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je suis un homme de coeur et le coeur est à gauche. ------------ si javais été un roi, c'aurait été le roi de coeur, un roi au coeur de lion. ou bien le roi des hommes mais j'aurais été leur serviteur alors comment être roi. j'aurais pu aussi être le roi des cons car bien sur les cons on le droit d'avoir leur roi, mais il n'en est rien car il m'est inconcevable d'être au dessus des autres. ------------- je pisse donc j’essuie ------------- voila, il me fallait poser ces quelque réflexion philosophique dans un lieu ou je reviendrais surement. vous pouvez commenter ou vous lâcher car il est utile de penser mais encore plus d'échanger.
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Bonsoir les gens; Voilà j'avais proposé avec belalex,il y a aussi Château,des Haiku Japonnais... Il faut choisir un maximum de règles en fonction des circonstances, mais la règle principale est de ne pas casser les images. Marqué d'une "# " les règles que l'auteur de ce minimémento s'efforce de respecter. Dans la pratique, chacun se fait son style qui est plus ou moins proche du haiku classique. Dix-sept syllabes en une ligne. (surtout le haiku japonais) En japonais, on écrit presque toujours un haïku en une seule ligne. Seuls Shigenobu Takayanagi et son groupe ont essayé le haiku en plusieurs lignes. Quand les japonais écrivent artistiquement le haïku sur un shikishi (papier carré), ils le coupent en plusieurs lignes; mais uniquement pour l'apparence. Dans les traductions, les haïkus japonais sont habituellement imprimés en trois lignes, parce que cette manière aide à exprimer la nuance subtile de la césure, difficile à mettre en évidence en une ligne dans une langue autre que le japonais. # Dix-sept syllabes en trois lignes.(surtout le haiku en langue étrangère) # Dix-sept syllabes en trois lignes divisées en 5-7-5. L'anglais fait parfois 3-5-3. Moins de dix-sept syllabes en trois lignes mais en forme court-long-court. Moins de dix-sept syllabes en trois lignes verticales mais en forme court-long-court. Ecrire pour être lu en une seule respiration. # Utiliser un mot de saison (kigo) ou une référence saisonnière. (un ancrage dans le monde) # Utiliser une césure à la fin de la première ou seconde ligne, mais pas aux deux. Les trois lignes ne doivent pas être une même sentence. Avoir deux images qui sont seulement mises en comparaison par une troisième. Avoir deux images qui sont seulement reliées par une troisième. Avoir deux images qui sont seulement mis en opposition par une troisième. Classiquement, on trouve deux sortes de haiku, du temps de Bashô et de nos jours : a) le haiku avec deux images (haiku de juxtaposition) b) le haïku qui n'a qu'une image # Toujours écrire au présent, ici et maintenant. On peut écrire aussi au passé ou au futur, ce qui important c'est de présenter une image vivante. On y arrive mieux en écrivant au présent. Limiter au maximum l'usage des pronoms personnels Utiliser les pronoms personnels en minuscules. # Eliminer l'usage des participes présents (gérondifs). Pour les langues étrangères, il n'y a pas de participe présent en japonais. # Limiter l'utilisation des articles. Pour les langues étrangères, il n'y a pas d'article en japonais. # Utiliser une syntaxe simple. # Utiliser des sentences fragmentaires. Etudier l'ordre de présentation des images. D'abord le grand-angle, puis le moyen, terminer par le zoom. Réserver l'effet pour la fin. Rendre les premières lignes attractives et éveillant l'attention. # Seulement écrire sur des choses ordinaires de manière ordinaire dans une langue ordinaire. # Respecter l'attitude du bouddhiste, observer les choses bien avant de les critiquer, laisser le haïku exprimer des images sans besoin de commentaire. Laisser un écho philosphique en arrière-plan du haïku. # Utiliser généralement des images