insomnie ou d'une amnésie partielle. Quelque chose du genre. Je ne savais pas.

Ai-je un problème ou est-ce seulement une impression ?

Hantée par des pensées incompréhensibles, je pris les chaînes entre mes mains et tirais de toutes mes forces en sachant très bien qu'elles ne se briseraient pas. é quoi bon essayer ? Moi-même je me posais la question et me répondais : seulement parce que mon instinct me disaient d'essayer.

Les passants masculins s'arrêtèrent pour me fixer avec insistance. Derrière la foule, en plissant les yeux, j'aperçus un autre homme - plus jeune - adossé contre un mur à m'épier sans cesse. Ses yeux d'un vert émeraude, ses dents visibles et menaçantes par sa bouche légèrement ouverte, lui donnaient un air purement séduisant. Pourquoi me regardait-il ainsi ? Comme si j'étais¿ comme si j'étais quelque chose d'important.

Je le scrutai plus attentivement et écarquillai les yeux.

C'est une blague ou j'ai réellement vu des dents pareilles à celles d'un animal? Pensai-je avec étonnement.

Le garçon eut beau s'être aperçu que je le dévisageais, son regard ne se fit que plus pesant. Ses yeux me pénétrèrent d'une façon si brusque que j'eus soudainement l'impression d'avoir courus un marathon.

J'ose avouer qu'il était bien le seul à ne pas me considérer comme un spectacle, une chose que l'on fixait avec insistance puis, que l'on oubliait en s'en allant.

Il haussa un sourcil lorsqu'une voix s'éleva. J'arquai le mien en essayant de me détourner de ses yeux verts.

¿ Jacob ! Bordel Jacob ! Arrête de disparaître comme ça, où je t'arrache les jambes !

Le jeune homme se détourna en même temps que moi vers quelqu'un que ¿ malheureusement ¿ je ne pus voir. La foule s'agrandissait au fur et à mesure, mais cela ne m'empêcha pas de prêter attention à leurs paroles.

¿ Que fais-tu ici ?

¿ Oh rien, je regarde la jeune femme que Jerry et Phil ont amenée il y a deux jours, répondit le jeune homme. Elle a l'air de ne pas comprendre pourquoi elle est ici. L'ont-ils frappée ?

¿ Oh oui ! Si tu avais vu la force qu'elle déploie quand elle est en colère, Wouah ! C'est¿ impressionnant !

¿ Quand Pélori viendra-t-il pour qu'on lui fasse des tests ?

Il avait l'air très curieux. Les passants me barrèrent soudainement la vue.

Je maudis leur venue et partis gronder dans mon coin.

¿ Normalement, demain ou ce soir. Mais seulement lorsqu'il aura fini son travail. Alors, comment la trouves-tu ?

Bonne question ! Pensai-je.

¿ Sa beauté me frappe, répondit-il.

La foule se décomposa et je pus voir le prénommé Jacob. Je continuai de tirer sur les chaînes sans toutefois y mettre beaucoup de conviction, car je me savais incapable de les briser.

Où est Merlin quand on a besoin de lui.

Au bout d'un instant je finis par m'arrêter.

¿ Elle ne peut pas briser les chaînes, les liquides que nous lui avions administrés l'ont affaibli à un tel point qu'elle doit se sentir comme une humaine, murmura le voisin de Jacob.

Il était plus grand que lui, peut être un peu moins musclé, mais tout aussi séduisant. Ses courts cheveux blonds lui donnaient un air de gros dur, mais ses traits trahissaient cette dureté qu'il essayait de garder.

Il m'a l'air plutôt sympa ce mec.

¿ Elle en a l'air pourtant, fit remarquer Jacob au bout de quelques minutes.

¿ Oui, tu as raison. Mais attends de voir quand l'effet des liquides se sera estompé et là, tu verras ce dont elle est vraiment capable, un vrai démon !

Soudain, L'homme s'en alla d'une façon si rapide que j'eus du mal à savoir par quel moyen il s'était évaporé.

Jacob m'adressa un nouveau regard, plus perçant cette fois. Il le plongea dans le mien lorsque j'eus relevé la tête.

Après quelques instants, il s'en alla en prenant à gauche pour pénétrer dans la foule encore massive sur les lieux. Il s'y enfonça jusqu'à disparaître. Pour ma part, j'eus du mal à réaliser qu'il venait de me regarder avec des yeux d'une telle¿ sensualité. Il me fallut plusieurs minutes pour me remettre à tirer sur les chaînes et à gronder contre les passants qui m'approchaient d'un peu trop près.

