Un monde sans internet

Il y a 9 heures, Gouderien a dit :

Ou une éruption solaire un peu trop puissante.

(...)

A ce niveau -là , les dernières n'ont pas donné grand chose.

J'ai visionné un film sur Netflix avec Julia Roberts, intitulé: Le monde après nous. Un monde où les satellites de com rendent l'âme...Edifiant!

Oh que t'es môgnon de me réconforter, @Herver-chou !! 

Pas si loin qu'ça de chez moi, la Drôme !    

il y a 1 minute, Passiflore a dit :

 

Oh que t'es môgnon de me réconforter, @Herver-chou !! 

Pas si loin qu'ça de chez moi, la Drôme !    

Ah tu vois on se connais déja de vu tu sais que je suis mignon  

La France c'est grand comme un mouchoir de poche on la traverse entièrement dans un sens en quelques heures rien n'est vraiment bien loin dans ce pays.

et lol ben mon smiley t'a pas fais rire et t'a pris la peine de me le mentionner normal que je réconforte en expliquant pourquoi vu que je voulais pas blesser.

Cela aurais été d'autres pseudos j'aurais peut-etre enfoncé le clou plutot que l'arraché j'avoue  mais toi non t'a toujours été cool  

il y a 1 minute, Herver a dit :

Ah tu vois on se connais déja de vu tu sais que je suis mignon   (...)

et lol ben mon smiley t'a pas fais rire et t'a pris la peine de me le mentionner normal que je réconforte en expliquant pourquoi vu que je voulais pas blesser.

Cela aurais été d'autres pseudos j'aurais peut-etre enfoncé le clou plutot que l'arraché j'avoue  mais toi non t'a toujours été cool  

"môgnon" j'ai dit, pas pareil, nan nan !   

Sympa, merci !   

à l’instant, Passiflore a dit :

 

"môgnon" j'ai dit, pas pareil, nan nan !   

 

Sympa, merci !   

J'exagère je suis né dans le sud !...a Marseille enfin...un poil au nord de Marseille sa banlieue limite... a Montélimar  donc meugnon devient normalement beau et irrésistible quand c'est a mon égard...je m'étais retenu avec juste mignon  

il y a 5 minutes, Herver a dit :

J'exagère je suis né dans le sud !...a Marseille enfin...un poil au nord de Marseille sa banlieue limite... a Montélimar  donc meugnon devient normalement beau et irrésistible quand c'est a mon égard...je m'étais retenu avec juste mignon  

 

Pas mEUgnon, môgnon moi j'dis !  

à l’instant, Passiflore a dit :

 

Pas mEUgnon, môgnon moi j'dis !  

Je suis chauvin si c'est pas a mon accent et a ma façon ça vaut pas le coup de rectifié meugnon je préfère c'est donc meugnon  

il y a 2 minutes, Herver a dit :

Je suis chauvin si c'est pas a mon accent et a ma façon ça vaut pas le coup de rectifié meugnon je préfère c'est donc meugnon  

Nan môgnon j'ai dit, ah ! mais !  

Il y a 2 heures, de ghoul a dit :

Où va le temps gagné ?

(Une réponse à la manière de Devos et du Petit Prince)

On nous avait promis que la technologie allait nous faire gagner du temps.
Et c’est vrai. On gagne du temps. Beaucoup.
Assez pour devenir riches. Riches en heures. Riches en minutes.

Mais alors… où va ce temps gagné ?

Chez Raymond Devos, la question aurait provoqué un sourire, une pirouette absurde :

> "On a mis le temps dans une banque… mais une banque sans intérêt."

Et en effet, ce temps, nous ne le plaçons pas.
On ne le fructifie pas.
On ne le savoure pas.

On le dépose, machinalement, dans les coffres-forts numériques des grandes plateformes,
qui nous le rendent sous forme de notifications, de scrolls infinis, de contenus en boucle.
Ce temps ne dort pas. Il est phagocyté, digéré, recraché en miettes d’attention.

Et nous ?
Nous sommes devenus les businessmen du Petit Prince, ceux qui comptent les étoiles sans jamais en voir la lumière.
Nous cliquons. Nous trions. Nous accumulons des données, des images, des likes…
Nous remplissons nos journées comme on remplit des tableaux Excel : sans vraiment savoir pourquoi.

> “Je suis sérieux, moi ! Je suis un homme sérieux !”
disait le businessman en costume, qui ne levait jamais les yeux vers le ciel.

---

Un temps sans choix

C’est peut-être cela, le drame silencieux de notre modernité :
le temps gagné ne nous appartient pas vraiment, car nous n’en décidons rien.

Il est aspiré par des logiques plus fortes que nous :

la logique de l’algorithme,

la logique de la productivité,

la logique de l’occupation constante.

> Nous croyons choisir, mais nous réagissons.
Nous croyons gagner du temps, mais nous le troquons contre de la distraction.
Nous croyons être libres, mais nous sommes toujours pressés.

