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Le métier de papa.

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orangine

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Membre, 63ans Posté(e)
orangine Membre 492 messages
Forumeur alchimiste ‚ 63ans‚
Posté(e)

Quand nous choisissons le métier de papa, nous acceptons une responsabilité qui ne connait ni horaire ni retraite et cela devient un choix libre et irrecevable qui se traduit en devoir d'amour. Nous prenons le relai d'une vie. Le conflit intérieur devient silence pour protéger l'autre. On renonce à une part de soi et nous comprenons que la liberté ne consiste plus à partir mais à rester. S'installer dans le boulot de papa a quelque chose de trés vrai, d'humilité et d'humain.Ce n'est pas seulement travailler  c'est apprendre à durer. C'est oublier les ambitions pour d'autres naissantes. La liberté ne disparaît pas c'est la forme qui change. Elle devient fidélité constance et présence. C'est décider de la fin des jours ordinairees; c'est dans l'ordinaire que l'on construit. Nous ne faisons pas un choix comme les autre et c'est une orientation de toute une vie. C'est la fidélité à un seul. On ne peux ni déleguer ni revenir en arrière. C'est comprendre que de rester prés de papa est bien plus courageux que de partir.

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Membre, 55ans Posté(e)
MadameRosa Membre 474 messages
Forumeur expérimenté‚ 55ans‚
Posté(e)

Bonjour @Orangine

Devenir père est une transformation intérieure qui devient un état permanent. 

Ce n’est pas un métier .

 

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Membre, 50ans Posté(e)
Elisa* Membre 15 761 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, orangine a dit :

Quand nous choisissons le métier de papa, nous acceptons une responsabilité qui ne connait ni horaire ni retraite et cela devient un choix libre et irrecevable qui se traduit en devoir d'amour. Nous prenons le relai d'une vie. Le conflit intérieur devient silence pour protéger l'autre. On renonce à une part de soi et nous comprenons que la liberté ne consiste plus à partir mais à rester. S'installer dans le boulot de papa a quelque chose de trés vrai, d'humilité et d'humain.Ce n'est pas seulement travailler  c'est apprendre à durer. C'est oublier les ambitions pour d'autres naissantes. La liberté ne disparaît pas c'est la forme qui change. Elle devient fidélité constance et présence. C'est décider de la fin des jours ordinairees; c'est dans l'ordinaire que l'on construit. Nous ne faisons pas un choix comme les autre et c'est une orientation de toute une vie. C'est la fidélité à un seul. On ne peux ni déleguer ni revenir en arrière. C'est comprendre que de rester prés de papa est bien plus courageux que de partir.

C’est tiré de quel article, source ?  

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Membre, 55ans Posté(e)
MadameRosa Membre 474 messages
Forumeur expérimenté‚ 55ans‚
Posté(e)

Oui, vous avez raison, je n’avais pas pris le temps de comprendre vos mots qui sont ceux d’un enfant pour son papa.

😊

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Membre, 63ans Posté(e)
orangine Membre 492 messages
Forumeur alchimiste ‚ 63ans‚
Posté(e)
il y a 52 minutes, Elisa* a dit :

C’est tiré de quel article, source ?  

C'est de moiiii

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Membre, Voyageur, 71ans Posté(e)
Plouj Membre 114 801 messages
71ans‚ Voyageur,
Posté(e)

J'avais compris prendre la suite d'une activité de son papa.

Le père chef d'entreprise ou agriculteur et reprendre une fois la retraite arrivée.

Ce qui correspondrait avec les phrases :

Il y a 6 heures, orangine a dit :

Quand nous choisissons le métier de papa, nous acceptons une responsabilité qui ne connait ni horaire ni retraite et cela devient un choix libre et irrecevable qui se traduit en devoir d'amour. Nous prenons le relai d'une vie. Le conflit intérieur devient silence pour protéger l'autre. On renonce à une part de soi et nous comprenons que la liberté ne consiste plus à partir mais à rester. S'installer dans le boulot de papa a quelque chose de trés vrai, d'humilité et d'humain.Ce n'est pas seulement travailler  c'est apprendre à durer. C'est oublier les ambitions pour d'autres naissantes. La liberté ne disparaît pas c'est la forme qui change. Elle devient fidélité constance et présence. C'est décider de la fin des jours ordinairees; c'est dans l'ordinaire que l'on construit. Nous ne faisons pas un choix comme les autre et c'est une orientation de toute une vie. C'est la fidélité à un seul. On ne peux ni déleguer ni revenir en arrière. C'est comprendre que de rester prés de papa est bien plus courageux que de partir.

