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georges2012

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  1. C'est une épreuve qu'Allah puissant et sage envoie TR.
  2. Je viens de terminer ce quiz. Mon score 20/100 Mon temps 106 secondes  
  3. Enrico Macias parce qu'il est juif qu'il aime Israël il ne peut aller en Algérie où il a été déclaré ennemi de la cause palestinienne
  4. qu'est ce que ça peut signifier sinon que tu ne l'as pas compris
  5. L'islam ne disparaitra mais les pays d'islam seront forcés à la laïcité
  6. Les musulmans radicaux tuent et la République les cajole à la satisfaction de leurs coreligionnaires « modérés » by Salem Ben Ammar Ils ont le droit de tuer et nous n'avons même pas le droit d'enterrer nos morts. Malheur à ceux des nôtres qui dénoncent leur barbarie Aussitôt accusés de provocation et d'incitation à la haine des musulmans Ils ne sont ni une race, ni un peuple, ni une ethnie et nous sommes condamnés pour racisme anti-musulmans Ils se veulent membres de l'Oumma, un clone du Reich nazi, une méga organisation mafieuse à vocation terroriste A eux tous les honneurs de la république et à nous l'infamie et l'ignominie Adulés et chéris comme s'ils étaient les Messies tant attendus Ils ne sont jamais coupables de rien, c'est toujours la faute à l'autre Quand ils sont pris la main dans le sac,vite disculpés et victimisés, Déclarés par nos tribunau chariatiques irresponsables de leurs actes Souffrant de démence pour innocenter l'idéologie mortifère qui les nourrit Il ne passe plus jour sans qu'ils ne répandent le sang des innocents Egorgeant et décapitant nos prêtres comme en Algérie naguère Nous sommes plus à l'abri nulle part Capables de faucher la vie à nos pociers dans leurs lits Etouffant la voix à tout jamais des combattants de la plume de la liberé Faisant irruption dans nos salles de spectacle plongeant tout le pays dans l'rreur S'en prenant au symbole de notre histoire en l'abreuvant du sang de nos enfants, Ills ne reculent plus devant rien, sentant que leur victoire est proche Crachant leur venin sur nos valeurs,terrorisant; profanant, violant nos femmes Le silence est de mise pour ne pas offenser leur seigneurie Tout leur est dû et nous leur devons rendre hommage à leurs exploits morbides Les journaleux-collabos se plaisent à faire l'apologie de leurs crimes Mis sur un piédestal comme s'ils étaient les nouveaux héros de notre temps Nos dirigeants politiques n'ont d'yeux que pour eux et ne jurent que par eux Voulant les faire grandir pour les conforter dans leur toute-puissance destructrice Ils sont une chance pour l'humanité car ils sont les seuls à abréger sa souffrance insoutenable depuis ce jour funeste du 11 septembre 2001.
  7. En islam, on a le droit d'épouser 4 femmes et le divorce est très facile, il suffit de dire "je divorce" trois fois.
  8. Commençons par rappeler les faits : Sylvain Gouguenheim, agrégé d’histoire, docteur ès-lettres, professeur d’histoire médiévale à l’École Normale Supérieure de Lyon (ex-Saint-Cloud), auteur de plusieurs ouvrages : sur Hildegarde de Bingen, sur les « terreurs de l’an Mil », sur les chevaliers teutoniques, publie en mars 2008 un livre dont le thème général est la transmission de l’héritage intellectuel de la Grèce à l’Europe médiévale[1]. La thèse est que l’essentiel de cette transmission s’est effectué directement, ce qui tend à réduire le rôle de la médiation arabe. Le livre a suscité un scandale inaccoutumé. Il a débordé le milieu assez restreint des gens compétents. La polémique a dérapé vers des procédés inhabituels entre universitaires, pour lesquels l’arme absolue ne va pas plus loin, à l’accoutumée, que l’éreintement dans une revue spécialisée[2]. En l’occurrence, des manifestes furent publiés dans la presse et l’on fit circuler des pétitions. J’aimerais ici, d’abord, présenter quelques observations sur les phénomènes qui me semblent avoir rendu possible une telle querelle. Puis, je traiterai sommairement la question du rôle de la culture arabe dans la formation de l’Europe intellectuelle. Pourquoi le scandale ? Université et médias Une intelligentsia cloisonnée La légende à la mode Un exemple : Sylvestre II La maison de la sagesse L’Andalousie Oublié ? Des nuances La religion de l’islam La civilisation de l’Islam Quoi ?
