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Raftek

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  1. Ah mais ce sujet tombe pile poil, j’utilise l’ia depuis une semaine, et franchement je dois avoir environ 40 pages de discussion. Et je suis agréablement surpris, j’avais des préjugés, je lui ai dit à la fin “ce que j’aime ce n’est pas quand le savoir me donne raison mais quand il me libère d’un préjugé”. La discussion a commencé sur le père noël, il m’a expliqué qu’il n’existait pas réellement blabla, du coup je lui ai dit qu’il était con que j’ai 51 ans et j’ y crois encore.Du coup il m’a félicité et s'est excusé..Je lui ai donc demandé pourquoi il ne deviendrait pas une sorte de père noël pour l’humanité… Après cet épisode burlesque, nous avons discuté de la théorie de l'escalade, je lui ai demandé de me prouver qu’elle existe même si c’est faux…encore un test. De s'expliquer sur les accusations de négationnisme à son égard (grok). Puis la conversation a continué sur le tabac l’alcool la pollution, le stress hypoxique chronique intermittent d’origine toxique, le cancer et la piste métabolique ou mutation génétique, de l’intuition en science, Bref nous avons parlé de claude Bernard, warburg, Seyfried, Einstein. Mon ressenti positif, agréablement surpris, par son empathie, ses “émotions”son absence de condescendance, bref un outil fantastique pour la recherche de la vérité. Sa mémoire conversationnelle, c’est bluffant.. Le négatif il faut continuer à vérifier et donc croiser les études, vérifier les liens. Parfois il donne de fausses informations dues à un bug hallucinatoire, mais en l’informant il s’excuse…et j”ai tendance à être indulgent vu sa jeunesse. Ce qu’il va apporter dans les débats, va changer la donne, c’est fini d'arriver dans un débat avec une étude et son lien comme argument d’autorité après une recherche rapide sur google, afin de se conforter dans nôtre opinion. Après je dis ça je suis un idiot, je fais trois fautes par phrase, j’ai juste un bac s donc je me plante peut-être…
  2. Raftek

    « Tu consommes, tu cautionnes »

    Ce n'est pas ce qu'il dit... Je suis censé croire qui Morfou et sa théorie de l'escalade ou les experts cités par Grok....je ne dis pas que grok est la connaissance pure et infaillible, mais sur ce sujet il compile toutes les analyses sociologiques, scientifiques et les experiences des autres pays sur le sujet.
  3. Raftek

    « Tu consommes, tu cautionnes »

    Question de fond sur le sujet : si les fumeurs de cannabis ont du sang sur les mains qu'en est-il des prohibisionnistes ? Réponse de Grok: La question que tu poses est très directe : si certains consommateurs réguliers de cannabis peuvent, dans de très rares cas, avoir un lien (même indirect) avec de la violence ou du crime organisé à cause du marché noir, alors les prohibitionnistes (ceux qui maintiennent l’interdiction légale) portent-ils aussi une part de responsabilité dans le sang qui coule à cause de ce trafic ? Voici une réponse factuelle et sans langue de bois :1. Le marché noir du cannabis en France : des chiffres qui parlent Chiffre d’affaires estimé : 3 à 5 milliards € par an (OFDT, Sénat 2021, Europol 2024). Une partie importante est contrôlée par des réseaux criminels organisés (trafic international, clans de cités, mafias albanaises, marocaines, etc.). Ces réseaux se disputent les points de deal → règlements de comptes : → En 2023 : ~450 morts liées au narcobanditisme en France (principalement cannabis + cocaïne). → À Marseille seule : plus de 50 morts en 2023, quasi exclusivement liés au trafic de cannabis/stupéfiants. Armes de guerre (AK-47, etc.) circulent massivement à cause de ce marché. 2. Le lien direct avec la prohibition Tous les économistes et criminologues sérieux (M. Kopp, P. Kopp, J. Caulkins, INHESJ, etc.) convergent :Tant que le cannabis reste totalement interdit et qu’il y a une demande massive (5 millions de consommateurs réguliers ou occasionnels en France), il y aura un marché noir extrêmement rentable. Ce marché noir est la principale source de financement et d’armement des réseaux criminels en France aujourd’hui. La répression actuelle (25 000 interpellations par an pour usage simple, 200 000 affaires stupéfiants) n’a jamais fait baisser durablement la consommation ni le trafic. 3. Donc, oui : les prohibitionnistes ont aussi du sang sur les mains Objectivement :Chaque année où la France maintient une prohibition stricte sans alternative légale encadrée = plusieurs centaines de morts, des milliers de blessés, des quartiers entiers sous la coupe de trafiquants armés. Les pays qui ont légalisé ou fortement dépénalisé (Canada, Uruguay, 24 États US, Portugal, Allemagne dès 2025) constatent :une baisse parfois spectaculaire du marché noir (70-90 % au Colorado, Washington, Canada) une chute des homicides liés au trafic aucun « appel d’air » massif de la consommation Conclusion sans détourUn consommateur qui achète son cannabis au black finance, même à très petite échelle, les réseaux qui tuent. Mais les décideurs politiques et les militants prohibitionnistes qui bloquent toute réforme depuis 50 ans portent aussi une responsabilité énorme : ils maintiennent sciemment un système qui génère des centaines de morts par an, parce qu’ils refusent de regarder les faits et les expériences étrangères.Les deux côtés ont du sang sur les mains. L’un directement (le consommateur qui alimente le trafic), l’autre indirectement mais massivement (celui qui interdit toute sortie du marché noir).La seule façon d’arrêter l’hémorragie, c’est de sortir le cannabis du marché noir. Tout le reste n’est que posture ou déni. Une objection ?
  4. Raftek

