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Titsta

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Tout ce qui a été posté par Titsta

  1. Titsta

    Qu'est ce que la sagesse ?

    Vi Genesiis, la sagesse est dans la synthèses des positions, pas dans l'hégémonie d'une seule ^^ (ça aussi, on pourrait la faire citer :p ) Pour ce qui est d'un auteur, ça m'étonnerai pas. Une phrase comme ça, aussi simple et de moins de 10 mots, ça a forcément été sortit par quelqu'un avant. On est nombreux sur terre ! (et on "a été" encore plus :) )
  2. Titsta

    Qu'est ce que la sagesse ?

    Certes, mais "qui vis dans le passé n'a pas d'avenir". Bon, j'ai pas d'idée de quelqu'un d'intelligent et de reconnu à qui je pourrais refiler cette citations, mais l'idée est là ^^
  3. mdr !! Celui là, on me l'avait jamais sortit ! ^^ ça me fait penser à une remarque que quelqu'un m'a faite un jour : On est très injuste avec l'alcool. On compte toujours le nombre de mort qui lui sont dû, mais jamais le nombre de naissance qui y ont liées :p
  4. Es-tu si sûr que les mathématique, ou du moins l'esprit mathématique, ne soient pas une force -et un dogme- réelle dans ce monde ?N'est-ce pas une autorité, qui a seulement atteind une telle forme d'hégémonie qu'elle est défendu presque part tous, et ne se soucie plus d'être attaquée par aucun ? C'est vrai que tu as raison de pointer sur l'idée de "domination" d'un des courant de la science sur l'autre, tant il peut se vérifier parfois.Mais j'allais au delà même des différents courants interne à cette "religion", pour constater qu'ajourd'hui, même entre courant théoriques différents au sein de la science, un accord unanime se tisse sur le fait que les préceptes même de la science sont supérieur à ceux d'autres formes de pensée ou de modélisation.Accepte t'on sans inquiétude et méfiance fortes (moi le premier d'ailleurs) d'autre modélisation que "scientifique" des choses ?Arrive t'on à considérer "bien" le fait que certaines personne puissent privilégier une conception "non scientifique" des choses, sur des critères où la science pose clairement sa doctrine ?En fait, les autres courant de pensées peuvent il être reconnu comme important, même au delà des seuls domaines très restreins où la "science a des doutes". C'est dans ce sens que je pense qu'on peut considérer la science comme une religion.Puisque dans de très nombreux cas, elle ne peut se positionner "affectivement" comme une simple "interprétation scientifique limitée" des choses, n'étant qu'un point de vu quelconque devant d'autres interprétations issue d'autres formes de pensée, notamment des autres religions. Je précise, pour être clair, que je suis moi même soumis à ce dogmatisme de la pensée, puisque mis à part certains domaine où j'ai peu à peu appris à penser autrement, j'ai moi même beaucoup de mal à penser que "là où la science affirme quelque chose", d'autre formes de pensées puisse avoir "plus" raison qu'elle. Mmmm je ne sais pas si le sens de la recherche est si important que ça, et si le "dogme de la science" n'est pas autant posé que dans une religion monothéiste "classique". Même si c'est vrai que c'est une caractéristique majeure dans la définition de la nature de cette "religion". (peut être un peu comme d'autres religions "immanente") Disons que la science à le mérite sur d'autres religion de poser comme principe de base qu'elle ne détiens pas la vérité absolue (dans son état actuel).Mais l'idée qu'il existe une vérité absolue unique, et des lois universelles, me semble se trouver au même plan que l'idée qu'il existe un Dieu unique inaccessible en pratique à l'esprit humain, mais vers lequel il faut essayer de tendre.Pour le coup, je pense que la science est très monothéiste dans sa façon de pensée.