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Et maintenant ?

Alors que faire ?
Peut-être simplement commencer par reprendre le droit de choisir.

Choisir de perdre du temps… vraiment.
Choisir de ne rien faire. Choisir de contempler. De marcher. De lire lentement.
De créer. De jouer. D’écrire.
De parler à quelqu’un sans écran entre les deux.

Car le temps ne vaut quelque chose que s’il est vivant.
Et parfois, pour le rendre vivant… il faut accepter d’en perdre un peu.

Je comprend que les gens qui ont une activité professionnelle soient pris dans le système qui veut toujours augmenter la productivité et faire aller toujours plus vite. Mais le retraité qui viens de sortir de cette frénésie de  la vitesse, pourquoi court-il encore ?

C'est bien parce que je suis retraité que j'ai le temps de réfléchir à ce qui fait courir les gens.

Oui il m'arrive de devoir accélérer mon travail car j'ai été trop ambitieux ou bien parce que je suis déjà très productif et on mon en confie davantage.

Mais tous les développements d'internet, j'ai décidé de les suivre de loin, de loin seulement.

Alors les machins avec IA, j'ai envie de faire Hihan !

il y a 1 minute, Passiflore a dit :

 

Nan môgnon j'ai dit, ah ! mais !  

argh !... trop têtue je m'incline...mais pour avoir la paix seulement j'en pense pas moins  et ma mignonne m'attend donc pas le gout de ferraillé plus elle a priorité a plus tard surement vu que techniquement je lui fais encore la gueule elle va surement dormir encore sans moi 

J'ai gagné eee, j'ai gagnééé !  

  @Herver

Il y a 10 heures, versys a dit :

Je pense qu'il faut dissocier deux choses distinctes.

Je suis d'accord avec toi quand tu qualifies internet d' "outil utile", permettant de disposer en temps réel d'échanges privés ou professionnels, de documents et de données. Cet outil représente un progrès magistral et essentiel dont nous ne pourrions plus nous passer.

Par contre, c'est plutôt au niveau des réseaux sociaux que l'on peut parler de "pollution mentale et de manipulation".

En ce sens, je fais un distinguo entre le web vecteur d'énorme progrès et les réseaux sociaux trop phagocytés et porteurs de trop de dissensions.

Sans le web, pas de réseaux sociaux, me direz vous ?? Ok, mais on peut en même temps être un gros consommateur d'internet et n'être inscrit sur aucune plate forme de réseau social, comme moi, par exemple...

.... à part F.fr, si on peut considérer que c'est une plate forme de réseau social... 

Pareil. Aucun réseau social , à part fr.  Je ne sais comment qualifier fr.

Il y a 5 heures, Plouj a dit :

Internet n'est pas créateur de pollution mentale ni de manipulation, il n'en est que la continuité, peut-être à plus grande échelle.

Oui.

Il y a 5 heures, Plouj a dit :

Mais pas que.. aussi une source de connaissances quasi inépuisable.

De fake news aussi et d'Intox...

Il y a 8 heures, Totologik a dit :

Ah l'Internet des années 2000 ; cet âge d'or ! Internet était encore un champ à conquérir, un far west où la liberté d'expression régnait en maître ; où l'on trouvait des salons IRC aux discussions (vraiment) pas catholiques ; où un gamin de 15 ans pouvait coder un virus en un Mercredi sur un coin de bureau avec peu de connaissances ; et faire quelques conneries. Je me souviens aussi du juteux business de jeux piratés et des musiques mp3 au collège pour les chanceux qui avaient un graveur CD à la maison. Et qui se souvient de caramail ?

À cette époque, les escroqueries étaient multiples car il n'y avait que peu de garde-fous, mais leurs conséquences étaient faibles car aucun système d'information sérieux ne résidait dans les réseaux. Au pire, il fallait formater le HDD et tout réinstaller - ça prenait la journée. Mais on ne perdait pas grand-chose. Plus qu'un outil, internet était à la fois une aire de jeux, de créativité, et de liberté. Nos plus jeunes n'en connaîtront jamais rien - et c'est bien triste. Car à cette époque, la prédation de cet espace libre par les géants du numérique n'avait pas eu lieu.

Le bon vieux temps...^^

La poule aux oeufs d'or finira mal.

Il y a 7 heures, Cochise 90 a dit :

La merde sur ces réseaux pourris ce sont les influenceurs de tous bords; et ceux qui balancent des deep fakes pour manipuler les esprits.

Les youtubeurs font peur et je me demande toujours quand ils ''vivent''.

il y a une heure, querida13 a dit :

 

J'ai visionné un film sur Netflix avec Julia Roberts, intitulé: Le monde après nous. Un monde où les satellites de com rendent l'âme...Edifiant!

Oui je l'ai vu, c'est très bon.