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Tout ce qui a été posté par Titsta
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Elle ne travaillaient pas dans les entreprises. Le travail qu'elle faisait à la maison n'intéressait pas l'état qui manquait de main d'œuvre. Le travail gratuit qu'elle fournissait n'a jamais enrichi l'état. Il ne servait que la famille. ll te faut une source pour te prouver que l'activisme féministe à essentiellement consister à "faire prendre conscience aux femmes que c'étaient des esclaves qui s'ignoraient" ? À la "solde" des hommes, alors qu'elles ne s'en rendaient pas même compte.... Tu connais vraiment le sujet ? Si elles ne s'en rendait pas compte, c'est précisément parce que ça n'était pas le cas. Que leur "travail à la maison" était très reconnu et s'en sentait la plupart du temps très heureuse. Le travail du féminisme a été précisément de "descendre" en flèche l'estime qu'on pouvait tirer de ce travail pour qu'elles n'en soit plus heureuse. (quelle amélioration pour la femme). De "faire prendre conscience" que c'était de l'esclavagisme (alors que dans les faits ça n'en était pas plus que le travail à l'usine de l'homme... qu'on ne déclarait pourtant pas l'esclave de la femme...) Je n'ai pas dis qu'elle s'épanouissaient plus que maintenant, (quoi qu'à mon avis, si) j'ai dis que ces tâches qui semble (grâce au féminisme) si disgracieuses étaient reconnue et donc épanouissante à l'époque. La "reconnaissance" dont chaque être humain a besoin pour s'épanouir, et en particulier la raison de l'épanouissement professionnel était parfaitement assurée autrefois par le rôle que remplissait les femmes dans la tenue de leur foyer. C'est le féminisme qui a mis fin à ça. D'accord, tu ne connais rien au style de vie et à la culture de cette époque... Les femmes n'étaient pas plus misérable que maintenant. J'ai envie de dire maintenant elles sont souvent plus misérable. (le cas des femmes seule élevant un enfant, par exemple...) La reconnaissance sociale elle l'acquérait précisément avec les relations qu'elles arrivaient à tisser. Elles étaient celles qui s'occupait du "réseau social" de la famille. C'est elles qui étaient chargé de fréquenter le notaire, le fils du médecin... de gérer l'emplois du temps de la famille pour aller les dimanches diner chez le fils de l'avocat, pour tisser des relations avec la femme du patron de son mari, et tenter diplomatiquement d'atténuer des tension, ou d'obtenir des promotions... etc. Dans le monde du travail, on a toujours sût que les relations, c'était vital. Et ça, c'était le rôle des femmes. Un homme célibataire ne progressait pas socialement à l'époque. Les invitations des uns et des autres se faisaient par leur femmes. Ne pas en avoir, c'était être isolé socialement. C'était leur travail. L'évolution sociale se faisait à deux à l'époque. Et tous deux le savaient très bien. Faut arrêter de prendre les gens de l'époque pour des imbéciles. C'est pour cette raison que la famille, le foyer était une valeur beaucoup plus profonde et forte à cette époque. C'est aujourd'hui qu'on la fait chacun dans notre coin. et que les foyer explose facilement... Puisqu'on est déjà totalement indépendant les uns des autres. L'indépendance de la femme vis à vis de l'homme (et donc de l'homme vis à vis de la femme) conduit les femmes à se retrouver seule avec leur gosse quand il y a séparation. Quelle avancée sociale considérable ! La dépendance de l'un envers l'autre faisait qu'ils œuvraient ensemble à leur mieux être. C'est à dire agissaient en couple. Aujourd'hui, on n'agit plus en couple que pour baiser (et encore...) Bien endoctriné à ce que je vois... Je te rappel que les hommes de l'époque partaient au travail avec leur épouse qui leur souhaitait un bon travail, leur préparait le repas qu'ils mangerait à midi, préparait la maison pour leur retour du boulot. Organisait leur week-end en préparant les rencontres avec les amis... C'était le travail d'une bonne femme au foyer. Selon toi, les hommes y ont gagné... tu crois ? Avec une femme qui rentre crevé du boulot, comme eux. (c'est dur de soutenir quelqu'un de crevé quand on est sois même crevé) Une maison qui n'est qu'à peine tenue comme elle pouvait l'être à l'époque, avec quelqu'un qui s'en occupait à temps plein. Tu te trompe, de bénéficiaire, ni les hommes ni les femmes n'y ont gagné. La seule chose qu'on a gagné, c'est l'apport intellectuel assez vague que les rôles sont les mêmes pour les femmes et les hommes aujourd'hui... (j'ai envie de dire et alors ? On a besoin de faire la même chose pour être heureux ? ) Le niveau de vie à plutôt considérablement baissé. Ceux qui y ont gagné clairement, par contre, ce sont les entreprises et l'état. Deux fois plus de monde au travail signifie qu'on peux diviser par deux les salaires, le travailleur devient moins précieux quand il y a plus de main d'œuvre. Et l'état y gagne deux fois plus en argent et impôts. Pour eux, c'est clair, ça a été TOUT bénef !! Tu te laisse bien illusionné. Briser les sources de reconnaissance qu'elles pouvaient avoir à l'époque, les rendre misérables en étant femme au foyer, rendre cet état honteux alors qu'il était une source d'épanouissement, pour les pousser à offrir leur main d'œuvre aux entreprises à été planifiée. Et ça a très bien marché.