Mon cerveau dans un état de contrôle pourtant absolu fut déstabilisé dans un souvenir et captivé par les dernières paroles de l'homme qui était avec ce¿Jacob.

Les ronflements de mon voisin de cage cessèrent enfin lorsqu'ils furent remplacés par un grondement féroce et affreusement ronchon.

¿ Hé ! Fermez vos gueules, Bon sang ! Y'a des gens qui dorment ici !

Je me tournai vers lui. Il s'adressait à la foule qui acclamait ma présence. L'homme se tourna brusquement vers moi après que l'un des passants lui ait dit qu'il y avait une nouvelle venue et, il m'adressa un sourire amical auquel je ne répondis pas.

¿ Bienvenue mademoiselle ! Déclara-t-il.

Je ne comprenais pas pourquoi il me souhaitait la bienvenue. Pourquoi serait-ce quelque chose de bien d'être ici ? Dans une cage où les hommes gueulaient et poussaient des acclamations dont on ne comprenait pas le sens tellement ils allaient vite.

Son sourire se décomposa et il vint s'agripper aux barreaux.

¿ Approche jeune fille, murmura-t-il avec des intonations rassurantes comme s'il comprenait mon manque de confiance.

Je regardai autour de moi comme pour trouver un regard qui me dirait « tu peux y aller¿ » Mais rien. Sans mot dire, hésitante, je m'approchai de lui à quatre pattes en ajustant les chaînes pour me permettre d'aller à sa rencontre. Dès que cela fut fait, l'une de ses mains passa entre les barreaux et caressa tendrement ma joue. J'appuyai ma tête contre sa paume et me mis à ronronner. Ma réaction était complètement insensée ! Pourquoi ronronnai-je ?

¿ Tu as l'air de ne pas comprendre ce qui t'arrive, devina-t il en me regardant.

Une autre voix s'éleva derrière moi malgré le vacarme que faisaient ceux qui s'arrêtaient pour m'observer, m'épier, me scruter.

¿ Bien sûr qu'elle ne comprend pas ! Elle s'est prise de sacrés coups sur la caboche. Regarde derrière sa tête et tu verras les dégâts !

Je me tournai violemment vers lui. Il était plutôt costaud. D'après son apparence : des rides sur le visage et l'air un peu trop ronchon, je dirais qu'il avait entre soixante et soixante-dix ans. Cependant, il ne faisait pas exactement son âge. Les personnes qui vieillissaient, avaient tendance à être souvent de très mauvaise humeur. Je m'étais justement repérée grâce à cela et à ses yeux dont les pommettes étaient creusées.

Celui qui me caressait la joue était plus jeune : d'une trentaine d'années tout au plus. Un beau regard de braise et des yeux d'un orange vif, où des mèches brunes tombaient juste devant. Pourquoi ses yeux était-ils orange d'ailleurs ?

Je me tournai à nouveau vers lui et il me fit signe de me retourner afin qu'il puisse vérifier si ce que le vieux avait dit était vrai. Je le regardai avec méfiance, mais obéis sans ronchonner.

é peine étais-je retournée qu'il me tripotait déjà les cheveux puis les relevait d'une main. Ce ne fut qu'au bout d'une dizaine de minutes, qu'il relâcha ma tignasse afin que je puisse me mettre de nouveau face à lui.

¿ C'est vrai qu'ils ne t'ont pas loupée, tu as plein de sang. (Il eut une pause pour prêter - durant une seconde - attention au ronchonnement de l'homme derrière moi) Tu as mal ?

Je fis que non. Mes seules douleurs étaient les courbatures. D'ailleurs, j'avais remarqué une étrange sensation dans mon bras droit. Elle n'était pas douloureuse, ni apaisante mais c'était étrange. Je le mis face à moi et l'étudiai attentivement.

L'épiderme de mon avant-bras semblait être d'une autre couleur, on aurait dit du gris virant légèrement au noir. L'homme écarquilla les yeux.

¿ Il faut soigner ça ! Billy !

Je ne comprenais pas le problème.

¿ Quoi ? Demanda le vieux.

¿ Toi qui es du bon côté de ces putains de cages, demande un médecin pour soigner cette jeune fille. Il y a un problème avec son bras !

Si c'était si grave, pourquoi n'avais-je pas mal ?

¿ D'accord Jeff. Hé ! Hé ! Il y a un problème avec la jeune femme là ! Bougez votre cul et venez ! Ouais ! Gr¿..