concrètes. C'est l'idée de Shiki. Mais Bashô et d'autres haikistes adoptent des expressions abstraites. # Inventer des expressions lyriques décrivant l'image. Utiliser le paradoxe. Utiliser des jeux de mots. # Décrire l'impossible de manière ordinaire. # Ecrire des images transcendantes (ni guerre, ni sexe offensant, ni crime). # Intégrer son image dans le monde réel. # Eviter toute référence à soi-même. # Se référer à soi-même de manière externe. # Eviter la ponctuation pour créer l'ambiguïté Utiliser des ponctuations normales : Arrêt ; pause ... quelque chose n'est pas dit , légère pause -- la même chose en d'autres mots . Arrêt Mettre en majuscule le premier mot de chaque ligne. Mettre en majuscule le premier mot. Utiliser la majuscule anglaise. Tous les mots en majuscules # Tous les mots en minuscules. # Eviter les rimes. Rimer la première et dernière ligne. Utiliser des rimes internes. Utiliser l'allitération. # Utiliser des sons reliés à l'image. Toujours terminer par un nom. # Ecrire seulement le haïku pour exprimer une épiphanie (aha moment). # Utiliser chaque inspiration comme point de départ. # Eviter trop de verbes, supprimer si possible. # Eviter les prépositions (dans, sur , entre,parmi), spécialement dans le début de la phrase. # Eliminer les adverbes. # Ne pas utiliser plus d'un qualificatif par nom. L'usage doit être limité au seul sens du haïku. # Le haiku doit être considéré comme une poésie et non une carte de voeux en vers. # Ecrire tous les haïku conçus, même les mauvais, qui peuvent en inspirer de meilleurs. Ps; A vous de jouer... Belalex: chaleur d'été venant caresser la nature pompant l'énergie de l'ouvrier .. Chateau: Baiser envolé vers le Feuillage frémissant sous le temps lourd odeur de frites La formalité, Se déforme en langues Vagues, absurdité...
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Ce jour-là, nous devions nous rencontrer, et nous ne nous connaissions que par des écrits échangés, que par des appels téléphoniques! Nous avions pris la route, chacun de notre côté, et nous roulions vers un point de rencontre que nous nous étions fixés. Chacun de son côté ressassait dans sa tête le déroulement de cette histoire hors norme, d'une passion soudaine, inexpliquée, née au hasard d'une erreur de numéro qui avait tout changé! Pourquoi n'avions-nous pas tout simplement raccroché le combiné lorsque nous nous étions aperçu que ce n'était pas la personne concernée? Le destin, sans doute, ce maître de nos pensées en avait décidé autrement! et nous étions partis sur des fou-rire, des boutades...et puis les jours suivants, le téléphone avait sonné et notre histoire avait continué, s'était amplifiée, des mots tendres avaient été échangés! De fil en aiguille, au bout de quelques mois, nous avions décidé de nous rencontrer et, c'est pourquoi ce soir-là nous roulions vers notre DESTINEE...Il avait suffi d'une erreur de numéro pour que le cours de notre vie fut tout chamboulé!
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Ce topic fait office de blog, en quelque sorte. C'est juste une décharge, une Géhenne. Le lieux de mes soulagements, la latrine de mes pensées, le déversoir de tous mes mauvais sangs. Une ère nouvelle vient de s'ouvrir dans ma vie - comme toujours. Mais quel silence, dans celle-ci. Quelle stérilité proprette.. Si je n'avais plus de brouillon, de puanteur, que deviendrais-je ? Tout serait soudain si... mécanique, et froid, et rationnel que je ne serais plus personne. Allons... parlons... Je me disais, au début de ce que j'appelle aujourd'hui "moi" : La vie, ça ne peut pas être que ça. Je me le dis encore, et j'en fais à présent une devise, du moins le préambule à ces lignes. Ne vous attendez pas à des merveilles, ici ; je ne ferai que relater ce ça qui ne me suffit pas... Ce ça qui donne à la médiocrité un goût d'excellence, par défaut. D'âme, bien sûr.