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Votre religion vous rend elle meilleurs ?
Titsta a répondu à un(e) sujet de poussiere666 dans Religion et Culte
J'ai tendance à un peu trop m'en éloigner en ce moment. Il faudrait que je la laisse un peu plus m'éclairer. Je ne pense pas qu'elle me rende plus tolérant, mais elle m'aide à comprendre le point de vu des autres et à m'en faire accepter plus facilement aussi. (Ce qui est rare pour une religion, en général, je l'admet ^^ ) Ma religion n'est pas pleine de bon sentiment contrairement à beaucoup d'autres. Je n'aime pas trop la tolérance. Aux idées je veux dire. Si on n'aime pas une idée, pour moi, il faut le dire, et au contraire la combattre de tout son cœur. Chacun à le droit de revendiquer la volonté de vivre dans le monde qu'il veux, et le devoir d'accepter que ça ne soit pas le cas. ça a un rapport avec le respect de la Parole, la nôtre. Non pas la voix, ou les contrats données (quelle vision commerciale de la parole...) mais comme si notre Vie était un message en ce monde (pas le monde humain seulement, le monde dans son ensemble). Respecter ce message, ça me semble vraiment important, plus que notre propre et simple bonheur par exemple. L'intolérance, ça aide à faire comprendre à l'autre que s'il veux qu'on vive ensemble, il doit s'expliquer car là, il y a un truc qui ne passe pas. La tolérance, c'est vivre avec des œillères, laisser les gens dans leur coin sans chercher à les comprendre... Jusqu'à ce qu'il y ai tellement de différences et d'incompréhensions accumulées que ça craque forcément, et très fort. L'intolérance, quand elle pousse à l'échange de point de vu, et à l'enrichissement réciproque par le débat, est extrêmement saine, même si elle peut paraître violente. C'est une attention à ce genre d'équilibre sur lequel pointe ma religion : voir ce qui est malsain dans les bon sentiments, et ce qui est sain dans les mauvais. Son "but" (si tant est qu'elle en ai un) n'est pas le bonheur. C'est de tisser des liens entre les mondes. Je ne sais pas si mesurer les choses à l'aune du bonheur soit forcément une bonne idée. ( Lire le meilleur des mondes à ce sujet ! ) J'ai du mal à concevoir un monde sans croyance... pour savoir si elle l'améliore il faudrait pouvoir comparer avec un monde "sans"... ça n'a pas de sens à mes yeux. Elles n' "améliorent" pas le monde, elles en font partit. Et ne peuvent pas ne pas faire partit du monde humain... à moins de faire disparaître tous les humains. Les croyances sont là depuis l'aube de l'humanité, et continueront toujours. Qu'on croie plus détenteur de la Vérité la voie de Dieu, de Bouddha, de la Science et de la logique rationnelle... (la croyance majoritaire de notre aire). On ne peux pas ne pas croire, tout simplement ! Je retournerai plutôt la question. Le monde que nous nous construisons en ce moment accepte-t'il de plus en plus la réalité inaliénable de la croyance humaine ? Je ne crois pas. Il se construit de plus en plus en ignorant cette réalité, et je pense ainsi que le monde que nous somme entrain de construire s'éloigne de plus en plus de la réalité humaine. Je ne pense pas que ça soit une amélioration. Les croyances extrêmes que nous nous prenons dans la figure en ce moment ne sont que le retour de bâton de la réalité, la fissure dans le monde "imaginaire" bien propre qu'on s'était créé jusqu'alors, complètement idiot et aveuglé dans notre propre croyance hégémonique de la science. Elle n'en changent pas le cours. Elles sont notre Histoire. Le "positivement" n'est qu'une question de point de vu. Ce que tu trouve bien aujourd'hui sera peut être jugé mal demain et inversement. Comment imaginer le sens d'un "positif" dans ces conditions ? Il n'y a pas de positif ou de négatif. Les choses changent, c'est tout, et la nature de ces évolutions est intéressante. -
Mmmm Savoir que l'intelligence n'est pas la seule chose importante et précieuse sur terre, tout en l'estimant beaucoup. Savoir voir avant de penser, et penser après, pour ne pas que notre vue soit influencé par notre volonté. Savoir voir ainsi intelligence et connerie, chez les autres comme chez nous même, telle qu'elle est, sans s'en aveugler, et sans s'en sentir plus doté que les autres (ni de l'un ni de l'autre) Et aimer tout le monde quand même.