Je ne prêtai plus attention à ce que disait Billy et regardai Jeff. Il me souriait gentiment en tenant ma main entre les siennes pour essayer de trouver la douleur qui aurait dû être présente, mais je ne sentais absolument rien. Soudain, il tourna brusquement la tête, je suivis son mouvement et vis deux hommes vêtus d'une cape noire s'approchant de ma cage d'une démarche inquiétante. La foule se retirait pour les laisser passer.

Je n'étais pas du tout rassurée en regardant ça. Je paniquais plutôt.

Quelque chose apparut subitement devant mes yeux. Des scènes et des images puis des flashs. Du moins, ça y ressemblait.

« Deux hommes montaient sur le toit où une personne, mi-humaine, mi-démon les regardait, immobile comme une statue. Lorsque les deux hommes furent montés, la créature rompit son immobilité et leva la tête. Elle souriait de toutes ses dents démesurées et tranchantes.

La scène se propulsa dans tous les angles jusqu'à que la créature parle et émit un cri strident, suivi d'une voix loin d'être humaine, partagée entre le rugissement d'un animal et la voix sanglante d'un démon assoiffé de sang - avant de sauter pour attaquer de sa puissante mâchoire. »

Je secouai la tête pour reprendre mes esprits, mais malheureusement, l'image de la créature restait figée dans ma mémoire.

Comment¿.était-ce possible ? Pensais-je en hochant lentement le menton.

Un grincement se fit entendre derrière moi, je regardai Jeff avec des yeux suppliants. Je refusais d'aller avec eux.

J'entendis derechef le grincement d'une porte puis deux sortes de rythmes cardiaques dans mon dos.

Soudain, je sentis une main me frôler et je tournai subitement la tête pour la regarder me retirer de l'emprise des chaînes avant qu'une seconde main ne se pose sur mon épaule. Elle me serrait si fort que je crus qu'elle voulait me briser la clavicule. J'étouffai un cri de douleur lorsqu'elle m'obligea à me mettre debout. Les traits de Jeff se transformèrent. Il gronda.

¿ Jerry, je te préviens, tu as intérêt à ne lui faire aucun mal !

¿ Sinon quoi Jeff ? Hein ? Tu ne peux pas sortir de cette cage pour l'instant, dit le gardien d'un air de défi.

Jeff eut un rictus en retroussant sa lèvre supérieure. Les dents qu'il montrait étaient loin d'être normales. Je le fixai, effrayée.

¿ Mais je sortirai un jour, ne te fais pas de souci pour ça, rétorqua-t-il froidement.

Le garde et son ami se mirent à rire. Ce...Jerry me bouscula brusquement vers la sortie. Son collègue pris mes cheveux en main et m'obligea à avancer le plus vite possible puis il me poussa jusqu'à que je tombe à genoux au milieu de la foule d'hommes qui s'écartaient comme s'ils éprouvaient de la peur. Jerry me remit debout en tirant sur mon bras anormalement grisâtre. Je grondai et il me poussa à nouveau. Je serrai mon bras contre ma poitrine et faillis m'écrouler de nouveau en avant.

Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ? Me demandai-je alors que mon cerveau me dictait de mordre sans en comprendre le pourquoi.

Je grondai plus fort, mais il me gifla puis il pris de nouveau ma tignasse en main et tira violemment. Jerry me jeta contre l'unes des parois d'uns des murs du couloir sombre.

Il pouvait bien me tuer comme ça !

La chute me valut une large égratignure à la joue avant que je ne tombe sur mon bras.

Beaucoup de discussions cessèrent autour de nous et les passants regardaient le comportement des gardes envers moi, mais ils ne firent rien pour les empêcher comme si c'était une routine habituelle. Son collègue me pris par les cheveux et me fit entrer dans un autre couloir, vide. Si je pouvais, j'aurais tellement voulu leur foutre un de ces coups de poing¿

¿ Salopards! Grondai-je.

Jerry ouvrit une porte en bois avant de me gifler jusqu'à que je ne m'écroule encore une fois. Je soupirai un grand coup, mais restai au sol. Je sentis son pied tapotait mes côtes puis une main me tordant mon bras pour m'obliger à me relever.

Je finis par m'arracher à sa poigne avant de montrer des dents comme un animal.

Mes jambes battirent l'air lorsqu'il s'empara de ma gorge.

¿ Jerry ! Phil ! Calmez vous ! Laissez-là donc un peu tranquille !