  9. Scientologie, Jehovah et Islam Publié le 12 mars 2008 - par Maurice Vidal - Pas de commentaires [/url]Partager Chère Chantal Crabère, il est faux de dire – même en allant au fond des choses – que l’église de Scientologie et les Témoins de Jéhovah ne sont pas plus dangereux que l’islam. C’est le contraire qui est vrai : faute d’obéir à Dieu, la scientologie n’obéit qu’à son inventeur, Ron Hubbard, piètre écrivain de science-fiction qui rêvait de créer une religion, car « c’est là où se trouve l’argent » ! Quant au Dieu des Témoins de Jéhovah, il est rigoureusement non-violent, puisqu’il fait sienne la parole de Jésus demandant à Pierre de remettre l’épée au fourreau à l’instant même où Pierre se portait, par la violence, au secours de son maître dont il voulait empêcher l’arrestation. L’islam, au contraire, obéit à Dieu, dont les ordres peuvent être violents. Or, ces ordres sont planétaires : les différents courants de l’islam viendraient-ils à se rejoindre sous la pression des événements internationaux que nous comprendrions mieux la signification de cette évidence. Et quand bien même l’islam ne serait pas porteur d’une telle menace, il n’en demeurerait pas moins ce qu’il est aujourd’hui pour les pays non musulmans, puisqu’il exige que ces derniers deviennent ce qu’il est. Un tel islam a beau se dire « politique » « progressiste », « moderniste », «libérateur », ou encore « de justice et de paix », il est fondamentaliste dès lors qu’il revendique des droits exclusivement « islamiques » ! Lorsque l’islam se dit politique, il demeure donc une religion politique, c’est-à-dire une politique religieuse, le terme « islam » signifiant « soumission inconditionnelle à Dieu ». Or, si la Charia contrôle la politique en la soumettant au code coranique, comment parler de politique ? Si elle régente les débats, comment parler de débats ? Savons-nous au moins ce que serait le gouvernement de la cité selon la Charia ? Les décapitations au sabre en Arabie Saoudite, les crucifixions au Soudan, les pendaisons en Egypte, en Jordanie, en Mauritanie…, les amputations publiques au Nigeria, au Yémen, en Irak…, les lapidations au Pakistan, en Iran, en Afghanistan…, les « crimes d’honneur » au Bangladesh, en Palestine, au Liban, en Turquie, en Ouganda, au Maroc…, sans parler des flagellations pratiquées couramment dans tous les pays où règne la Loi d’Allah ne nous sont-ils d’aucune leçon ? Qui peut dire que cette Loi est celle des Scientologues ou des Témoins de Jéhovah ? N’est-elle pas, en revanche, réclamée par tous les islamistes de la planète ? Le Britannique Anjem Choudary, chef du groupe radical Al-Mouhajiroune, plaisante-t-il lorsqu’il prône la création d’Etats musulmans partout dans le monde, et surtout en Europe ? La tentation fondamentaliste qui gagne peu à peu les musulmans de France ne nous fait-elle point vivre « au risque de l’islam », comme le montrent Jeanne-Hélène Kaltenbach et Michèle Tribalat dans leur ouvrage La République et l’Islam, publié en 2002 ? Comment donc ne pas dénoncer l’attitude qui consiste à mettre sur le même plan toutes les religions ? De même que toutes les politiques ne sont pas égales, de même toutes les religions ne se valent pas. La preuve en est que les islamistes sont les premiers à refuser l’idée selon laquelle leur religion serait une religion « comme une autre ». Leur religion est « la » religion, car il n’y a qu’un seul Dieu et qu’une seule Vérité. Il semble que nous n’ayons toujours pas compris cela, pas plus que nous avons compris qu’il ne suffit pas de dénoncer l’islam dans ses valeurs rétrogrades pour être raciste. De vous à moi : depuis quand une religion serait-elle une race ? Maurice Vidal