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Chez l'animal le mal est absent. Pourquoi est-il présent chez l'homme, qui en est aussi un ?
Titsta a répondu à un sujet dans Philosophie
Pourquoi le mal est absent chez l'animal et présent chez les êtres humains ? Facile : la mouche qui pond ses œufs dans un être vivant, pour que les futures larves puisse s'en nourrir jusqu'à leur âge adulte sans le tuer, ne se posent pas la question de la souffrance de l'ôte. Ni les larve d'ailleurs. Elles ont envie de pondre, elles le font. Elles ont envie de bouffer, elles le font. Et elles se font pas chier avec des questions "est-ce bien ?" "est-ce mal ?" Du coup, c'est pas malsain. Le mal des hommes ? Y penser, tout simplement. Passer leur temps à vouloir "bien" agir, et se prendre la tête, plutôt que de faire ce qu'ils veulent quand ils veulent. C'est ça, la cause du mal de l'être humain ! Penser à ce qu'on doit faire, plutôt que de faire ce qu'on veux direct c'est malsain ^^ (c'est plus efficace, toutefois) On appelle ça la civilisation aussi. -
L'important n'est pas le passé, les discussions intéressantes sont les présentes ;-) Le féminisme a surtout été une instrumentalisation des femmes, dans une période où on manquait de main-d'œuvre et où il fallait que les femmes quittent leur maison pour aller se ruiner la santé pour travailler "comme les hommes". Résultat, aujourd'hui une femme "active" est une femme asexuée, vivant comme les hommes, n'ayant pas d'enfant ou ne s'en occupant vraiment pas de façon trop visible pour l'entreprise. La société aurait pu se transformer pour féminiser le travail en entreprise, et non pour masculiniser les femmes. Il est intéressant à ce titre de voir qu'au nom du féminisme, le travail des femmes a été assimilé à de l'esclavage et celui des hommes à été glorifié. Donc de fait, à projeter les femmes esclaves et les hommes glorieux. La cause des femmes n'auraient elle pas été mieux défendue en valorisant leur travail et en incitant les hommes à le faire, plutôt qu'en les faisant se considérer comme des esclaves à leur propres yeux et aux yeux des hommes ? Est-ce vraiment leur épanouissement qui était recherché ? Les femmes de l'époque s'épanouissaient très bien dans les tâches glorieuse pour l'époque. Elles s'occupaient du lieu de vie, du foyer. Leur rôle était de le rendre le plus agréable possible pour tous. Pour recevoir les amis, s'y épanouir. Ainsi que l'éducation des enfants, de l'avenir de la Famille. C'est à dire les choses les plus importantes en réalité. Or il fallait les mettre au travail. L'état a donc visé à saper la cause première de leur épanouissement en "déglorifiant" leur travail, pour qu'elles se transvasent sur le travail qu'elles devaient faire. Ceci a été parfaitement planifié. J'ai suivis la formation d'un psy dont le prof avait participé à l'élaboration de cet "ouvrage". Il est intéressant aussi de remarquer que, maintenant qu'on a dû chômage partout, et qu'on aimerait avoir moins de gens en réclamer, on se met à valoriser les hommes qui effectuent les "corvées" de la maison, s'occupent des enfants etc... Et non pas "le travail des femmes", et les femmes qui le font ne sont en rien estimé. Encore une foi, c'est tout bénef pour les hommes. ;-)
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La qestion est complètement absurde ( dixit zarathoustra ) Et ce sur plusieurs points. Premièrement "tout le monde à la même valeur" implique qu'il n'y en ai qu'une. Ce qui est déjà faux à la base. On a la valeur monétaire, la valeur des compétences, pourquoi pas la valeur artistique, voir "morale" C'est la première absurdité. Deuxièmement. Même pour une seule valeur clairement définie, la notion même de "valeur" n'a de sens que s'il y en a plusieurs possibles. Pensez y un peu. C'est la deuxième absurdité. Il y a de l'hypocrisie derrière ceux qui disent penser que tout le monde à la même valeur. S'ils le pensaient vraiment, ils ne concevrait tout simplement pas ce que veux dire la "valeur" d'une personne. Troisièmement. La notion de valeur est par définition subjective. Donc relative. Mes enfants n'ont pas la même valeur pour moi ou pour mon voisin. Une des base en économie est de ne jamais confondre la valeur et le prix. Le prix lui même étant posé de façon complètement arbitraire à un instant donné par le propriétaire, qui peux même, s'il veux, poser différents prix pour telle ou telle personnes sur le même objet. C'est même précisément parce qu'il y a une différence entre le prix et la valeur qu'on achette quelque chose, ou qu'on le vend. (ce qu'on achette a plus de valeur à nos yeux que son prix, sinon on ne dépense pas ses sous. Idem l'objet à moins de valeur que son prix pour celui qui le vend, sinon il ne l'échangerait pas contre vos billets.) Le plus ou moins, c'est pas justement une valeur différente ? Certain plus, d'autres moins ^^ Que ça vous rassure est une chose que je comprend bien. Mais il s'agit donc par définition