Je détournai les yeux des mauvais gardiens pour aviser celui qui avait parlé. Un grand homme aux courts cheveux rouges vêtu d'une cape traînante ouverte sur son torse nu. Son corps élancé se tourna vers un autre homme puis de nouveau vers moi. Ses yeux couleur émeraude me regardèrent avec compassion.

Comme si j'avais besoin de ça !

Jerry me laissa lourdement tomber au sol. Et c'est là que je fus submergée par la véritable douleur de mon bras et faillis hurler.

Je relevai la tête après avoir empêché mon cri de résonner et jetai un coup d'¿il aux occupants de la grande pièce.

Ils me regardaient tous d'une étrange façon.

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  • 1 mois après...
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Membre, Posté(e)
Lange edition Membre 6 messages
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Je suis une jeune romancière, adorée par quelques amis rencontrés sur plusieurs forums spécialisés pour les débutants, professionnels ou amateurs d'écriture. Je tiens à vos critique, vos impressions ainsi que vos ressentis.

Sur ce forum, j'étais connus sous le pseudo (Ophélie.R) mais ne trouvant plus mon mot de passe et avec l'inscription qui déconne, j'ai dû changé.

-----J'ai disons...corrigé les premier chapitre du roman que j'avais déjà quelque peu posté dans une rubrique nommée (ceux qui aime écrire ou un truc du genre).

Je vous laisse lire. =D et cela dit, vous souhaite une agréable lecture qui vous emmenera (je l'espère) dans mon petit monde.

Les Trois Vies.

Les liens du passé.

(Tome 1)

Première vie:

Laétia.

Prologue.

[/size]

[/size]Tous mes subterfuges s'étaient révélés inutiles.

------Normalement, j'aurais dû mourir mais ¿ au moment où je m'y attendais le moins -

une personne m'avait sauvé. Hélas, cela date d'il y a bien longtemps à présent. Trop

longtemps pour que je puisse me souvenir des détails qui ont changé ma vie à jamais.

------Je m'apprêtais désormais à dire « oui » à un homme. Accepter de devenir une autre

femme. Pas celle que j'étais avant : fragile, mais dure et sauvage.

------Comment avais-je pu être ce que j'étais à cet instant ? Découvrirai-je un jour l'identité de celui qui m'avait fait « ça »¿s'il y a un responsable ?

------Les chances de recouvrer la mémoire et de connaître mon passé semblaient minces.

------Derrière mes yeux noirs aux iris en feu et en dépit de ce qui aurait dû être mon

trépas, mon intense concentration trahissait ma solitude. Dévoilant tous les dangers qui

m'entouraient.

------Quelque part au loin, dans les tréfonds d'une immense forêt sous la lune éclatante, une bête hurla. C'était moi.

1.

------Je n'aurais jamais cru avoir aussi mal !

------J'ouvris enfin les yeux et aperçus quelques particules de poussière. Malencontreusement couchée sur le côté, mon bras droit semblait être écrasé sous mon poids et pourtant ¿ à part mon mal de crâne - je ne sentais absolument rien.

------Je clignai des yeux et vis de grands barreaux de fer et des chaînes d'acier éparpillées au sol. Derrière, il y avait des jambes qui marchaient tranquillement, qui s'arrêtaient pour se tourner dans ma direction ou pour courir et ensuite disparaître dans la foule. Elles n'étaient pas fines comme celles d'une femme, mais musclé et poilues. Oh merde ! Me voilà dans de beaux draps !

Je me relevai lorsque des chaînes m'arrêtèrent net et je sus de suite à qui elles appartenaient.

Soudées sur des petites boucles d'acier incrustées sur le sol crasseux, mes attaches rampaient par terre comme des serpents. Mes chevilles, mes poignets et ma gorge étaient enchaînés. Tel que je donnais l'air d'une bête en cage.

Je grimaçai de douleur pendant que mon mal de tête s'intensifiait.

Je tirai sur les chaînes durant quelques minutes, mais elles refusaient de céder. Je regardai autour de moi et m'aperçus que l'on m'observait. La plupart me fixaient sans comprendre et j'en déduisis donc - au bout d'un moment - qu'il valait mieux leur poser mes questions tout de suite avant qu'ils ne partent

¿ Hé oh ! Quelqu'un pourrait m'aider ? Où suis-je ?

Ils me regardaient fixement mais ne répondaient pas.

Leurs yeux sombres m'étudiaient attentivement comme si j'étais intéressante. Sottises.

Je m'approchai d'eux tant que la longueur des chaînes me le permettait et agrippai les barreaux de ma prison.

¿ Pouvez-vous m'aider ? Demandai-je avant de tirer un bon coup sur l'une des chaînes qui bloquait ma cheville.