  5. Mmmm tu sais, narine_2, j'ai relu à tête "quasi" reposé ce que tu as dis... Je crois que je suis pas capable de reprendre tous les cas, et les nuances que tu as abordée. je referais ça quand j'aurais décuvé, parce que tu as abordé des trucs qui me touchent. ^^ Pour ta remarque, là. Je ne sais pas si il s'agit tant d'un "système de connaissance", qui serait nécessairement religieux. J'ai plus l'impression qu'il s'agit d'un "système pour aboutir à la Vérité" qui serait religieux. Je ne sais pas si j'arrive à exprimer correctement la nuance. C'est pas tant les connaissance en tant que tel, qui font partis du système, mais plutôt ... comment dire... "l'acceptation d'un processus, ou d'une pratique, comme apte à définir ce qui est vrai". qui est du domaine de la croyance totalement subjective, et qui ne peut accaparer l'acceptation que si elle est absolue. (je veux dire, sur le plan subjectif de chacun) C'est dans ce sens que je pense la science comme une religion. Ceci dit, ce que tu dis me fais penser qu'il est possible d'aborder la science comme autre chose qu'une religion... (puisque je le fait bien, moi) ou plutôt, comme une religion qu'on "comprend", sans y adhérer totalement. Peut être est-ce une "bonne" façon d'interpréter la science. Après tout, je ne sais pas si elle a vocation a remplacer, dans ses principes, toutes les autres formes de pensée. Elle est sensé n'avoir pour vocation -assez humble au demeurant- que d'être qu'une tentative de modélisation de ce qui est mesurable 'objectivement'. Mais je crois assez rare les personnes qui comprennent, actuellement, la forte limitation qu'implique cette vocation. Et je pense que l'immense majorité des gens "pratiquent" la science comme une religion. (d'ailleurs pas forcément totalement incompatible avec les autres.)
  6. ha, tu fais bien de me ramener aux notions abordée dans le sujet... ( J'ai un peu honte, mais j'ai pas tout lu ^^ heu... en fait, j'ai presque rien lu Je lirais quand je serai capable de ça... vala ^^ ) Honnêtement, tu me pose un problème de définition là. (problème important pour moi ^^) Je crois que, hypocrisie mise à part, quelque part, si on n'est pas "offusquée" par une idée, c'est qu'on l'accepte quelque part. même s'il ne s'agit que, politiquement correctement dit, d'une hypothèse dans un monde hypothétique... Je veux dire, peut ont être capable d'accepter, émotionnellement, une idée, sans la calquer comme "acceptable" dans une sorte d'univers imaginaire, qui ne devient acceptable que parce qu'il est imaginaire ? Mais n'est-ce pas une façon de défendre, à la fois notre "moralité" dans cet univers ci, réel, tout en se "permettant" de penser valable des choses immorales dans un univers autre ? En fait, je me demande si l'ouverture d'esprit ne nécessite pas, parfois, une justification vis à vis de la moralité de la société, pour être accepté par cette même société. (probablement dans les cas où son acceptation par la société pourrait être problématique. je veux dire, n'est-ce pas une forme de "diplomatie" dans la formulation. ) Mais ne s'agirait t'il pas quelque part, forcément d'accepter -quand même- ces possiblités et ces fonctionnement ?