d'une conception du monde sans aucune nuance. Le corrollaire de cette vision, qu'il faudrait assumer, du coup, c'est que tout le monde à les mêmes compétences pour tout, que tout le monde est interchangeable, et en fin de compte, que personne n'a de valeur. Je ne trouve pas cette vison si rassurante que ça. Qui plus est, c'est nier même la notion de compétence, ce qui me semble complètement irréaliste, et même in-croyable. Si c'est faire disparaître cette notion de supériorité ou d'infériorité votre objectif, je pense bien plus interressant d'y parvenir en considérant que cette notion matématique n'a de sens que pour une seule échelle de valeur, une seule dimension. Le fait même qu'il y ai plusieurs dimension rend la notion de supériorité absurde en math. Je le répète : la supériorité n'existe que dans une seule dimension !!! Et le monde dans lequel on vit en à une infinité (de valeurs différentes) C'est même pour ça que les gens bossent ensembles. Untel est bon pour faire de la musique, un autre pour la vendre. Pour dire que l'un est supérieur à l'autre, il faut obligatoirement dire sur quelle échelle de valeur on se place. Cette absurdité de la supériorité est encore plus évidente si l'échelle en question varie en fonction de celui qui la regarde. ou de la situation (parfois être diplomate est bien, d'autre fois imposer ses choix est mieux) Et s'il faut en rajouter, elle est encore plus absurde si on parle de valeur non chiffrable (le bleu est t'il supérieur au rouge sur l'échelle des couleurs uniquement ? ) Or l'immense majorité des propriétés et qualités de ce monde ne le sont pas !!
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C'est bien résumé ^^ Ce qui existe, c'est ce qui a une influence sur le monde dit "réel". Le père noel existe donc, puisque comme influence sur le monde réel, on fait rarement plus "lourd". Il fait même rapporter beaucoup d'argent à certains. Quelque chose qui te rapporte de l'argent, ça existe. À fortiori, Dieu... Vala ^^ démonstration finie ^^ L'erreur serait de croire que Dieu est matériel. (donc avec une masse) Je crois que tout le monde est d'accord, Dieu n'est pas matériel. Il n'a pas de masse. Il existe ! et comme il n'est pas matériel, il n'existe que par l'influence qu'il a sur le monde ! Ce débat idiot s'enrichirai considérablement si on partait de cette résolution qui me semble logique et rationnelle, clairement définie, et si on commençait à réfléchir et débattre non plus sur son existance, mais sur quelle est cette influence ? Quelle force elle possède ! Cette force est-elle consciente ? Possède t'elle une volonté 'propre‘ (on dit bien que la planète ou la Vie, ou les société humaine voir de machine pourraient avoir une volonté "propre" en tant qu'entité entière, une façon de penser et une intelligence non-humaine) Là on élèverai considérablement le débat !! Enfin, je dis ça, je n'y crois pas... mais c'est une histoire entre lui et moi ^^ Et ça m'empèche pas de lui parler parfois. Voir de me comparer à lui, ou de m'en sentir proche. (j'ai écris une fois : "Le monde, c'est un tel bordel que quand je regarde ma chambre... je me sens plus proche de Dieu..." )
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le problème des gens qu'on pousse au suicide n'est pas que certaines rares personnes prennent la liberté de les pousser au suicide. C'est surtout que la très très grande majorité des gens prennent la liberté de se foutre royalement de ce qui arrive à son voisin, ou son entourage. Les gens se suicident avant tout par abandons par le reste de la population. Il est facile, après coup, d'accuser les personnes elles même d'avoir mal tourné, ou ceux qui les ont accompagné dans ce virage. ça permet de se déculpabiliser ^^ Les sectes qui en profitent ne peuvent en profiter que parce qu'il s'agit d'une lacune considérable de nos fonctionnement. On vit en ignorant les autres. (il n'y a qu'à regarder dans le bus ou dans le métro pour en prendre pleine mesure.) C'est plutôt ça qu'il faudrait corriger. C'est pas une question de liberté à restreindre. ^^ Si les gens vivaient moins cloitré chacun dans sa bulle, les sectes feraient considérablement moins de dégât Sinon, à la question j'ai voté non. Parce que bien que contre toute tentative d'endoctrinement, toute communauté que j'essayerai de créer basé sur l'épanouissement personnel, la liberté de croyance etc... serait considéré comme secte par le gouvernement. Et même secte dangereuse, parce que je compte bien posséder des moyens financier pour permettre à cette communauté de s'épanouir de façon stable. Toute organisation qui possède une capacité de changer la société est considéré comme une secte dangereuse par les autorité en place. J'ai lu assez attentivement les rapports parlementaire sur les sectes pour prendre conscience que tout organisation "bonne" pour le développement humain s'y retrouverai assez vite catalogué, et mise dans le même sac que de vrais mouvements dangereux.