Les trois hommes me regardèrent puis partirent sans me répondre.

¿ Salopards ! Grognai-je.

Soudain, un ronflement bruyant se fit entendre. Je tournai rapidement la tête et m'aperçus avec ironie que ce n'était pas ce que je prétendais. Le bruit venait simplement d'un gars qui dormait dans la cage à côté. Je ne lui prêtai pas plus d'une seconde de mon attention et regardai à travers les barreaux.

J'examinai l'extérieur de ma cage. J'étais dans une immense maison où l'air dégageait une odeur sucrée que je ne sus identifier avec plus de précision.

Et puis¿ Quelle foule !

Est-ce vraiment ça ? Où suis-je alors ? Et puis, comment suis-je arrivée ici ? Me demandai-je intérieurement.

J'avais l'impression d'être faible, le cerveau vidé et fatigué à cause d'une horrible insomnie ou d'une amnésie partielle. Quelque chose du genre. Je ne savais pas.

Ai-je un problème ou est-ce seulement une impression ?

Hantée par des pensées incompréhensibles, je pris les chaînes entre mes mains et tirais de toutes mes forces en sachant très bien qu'elles ne se briseraient pas. é quoi bon essayer ? Moi-même je me posais la question et me répondais : seulement parce que mon instinct me disaient d'essayer.

Les passants masculins s'arrêtèrent pour me fixer avec insistance. Derrière la foule, en plissant les yeux, j'aperçus un autre homme - plus jeune - adossé contre un mur à m'épier sans cesse. Ses yeux d'un vert émeraude, ses dents visibles et menaçantes par sa bouche légèrement ouverte, lui donnaient un air purement séduisant. Pourquoi me regardait-il ainsi ? Comme si j'étais¿ comme si j'étais quelque chose d'important.

Je le scrutai plus attentivement et écarquillai les yeux.

C'est une blague ou j'ai réellement vu des dents pareilles à celles d'un animal? Pensai-je avec étonnement.

Le garçon eut beau s'être aperçu que je le dévisageais, son regard ne se fit que plus pesant. Ses yeux me pénétrèrent d'une façon si brusque que j'eus soudainement l'impression d'avoir courus un marathon.

J'ose avouer qu'il était bien le seul à ne pas me considérer comme un spectacle, une chose que l'on fixait avec insistance puis, que l'on oubliait en s'en allant.

Il haussa un sourcil lorsqu'une voix s'éleva. J'arquai le mien en essayant de me détourner de ses yeux verts.

¿ Jacob ! Bordel Jacob ! Arrête de disparaître comme ça, où je t'arrache les jambes !

Le jeune homme se détourna en même temps que moi vers quelqu'un que ¿ malheureusement ¿ je ne pus voir. La foule s'agrandissait au fur et à mesure, mais cela ne m'empêcha pas de prêter attention à leurs paroles.

¿ Que fais-tu ici ?

¿ Oh rien, je regarde la jeune femme que Jerry et Phil ont amenée il y a deux jours, répondit le jeune homme. Elle a l'air de ne pas comprendre pourquoi elle est ici. L'ont-ils frappée ?

¿ Oh oui ! Si tu avais vu la force qu'elle déploie quand elle est en colère, Wouah ! C'est¿ impressionnant !

¿ Quand Pélori viendra-t-il pour qu'on lui fasse des tests ?

Il avait l'air très curieux. Les passants me barrèrent soudainement la vue.

Je maudis leur venue et partis gronder dans mon coin.

¿ Normalement, demain ou ce soir. Mais seulement lorsqu'il aura fini son travail. Alors, comment la trouves-tu ?

Bonne question ! Pensai-je.

¿ Sa beauté me frappe, répondit-il.

La foule se décomposa et je pus voir le prénommé Jacob. Je continuai de tirer sur les chaînes sans toutefois y mettre beaucoup de conviction, car je me savais incapable de les briser.

Où est Merlin quand on a besoin de lui.

Au bout d'un instant je finis par m'arrêter.

¿ Elle ne peut pas briser les chaînes, les liquides que nous lui avions administrés l'ont affaibli à un tel point qu'elle doit se sentir comme une humaine, murmura le voisin de Jacob.

Il était plus grand que lui, peut être un peu moins musclé, mais tout aussi séduisant. Ses courts cheveux blonds lui donnaient un air de gros dur, mais ses traits trahissaient cette dureté qu'il essayait de garder.

Il m'a l'air plutôt sympa ce mec.