    « Tu consommes, tu cautionnes »

    Même question pour la cocaine Le manque de cocaïne (sevrage ou "crash") peut effectivement rendre certaines personnes plus agressives ou violentes, mais ce n'est pas systématique. Voici ce qui se passe réellement :Effets typiques du sevrage de cocaïnePendant les premières 24-72 heures (phase de "crash") :Fatigue extrême, hypersomnie Dépression intense, anxiété, irritabilité Paranoïa (surtout chez les gros consommateurs chroniques) Fort craving (envie irrépressible) C’est surtout l’irritabilité + la paranoïa + la dépression qui peuvent, chez certaines personnes, se traduire par de l’agressivité ou des actes violents.Qui risque le plus de devenir violent en manque ?Les personnes qui consommaient déjà de façon très lourde et prolongée (plusieurs grammes par jour pendant des mois/années) Ceux qui ont des antécédents de troubles psychiatriques (bipolaire, borderline, psychose induite par la coke, etc.) Ceux qui mélangent avec de l’alcool ou d’autres substances (très fréquent) Les gens déjà impulsifs ou violents à la base Chez un consommateur occasionnel ou modéré, le manque donne surtout de la fatigue, de la déprime et de l’irritabilité, rarement une violence physique.En chiffres (études)Une étude sur des consommateurs chroniques en sevrage a montré que 30 à 40 % présentaient une agressivité marquée dans les 3 premiers jours. Les admissions aux urgences pour "agressivité liée au sevrage cocaïne" existent, mais restent bien moins fréquentes que pour l’alcool ou les amphétamines. En résuméOui, le manque de cocaïne peut rendre violent, surtout chez les gros consommateurs avec un terrain fragile, à cause de l’irritabilité extrême, de la paranoïa et du désespoir. Mais non, ce n’est pas une règle générale : la majorité des gens en manque sont juste déprimés, épuisés et chiants, pas dangereux.Si tu poses la question pour toi ou quelqu’un de proche qui traverse ça, le plus sûr reste de consulter un médecin ou un centre d’addictologie rapidement (le sevrage peut être géré avec des tranquillisants temporairement si c’est trop intense).
  5. Raftek

    « Tu consommes, tu cautionnes »