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Tel un coucher de soleil je m'etteinds jours après jours je plonge doucement dans un profond sommeil espérant qu'il durera toujours assez de cette lutte éternelle du combat, déja perdu d'avance oui, j'aimerai avoir des ailes et m'envoler loin de toute cette violence parfois envie de s'ouvrir les veines pour extérioriser toute cette haine haine qui me ronge de l'extérieur je voudrai moi aussi glisser vers un monde meilleur.... Pourquoi prendre la vie au sérieux? de toutes les manières, on s'en sortira pas vivant Nous sommes marins de galère Nous visitons tous les océans Nos anciens? Des corsaires... Laissons nous porter par les vents... Derriére volent les goélands Allez! Par vent debout, par vent arrière endosses ton ciré pour le gros temps Allez! Ici, pas de manières Le vent, la mer, ses colères... Mais tu résistes, allez, droit devant. La nuit sur le pont et sans manière il te dira: j'ai visité les océans Marin,mer,lien sacré du doux réveur là, sur la grève, la marée et...Son sourire Et quand cette mer regarde le solitaire Elle étend sa main emprisonnée de délires Elle me caresse entre ma chair et mon âme
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Si l'Amour était une Couleur il pourrait être jaune comme le soleil à l'aube d'un nouveau jour et qui monte lentement au zénith pour réchauffer notre coeur, il pourrait être bleu comme la mer et le ciel qui se fondent à l'horizon, pour ne faire plus qu'un dans un moment de passion. Bleu comme mes yeux qui cherchent ton regard dans le lointain pour qu'un sourire se dessine sur mon visage, il pourrait être rouge comme le feu qui ravage tout sur son passage, Le coup de foudre frappe n'importe qui, n'importe quand et engendre un état de folie, vert comme un tapis de jeu de hasard, pour gagner ou tout perdre sur un coup de dés, un soir, Mais l'amour n'a pas de couleur finalement c'est un sentiment qui met de la couleur dans notre vie Il se nourrit de rêves et d'espoir à l'infini L'espoir de voir un arc-en-ciel dans le ciel gris.
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J'avais oublié que j'existais, souffrance me l'a rappelé, douce sensation au coeur, me laisse en rancoeurs, vertige d'une boule au ventre, subtile elle entre, saveur enjouée, elle m'a lascivement entraînée. J'avais oublié une date, ce jour de naître, grand mal me fasse, il en reste une trace, un papier déposé, un chiffre tant regardé, ne m'est pas apparu, l'évènement à disparu. J'avais oublié que j'aimais écrire, comme ça fait sourire, encre versée sur mes mains, l'ôter ne sert à rien, plumes et cahiers entassés, ravivent mon passé, conter , souffler magie,couleurs indéfinies. J'avais oublié que je pouvais parler, silence m'a transporté, muette je suis, bouche bée m'a envahie, enfouie la clef des dires , mots et phrases vont s'évanouir, ne restera que le calme indécis, sereine en sera la poésie.
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-- Un jour j'écrirai mes mémoires... -- Qui tu veux que ça intéresse ?!