¿ Elle en a l'air pourtant, fit remarquer Jacob au bout de quelques minutes.

¿ Oui, tu as raison. Mais attends de voir quand l'effet des liquides se sera estompé et là, tu verras ce dont elle est vraiment capable, un vrai démon !

Soudain, L'homme s'en alla d'une façon si rapide que j'eus du mal à savoir par quel moyen il s'était évaporé.

Jacob m'adressa un nouveau regard, plus perçant cette fois. Il le plongea dans le mien lorsque j'eus relevé la tête.

Après quelques instants, il s'en alla en prenant à gauche pour pénétrer dans la foule encore massive sur les lieux. Il s'y enfonça jusqu'à disparaître. Pour ma part, j'eus du mal à réaliser qu'il venait de me regarder avec des yeux d'une telle¿ sensualité. Il me fallut plusieurs minutes pour me remettre à tirer sur les chaînes et à gronder contre les passants qui m'approchaient d'un peu trop près.

Mon cerveau dans un état de contrôle pourtant absolu fut déstabilisé dans un souvenir et captivé par les dernières paroles de l'homme qui était avec ce¿Jacob.

Les ronflements de mon voisin de cage cessèrent enfin lorsqu'ils furent remplacés par un grondement féroce et affreusement ronchon.

¿ Hé ! Fermez vos gueules, Bon sang ! Y'a des gens qui dorment ici !

Je me tournai vers lui. Il s'adressait à la foule qui acclamait ma présence. L'homme se tourna brusquement vers moi après que l'un des passants lui ait dit qu'il y avait une nouvelle venue et, il m'adressa un sourire amical auquel je ne répondis pas.

¿ Bienvenue mademoiselle ! Déclara-t-il.

Je ne comprenais pas pourquoi il me souhaitait la bienvenue. Pourquoi serait-ce quelque chose de bien d'être ici ? Dans une cage où les hommes gueulaient et poussaient des acclamations dont on ne comprenait pas le sens tellement ils allaient vite.

Son sourire se décomposa et il vint s'agripper aux barreaux.

¿ Approche jeune fille, murmura-t-il avec des intonations rassurantes comme s'il comprenait mon manque de confiance.

Je regardai autour de moi comme pour trouver un regard qui me dirait « tu peux y aller¿ » Mais rien. Sans mot dire, hésitante, je m'approchai de lui à quatre pattes en ajustant les chaînes pour me permettre d'aller à sa rencontre. Dès que cela fut fait, l'une de ses mains passa entre les barreaux et caressa tendrement ma joue. J'appuyai ma tête contre sa paume et me mis à ronronner. Ma réaction était complètement insensée ! Pourquoi ronronnai-je ?

¿ Tu as l'air de ne pas comprendre ce qui t'arrive, devina-t il en me regardant.

Une autre voix s'éleva derrière moi malgré le vacarme que faisaient ceux qui s'arrêtaient pour m'observer, m'épier, me scruter.

¿ Bien sûr qu'elle ne comprend pas ! Elle s'est prise de sacrés coups sur la caboche. Regarde derrière sa tête et tu verras les dégâts !

Je me tournai violemment vers lui. Il était plutôt costaud. D'après son apparence : des rides sur le visage et l'air un peu trop ronchon, je dirais qu'il avait entre soixante et soixante-dix ans. Cependant, il ne faisait pas exactement son âge. Les personnes qui vieillissaient, avaient tendance à être souvent de très mauvaise humeur. Je m'étais justement repérée grâce à cela et à ses yeux dont les pommettes étaient creusées.

Celui qui me caressait la joue était plus jeune : d'une trentaine d'années tout au plus. Un beau regard de braise et des yeux d'un orange vif, où des mèches brunes tombaient juste devant. Pourquoi ses yeux était-ils orange d'ailleurs ?

Je me tournai à nouveau vers lui et il me fit signe de me retourner afin qu'il puisse vérifier si ce que le vieux avait dit était vrai. Je le regardai avec méfiance, mais obéis sans ronchonner.

é peine étais-je retournée qu'il me tripotait déjà les cheveux puis les relevait d'une main. Ce ne fut qu'au bout d'une dizaine de minutes, qu'il relâcha ma tignasse afin que je puisse me mettre de nouveau face à lui.

¿ C'est vrai qu'ils ne t'ont pas loupée, tu as plein de sang. (Il eut une pause pour prêter - durant une seconde - attention au ronchonnement de l'homme derrière moi) Tu as mal ?