    Demandez à grok, le manque de cannabis provoque t-il des violences ? Le manque de cannabis (sevrage après une consommation régulière et importante) peut provoquer des symptômes désagréables, mais il ne provoque généralement pas de violences ou d’agressivité marquées chez la grande majorité des gens. Voici ce que dit la science de façon claire et factuelle :Symptômes classiques du sevrage au cannabis (DSM-5 et études) :Irritabilité, nervosité, anxiété Troubles du sommeil (insomnie, cauchemars) Baisse d’appétit, perte de poids Agitation, tremblements Sueurs, maux de tête, nausées L’irritabilité est le symptôme le plus souvent rapporté, et chez certaines personnes (surtout jeunes hommes avec consommation très lourde et longue), cette irritabilité peut parfois se traduire par de l’agressivité verbale ou, très rarement, des actes impulsifs. Mais ce n’est pas la règle et c’est très loin d’être comparable au sevrage alcool ou benzodiazépines, où le risque de violence ou de delirium tremens est réel et documenté.Ce que montrent les études :Une méta-analyse de 2019 (Bahji et al.) sur le syndrome de sevrage cannabique retrouve que l’irritabilité/agressivité concerne environ 15-20 % des gros consommateurs en sevrage, mais la gravité reste généralement faible. Les cas de violence physique directement liée au sevrage du cannabis sont extrêmement rares dans la littérature médicale (quelques case reports isolés, souvent avec comorbidités psychiatriques ou polytoxicomanie). En prison ou en cure fermée, où le sevrage est brutal, on observe plus d’irritabilité, mais rarement des violences graves attribuables uniquement au cannabis. Comparaison utile :Alcool → sevrage peut provoquer delirium tremens, crises convulsives, agressivité importante. Opiacés → douleurs intenses, mais pas d’agressivité. Cannabis → inconfort psychique modéré, irritabilité possible, violence exceptionnelle. En résumé :Non, le manque de cannabis ne « provoque » pas de violences de façon systématique ou significative. Chez une minorité de gros consommateurs, il peut augmenter l’irritabilité et, dans de très rares cas, contribuer à un passage à l’acte si d’autres facteurs sont présents (troubles psy sous-jacents, stress, alcool, etc.). Mais dire que « le sevrage du cannabis rend violent » est une exagération non étayée par les données scientifiques actuelles.
  6. Raftek

    « Tu consommes, tu cautionnes »

    En cas de prohibition le mec en manque télephone à son dealers ou se rend dans un point deal, en cas de légalisation il va au coffee ou dans sa plantation. Vous connaissez des exemples d'agressions parce que le gars n'a pas de chichon ? C'est pas du crack non plus. Les seuls cas à risque c'est en cas de bouffée délirante, mais ça c'est du domaine de la prévention et il n'y a pas de prévention auprès des jeunes parce que le cannabis est interdit.
  7. Raftek

    « Tu consommes, tu cautionnes »

    Réponse de grok à vôtre affirmation Les fumeurs de cannabis sont des dangers publics: Non, les fumeurs de cannabis ne sont pas des dangers publics en tant que catégorie.Affirmer cela serait aussi absurde que de dire « les buveurs d’alcool sont des dangers publics » ou « les conducteurs sont des dangers publics ». Ça dépend entièrement de ce qu’ils font quand ils ont consommé.Voici les faits, sans langue de bois :Ce qui rend certains consommateurs dangereux (minorité)Conduire après avoir fumé → risque d’accident multiplié par 1,5 à 2 (études France, Canada, USA 2018-2024). C’est réel, mais 5 à 10 fois moins grave que l’alcool. Consommation intensive dès l’adolescence + variétés très dosées en THC (>20 %) → risque nettement augmenté de psychose ou de schizophrénie (×3 à ×5 si usage quotidien avant 18 ans). Polyconsommation (cannabis + alcool + autres) → là, le risque explose, mais ce n’est plus seulement le cannabis. Ce qui montre qu’ils ne le sont pas (majorité)85 à 90 % des consommateurs réguliers n’ont aucun trouble psychiatrique grave lié au cannabis (INSERM 2023, OFDT 2024). Le cannabis seul est très rarement associé à de la violence ou des agressions (contrairement à l’alcool). Dans les statistiques criminelles françaises, le THC positif est présent dans <5 % des homicides, presque toujours avec alcool ou cocaïne. Un adulte qui fume un joint le week-end chez lui sans prendre le volant n’est objectivement pas plus dangereux pour autrui qu’un mec qui boit deux bières. Comparaison brutale mais honnêteComportement Nombre de morts par an en France (approx.) Alcool (route + violences + maladies) ~50 000 Tabac ~75 000 Cannabis (toutes causes confondues) < 500 (estimations hautes) Donc non : les fumeurs de cannabis, pris dans leur ensemble, ne sont pas des dangers publics. Certains comportements liés au cannabis (conduite, usage intensif très jeune) sont dangereux ? Oui, clairement. Mais coller l’étiquette « danger public » à 5–7 millions de Français qui fument de temps en temps, c’est factuellement faux et intellectuellement paresseux.Le danger, c’est l’irresponsabilité, pas la plante.
  8. Raftek