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(Pour raison pratique les nouveaux contes sont situer dans les derniers commentaires ) Bonjour je voulais ici écrire et faire partager tout les conte philosophique que j'ai eu la chance de lire afin que chacun puisse les méditer. (veiller excusé les fautes d'horographes ). J'aissairais d'en écrire un par semaine si cette rubrique marche n'hésiter pas a laisser des commentaires. Il était une fois un sage. Il demanda a ses disciples -quand commence le jour et la nuit prend fin ? -quand on peut différencier un chien d'un loup, propose un disciple -Ce n'est pas la réponse, dit le sage -quand on peut différencier un figuier d'un olivier, proposa un autre -Ce n'est pas la réponse -Mais quand ,alors ? dirent les disciples -Quand,en un inconnu on voit un ami alors la nuit prend fin et le jour commence. P-S : je ne sais pas si je peux écrire en dessous des commentaire laissé sur mon premier conte PP-S: J'ai posté mon premier roman .C'est une fiction mais si certain sont intéressé il peuvent la chercher avec les mots clés ''Light'' ''commentaire'' ''besoin d'avis sur mon roman'' 23/04/14 Dioné déambulait dans Athènes vêtu de haillons On raconte qu'un matin un riche passant le réveilla et lui dit: ''tiens ,prend donc cette bourse j'ai eu une excellente semaine Mais Dioné ne prit pas la bourse alors le riche continua -Prends ce n'est pas un piège , tu me semble juste dans le besoin -Mais toi n'en as tu pas besoin -Non pas le moins du monde -Tu en as d'autres des bourses comme celle la ,demanda Dioné -Oui des tas et des tas -mais en voudrais tu encore plus -Oui bien sur répond le riche -alors garde ta bourse mon ami . Tu en as plus besoin que moi . 29/03/14 Un homme va voir un sage et lui dit j'ai entendu quelque chose a propos de votre disciple -attend avant de parler dis moi si tu a fais passer ta parolepar les 3 tamis -Je l'ignore -C'est simple ce que tu vas dire est ce vrai ? -Je ne suis pas sure,mais... -Alors ce que tu vas dire est utile ! -Utile je ne crois pas -Dans ce cas la ce que tu vas dire est bon -Euh,non ,mais... -alors ne dis rien s'exclama le sage (Pour raison pratique les nouveaux contes sont situer dans les derniers commentaires )
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Pour ceux qui ne les connaissent pas encore, voici quatre livres à télécharger gratuitement : Les mots qui se ressemblent : homonymes et paronymes. Livre de conjugaison (110 exercices). Livre d'orthographe (98 exercices). Règles d'orthographe. C'est à cette page : https://sites.google...vres-a-imprimer
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LE ROMAN DE JE HUMBLE I AUXCOMMENCEMENTS (Le port tranquille -Les abeilles - La revolución - Les marmites blanches - L’Afrique- L’aventure africaine - Le maelström fluvial - Le volcan -Icare.) 1 Le port tranquille (Leport d’Hyères, le 7 février 2000 et quelques, 15 H 15 G.M.T.) Le long de l’eau huileuse et irisée du port déambulait Je Humble. La mer, comme une peau tendue, introuable et lustrée, clapotait faiblement entre et contre les barques. Lentement elle s’enflait en respiration lourde. Elle aurait pu tout submerger, mais s’affaissait à chaque fois... Au bord du reflet inverse délimité par les margelles de pierres sages, Je s’arrêta. Tout en bas, à l’opposé par les talons, s’agitait l’image d’un double, élastique, mosaïqué, en perpétuel éclatement, qu’il maintenait sans le savoir uni et symétrique. Il s’engagea sur le ponton de bois sombre aux pilotis fichés dans une vase brune de fond de port. Les poupes des bateaux, alignées de part et d’autre pressaient l’étroit passage. De part et d’autre, les mats nus, dépouillés, raides et filiformes, tendus de câbles obliques, balançaient doucement dans l’air frais. Je atteignit la dernière planche du ponton. Un chenal de quelques mètres à peine le séparait de la jetée transversale sur laquelle alla buter son regard. C’était le bout du monde. Le bout du monde… ou son commencement ? Enracinée sur un entassement de roches rousses aux facettes vite estompées sous la surface, la longue masse de ciment, lisse et blanche, s’étalait devant lui, inerte, pesamment, comme un empêchement de première minute : « Le phallus primitif de barrage !... » (Est-il jamais question de ce dont il s’agit ?) L’arrête nette du sommet tranchait le ciel à vif, fermait