Et c'est pas ça ! :)

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Membre, 75ans Posté(e)
Morfou Membre 64 165 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
Posté(e)
il y a 38 minutes, Plouj a dit :

J'avais compris prendre la suite d'une activité de son papa.

Le père chef d'entreprise ou agriculteur et reprendre une fois la retraite arrivée.

Ce qui correspondrait avec les phrases :

Et c'est pas ça ! :)

J'avais compris la même chose!

Être père n'est pas un métier, c'est un sacerdoce...tout comme être mère...et c'est  à vie!

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Nouveau, 29ans Posté(e)
donatien Nouveau 3 messages
Baby Forumeur‚ 29ans‚
Posté(e)

HEY! je voudrais temoigner car je suis papa de jumeaux de 4 ans et 5 ans c des petits boutchou! je suis bucheron en ville et ma femme laitière, en effet c elle qui fait vos yaourts ainsi que vos cremes ! c compliqué car mes fils ne veulent pas suivre notre parcours professionnel. QUE FAIRE ?????????? AIDEZ MOI !!!!!! HELP ! SOS!!!!! je sais que vous serez assez bienveillants pour me guider ! merci a vous tous et gros bisous ! 6 7 GIF

wood-1846059.jpg

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Membre, 63ans Posté(e)
orangine Membre 492 messages
Forumeur alchimiste ‚ 63ans‚
Posté(e)
Il y a 7 heures, orangine a dit :

Quand nous choisissons le métier de papa, nous acceptons une responsabilité qui ne connait ni horaire ni retraite et cela devient un choix libre et irrecevable qui se traduit en devoir d'amour. Nous prenons le relai d'une vie. Le conflit intérieur devient silence pour protéger l'autre. On renonce à une part de soi et nous comprenons que la liberté ne consiste plus à partir mais à rester. S'installer dans le boulot de papa a quelque chose de trés vrai, d'humilité et d'humain.Ce n'est pas seulement travailler  c'est apprendre à durer. C'est oublier les ambitions pour d'autres naissantes. La liberté ne disparaît pas c'est la forme qui change. Elle devient fidélité constance et présence. C'est décider de la fin des jours ordinairees; c'est dans l'ordinaire que l'on construit. Nous ne faisons pas un choix comme les autre et c'est une orientation de toute une vie. C'est la fidélité à un seul. On ne peux ni déleguer ni revenir en arrière. C'est comprendre que de rester prés de papa est bien plus courageux que de partir.

Il etait une fois un fils qui se proposait de reprendrela ferme de son papa. ce que vous lisez c'est la réflexion de ce fils son choix et sa décision.

:hum:Mais ils sont vraiment précoses tes gamains:8P:

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Membre, 44ans Posté(e)
ashaku Membre 584 messages
Forumeur alchimiste ‚ 44ans‚
Posté(e)
Il y a 10 heures, orangine a dit :

Quand nous choisissons le métier de papa, nous acceptons une responsabilité qui ne connait ni horaire ni retraite et cela devient un choix libre et irrecevable qui se traduit en devoir d'amour. Nous prenons le relai d'une vie. Le conflit intérieur devient silence pour protéger l'autre. On renonce à une part de soi et nous comprenons que la liberté ne consiste plus à partir mais à rester. S'installer dans le boulot de papa a quelque chose de trés vrai, d'humilité et d'humain.Ce n'est pas seulement travailler  c'est apprendre à durer. C'est oublier les ambitions pour d'autres naissantes. La liberté ne disparaît pas c'est la forme qui change. Elle devient fidélité constance et présence. C'est décider de la fin des jours ordinairees; c'est dans l'ordinaire que l'on construit. Nous ne faisons pas un choix comme les autre et c'est une orientation de toute une vie. C'est la fidélité à un seul. On ne peux ni déleguer ni revenir en arrière. C'est comprendre que de rester prés de papa est bien plus courageux que de partir.

Et le métier de papa ne vient pas avec un salaire mais une gratification.

Il y a le sentiment évident de satisfaire l'une de ses raisons d'être, la quiétude d'avoir transmis.

Il y a l'émerveillement devant le miracle de la vie, la contemplation d'une instance concrète de l'amour que l'on partage avec son conjoint, l'expression de ses propres gènes mais différemment.

Il y a la maturité qui rapplique au triple galop (et les hommes en ont besoin), il y a le bonheur de redécouvrir tout ce que l'on aime pour la première fois, à travers les yeux de son enfant.

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