L’amitié homme-femme : réalité ou illusion ?

Il y a 6 heures, Luchik a dit :

Elle est possible puisque certains y parviennent. Ca dépend complètement de la façon de voir et vivre les choses des personnes en présence.

Pour ma part c'est peu compatible avec mon fonctionnement car pour que je ne développe de sentiments amoureux envers une personne qu'au fur et à mesure que j'apprends à la connaître (sa personnalité, ses convictions, son univers...), et qu'il n'est possible de découvrir ces aspects que dans le cadre d'un lien amical. Si ce que je découvre me séduit je risque fort de ressentir davantage que de l'amitié, et dans le cas contraire un désintérêt même amical. Cela m'a valu quelques découvenues, mais aussi de très belles histoires, lorsque l'évolution des sentiments a été partagée. 

Au fil du temps j'ai fini par développer inconsciemment un système de protection : mes sentiments ne naissent que dès lors que je sens qu'il y a réciprocité, et cela simplifie grandement les choses. J'en aurais rêvé étant plus jeune et fougueux ! 

Paroles nobles, et la noblesse ce n'est pas courant en ces temps, je te salue du salut militaire. 

L’anticonformisme me passione. Et parfois y en a qui ose 

il y a 34 minutes, Nikaa a dit :

L’anticonformisme me passione. Et parfois y en a qui ose 

l’anticonformisme peut être créateur, libérateur, mais aussi risqué, car il dérange toujours l’ordre établi.
 

Il y a 15 heures, de ghoul a dit :

hommes et femmes peuvent parfaitement être amis, sans arrière-pensée, comme avec n’importe quel autre ami.

Pourquoi pas?

si la dame est moche...

En tout cas personnellement il y a beaucoup d'hommes dont je peux apprécier la compagnie pour différentes raisons, avec lesquels je peux ou j'ai pu entretenir un lien durable, mais sans éprouver pour autant d'attirance sexuelle à leur égard, que ce soit réciproque ou non. Et à mes yeux une retenue sexuelle, non pas excessive mais suffisante, peut représenter une qualité importante en société. Ne pas s'autosuggestionner outre mesure, canaliser sa sexualité correctement en fonction du contexte me semblent favoriser une sexualité sereine et épanouie, et permettre plus facilement les échanges sincères dénués d'ambiguïté susceptible de devenir problématique, entre autres quand on est déjà dans une relation de couple à laquelle on tient, ou bien dans le cadre du travail par exemple...

il y a 7 minutes, sirielle a dit :

En tout cas personnellement il y a beaucoup d'hommes dont je peux apprécier la compagnie pour différentes raisons, avec lesquels je peux ou j'ai pu entretenir un lien durable, mais sans éprouver pour autant d'attirance sexuelle à leur égard, que ce soit réciproque ou non. Et à mes yeux une retenue sexuelle, non pas excessive mais suffisante, peut représenter une qualité importante en société. Ne pas s'autosuggestionner outre mesure, canaliser sa sexualité correctement en fonction du contexte me semblent favoriser une sexualité sereine et épanouie, et permettre plus facilement les échanges sincères dénués d'ambiguïté susceptible de devenir problématique, entre autres quand on est déjà dans une relation de couple à laquelle on tient, ou bien dans le cadre du travail par exemple...

Exact, ce qui est identique pour certains hommes. 

Dès que l'amour, l'envie, le besoin, l'attirance, la possibilité et j'en passe, tout ou presque existe entre les humains !

L'amitié en fait partie.

il y a 2 minutes, Plouj a dit :

Dès que l'amour, l'envie, le besoin, l'attirance, la possibilité et j'en passe, tout ou presque existe entre les humains !

L'amitié en fait partie.

Voilà tout existe. 

Salut à tous,

Le nombre de ceux qui pensent que cette amitié est possible semble égal à ceux qui pensent le contraire.

Mais une question demeure : où se situe réellement la frontière entre l’amour et l’amitié ?
 Est-ce un regard, une pensée, une complicité particulière qui fait basculer l’un vers l’autre ?
L’attirance physique est-elle forcément le signe d’un amour naissant, ou peut-elle cohabiter avec une amitié sincère ?

Et plus largement :

La fidélité sexuelle existe-t-elle encore vraiment en Occident ? Est-elle vécue comme une valeur importante ou comme une contrainte dépassée ?

L’amour doit-il toujours être exclusif, ou peut-il se conjuguer avec d’autres formes d’attachement, d’amitié profonde ou même de désir partagé ?

Qu’en pensez-vous ? Où placez-vous, vous, la limite ?
Est-ce que l’évolution des mentalités (réseaux sociaux, relations libres, nouvelles conceptions du couple) change votre vision des choses ?

Dans un autre topic en sciences, j’ai parlé de la quintessence, cette mystérieuse énergie qui meut l’univers. Et là, je me rends compte qu’il existe aussi une quintessence dans nos vies : cette part invisible qui fait qu’une amitié n’est pas seulement une amitié, mais parfois quelque chose de plus… une complicité unique, voire un amour qui ne dit pas son nom.

Alors je me demande :

Qu’est-ce qui distingue une amitié profonde d’un amour véritable ?

Existe-t-il ce « cinquième élément » dans les relations humaines, ce quelque chose d’indéfinissable qui change tout ?

Ou faut-il justement préserver l’amitié pour ce qu’elle est, sans vouloir la transformer ?
 

Il y a 2 heures, de ghoul a dit :

Dans un autre topic en sciences, j’ai parlé de la quintessence, cette mystérieuse énergie qui meut l’univers. Et là, je me rends compte qu’il existe aussi une quintessence dans nos vies : cette part invisible qui fait qu’une amitié n’est pas seulement une amitié, mais parfois quelque chose de plus… une complicité unique, voire un amour qui ne dit pas son nom.

Alors je me demande :

Qu’est-ce qui distingue une amitié profonde d’un amour véritable ?

Existe-t-il ce « cinquième élément » dans les relations humaines, ce quelque chose d’indéfinissable qui change tout ?

Ou faut-il justement préserver l’amitié pour ce qu’elle est, sans vouloir la transformer ?
 

L'amitié est une complicité comme la fraternité devrait l'être...

Il y a 21 heures, de ghoul a dit :

 

Salut à tous,

Le nombre de ceux qui pensent que cette amitié est possible semble égal à ceux qui pensent le contraire.

Mais une question demeure : où se situe réellement la frontière entre l’amour et l’amitié ?

entre les deux 

 Est-ce un regard, une pensée, une complicité particulière qui fait basculer l’un vers l’autre ?
L’attirance physique est-elle forcément le signe d’un amour naissant, ou peut-elle cohabiter avec une amitié sincère ?

Je dirais le manque de l'autre

Et plus largement :

La fidélité sexuelle existe-t-elle encore vraiment en Occident ? Est-elle vécue comme une valeur importante ou comme une contrainte dépassée ?

Bien sûr 

L’amour doit-il toujours être exclusif, ou peut-il se conjuguer avec d’autres formes d’attachement, d’amitié profonde ou même de désir partagé ?

Ce n'est pas le même amour 

Qu’en pensez-vous ? Où placez-vous, vous, la limite ?

Est-ce que l’évolution des mentalités (réseaux sociaux, relations libres, nouvelles conceptions du couple) change votre vision des choses ?

Aucunement , ça renforce plutot ma vision des choses