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La lumière et les photons?

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particule

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Nouveau, 65ans Posté(e)
particule Nouveau 2 messages
Baby Forumeur‚ 65ans‚
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Bonjour, je ne suis pas physicien mais juste curieux. Et le souhaite juste partager un idée et faire une expérience de pensée.

On nous dit que la lumière est constituée de photons. La lumière étant une partie du spectres des fréquences des ondes électromagnétiques, on ne parle pourtant pas de photons radio ou photons x ! Et si la lumière (et les ondes en générale) n'était pas constituée de photons ou de choses impalpables mais était le résultat d'une réaction à une intrication quantique ? Prenons l'exemple d'une source de lumière qui est un émettrice et regardons la non pas comme émettant des photons mais plutôt une intrication quantique particulière qui se manifeste par la réaction de la cible qui réagit en émettant à son tour une lueur que nous percevons. La lumière est un cas particulier que nous percevons avec nos yeux. Reprenons l'expérience de Young. Si on mesure ce qui passe par une fente, on perturbe le résultat et les franges interférences disparaissent. De même, quand on mesure une tension électrique par exemple, ou toute autre grandeur physique, on le fait en prélevant une portion de la grandeur à mesurer. Supposons alors que l'emetteur utilisé par Young n'émet pas des particules comme on le pense, mais de l'intrication quantique, l'explication du phénomène semble alors plus évidente au prime abord. Le fait de faire la mesure de ce qui passe par l'une des fentes prélève une information qui perturbe le phénomène. En fait, dans ce nouveau monde quantique, les photons et ondes électromagnétiques auraient disparu et l'interaction entre les choses ne serait qu'intrication quantique. Du coup, un émetteur radio n'émet plus des ondes mais de l'intrication quantique, idem lampe de poche et autres exemples... La physique de ce monde devient ainsi plus homogène : 4 forces de la nature : intrication. La lumière éclaire par intrication, l'aimant attire par intrication, etc. Le photon quant à lui ne serait que le reliquat des connaissances du passé dont on ne peut (veut) se séparer.

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Membre, 57ans Posté(e)
SpookyTheFirst Membre 3 743 messages
Maitre des forums‚ 57ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, particule a dit :

Bonjour, je ne suis pas physicien mais juste curieux. Et le souhaite juste partager un idée et faire une expérience de pensée.

On nous dit que la lumière est constituée de photons. La lumière étant une partie du spectres des fréquences des ondes électromagnétiques, on ne parle pourtant pas de photons radio ou photons x ! Et si la lumière (et les ondes en générale) n'était pas constituée de photons ou de choses impalpables mais était le résultat d'une réaction à une intrication quantique ? Prenons l'exemple d'une source de lumière qui est un émettrice et regardons la non pas comme émettant des photons mais plutôt une intrication quantique particulière qui se manifeste par la réaction de la cible qui réagit en émettant à son tour une lueur que nous percevons. La lumière est un cas particulier que nous percevons avec nos yeux. Reprenons l'expérience de Young. Si on mesure ce qui passe par une fente, on perturbe le résultat et les franges interférences disparaissent. De même, quand on mesure une tension électrique par exemple, ou toute autre grandeur physique, on le fait en prélevant une portion de la grandeur à mesurer. Supposons alors que l'emetteur utilisé par Young n'émet pas des particules comme on le pense, mais de l'intrication quantique, l'explication du phénomène semble alors plus évidente au prime abord. Le fait de faire la mesure de ce qui passe par l'une des fentes prélève une information qui perturbe le phénomène. En fait, dans ce nouveau monde quantique, les photons et ondes électromagnétiques auraient disparu et l'interaction entre les choses ne serait qu'intrication quantique. Du coup, un émetteur radio n'émet plus des ondes mais de l'intrication quantique, idem lampe de poche et autres exemples... La physique de ce monde devient ainsi plus homogène : 4 forces de la nature : intrication. La lumière éclaire par intrication, l'aimant attire par intrication, etc. Le photon quant à lui ne serait que le reliquat des connaissances du passé dont on ne peut (veut) se séparer.