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Quelqu'un a remarqué que c'était une question posée en 2009 ? Rappelez moi en quelle année on est ? ^^
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C'était pas un mot ? ^^ Gourmande ! lol
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Coucou toi !!
Vi, ça fais un bail !
Encore plus pour moi, probablement, ma vie bougea à 200 à l'heure ces derniers temps, j'ai eu un vague souvenir nostalgique d'un temps lointain et où je passais un peu de temps à échanger avec des personnes intéressantes sur ce forum :p
Le forum et ses habitant me manquaient ^^
Tu as changée de peau depu...
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mdr !! j'adore ta première vidéo .... plié de rire, vraiment !
Si c'est toi, chapeau ! :p
J'adore ! ^^
Et si c'est pas toi... heu bah j'adore quand même en fait.
C'est con comme remarque.
Pourquoi je parle moi... ? :p
ha si je sais ! pour te parler ^^
vala, c'est fait :p
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L'UMP réinvente le travail obligatoire pour les pauvres
Titsta a répondu à un(e) sujet de PASDEPARANOIA dans Politique
Bon, j'ai pas tout lu, mais j'ai quelques remarques en vrac. Je rappel que le RSA, c'est 350€ par mois. Qui ici est vraiment jaloux de ce niveau de vie ? C'est pas 500 comme je l'ai vu je sais plus où, et c'est très loin d'un mi-temps au smic (pour celui qui voulait faire travailler une demi-journée chaque jour). Qui plus est, je vous rappel au passage qu'un RSA ne côtise ni pour la retraite, ni pour le chômage. Or un travail à mi-temps, si !! Quelqu'un qui touche 350 € en temps partiel touche en réalité bien plus que quelqu'un au RSA, même s'il ne recevra ce plus que quand il sera à la retraite, et de devenir à son tour un profiteur.Donc avant de faire travailler au pro-rata du smic, faut penser à ça ! Autre chose : Cette mesure diminuera la quantité de travail en France. Tout simplement parce que plus de monde travaillera.Pour reprendre une phrase de Dider super :"Ces gens un peu simple qui ne savent pas que du travail, y en a pas pour tout le monde... heureusement que les fainéant le laisse à ceux qui en ont besoin". Ceux qui travaillent devraient plutôt être content que les gens du RSA ne travaillent pas... Sinon, ils prendraient leur place, et diminuerai leur salaire par la concurrence.C'est aussi simple que ça.Travailleurs ou non, on est tous dans le même sac, je vous ferai remarquer.Le chômage n'est pas dû aux fénéant, il est dû à notre technologie et nos techniques efficaces qui font qu'on aura toujours dans les 30 ou 40% de "chômage" (maquillé) puis qu'on a atteins un tel taux d'efficacité que seul 30 à 40% du travail de la population couvre l'ensemble des besoins. Encore autre chose.Pour casser le coup aux idée assimilant bénéficiaires du RSA et clodo du coin, la majorité des bénéficiaires du RSA ont des diplômes de bac+3 à bac+5, et certains même ont des doctorats.Mais ne trouvent pas de boulot.Réveillez vous, c'est pas les idiots, fainéants et imbéciles, moins compétent que les travailleurs qui ne trouvent pas de travail, c'est devenu majoritairement une histoire de chance ! Quand des entreprises reçoivent des milliers de lettres de motivation par jour, c'est le hasard qui tranche.(Le jugement sur la "beauté" esthétique du CV quand on a moins d'une seconde pour le lire, ça correspond à de la chance pour moi... certainement pas à la compétence du mec au boulot. Surtout si son travail n'a rien à voir avec celui d'un graphiste. ) Je donne quelques années à ce projet avant qu'on utilise les gens du RSA avec leur réels compétences. Et pas seulement gardien de passage piéton et balayeurs.ça sera beaucoup plus rentable au mairie de leur faire faire leur travail d'informaticien, d'ingénieur, etc... puisqu'ils en ont les compétences.Et là, qui en prendra plein la gueule parce que leur postes seront remplacée par les RAS-istes gratuit ? Réfléchissez !Réfléchissez et renseignez vous sur la réalité des compétences de ces gens, avant de vous imaginez que ce sont des bon à rien, et que c'est pour ça qu'ils ne trouvent pas de travail. Autre point qui me semble vraiment litigieux. Même s'il s'agit aujourd'hui de la dernière protection sociale qui garantie À TOUT LE MONDE qu'il ne se retrouvera pas à la rue sans aucun revenu. (personne n'est à l'abris d'un licenciement, d'une dépression, d'un quelconque coup du sort, ou que sait-je encore) Au départ, le RSA a été fait pour les gens qui ne pouvaient pas travailler !! Qui n'arrivaient pas à s'insérer pour des handicaps sociaux pas reconnus comme handicap réels. Ceux qui ne peuvent pas travailler, on en fait quoi ? On leur enlève leur RSA ? C'est à dire : On augmente le nombre de clodo dans la rue qui seront obligé de mendier pour survivre ? On augmente la criminalité (parce qu'il faut bien vivre... si on n'a pas l'argent, il faut le voler. Simple question de survie) ? Vous préférez quoi. Un mec qui reste chez lui avec 350 euro par moi, ou un mec qui vole ou deal 1000 euro par mois ? (Parce qu'une fois qu'on est dans la spirale, pourquoi se contenter de 350 ? ) Mis à part ces points importants, je suis plutôt pour cette démarche. Parce qu'elle offrirai à l'état un pouvoir plus important par la mains d'œuvre dont il disposera. Et parce qu'elle permettrait à ceux qui sont au RSA de prouver leur compétences, donc de suppléer aux lacunes des entreprises qui refusent de prendre le risque nécessaire, et qui ont besoin d'être assistée par l'état pour qu'il prennent les risque à leur place. ( L'assistanat ... ça vous dis quelque chose ? ) -