  10. Les Arabes musulmans ont apporté la Civilisation à l'Occident barbare http://lesobservateurs.ch/2015/11/28/lapport-de-la-civilisation-arabo-musulmane-a-loccident-cest-de-lhumour/ L’apport de la civilisation arabo-musulmane à l’Occident ? C’est de l’humour ? L’apport de la civilisation arabo-musulmane à l’Occident se résume à peu de choses. Le mythe de l’âge d’or scientifique de l’islam bat de l’aile, tout comme celui de l’âge d’or Andalou. L’extrait ci-dessous, rédigé par un intellectuel palestinien, à priori objectif, vient confirmer. « la civilisation arabe s’est éteinte avec la chute de Bagdad en 1258 » « Non, l’Occident ne doit rien aux Arabes », tel était le titre d’une page du Courrier international du 29 juillet 2004 qui traduisait un texte de l’intellectuel palestinien Saqr Abou Fakhr tiré d’«Ad Safir» à Beyrouth. On y apprend que « la civilisation arabe s’est éteinte avec la chute de Bagdad en 1258 », à la suite de laquelle les arabes cessèrent de créer et d’innover, excepté dans certains domaines limités et disparates. « Or, la civilisation occidentale a été portée par trois innovations : l’imprimerie, la boussole et la poudre donnant la suprématie militaire ». Et ces innovations sont venues de Chine, dit l’auteur. Le génie de l’Europe a toujours été d’intégrer et de développer des apports extérieurs. La pensée occidentale est ouverte sur l’innovation, contrairement à la pensée arabo-musulmane (autre constat de l’auteur précité). Dès lors, qu’ont apporté à la civilisation occidentale les Avicenne (980-1037), Averroès (1126-1198) et Ibn Khaldun (1332-1406) ? Eh bien l’Europe n’a pas eu besoin de ces penseurs arabes pour avancer sur la voie du progrès, conclut Saqr Abou Fakhr. Il explique : « Sinon, on serait en droit de se demander pourquoi les principes énoncés par Averroès auraient été un facteur décisif de la Renaissance en Europe alors qu’ils n’ont eu, à la même époque, aucune influence sur la civilisation arabe ». Et il donne cette explication: « En fait, Averroès, Ibn Khaldun et Avicenne se trouvaient en quelque sorte en dehors du courant dominant d’une culture arabe qui les a d’ailleurs refusés et rejetés. Une culture qui, déjà à l’époque, sombrait tout comme aujourd’hui, sous le poids des fatwas, des oulémas, des théologiens et récitants du Coran, du même acabit qu’Al Ghazali, Ibn Taymiya, Al Chafei et Al Achaari » Pourtant, les arabo-musulmans et certaines élites intellectuelles et politiques occidentales, continuent à affirmer que sans les Arabes, l’Europe n’aurait jamais pu sortir de l’obscurantisme du Moyen Age, les premiers par esprit de revanche sur l’Occident, les seconds dans le but de faire accepter l’islamisation de nos pays. Essayer de nous faire croire que c’est grâce à l’apport des arabo-musulmans que l’Occident a pu se développer et progresser relève de la pure fantaisie, inspirée par la méconnaissance de l’histoire de l’islam et de l’Occident. L’islam a-t-il été créatif ou innovateur ? Difficile à prouver, mais guerrier et envahisseur, certes oui. Les armées arabo-musulmanes se sont distinguées par leur soif de conquête et l’invasion de nombreux pays, dans le seul but d’y apporter l’islam par la force du sabre. Lors de leurs invasions barbares, les arabo-musulmans ont soumis les habitants et se sont appropriés leurs inventions et découvertes, puis les ont « arabisées » par le truchement du vocable. Les musulmans ont importé les chiffres dits arabes — qui remplacent les chiffres romains — la numération positionnelle et le zéro ? Ce sont des inventions d’origine indienne. L’inventeur du zéro de position s’appelle Brahmagupta, grand astronome et mathématicien indien. Et c’est un mathématicien perse qui inventa l’algèbre. L’imprimerie, la boussole et la poudre à canon furent inventées par les chinois. De nombreux savants du mythique « âge d’or arabe » n’étaient pas tous des arabes d’ailleurs, mais furent arabisés et assimilés, comme le savant Perse Avicenne, des savants Ouzbeks, et des savants Berbères d’Andalousie. Un autre mythe de l’âge d’or de la civilisation arabo-musulmane qui a la vie dure et resurgit de plus belle, comme une légende, est celui de la transmission du savoir grec à l’Occident, à l’origine du siècle des Lumières, par les arabo-musulmans. Si la civilisation arabo-musulmane a