l’espace. Je parcourut des yeux la ligne horizontale jusqu’ au phare en fer noir en forme de capuchon à sa toute extrémité droite qui se découpait sur la colline bleue embuée du lointain. Bleu le ciel. Encore plus bleue, sans doute, la haute mer par delà la jetée, le tout en suspension, vide, tranquille. Il rebroussa chemin. Soulagé de retrouver sous ses pas un sol dur, solide et sans reflet, il entra au bar du port et s’attabla, confiné, devant la Marilyn du mur voletant dans sa robe en pétales sur une bouche d’égout. Encontre coup des photos affichées, l’intérieur de son ventre se tapissa d’images froides de cinéma. —Garçon, un chocolat sucré ! L’Amérique n’existait pas. Et le temps n’avait pas d’importance : Hyères, hier, un simple calembour... « À peine tiède ce chocolat ! » LE CHŒUR : Motus et vivendi. Ensuite il se leva, et tournant le dos à ce déjà flou souvenir, il s’enfonça à travers rues dans un continent qu’il imaginait coloré et grouillant. Le port fut sans Je Humble. Il s’anima. Les flancs bardés de pneus, une grande barge plate de service s’en revenait du large, manœuvrée par un petit bonhomme sombre, debout,à l’air blasé, mais aux jambes écartées pour garder l’équilibre. Avec un bruit de moteur caverneux, elle décrivit à faible allure sa trajectoire habituelle le long de la jetée pour venir se plaquer au ponton en glissant de travers. Depuis la gauche, un cycliste déboula sur la lisse jetée, s’arrêta, descendit de vélo, et poursuivit sa route à pied en tenant son guidon sur le côté. Un ouvrier ponctuel apparu par hasard, s’accroupit au pied du grand lampadaire aluminique éteint, et armé d’un minuscule marteau piqueur effroyablement bruyant, entreprit de creuser le goudron à sa base. L’appareil tremblotant perdait et reperdait son aiguille sans cesse... Alors s’interrompait l’ouvrier patient qui rajustait l’aiguille et reprenait son percement méticuleux jusqu’à ce qu’elle retombât. MaisJe Humble n’était plus là…
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Alors, les internautes sont-ils des amateurs de la plume, du clavier? Qui écrit et quoi? Terminez-vous ce que vous commencez? Avez-vous franchi le pas et tenté l'édition?
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Amis poètes bonjour lol :D Bon voilà j'ai besoin de vous parce que j'ai eu le malheur de m'inscrire à la fac dans une option "atelier d'écriture poétique".. et le problème c'est que je sais pas écrire de la poésie et il faut que j'écrive un poème pour demain, sur une couleur. Alors j'ai pensé au gris parce que je pense qu'il y a pas mal de choses à dire mais j'ai besoin de votre aide.. que vous inspire le gris? Oui je sais c'est pas bien je devrais faire mes devoir comme une grande mais j'y arrive pas ca me casse la tête Merci d'avance de vos réponses (les plus rapides possibles) !!
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Celà fait quelques temps déjà que je me balade sur ce forum et certains, qui ont eu la courtoisie de lire quelques uns de mes posts, se sont rendu compte que la verve m'habite. J'ai moi même remarqué que d'autres forumeurs jouent habilement de la langue. Je pense bien sûr à Maître lobo, Fleurdavril, Usagi, Eryx (je sais que j'en oublie et je m'en excuse). C'est pourquoi j'ai décidé de prendre les choses en mains et de créer ce topic dédié aux mots. Ici vous pourrez créer vos posts, répondre à un autre, vous avez quartier libre.Mais il ne s'agit pas de faire n'importe quoi. Tu peux parler d'un thème que t'aime De ton humeur, d'un forumeur, de l'amour même Tout ce que je veux c'est que les mots s'amusent Fleur, Lynda, Dekefay vous êtes mes muses Laisses tes mots se bousculer, s'entrechoquer S'enlacer, s'entrelacer sans trop lasser Il y a de la place pour les mots tôts et les mots tards Quant aux mots phobes je les balancerai au placard Ici, il n'y aura pas de texte type Pas de typex que des prototypes Je m'en fous des vers de vingt pieds Je préfère le vin dans un verre à pied Je compte bien entendu sur ta contribution Deux phrases ou cent, tu sentiras le frisson Quand ta page blanche s'emplira de rimes Tu sueras puis sauras pourquoi tu trimes Je t'assure que trouver le bon mot est orgasmique C'est pourquoi je n'accepterai aucune mauvaise critique Je veux que les petits auteurs prennent de la hauteur Je te passe les rênes, laisse parler ton coeur.