Je fis que non. Mes seules douleurs étaient les courbatures. D'ailleurs, j'avais remarqué une étrange sensation dans mon bras droit. Elle n'était pas douloureuse, ni apaisante mais c'était étrange. Je le mis face à moi et l'étudiai attentivement.

L'épiderme de mon avant-bras semblait être d'une autre couleur, on aurait dit du gris virant légèrement au noir. L'homme écarquilla les yeux.

¿ Il faut soigner ça ! Billy !

Je ne comprenais pas le problème.

¿ Quoi ? Demanda le vieux.

¿ Toi qui es du bon côté de ces putains de cages, demande un médecin pour soigner cette jeune fille. Il y a un problème avec son bras !

Si c'était si grave, pourquoi n'avais-je pas mal ?

¿ D'accord Jeff. Hé ! Hé ! Il y a un problème avec la jeune femme là ! Bougez votre cul et venez ! Ouais ! Gr¿..

Je ne prêtai plus attention à ce que disait Billy et regardai Jeff. Il me souriait gentiment en tenant ma main entre les siennes pour essayer de trouver la douleur qui aurait dû être présente, mais je ne sentais absolument rien. Soudain, il tourna brusquement la tête, je suivis son mouvement et vis deux hommes vêtus d'une cape noire s'approchant de ma cage d'une démarche inquiétante. La foule se retirait pour les laisser passer.

Je n'étais pas du tout rassurée en regardant ça. Je paniquais plutôt.

Quelque chose apparut subitement devant mes yeux. Des scènes et des images puis des flashs. Du moins, ça y ressemblait.

« Deux hommes montaient sur le toit où une personne, mi-humaine, mi-démon les regardait, immobile comme une statue. Lorsque les deux hommes furent montés, la créature rompit son immobilité et leva la tête. Elle souriait de toutes ses dents démesurées et tranchantes.

La scène se propulsa dans tous les angles jusqu'à que la créature parle et émit un cri strident, suivi d'une voix loin d'être humaine, partagée entre le rugissement d'un animal et la voix sanglante d'un démon assoiffé de sang - avant de sauter pour attaquer de sa puissante mâchoire. »

Je secouai la tête pour reprendre mes esprits, mais malheureusement, l'image de la créature restait figée dans ma mémoire.

Comment¿.était-ce possible ? Pensais-je en hochant lentement le menton.

Un grincement se fit entendre derrière moi, je regardai Jeff avec des yeux suppliants. Je refusais d'aller avec eux.

J'entendis derechef le grincement d'une porte puis deux sortes de rythmes cardiaques dans mon dos.

Soudain, je sentis une main me frôler et je tournai subitement la tête pour la regarder me retirer de l'emprise des chaînes avant qu'une seconde main ne se pose sur mon épaule. Elle me serrait si fort que je crus qu'elle voulait me briser la clavicule. J'étouffai un cri de douleur lorsqu'elle m'obligea à me mettre debout. Les traits de Jeff se transformèrent. Il gronda.

¿ Jerry, je te préviens, tu as intérêt à ne lui faire aucun mal !

¿ Sinon quoi Jeff ? Hein ? Tu ne peux pas sortir de cette cage pour l'instant, dit le gardien d'un air de défi.

Jeff eut un rictus en retroussant sa lèvre supérieure. Les dents qu'il montrait étaient loin d'être normales. Je le fixai, effrayée.

¿ Mais je sortirai un jour, ne te fais pas de souci pour ça, rétorqua-t-il froidement.

Le garde et son ami se mirent à rire. Ce...Jerry me bouscula brusquement vers la sortie. Son collègue pris mes cheveux en main et m'obligea à avancer le plus vite possible puis il me poussa jusqu'à que je tombe à genoux au milieu de la foule d'hommes qui s'écartaient comme s'ils éprouvaient de la peur. Jerry me remit debout en tirant sur mon bras anormalement grisâtre. Je grondai et il me poussa à nouveau. Je serrai mon bras contre ma poitrine et faillis m'écrouler de nouveau en avant.

Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ? Me demandai-je alors que mon cerveau me dictait de mordre sans en comprendre le pourquoi.

Je grondai plus fort, mais il me gifla puis il pris de nouveau ma tignasse en main et tira violemment. Jerry me jeta contre l'unes des parois d'uns des murs du couloir sombre.

Il pouvait bien me tuer comme ça !

La chute me valut une large égratignure à la joue avant que je ne tombe sur mon bras.