  7. (laisse ^^ auto-satifaction personnelle que j'essaye de partager en tout égocentrisme, de ne plus être en état de marcher, mais d'être capable de continuer à philosopher :p je verrais bien demain si je ne dis pas de connerie ^^ ) Comme qualité inébranlable, probablement. Comme non correspondance exacte avec la notion d'intelligence, c'est peut être plus ce que je visais. En fait, j'ai du mal à dissocier la qualité de l'objectif à atteindre. Or il me semble que l'intelligence est subordonnée presque par définition à un objectif purement égoïste et égocentrique. L'ouverture d'esprit est subordonnée à un objectif social. Je veux dire... l'ouverture d'esprit est un objectif extrêmement utile à la société, car c'est elle qui permet la cohésion d'entité qui pensent à la base différemment. C'est aussi, dans ce sens, l'origine du "sacrifice" (on va dire compromis pour être plus "politiquement correct") qui est exercé, vis à vis de ses valeurs propres. C'est utile (et donc valorisé) par la société, mais dans certain cas (dans le cas où l'intérêt de la société passe après le nôtre propre, je pense) ça peut être nuisible. Ceci dit, j'imagine aussi que, même pour la société, l'ouverture d'esprit doit avoir ses limite "utilitaires" aux delà desquels il devient nuisible. ( En fait, à bien y réfléchir, j'ai l'impression d'avoir dis des conneries... Finalement, l'ouverture d'esprit est pas forcément si utile que ça à la société... et parfois, ça doit pouvoir être une façon d'exprimer un bien être, un intérêt personnel, en se "servant" de la valorisation générique de la société envers l'ouverture d'esprit, pour faire passer des intérêts personnels qui se retrouvent désavantager la société. ) Allez, je vais faire la synthèse bidon ^^ ça doit être parce que dans certains cas, se servir des choses valorisée par la société, quand c'est bien utilisée, doit permettre (parfois) de servir les intérêts personnels de ceux qui savent "détourner" (bien présenter) leur volonté. (Je crois que je fais un sérieux HS là ... j'ai perdu le fil ... ^^ désolé )
  8. Non non non !!! D'une tu ne dis pas des conneries !! C'est plutôt vachement pertinent et intelligent tes réflexions ! Et preuve d'une perception assez fine de la nature de la science. De l'autre, je suis pas d'accord ! :p ^^ Tu base comme principe l'unicité de la vérité, qui est une notion plutôt catholique des choses. Mais qui n'a pas à être vérifiée par certaines religions, tant qu'on obéïs à des principes qui ont priorité. Par exemple, même si beaucoup l'ignore (surtout parmi les "pratiquant") le judaïsme est souvent basé sur la notion de paradoxe. N'est pas jugée "vrai" ou "sage", une position, une doctrine claire, mais une position paradoxale. Qui n'est pas jugé comme un "problème à résoudre", mais bien en tant que tel comme une position pilier seule capable d'aboutir à une élévation spirituelle supérieure. Il fut un temps même ou les penseurs juif s'opposaient à la rationalité naissante en essayant de développer un autre mode de "logique" basée sur le paradoxe. La science est ainsi bâtie. Ces préceptes ne sont pas bâtis sur l'unicité de la vérité. Comme d'autres religions ont pu dire "les voix du seigneurs sont impénétrable". Le doute doit être supérieur ! L'observation dans toutes les limites concrètes de sa réalisation doit être supérieures. La science (fortement intelligemment pour une religion) est basée sur le principe de théorie, rien ne peut être prouvé ! On ne peut qu'avoir au mieux jamais observé de contradiction avec telle ou telle théorie. Dans ce sens, à la fois, elle tend vers l'idée qu'il ne peut exister qu'une seule théorie "vraie", mais peut parfaitement accepter, dans les limites de l'expérimentation actuelle, plusieurs "vérités" temporaires. Plusieurs théories. Ce qui en fait à la foi (et surtout à notre époque, mais