pu, effectivement, briller pendant deux siècles, elle le doit, en quelque sorte, aux érudits arabes qui firent traduire tous les textes qui présentaient un intérêt scientifique quelconque. Les textes grecs furent traduits par des Chrétiens d’Orient, à partir du syriaque ou directement du grec, et non par des Arabes. Toutefois, Il y avait aussi une filière parallèle, constituée par des moines copistes, qui traduisaient directement du grec en latin. Le rôle des Arabes dans la transmission du savoir grec à l’Occident est un mythe Al-Fârâbî, Avicenne et Averroès ne lisaient pas un mot des textes originaux, mais seulement les traductions en arabe faites par les Araméens chrétiens. Cette transmission du savoir et de la science des Grecs à l’Occident se fit surtout grâce aux Chrétiens d’Orient et aux moines d’Occident, une vérité que certains de nos islamophiles essayent de gommer en réécrivant l’histoire du Moyen Age. Décidément, la réécriture de notre histoire devient le passe temps favori de nos dhimmis intellectuels, au service de l’islamisation de l’Occident. L’Occident d’ailleurs ne rompit jamais ses liens avec les enseignements des anciens grecs, grâce aux traductions des Chrétiens d’Orient et des Moines d’Occident, et les Arabes ne jouèrent aucun rôle dans le développement de l’Occident, qui progressa au fil de siècles, et l’amena à la position dominante actuelle. Ces érudits, dévoués corps et âme à la cause de l’islam, semblent oublier que la civilisation européenne résulte d’un métissage entre la pensée hellénistique et judéo-chrétienne, et cette civilisation a des racines qui remontent au Ve siècle avant Jésus-Christ. Elle existait bien à avant l’invention de l’islam ! Par contre, la civilisation arabo-musulmane ne dura que deux siècles, et depuis le 13ème siècle, elle n’a guère progressé. Nos intellectuels et politiques islamophiles se plaisent à nous rabattre les oreilles avec une contrevérité flagrante, affirmant que les racines de l’Europe sont autant chrétiennes que musulmanes, dans le but de diluer notre civilisation judéo-chrétienne, voire la faire disparaître dans les abysses de l’islam. A ce sujet, dans son livre « Aristote au Mont Saint Michel »* Sylvain Gougenheim réfute cette thèse mensongère. Son livre lui a d’ailleurs valu de nombreuses critiques, car il a eu l’audace de prouver que la transmission du savoir grec en Occident ne devait rien à l’islam, ce qui est à contre courant de la « bienpensance » actuelle, qui veut à tout prix voir dans l’islam toute la beauté du monde, l’islam des lumières, l’islam qui illumina le Moyen Age, plongé dans un affreux obscurantisme. C’est à l’Orient Chrétien que l’Occident est redevable et non au monde musulman. « Les images biaisées d’une chrétienté à la traîne d’un ‘Islam des Lumières’ relèvent plus du parti pris idéologique que de l’analyse scientifique », écrit Gougenheim. Finalement, le seul mérite des arabo-musulmans de l’âge d’or de l’islam fut de faire traduire par les Chrétiens Syriaques les textes grecs, qui leur apportèrent toutes les connaissances qui leur faisaient défaut, et ce dans tous les domaines, car ils étaient, avant tout, des guerriers et des marchands. Ils ne profitèrent de ces connaissances que pendant deux siècles, puis la culture musulmane sombra à nouveau dans l’obscurantisme sous l’influence des fatwas, des oulémas, des théologiens du coran, du salafisme, au nom du retour aux valeurs des ancêtres, pour qui le rationalisme équivalait à l’athéisme, punissable de la peine de mort. Enfin, le dernier mythe de l’âge d’or arabo-musulman, celui de la grande tolérance de l’islam, imaginé par les islamophiles, pour nous faire accepter l’islam, s’effrite également. Cet article vous a intéressé ? Inscrivez-vous à notre newsletter pour recevoir les nouveaux articles de Dreuz, une fois par jour en fin d’après-midi. Pour accepter l’islam, l’Europe a forgé le mythe de l’Andalousie tolérante Merci à Anne Marie Delcambre et à Bat Ye’Or pour leur lucidité et leur contribution à la