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"C'etait un apres midi comme les autres. Un soleil pale. Une gueule de bois. Vraiment banal. Pour Julien du moins. Sarah l'avais quitté voila une semaine. Et lui il cojitais des histoires de fin du monde sur son sofa. Soudain: le telephone...
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Là-bas Là-bas à Rabat j’ai un cœur qui bat J’ai des lèvres qui, comme des lièvres, Courent après celle qui, sans ailes, Vole à travers ciel Où l’on peut voir, matin et soir, Des étoiles portant le voile Dont la Lune fait la Une De son journal ! La Lune, cette belle brune, Ecrit, et crie, qu’elle aime Celle que j’aime Et que je ne connais pas. Que m’importe ! Je fais en sorte Qu’elle soit là-bas à Rabat. Je l’aime. Je l’aime. Je l’aime dans son voile. Je l’aime chair et poil. Et je l’attends tout le temps Comme les gens des dunes Attendent la lune. Oui, je l’attends. Oui, je t’attends ! Et c’est de moi que tu te caches, chérie ? Moi qui, si je ris, Je ne ris que pour toi ? Moi qui, si je chante, Je ne chante que pour toi ! Et toi, qui me hantes, Tu te caches de moi ? ***************** Le printemps Le printemps craint son Départ avant de lancer Un dernier regard Sur tes yeux élancés Oh, quel honneur pour toi ! Quel bonheur pour moi ! Tu sais pourquoi, chérie ? C’est parce que dans tes yeux Brille La foi de ton âme Comme brillent Les flammes dans le corps D’une femme. Tu sais, chérie ? Quand tu prie, Le printemps sourit ! Et moi, j’ai les larmes aux yeux, J’ai le ventre creux Car je ne peux plus ni manger ni boire : Je reste là à te voir Prier Dieu Jusqu’à ce que tu aies Les larmes aux yeux ! Tu sais ? J’ai envie de dire, mon amour : Prête-moi des yeux de velours Ne fût-ce que pour un jour ! Je veux sentir le plaisir Que le printemps sent Quand il regarde tes yeux S’élancer vers Dieu ! Mohamed Ali LAGOUADER
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bonjour ce sujet est pour tout le monde. mais plus particulièrement pour ceux qui écrive. voici le début de mon premier Roman. dites-moi se que vous en pensez. merci d'avance. ps si vous aussi vous voulez un avis sur votre manuscrit n'hésitez pas! :blush: chapitre 1 sans pouvoirs Un jeune homme marche le long d'un mur ancien qui commence à s'effriter. Il avance d'un pas rapide et conquérant. Il est blond, moyennement grand, il a des yeux bleu et une petite barbichette. Vêtu d'un pantalon en lin et d'une chemise à manches courtes à pois, tenue révélatrice de l'été. Il fait un temps radieux, le ciel est d'un bleu azur et le soleil brille au zénith. Le jeune homme, se dirige vers une maison qui se situe au bout de la rue dans la quelle il se trouve. Arrivé devant le numéro 34, il sonne. Il observe la maison en attendant qu'on vienne lui ouvrir. La porte est blanche, les fenêtres aussi. Elle est en pierre de taille, il y a deux étages et un jardin à l'arrière. La porte s'ouvre enfin. Un homme de petite taille, avec de grands yeux bleus, corpulent et chauve se tient sur le seuil. Il porte une chemise à carreaux d'un autre âge et un pantalon léger. Il dit d'une voix douce et apaisante : - Bonjour mon garçon comment vas-tu ? Ce dernier répond d'un ton calme et posé. - Bonjour monsieur Karl, excusez moi de vous déranger, je cherche Pierre, est-il là ? Monsieur Karl invite Elliott à entrer dans le salon en attendant que Pierre arrive. En entrant on se croirait en Afrique, il y a des objets africains partout, les murs sont jaunes comme