c'est récent, surtout depuis la physique quantique) une religion monothéiste dans ses principes, ET polythéiste dans ses pratiques par défaut. C'est en quelque sorte une forme de synthèse de ces deux natures religieuses. (la "trinité" ou la multiplicité des saints n'était probablement pas suffisante comme synthèse) Mais la pluralité de ces théories est réfuté par le principe même d'universalité des lois que la science vise à atteindre. Il ne devrait, en toute "logique", n'y avoir qu'une théorie qui explique tout. Appelé par les scientifiques en ce qui concerne l'union de la relativité et de la physique quantique la "théorie du grand tout".... (tant il est vrai que le "tout", ça ne peut être que "grand" :p )
  9. ( Désolé si je suis pas compris ^^ je vais faire sans. trop d'alcool dans le sang pour me soucier des différences ^^ ) La meilleure définition de l'intelligence que j'ai pu trouver, c'est la capacité à s'adapter aux situations. L'ouverture d'esprit est-elle, alors, une capacité à s'adapter aux situations ? Si oui, elle n'en est qu'un moyen. Mais maîtriser ce moyen peut être une forme de preuve d'intelligence. ( Autant qu'on puisse "prouver" l'ouverture d'esprit... ce qui revient seulement à reculer pour mieux sauter... ^^ ) Mais parfois, l'ouverture d'esprit ne favorise pas une bonne adaptation à la situation. Parfois, il vaux mieux être "borné". Parfois, dans nombres de situations, c'est tellement plus efficace de ne pas comprendre. Parfois, il est tellement préférable d'exprimer son avis, son opposition, ce qu'on ressent, son opposition, ses valeurs, plutôt que de faire preuve d'une "ouverture d'esprit" flasque, sans intérêt, complètement vide de sens, voir sacrifiant sur l'autel du "bien" notre propre personnalité et nos propres sentiments ! est-ce vraiment une preuve d'intelligence ? Parfois, donc, c'est faire preuve de plus d'intelligence de ne pas chercher à avoir l'esprit ouvert. De rentrer dans le tas, de se butter et de refuser de comprendre pour continuer son truc. Voir, de penser différemment : Plutôt que de s'ouvrir l'esprit sur un truc, accepter des hypothèses dérangeantes, faire de l'humour dessus. éviter l'opposition. éviter la perte de nos propres valeurs. éviter le relativisme aboutissant au néant complet de la pensée, à la négation complète de toute forme d'intelligence, car il consisterai à tout accepter. Dans ce sens, je pense, l'ouverture d'esprit peut être parfois une bêtise profonde. :)
  10. Titsta

    Ça veut dire quoi "être fou"?

    (ps : je suis bourré, faite pas attention si vous arrivez pas à suivre ^^ ) La logique n'est qu'un dogme de la pensée parmi les autres qui atteint aujourd'hui son apothéose dans la quasi hégémonie dont il dispose. Mais il est loin d'être le seul, et son utilisation est même plutôt récente dans l'Histoire des êtres humains. Un raisonnement logique ne convainquait pas autrefois. Pensez y ! Aussi logique pouvais-tu être, si ton raisonnement n'aboutissait pas à la vérité défendue par certains dogmes (religieux entre autre) tu ne convainquait pas, et ta position était jugée de base faussée et pervertie. Tu "pensais mal". Exactement comme aujourd'hui, on considère des gens qui pensent autrement que par la "logique", qu'ils "pensent mal". Parce qu'ils pensent autrement. La logique n'arrive à convaincre que parce qu'on lui a cédé cette vertue de véracité. C'est à dire la vertue de nous donner l'impression de propager la vérité. Mais si on y pense, la véracité, il ne s'agit que d'un sentiment subjectif. La logique, en tant que tel, n'est qu'un outil extrêmement subjectif, qui a la faculté aujourd'hui (mais ça n'était pas le cas hier) de provoquer ce sentiment de véracité en nous. Elle a de grosses limites. Très grosses. Sur lesquels on s'aveugle pourtant. Je vais prendre un exemple. "il est interdit de diviser