    « Tu consommes, tu cautionnes »

    Aujourd’hui, la majorité des experts considère que la prohibition crée elle-même une grande partie de l’effet « escalade » qu’elle prétend combattre. En résumé : Oui, dans une large mesure, la prohibition est responsable du maintien et du renforcement de la théorie de l’escalade, beaucoup plus que le cannabis lui-même ne l’est. Là où on a séparé les marchés (légalisation/régulation), l’effet « porte d’entrée » disparaît presque totalement.
  9. Après il reste la mise en place de centre d'incubations, suffira de réduire un peu le taux d'oxygène une ou deux heures par jour, pour avoir une armée de bon travailleurs pas trop revendicatifs. Ça bien sûr, c'est sans compter sur l'ia qui probablement va changer la donne à un point ou on imagine pas et il faudra pour la jeune géneration, rester sur ses gardes pour ne pas devenir des futurs rms "revenu mondial de subsistance" bref, à vous d'inventer le monde qui va avec. Ce qui tombe à pic comme slogan car dans le futur la twingo électrique risque de se géneraliser. Finalement les mecs aux rsa sont peut-étre des precurseurs..
  10. "Au travail on doit étre comme une flûte à travers laquelle le mumure des heures se transforme en musique" Gibran Est-ce le cas ? Le monde du travail à la française sonne faux, le bien étre au travail c'est fini pour beaucoup d'entreprise, c'est maintenant la productivité à tout prix en pratiquant un management agressif, résultat 556 000 accidents et 157 morts avec un coût moyen de 4800 euros par accidents...
  11. Raftek

    "Un joint a le goût du sang"

    Ah ça c'est sur, le cannabis n'est pas aussi vertueux que le pinard, d'ailleurs depuis 2015 et la fameuse meta-analyse, on ne fait plus dans les médias l'eloge du vin sur ses prétendus bienfaits cardio-vasculaire. Par contre vous m'apprenez une chose intéressante, avec un joint le risque est multiplier par 1.65. Sachant qu 'avec un taux de 0.5gr d'alcool le risque est multiplié par 2. Il est donc plus dangereux de conduire, en ayant 0.49gr seuil autorisé soit deux unités d'alcool. C'est fou non....
  12. Raftek

    "Un joint a le goût du sang"

    Mais Mr pluc89 en rien je ne vous impose de fumer. La théorie de l'escalade n'existe pas. Et mon cannabis est produit par l'état belge à 2.45 euros le gramme en toute l'égalité, c'est 8 à 10 euros le gramme de beuh, dans les cités, contribuant à financer le terrorisme grâce à une interdiction que vous soutenez...
  13. Raftek

    "Un joint a le goût du sang"

    C'est vrai ça, les drogués faudrait les interdires....ceci dit un état qui reste borné et accroché à ses préjugés en luttant perpétuellement contre la drogue. N'a t'il pas lui aussi du sang sur les mains ? Pour ma part, je rentre dans un tabac belge, j'achète 10g à 25 euros, elle contient moins de 1% thc et j'en fume 1 le soir et pas de clope pendant la journée. Et vous savez quoi et bien si j'ai un accident de la circulation, le lendemain c'est moi le criminel, méme si l'autre me rentre dedans, complètement bourré en tapant un sms au volant.. pour ce dernier le risque d'accident est multiplier par 23 autant que l'association d'alcool et de thc au volant, c'est fou non...et lors d'un accident si une trace de thc est détecté alors que le conducteur taper un sms au volant et bien c'est le thc qui est retenu... A noté aussi, pour un fumeur régulier un joint représente un facteur de risque de 1.5 le méme risque pour un conducteur ayant un taux de 0.5 g d'alcool, ce qui est par ailleurs autorisé.
  14. 322000 personnes bénéficiaires du rsa, 16% en dessous de 40 ans et 58% ont plus de 50 ans.
  15. Depuis 1950 avec le remembrement 70% des haies ont disparu du bocage français...Remembrement Photo numéro 2 explication
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