Pour moi ta théorie ne marche pas, les fentes d’Young ne correspondent pas à des état quantiques discrets (comme un spin par exemple) et les trajectoires ne peuvent pas être considérés comme intriquées. 
autre chose, il y a bien des photos radio ou X, pourquoi n’y en aurait-il pas? A l’envers tu as des ondes d’électron…

Quant à ta remarque sur le fait qu’une mesure prélève une partie sur la mesure, tu as raison, mais ce n’est pas la raison fondamentale de l’imprécision de certaines mesures (comme la position ou la quantité de mouvement), en effet celle-ci est irréductible et indépendante de la qualité de ton dispositif expérimental.

Si ca t’intéresse, je te conseille d’apprendre par coeur des démonstrations de base de méca Q, chatgpt est un professeur formidable en la matière!

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Nouveau, 65ans Posté(e)
particule Nouveau 2 messages
Baby Forumeur‚ 65ans‚
Posté(e)

Ia...

💡 Vers une lecture relationnelle de la réalité quantique

Introduction

La physique quantique révèle des phénomènes qui échappent aux cadres classiques : superposition, intrication, absence de trajectoire définie… Ce texte propose une vision où les corrélations quantiques constituent la structure fondamentale du réel, plutôt que les particules ou les champs.

 

1. L’intrication comme fondement

L’intrication quantique n’est pas une propriété secondaire entre objets préexistants, mais un réseau primaire de relations :

  • Les "objets" comme les photons ou les électrons émergent de ce tissu de corrélations.

  • Ce sont les relations qui définissent la structure du système, non des entités localisées.

  • L’univers pourrait être décrit sans recourir à des éléments individuels, mais par la cohérence relationnelle.

 

2. Relecture des fentes de Young

L’expérience classique des deux fentes est revisitée :

  • L’interférence ne résulte pas du passage d’un photon par deux trajectoires, mais d’une superposition corrélée entre l’émetteur, les chemins et le détecteur.

  • Le système complet forme un état global, dont la dynamique est définie par ses connexions, pas par des trajectoires locales.

 

3. Lumière et cohérence globale

La lumière est réinterprétée comme un phénomène émergent d’un champ corrélé :

  • Un photon détecté n’est pas une entité en transit, mais la manifestation locale d’un état quantique globalement structuré.

  • Les phénomènes non-locaux, souvent vus comme paradoxaux, deviennent naturels dans ce cadre fondé sur des corrélations étendues.

 

Conclusion

Cette approche propose de refonder notre compréhension de la physique quantique sur une base strictement relationnelle. Elle dépasse les modèles mécanistes classiques pour offrir une vision cohérente et unifiée, où les corrélations quantiques sont le moteur des phénomènes physiques. Une telle théorie ouvre la voie à des perspectives nouvelles en matière de modélisation, d’expérimentation et d’interprétation.

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Membre, 138ans Posté(e)
Quatr Membre 111 messages
Forumeur activiste‚ 138ans‚
Posté(e)
Il y a 5 heures, particule a dit :

intrication

Alors, il faut savoir qu' officiellement, le papa de la physique quantique avec son principe d'incertitude... a tout fait pour soutenir le contraire.
A savoir que l'atome est la limite de la réalité, et que l'inertie de la particule est un phénomène spontané.
Donc qu'il n'y aurait pas d'intrication sous-jacente, car il n'y aurait pas de sous-structure.
Et qu'il serait vain, qu'il serait inutile, même que de tenter de démontrer le contraire.
C'est ça, le principe d'incertitude.

C'était il y a un siècle, et, aujourd'hui, on se rend bien compte que les prions sont plus qu'une simple spéculation farfelue.

Il faut comprendre aussi que c'est un sujet autour duquel les conflits d'intérêts sont légion.
Parce que, la contingence supposée de la réalité.... c'est un des arguments, sinon le principal argument des rhétoriques religieuses.
L'existence n'a pas de sens....-> donc il faut agir de façon responsable en vertu de l'ordre et de la justice.
Et donc, même en admettant qu'on démontre, qu'on observe les sous-structures de l'atome et les intrications sous-jacentes.....
Il y a fort à parier que quelqu'un d'autre débarque pour remettre une couche d'entropie derrière.
Encore une, pourvu quelle résiste quelques années.

Moi, je suis complètement de ton avis.
Tout effet suppose une cause, et il serait bien difficile d'admettre qu'une réaction ne soit pas la conséquence d'une interaction.
L'intrication sous-jacente..... par élimination... est la seule explication plausible.
Il faut savoir d'ailleurs que c'est un raisonnement qui ne résiste qu'à la physique quantique.
En astrophysique c'est admit, en physique c'est admit, preuve mathématique à l'appui et en chimie c'est admit.
Il n'y a qu'en physique quantique que le débat reste ouvert.... car l'on n'a pas encore démontré qu'il y avait des sous-structure à l'atome.