par 0". Tout le monde l'a appris, ce dogme. Soit Mais pourquoi ? Parce qu'on constate que tout l'étalage mathématique s'effondre dès qu'on effectue une division par 0. ça serait donc faux parce que tout le système s'effondre si on l'utilise... c'est une tautologie ! Mais qu'est-ce qui a déterminé qu'il était impossible de diviser par 0 ? Pourquoi ? est-ce logique ? Non. On a tendance à considérer les maths comme une construction qui existait de toute éternité. Mais on n'a cessé, depuis ses premières manipulations, d'inventer des règles dans lesquelles il fallait entrer pour que ça marche. Pour ne pas que ça s'effondre. C'est en fait un domaine en perpétuelle évolution, en perpétuelle construction.... Oui, les règles de la logique et des mathématiques s'écrivent encore aujourd'hui ! Est-ce logique ? Si perfection il y a, peut-elle vraiment évoluer ? Changer ? Comment est-ce possible ? La vérité, c'est qu'on ne fait que construire un paquets de trucs, d'artifices et de techniques, au fil du temps, pour faire tenir cette construction humaine qui, sans arrêt fou le camp. La racine carré d'un nombre négatif est impossible... paf : bricolage à l'édifice, on ajoute les nombres complexes pour combler le trou. La division par 0 est impossible ? On a inventé l'infini (assez récemment) avec ses règles de calculs particulières pour compenser... Aussi "absolue" puissent elles paraître. ( Comme certaines règles divines le semblaient auparavant. ) Les mathématiques, et la logique ne sont qu'une construction humaine !! L'orgueil en prend un coup, on aurait tellement aimé se dire capable de toucher à l'absolus. Mais la logique, malgré tout ce qu'on peut en dire, n'est finalement qu'une construction "artistique" qui a vocation à provoquer le plus fort possible ce sentiment de "véracité". Ce sentiment ayant seulement une très grande importance pour l'humanité.
  11. Bien sûr que la science est une religion. Comme les autres, elle dit qu'elle est la seule capable d'apporter la Vérité. Et elle défend mordicus que ses préceptes (expérimentation, doute, théorie-expérience...) sont les seuls à suivre pour arriver aux voies du seigneur. pardon, à ses lois. Beaucoup aujourd'hui croient dans la science, comme seule capable de leur amener la vérité. Elle a comme particularité d'être une religion immanente. C'est la contemplation (pardon sa forme particulière l'expérimentation... ) qui amène la vérité ^^ Elle a la particularité de ne pas avoir de Dieu (Comme tant d'autres religions.) Même la version étymologique rabaissante fonctionne : elle "relie" les gens. De par les normes et la "culture" qu'elle pose comme base commune, facilitant considérablement leur communication, dans son domaine, et ce même en travers des barrières culturelle et linguistique. Elle a même ses dogmes : universalité des lois. existence du temps. principe de causalité... la logique elle même, est un dogme de la pensée. et j'en passe et des meilleurs. En fait, la question que je me pose, maintenant, c'est qu'est-ce qui pourrait ne pas être une religion dans la science ?
  12. Parfois, je me demande... L'infidélité est-elle encore possible aujourd'hui ? Je crois pas. De plus en plus, du fond du cœur, je crois pas... :-/
  13. Vi, quand y en a qui trouvent de bonnes combines, ils sont même pas fichu de faire ça correctement ^^ Faut pas être malin quand même... :-/ Après, je suppose qu'il y a un type à l'origine qui savait faire ça, et que le bruit s'est répandu jusqu'à de petit bétà qui se prennent pour de grand gagster ^^ Puis, les filcs ont plus qu'à remonter les pistes ^^ :p
  14. Très jolie parole Amazone !!

    Oui... qui désir... je crois que tu as bien mis en valeur le mot juste.

    Je ne devrait pas me laisser désirer des choses comme ça. Le désir à une latence qui dépasse l'instant de la déception.

    biz !!