Beaucoup de discussions cessèrent autour de nous et les passants regardaient le comportement des gardes envers moi, mais ils ne firent rien pour les empêcher comme si c'était une routine habituelle. Son collègue me pris par les cheveux et me fit entrer dans un autre couloir, vide. Si je pouvais, j'aurais tellement voulu leur foutre un de ces coups de poing¿

¿ Salopards! Grondai-je.

Jerry ouvrit une porte en bois avant de me gifler jusqu'à que je ne m'écroule encore une fois. Je soupirai un grand coup, mais restai au sol. Je sentis son pied tapotait mes côtes puis une main me tordant mon bras pour m'obliger à me relever.

Je finis par m'arracher à sa poigne avant de montrer des dents comme un animal.

Mes jambes battirent l'air lorsqu'il s'empara de ma gorge.

¿ Jerry ! Phil ! Calmez vous ! Laissez-là donc un peu tranquille !

Je détournai les yeux des mauvais gardiens pour aviser celui qui avait parlé. Un grand homme aux courts cheveux rouges vêtu d'une cape traînante ouverte sur son torse nu. Son corps élancé se tourna vers un autre homme puis de nouveau vers moi. Ses yeux couleur émeraude me regardèrent avec compassion.

Comme si j'avais besoin de ça !

Jerry me laissa lourdement tomber au sol. Et c'est là que je fus submergée par la véritable douleur de mon bras et faillis hurler.

Je relevai la tête après avoir empêché mon cri de résonner et jetai un coup d'¿il aux occupants de la grande pièce.

Ils me regardaient tous d'une étrange façon.

Remarquable, j'aime beaucoup votre ercits

Il y a longtemps que vous ecrivez?

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Membre, 30ans Posté(e)
miss-j'écris Membre 7 messages
Baby Forumeur‚ 30ans‚
Posté(e)

Lange edition.

Pour tout vous dire - ce qui en surprend beaucoup d'ailleurs - j'ai commencé à écrire à 8 ans, mais ce n'était que de simples petites histoires et fanfictions. Je n'ai écris de vrai roman que deux ans après, à 10 ans. Je dois ainsi vous avouer que ma vie rime à ça: écrire et lire. C'est bien plus qu'une passion. Indéchiffrable ce sentiment que j'éprouve à chaque fois que je me poste devant mon roman (sur ordinateur ou écrit, cela dépend de mes conditions de travail à l'instant même où une grand inspiration me vient) pour réecrire des chapitres, le relire ou pour essayer de la corriger moi-même (ce qui, pour l'instant, n'a pas l'air très fameux). Heureusement que je me fais aidé, sinon j'aurais été un peu dans le caca disons.

En tout cas, je suis contente que ce premier chapitre vous ait plu. Je compte mettre le deuxième très prochainement. Vous m'en dirait des nouvelles ^^.

A bientôt.

Ophélie.

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Membre, 39ans Posté(e)
Rinya Membre 51 messages
Baby Forumeur‚ 39ans‚
Posté(e)

Pas une histoire qui me plait, mais c'est un avis personnel donc...

Y'a quelques fautes qui trainent, mais vraiment pas beaucoup (néanmoins, et ne le prends pas comme une attaque, mais quand on se dit "romancière", ça fait pas très sérieux :blush: )

Fan de Twilight ?

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Membre, nyctalope, 40ans Posté(e)
Criterium Membre 2 873 messages
40ans‚ nyctalope,
Posté(e)

J'ai lu :coeur:

Comme je crois plus aux vertus de la critique détaillée, positive ou négative, qu'à un stérile "j'aime" ou "j'aime pas", et que je n'aime pas ton texte, je vais détailler deux points en particulier qui m'ont gêné :

¿ le dialogue informatif, les informations les plus importantes passent par le dialogue comme si de rien n'était, paraphrasant ce qui aurait pu être écrit sans ; c'est très artificiel, extrêmement répandu chez les jeunes écrivains, et assez gênant.

¿ les incursions régulières de langage oral voire grossier ¿ ce ne sont pas tant les mots qui me choquent que le fait que là encore, ça n'est absolument pas nécessaire et cela fait ¿artificiel' : le mot "bordel" n'a pour seul but de dire "regardez, là c'est de l'oral, ça montre bien que c'est dans un dialogue!".

Allez, je spamme ce lien, qui t'intéressera.

http://www.revue-solaris.com/special/cnpedh.htm

Que lis-tu? Est-ce une figure de style ¿ et pourquoi ¿ quand tu dis que ta vie ne rime qu'avec lire et écrire? :blush:

(Sinon, calmez vos ardeurs, si Lange edition était représentant d'une maison d'édition, écrirait-il comme il le fait...)

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