Il y a 3 heures, particule a dit :

L’univers pourrait être décrit sans recourir à des éléments individuels, mais par la cohérence relationnelle.

Ca s'appelle la relativité restreinte.
A cela près qu'on parle d'atomes plutôt que de planètes.

Il y a 3 heures, particule a dit :

Les phénomènes non-locaux, souvent vus comme paradoxaux

Les phénomènes non-locaux....
On en revient encore au principe d'incertitude.
Qui prétend que la particule ne peut pas être localisée.... et qu'elle est donc non-locale.
Ce qui est un abus de langage.
Ce n'est pas car nous sommes incapables d'appréhender la localité du phénomène.... que le phénomène est non-local.
Le phénomène non-local...... c'est littéralement un sophisme.



Bref...
Je te rejoins.
J'ai envie de te dire, à ce stade, ce n'est même plus de la physique, soit-elle quantique, mais de la rhétorique.
Le principe d'incertitude.... revendique le bénéfice du doute.
Et non pas d'avoir corrélé les faits.
Tu peux repousser les incertitudes un peu plus loin...... quelqu'un reviendra toujours pour prétendre que le diable se cache un peu plus loin dans l'inconnu.
Il en est ainsi depuis des millénaires.
Les scientifiques démontrent que l'existence se justifie.... et les religieux débarquent pour dire que là, ici là -> y'a toujours pas de justification.
Alors en attendant que vous en trouviez une de justification, dans le doute, on va continuer de remettre tout ce hasard dans l'ordre.
Tu comprends... à qui revient le bénéfice du doute.
Il ne s'agit pas de repousser les conjectures un peu plus loin.
Il s'agirait plutôt de renverser cette tendance.
De dire que ce n'est pas aux scientifiques de démontrer la corrélation.
Mais aux religieux de démontrer qu'il n'y en a pas.

Par exemple, heisenberg, concernant la localisation de la particule..... n'a pas démontré l'absence de corrélation.
Il a démontré son incapacité à corréler, et a demandé à tout le monde de se complaire, de se suffire de cette incompétence.
"La localisation de la particule est incertaine, je n'en ai pas la certitude, mais il serait vain, il serait inutile que de chercher à la localiser"
C'est une plaidoirie.... qui dit aux scientifiques..... arrêtez de chercher à corréler les faits.
Il aurait voulu démontrer la spontanéité, l'absence de corrélation, mais il n'a pas réussi.
Alors il a dit aux autres d'arrêter de chercher la corrélation.

Nous n'éluciderons jamais l'inconnu.
Et ce petit manège peut durer, encore, une éternité.
On pourra toujours continuer de prétendre que la spontanéité se cache, là, où l'on n'a pas l'équation.





 

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Membre, 154ans Posté(e)
Black Dog Membre 5 091 messages
Maitre des forums‚ 154ans‚
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Le principe d'incertitude de Heisenberg justifie surtout le fait que les électrons peuvent tourner sans cesse autour du noyau d'un atome sans consommer d'énergie.

Modifié par Black Dog
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Membre, 57ans Posté(e)
SpookyTheFirst Membre 3 743 messages
Maitre des forums‚ 57ans‚
Posté(e)
il y a une heure, Black Dog a dit :

Le principe d'incertitude de Heisenberg justifie surtout le fait que les électrons peuvent tourner sans cesse autour du noyau d'un atome dans consommer d'énergie.

J’ignorais cela.

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Membre, 154ans Posté(e)
Black Dog Membre 5 091 messages
Maitre des forums‚ 154ans‚
Posté(e)
il y a 20 minutes, SpookyTheFirst a dit :

J’ignorais cela.

 

Imaginons que l'électron finisse par tomber sur son noyau, faute d'énergie, alors sa position et sa vitesse seraient connues. Comme le principe d'incertitude de Heisenberg interdit de connaitre en même temps ces deux variables, l'électron doit sans cesse être en mouvement.

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Membre, 138ans Posté(e)
Quatr Membre 111 messages
Forumeur activiste‚ 138ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, Black Dog a dit :

 sans consommer d'énergie.

Oui.
Que l'inertie de la particule est donc un phénomène spontané.

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