  15. Pour les rénovations, je ne pense pas mais pour la maintenance de certains édifices religieux, certaines municipalités sont obligées de l'assurer au titre du patrimoine. Alors que ces monuments ne sont pas forcément désacralisés et restent à disposition du culte, et aussi à son autorité. Ils servent aussi aux touristes qui visitent ces différents monuments. Ou à élever le prix des terrains avoisinant qui donne sur ces monuments historiques (quand ils sont pas trop délabrés, justement) Et ceci sans aucun rapport au culte (ou occulte, c'est selon ^^ ) Les constructions de monument nouveaux, par contre, là ça se discute... Les localités devraient en théorie subventionner de façon neutre les activités sociales. Qu'ils s'agisse du rassemblement des amateurs de boudin noir, des chasseurs de pissenlit, ou des activités religieuses. C'est la différence entre un état laïc et un état théocratique dont la religion serait l'athéisme. Dans un état laïc, si une activité sociale quelle qu'elle soit, regroupe un assez grand nombre de personnes, il est normal de la soutenir. Il faudrait mettre en relation ces subventions aux mosqués et les subventions accordés à la création de stades, de bibliothèque, de terrain de tennis etc... dans ladite localité. Sortie de ce contexte, ça ne veux pas dire grand chose.
  16. C'est incompréhensible parce que ça implique qu'on ai accepté la mort, la vraie fin, sans continuation après... Or ceux qui ne l'acceptent pas ne peuvent pas comprendre ceux qui l'acceptent. Forcément ^^ évidement, on ne peut pas savoir s'il y a une vie ou pas après la mort. Mais quitte à choisir, vis à vis de la vie que je mène maintenant, je préfère accepter la mort. J'en vie beaucoup mieux, car la mort est un cadeau qui donne à la vie sa vraie valeur. La dénigrer quelque part, c'est ne pas mesurer les bénéfices qu'elle apporte, c'est réduire considérablement la richesse de notre vie elle même, de chacune des secondes qui passent. La mort ne devraient jamais cesser d'être présente dans notre tête, et on devrait la remercier pour chaque chose agréable qu'on vie, et qui est si précieux grâce à elle. Très vite, la mort ne devient alors plus aussi angoissante. C'est quand on cherche à l'ignorer, ou à la nier que notre esprit nous la rappelle, par les angoisses. Ceci dit, c'est presque une religion, cette façon de vivre. Sans grand Dieu, mais en relation avec le dieu de la mort au moins ^^
  17. ( Dès fois, je me dis que c'est peine perdu les gens préfèrent tellement se battre sur des conneries que sur les choses réelles )
  18. La France ne pille rien ,elle vient et achète ,par exemple,le gaz Algérien qui nous ai facturer à nous,deux fois le prix par rapport au accord d'évian je croit donc qui pille qui ? Ensuite,deuxième chose,si chez toi tu as du pétrole ,que ce pétrole ce trouve sous ton sol à plus de 500 mètres et que toi,tu ne sais pas l’exploité ,si je te paie et te donne un % pour le faire ,c'est du vol ? je te dit cela parce que ça fonctionne ainsi Non mais ce qu'il faut pas entendre ^^ :smile2: ça c'est l'image jolie posé sur ces belles usine d'exploitation à l'étranger :p La vérité, c'est que la population est pas débile au point de pas savoir extraire du pétrole... Les grandes compagnies ont obtenue ce droit grâce à la corruption. Qu'elle vendent ce pétrole à perte à une filliale offshore dans un paradis fiscal. Donc ne font dans le pays aucun bénéfice, donc ne payent aucun impôts. Je le redis plus clairement : elle ne payent pas un centime ce pétrole au pays ! que ça soit clair ! Et la filliale revend, elle, ce pétrole beaucoup plus cher. Donc c'est cette filliale qui fait tout le bénéfice... dans un pays où ils ne payent pas d'impôts. Bénéfice qui sera redistribué à la compagnie d'exploitation injecté en interne, ce qui "prouvera" encore une fois que la compagnie perd de l'argent sur place, puisqu'elle a en permanence besoin de recevoir des ré-investissement de l'étranger... et qu'elle a "raison" de ne pas payer pour ce qu'elle extrait... Qui