Bien d'accord avec toi ! ^^ Mais le problème reste le même. C'est toute la notion de foyer qu'il faut revoir, vu que nos vies ont sacrément changée sur ce point, depuis l'époque de nos arrières grand parents.
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Le phénomène de la prolifération du nombre de musulmans. ke pensez vous?
Titsta a répondu à un(e) sujet de demetria dans Religion et Culte
ça vient surtout du fait qu'aux État Unis, il y a de fait un nombre considérable de religions représentée. Donc intégrer des ressortissant qui se réclament d'une religion pose moins de problème. Ceci dis, vu la façon dont ils traitent l'Islam aux états unis, je doute qu'on puisse dire que ça suscite moins de débat ^^ -
Tiens, y a de l'écho ? Il a déjà été sorti ce message... Au passage, voir une différence de comportement, ou de préférence, entre les hommes et les femmes n'est pas sexiste. C'est dire qu'un des sexes est supérieur à l'autre qui l'est. Ne pas voir de différence de comportement, ou de goût, entre les hommes et les femmes, c'est pas ne pas être sexiste, c'est être débile. (et hypocrite. défendre un argument contre l'évidence, la vérité, la logique, le bon sens, l'observation etc... tout ça dans le seul objectif de surtout ne pas paraître sexiste... ça aurai plutôt tendance à me faire penser que la personne en question l'est très fortement ) Pas d'accord.Hors d'un certain contexte, (par exemple culturel et temporel) c'est con comme phrase. Doublé d'un préjugé colossal et d'une catégorisation de toutes les situations possibles comme s'il ne s'en agissait que d'une seule, toujours la même.Bref, c'est con comme phrase. Contre exemple : La polygamie qu'on pratique aujourd'hui (polygamie occidentale comme on l'appelle) qui consiste à avoir plusieurs femmes, mais l'une après l'autre n'a rien à voir avec un mépris des femmes.
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Dans le cas australien, les clients avaient peur pour leur anonymat, alors même que les bordels légaux étaient privés. Si les bordels légaux sont publics, ce ne peut être que pire. ou pas. ça dépend aussi de la culture du pays si tu vas par là. Puis la peur... c'est au début. Bref, un peu nul comme argument. Arrête ton char !! Le privé ne sera jamais plus efficace que le public en ce qui concerne les questions d'éthique. Surtout si les questions d'éthiques vont contre le fait de se faire du blé. C'est logique, le privé cherche a faire du fric. On peut à la limite se demander si le privé est plus efficace que le public pour faire du fric. Mais ça n'est pas la question, justement. Je dirais même que c'est le problème exactement inverse. ça ne peut évidement pas bien se passer pour les prostituée si le but recherché n'est pas d'améliorer leur conditions de vie. C'est pas le privé qui va se soucier d'un objectif comme ça... Et encore moins les mafias. Certaines choses ne devraient pas être majoritairement dirigé par une logique commerciale et financière. Surtout quand c'est la logique commerciale et financière le problème. PS : Et arrête de me sortir ton étude australienne. D'une part, la même chose peut réussir à un endroit et échouer à un autre. ça dépend principalement de la culture du pays. (ça dépend aussi comment ça a été fait. J'ai l'impression qu'en Australie, ça a surtout été fait pour que l'état dépense moins de fric et ai un problème de moins à s'occuper. ) D'autre part ça n'a rien à voir avec ce que je propose, et je doute aussi fortement que légaliser la prostitution puisse changer quoi que ce soit, puisque le principal problème c'est de supprimer la logique commerciale qui gouverne le truc. Privatiser un truc pour en supprimer la logique commerciale, faut être crétin pour penser que ça pourrait marcher. Je suis d'accord avec toi. Donc trouve des arguments plus adéquoit. ou mieux, trouve des améliorations possible à l'idée de base pour corriger les éventuels défaut que tu vois. Au passage, un défaut n'est pas un problème. C'est s'il y a plus de défaut que d'aventage qu'un truc ne devrait pas être fait. exemple : si le public ne prenait que 10% du marché ça prouverai qu'il faudrait le faire ! parce que ça fait déjà 10% d'amélioration par rapport à la situation actuelle ! Tes comparaisons sont biaisée : elles se font par rapport à l'idéal, pas par rapport à la réalité actuelle. Même dans ton étude australienne, aucune comparaison n'est faite par rapport à la situation d'avant. Donc c'est complètement bidon comme étude. ça se voit à des lieux.