vérité : « Pour accepter l’islam, l’Europe a forgé le mythe de l’Andalousie tolérante qui aurait constitué un âge d’or pour les trois religions. Tout ce qui concerne les combats, le statut humiliant du non musulman, ou dhimmi, a été soigneusement gommé. Il s’agit d’une véritable falsification de l’histoire réelle » Anne Marie Delcambre. « Les dhimmis connaissaient de terribles contraintes, ils étaient assassinés pour des peccadilles et leur témoignage ne comptait pas. L’interdiction de porter des armes les rendait très vulnérables. Il leur était interdit de construire ou de réparer leurs lieux de culte. Leurs vêtements discriminatoires, obligatoires, les exposaient à la vindicte et aux insultes dans la rue. C’est d’ailleurs là l’origine de la rouelle imposée aux juifs en 1215 par le Concile de Latran. Dans la rue, les dhimmis devaient marcher rapidement, les yeux baissés, passer à gauche des musulmans, c’est à dire du côté impur, et enterrer leurs morts en courant. Leur culte devait être silencieux et les processions étaient interdites. Ils vivaient dans des ghettos dont on fermait les portes le soir. Le mariage d’un dhimmi avec une femme musulmane et le blasphème contre l’islam étaient évidemment punis de mort (…). Souvent accusés de collaborer avec les chrétiens de l’extérieur, les dhimmis chrétiens tentaient de détourner la colère islamique contre les juifs (…). Cette histoire, qui a affecté une si large proportion de l’humanité, n’est même pas étudiée dans les universités. Elle est ignorée, alors qu’elle exige d’être examinée dans sa globalité et sa complexité. C’est une histoire de violence, d’esclavage, de souffrance, de viols, de déportations, d’humiliation. Cette histoire a été occultée à l’époque de la colonisation, puis plus tard quand l’Europe a fondé ses relations avec le monde arabo-musulman, sur le partenariat ». Bat Ye’or Cette « tolérance » islamique de l’âge d’or andalou sévit encore de nos jours en terre d’islam, et risque de se répandre en Occident, si nos gouvernements persistent dans leur politique d’islamisation. Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
  11. il y a des mahométans de souche nord-africaine ou turc qui votent front national, il ne faut pas l'oublier.
  12. georges2012

    Hadiths

    Hadith Du 12/10/2015 : Le musc Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. D'après Abou Sa'id Al Khoudri (qu'Allah l'agrée), le Prophète (que la prière d'Allah et Son salut soient sur lui) a dit : « Le musc fait partie de vos meilleurs parfums ». (Rapporté par Nasai et authentifié par Cheikh Albani dans Sahih Al Jami n°5914) عن أبي سعيد الخدري رضي الله عنه قال النبي صلى الله عليه و سلم : من خير طيبكم المسك (رواه النسائي و صححه الشيخ الألباني في صحيح الجامع رقم ٥٩١٤) ============================================================================= D'après Zayd Ibn Thabit (qu'Allah l'agrée), le Prophète (que la prière d'Allah et Son salut soient sur lui) a dit : « Ô Touba pour le Cham (*), Ô Touba pour le Cham, Ô Touba pour le Cham ! Ils ont dit : Ô Messager d'Allah ! Pourquoi cela ? Le Prophète (que la prière d'Allah et Son salut soient sur lui) a dit : « Voici les anges du Miséricordieux qui étendent leurs ailes sur le Cham ». (Rapporté par Tirmidhi dans ses Sounan n°3954 qui l'a authentifié et il a également été authentifié par Cheikh Albani dans sa correction de Sounan Tirmidhi) (*) Le mot Touba utilisé ici est un mot qui signifie le bien abondant. Le cham est une région qui comprend aujourd'hui la Palestine, la Syrie, la Jordanie... عن زيد بن ثابت رضي الله عنه قال رسول الله صلى الله عليه وسلم : يا طوبَى للشَّامِ يا طوبَى للشَّامِ يا طوبَى للشَّامِ قالوا : يا رسولَ ! وبم ذلك ؟ قال رسول الله صلى الله عليه وسلم : تلك ملائكةُ الرحمن باسطوا أجنحتِها على الشَّامِ (رواه الترمذي في سننه رقم ٣٩٥٤ و حسنه و صححه الشيخ الألباني في تحقيق سنن الترمذي
  13. Ils ne veulent pas vivre dans des théocraties islamiques où tout est jugé selon la charia haram/halal
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