plus est, comble du vice, ces entreprises emplois des expatriés français (enfin, pour Total) donc le pays ne reçois même pas d'argent de par l'emploi et les salaires. Ces salariés sont complètement coupé du reste du pays, et consomme uniquement des biens d'importation, donc le pays ne bénéficie même pas de l'argent indirect de ces salaires. En fait, c'est pire que le pillage de la colonisation, où on construisait quand même les infrastructures du pays, et où on payait (même un salaire de quasi-esclave) les habitants pour le faire. C'est effectué avec une monstruosité et un pragmatisme considérable. Le pillage complet de pays entier, dirigé par la froideur glacial d'économistes sans la moindre once de sentiments de responsabilité. Dirigeant des immenses empires industriels qui ne pourraient même pas survivre quelques semaines à une réelle concurence si on vivait dans un monde libéral. (car économiquement basé sur des principes de pot de vin et d'accord de monopole aux états riches ou exploités. leur assurant par la police,la justice et l'armée de ces derniers une totale immunité face à la loi du marché. ) Pas étonnant que les pensées anti-scientifiques et que les extrêmisme de tout bords fassent des ravages là bas. On paye toujours ce qu'on prend, d'une manière où d'une autre. (sauf que c'est pas la compagnie qui payera les attentats, et les conséquences de la fanatisation islamistes ) Donc ils me font bien marrer ceux qui se plaignent parce que des "arabes" veulent construire ici des mosqués ^^ Ils savent pas ce que c'est que de se faire entuber :p (Et quelque part, tant mieux... cet état d'infantilisation de la population est quelque part le signe qu'elle est bien traitée. Même si elles râle tout le temps.)
  19. Superbe cette citation !! ^^ Mais tu sais, on peut voir la "perfidie", la noirceur de l'âme humaine, sa bêtise crasse... Mais faut l'aimer quand même, cette masse grouillante d'individus frustrés, pourris chacun d'égoïsme et d'égocentrisme, au pan entier de personnalité maladroite et malsaine... Parce qu'on en fait partit. Parce que c'est nous. Et parce que, malgré tout, ou plutôt c'est pour ça, qu'on est humain. Et ne pas aimer notre propre humanité aussi, c'est quelque part noir, frustré pourri et malsain, et s'en croire différent pourri d'orgueil On n'échappe pas à notre nature. Mais on peut choisir de l'accepter et de l'aimer parce que c'est notre nature. :) C'est toujours mieux que de se haïr. :)
  20. Merci Ceci dit, faut se méfier de mon point de vu, il a l'air "idéal", mais je connais pas mal de personnes qui se trompent en cherchant à suivre une "philosophie" semblable. Surtout dans les milieux libertins. Les relations qu'on crée dans un couple doivent être profondément liée à ce qu'on ressent. C'est pas une question "philosophique", c'est affectif un couple. Le couple doit correspondre à nos sentiments. Si on est jaloux et exclusif, faut faire un couple jaloux et exclusif. y a pas de "mal" à ça, si ça correspond à ce qu'on ressent. Si notre position doit évoluer avec le temps, ça évoluera que si on commence par vivre ce qu'on ressent, pas ce qu'on voudrait ressentir. Pareil, je pense qu'une jalousie doit toujours s'exprimer si on l'est. C'est plus sain, quelque part que de la garder en sois. Et (à mon avis) le couple devrait toujours avant tout être le lieu d'expression de ce qu'on ressent profondément. Sinon à quoi bon faire un couple, si on peut pas y être nous même ? biz ! :)