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Je n'ai jamais dis le contraire. Le fait qu'on regroupe en un seul bloc la culture greque de par les influences qu'elle a eu sur notre monde actuel, et le monde romain va même dans le sens de ce que je disais. Mais ce regroupement et cette synthèse culturelle s'est faite après coup. Pas avant. À l'époque grecque chacun de ces villages qu'on appelle cité-état avaient des modes de vies (donc des cultures) très différentes d'une ville à l'autre. Elles étaient aussi, il faut dire, séparée par des montagnes et des jours de marche en plaine campagne sauvage... c'était pas les quelques heures d'ajourd'hui par l'autoroute. On peut même à mon avis raisonnablement penser que c'est par l'invasion romaine (de culture à l'origine différente) que cette synthèse des différentes cultures des cités-état grecques s'est faite. Le panthéon est le même dans toutes la grèce... Il n'empèche que les pratiques religieuses étaient très différentes d'une ville à l'autre. Ceci dit, je le concède, j'y suis aller un peu fort sur la religion. Mais ça dépend aussi beaucoup de l'époque à laquelle tu parles. Je doute que les temples d'Athéna était majoritaires à l'époque de son hégémonie sur la grèce, et de sa lutte contre Athène. Par la suite, après, quand elle a périclité et s'est retrouvé englobée, c'est une autre histoire. Sinon, à ce titre on pourrait dire que les celtes avaient la même religion que les chrétiens... vu le nombre d'église qu'on trouve en Bretagne. (Et qui ont précisément été implanté là pour lutter contre les religions celtes...) Je ne sais pas où tu as vu que j'ai dis que c'était le (ou les) séna romain qui avait fait les empereurs... ?? J'ai dis qu'il y avait dans le système politique romain un équilibre entre les pouvoirs de l'armée, du séna et des empereurs... équilibre des pouvoirs qui a été fluctuant au cour de sa longue histoire. Ensuite, je n'ai jamais dis que l'empire romain était "Démocratique" avec un D majuscule. J'ai dis qu'il pouvait l'être plus ou moins selon les périodes. L'intégration du sénat dans le système étaient une forme d'organisation beaucoup plus démocratique que l'hégémonie d'un chef de guerre... ou même qu'un roi. Je serai plutôt d'accord sur les symptômes, mais pas sur le diagnostic : j'y vois plutôt la marque du libéralisme. Faudrait que tu développe. Les hypothèse que j'ai donné, comme le fait qu'on aurait pu valoriser l'heure du repas en entreprise pour la cohésion de l'équipe, ou favoriser les échanges transversaux entre équipe peuvent très bien fonctionner dans un système totalement libéral. Le fait que ça ne s'est pas fait ainsi tiens donc à mon avis plus de la prédominance de la culture anglo-saxone sur la culture Française dans ce domaine que du principe libéral lui même.