la savane avec des têtes d'animaux sur les murs. Les meubles sont en bois massif et sculptés à la main, le canapé est blanc crème avec des rayures noires comme un zèbre. Un jeune homme descend les escaliers en verre, et enlace Elliott. Ce jeune homme s'appelle Pierre. Pierre est très grand et très mince. Il a des yeux gris et un regard perçant, son visage est allongé et il a une cicatrice à l'¿il droit. - Ah ! mon vieil ami tu vas bien ? Elliott sourit en serrant son ami dans ses bras. - Pierre te voilà enfin ! On ne s'est pas vu de tout l'été, je suis content de te revoir ! Ils sortent de la maison en saluant le père. Pierre prend Elliott par le bras et après avoir vérifié que la rue est déserte, ils se mettent tout deux à courir à toute allure. Ils arrivent en quelques secondes devant une maison délabrée, vide et inhabitée au milieu des champs. C'est là qu'ils se rendent chaque fois qu'ils veulent être tranquilles.
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Les mots d'Amour Sont des pétales de roses Eparpillées au fond de la cour De mon coeur morose Ils me redonne l'espoir De reprendre avec goût L'envie d'Aimer et croire En ces mots si doux Je les prends, je les entoure De soie , au fond de mon coeur. Pourras t-on avec l'Amour Réaliser un parcours de bonheur
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Bercé parles nuages la tête voyageant ailleurs ballade dans le coeur l'esprit constament occupé assaillie par les pensées le regard perçant le néant les yeux fixant l'instant berçé par les nuages identité faisant naufrage portrait sans âge voguant a travers la vie mirage fantôme de page en page bercé par les nuages sourire distribué a l'occasion au début d'une apparition s'évanouissant au fil de l'histoire immense trou noir flash de couleurs voyage en douceur rôle de pantin devant la soeur d'un bon copain mauvais acteur immense douleur invisible de l'extérieur SIgné:guns
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je me lance ici, à Paris j'ai déjà fait lire les premières pages de mon livreà mes collègues. Elles ont aimé mais j'aimerais avoir vos avis. Bon ce n'est que le début du premier chapitre (j'en ai écri 13) mais n'hésitez pas à donner des avis sincères, si vous aimez pas dites le cash vraiment.
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bon ben ,pour ceux qui me connaissent pas ,moi c'est Coline,j'ai 14 ans. et j'écrit des textes (c'est con comme phrase ça) et un deuxiemme: J'ai dans le c¿ur un oiseau Qui s'envole haut dans le ciel Dans un monde ou tout est beau Depuis des millions de siècles J'ai dans la tête une idée Qui s'envole libre comme l'air Dans un monde que j'ai rêvé Qui est si loin de la terre J'ai dans les mains une fleur Qui s'envole avec le vent Comme la tristesse et la peur Qui s'en vont avec le temps
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Bon , je m'adresse au personne doué pour écrire des textes . Je voudrais une description de lieu sur la foret . Quelque chose de beau et de poétique . Je demande pas quelque chose de gros juste un petit quelque chose de 3 a 5 lignes :blush:
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Je vous propose ici d'écrire tous un acrostiche avec le mot POESIE ; j'aimerai que ce thème puisse vous inspirer! Puissante imagination, Ose abandonner tes mètres! Ecriture et Conviction, Sont ici tes seuls maîtres! Inspiration, dérélictions, Expiration et conclusion.
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