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Oui, tu as peut-être raison Liutprande :) Dans les pires cas de différences culturelles auxquelles j'ai pu être confronté, ils ne se sont révélé qu'après plusieurs mois à fréquenter ces personnes. Et sur des éléments ponctuels. Les politiques et les média doivent forcer le trais en ne présentant que ces points, qui plus est sur des inconnus, dont on n'a pas pu remarquer avant à quel point ils étaient "normaux" selon la plupart de nos critères. On se construit ainsi des "inconnus" imaginaires qui serait aussi "différent" sur tous les autres points qui n'ont pas été présenté... L'image en serait effectivement assez effrayante. ^^
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En fait, tu veux nationaliser la prostitution. Je pense que ce type d'initiatives est voué à l'échec. Combien de prostituées aimeraient être soumises à une administration publique ? Combien de clients craindraient pour leur anonymat ? Simple conservatisme que tout cela ;-) c'est un peu du "si c'est nouveau ça marchera pas." Faut pas être défaitiste. L'anonyma des client... ?? Je vois pas le besoin de faire des "dossier" comme pour le secteur médical par exemple. Et il ne me semble pas que les gens préfèrent aller dans des organismes médicaux illégaux pour préserver leur anonymat. (ou alors, ils ont un problème grave avec la police ;-) ) Les prostituées ? Si elles sont bien payés, protégées, si elles peuvent ainsi toucher une protection sociale, une retraite, des arrêts maladie, ou le chômage si elles arrêtent... Si ça se passe au sein d'établissements confortables, si où elles seront bien plus protégée qu'en foret ou chez le client. Je crois pas qu'il y en aurait beaucoup à refuser par simple "esprit anarchique" de refuser de travailler là parce que c'est pour le gouvernement Français... si elles en sont à ce genre de considération, je ne m'inquiète pas vraiment pour elles tu sais ;-) C'est marrant parce qu'on dit toujours le contraire quand l'état fait quelque chose : il fait de la concurrence déloyale... Tu oublis aussi une concurence très forte en faveur de cet organisme, qui n'existe pas actuellement : seul cet organisme certifie que ton argent ne repliera pas les caisses des mafias et des trafic humains, et que tu n'aura pas à te cacher, à risquer les flics, à aller dans des endroits mal famé, pour prendre une prostituée. etc... Surtout que la répression des organismes illégaux continuera de même qu'aujourd'hui. Et une condamnation très fortes des clients illégaux ne me semblera plus du tout favoriser le viol, vu qu'une autre procédure existe. En fait, c'est aussi le moyen le plus sûr pour durcir considérablement la lutte contre les trafics illégaux, sans avoir tous les effets pervers dont on a déjà parlé d'une telle lutte sans cette alternative. Et en se donnant tout simplement les moyens de le faire. Plus grand monde ne pourrait s'opposer honorablement à cette lutte, par ailleurs, qui recevrait alors un soutiens à mon avis quasi unanime. C'était le dernier. L'avant dernier que j'ai lu aussi ne développe pas vraiment. Mais de toute façon, comme il ne s'agit pas de ce que je proposais je me doute très bien que cette expérience ne pouvait pas fonctionner, voir pire, permettre de blanchir l'argent d'organisation criminelle... Cette expérience n'a clairement pas été menée dans le but de protéger les prostituées, mais plutôt d'abandonner le financement de la lutte contre la prostitution...
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Nous sommes pourtant si réputés pour nos lacunes en anglais... N'est-ce pas quelque peu paradoxal avec cette théorie ? L'identité française n'a-t-elle pas pour creuset la langue française ? Qui aujourd'hui considère que l'anglais n'est pas indispensable ? Que la langue Française pourrait être la langue internationale ? Quelle entreprise multinationale aujourd'hui accepterai d'utiliser le Français comme langue commune ? Mais c'est vrai que la langue fait partit de notre culture. Qui n'a pas totalement disparu, bien sûr. On avait notamment une langue culturelle très forte. (c'était la langue de la diplomatie dans le monde, il n'y a pas si longtemps) Je fais d'ailleurs partit de ceux qui considèrent que maîtriser la langue doit faire partit d'un des seuls critères obligatoire pour être nationalisé. Oui, je suis assez d'accord ;-) Mais outre la réutilisation par les politique, ça manifeste tout de même un problème réel plus profond de la disparition de notre rayonnement culturel dans le monde. ça c'est la culture française, effectivement. Quid du comportement en entreprise qui favorise le fast-food et la diminution du temps du repas ? Il me semble que c'est bien la manifestation de la disparition de la culture Française sur ce point. Une culture Française forte aurait pu, au contraire faire des repas en entreprise un moyen fort de cohésion au seins de l'équipe (par exemple)... Voir même un lieu de communication de travail transversal au sein de l'entreprise. D'autres organisation aurait été possible. Mais c'est celles là qu'on a choisi. Ce qui signifie que ces cultures anglo-saxone concernant le repas sont plus fortes. ( Bien que les diners d'affaires me semblent plus être issue de la culture Française d'ailleurs ^^ ... parce qu'aristocrate et réservés aux "cadres" des entreprises. ) Ce qui me soucie n'est pas la représentation de nombreuses traces culturelles différentes. C'est l'abscence évidente d'une synthèse stable de ces différences culturelles. C'est plus du pleins de cultures dans chaque coins qu'une culture stable de l'échange entres les cultures, ou d'une culture stable en en faisant la synthèse. Un peu comme la religion polythéistes grecs avait fait la synthèses des différentes religions rencontrées par les différents peuples qui la composaient.