  21. C'est un point de vu, qui explique d'ailleurs ta position vis à vis de l'infidélité... Et je le respecte. Mais du mien, je trouverais clairement assez insupportable l'idée qu'un couple devrait faire disparaître la personnalité de chacun pour faire prédominer l"'institution" sur les individus. Pour moi, le couple est centré sur l'échange entre les deux personnes. De deux personnes à part entière, riche parce que chacune possède ses propres sentiments, et sa propre volonté. Et non pas (comme je l'avais vu dans un film) comme les deux lions de pierre d'un portail regardant ensemble dans la même direction, mais jamais l'un vers l'autre. Je comprend cette vision, hein. Mais je partage pas ^^ Ceci dis, forcément ça explique que pour moi, l'infidélité physique est moins grave. Parce que j'accepte de base que l'autre existe, et que ses besoins envies et désirs personnels existent, et que le fait qu'ils existent ne jouent en rien contre le couple, au contraire. (puisque pour moi, le couple est un lieu d'entraide à l'épanouissement personnel avant tout. Et si s'assurer de sa capacité de séduction l'autre sexe, ou tester des choses nouvelles, ou simplement se sentir libre, peut aider à l'épanouissement personnel, pour moi le couple doit plutôt le soutenir et l'encourager. parce qu'aider l'épanouissement de chacun est, pour moi, sa raison d'être. ) Ceci dis, je comprend peut être un peu mieux grâce à ton explication la raison de la répugnance de certains pour l'infidélité (que j'ai toujours eu tendance à ne pas comprendre ^^ ) Pour yakiba je reformule légèrement : (je suis mal placé pour corriger les fautes d'ailleurs ) ^^ Oué, y a des gens qui méritent des baffes. J'ai rien contre le libertinage (consenti) mais confondre son conjoint avec une relation sociale à qui on peut mentir comme ça... le pauvre ^^ ( à moins que lui aussi la considère comme une simple relation sociale... là tant pis pour eux ^^ )
  22. "être infidèle" ça dépend de ce qu'on entend par là. La notion de couple a beaucoup évolué, et ne se base plus sur les mêmes choses qu'autrefois. Autrefois, c'était une construction sociale uniquement. Il fallait donc que nos comportement respectent les règles sociales, la norme, peut importe les sentiments réels, c'était le respect des mêmes règles sociales pour tous qui comptaient le plus. Pour avoir un couple "normal". Maintenant le couple devient une construction sentimentale et affective. Ce qui importe le plus, c'est le respect des sentiments réels, et la construction ensemble d'une histoire (alors qu'avant, la construction, on s'en fichait, puisqu'une fois marié, c'était joué définitivement.) Elle se bâtie aussi beaucoup moins sur la sexualité. Puisque la sexualité, le désir d'une part, et les sentiment et l'envie de créer une histoire ensemble d'autre part n'ont rien à voir. La "tromperie" vis à vis de la sexualité perds donc automatiquement de son importance. La tromperie sur les sentiments réels, sur l'importance réelle qu'on accorde au conjoint, ou sur la construction réelle du couple en prend beaucoup plus. Perso, je considère que mentir à son conjoint sur ce qu'on ressent réellement pour lui est une tromperie considérablement plus grave. Même si on va pas voir ailleurs. évidement, les sentiments réels sont beaucoup plus difficile à déterminer que les actes. Le problème étant que les femmes captent en général beaucoup moins que les hommes les sentiments réels de l'autre. Elles ont besoin d'actes, de fait réels, de "preuves matérielle" en permanence, pour s'assurer de ce que l'autre ressent. Preuve très chiantes que la plupart des hommes doivent apprendre à donner régulièrement pour "convaincre rationnellement" leur femme qu'il les aimes... ça paraît absurde aux hommes quand ils savent qu'il les aimes, leur femmes. Dans le même sens, la jalousie des femmes est beaucoup plus matérialiste et rationnelle que celle des hommes. Celle des hommes beaucoup plus irrationnelle. Contrairement aux "on dit", les femmes ont en réalité une affectivité beaucoup plus rationnelle et calculatrice que celle des hommes. Mais ça le fait pas de le dire, faut vous dire que vous êtes des fées et des anges ^^ (reste que vous vous laisseriez pas tomber amoureux facilement d'un mec qui aurait pas un vrai boulot, qui ne sauraient pas tenir une maison, et pourrait pas assurer une vie de famille... Si c'est pas du calcul ça )
  23. Ce mec est un gros con doublé d'un salaud. Mais je crois pas que ça serait une bonne chose si la loi condamnais les gens pour ce qu'ils pensent, ou disent. Même si c'est des conneries. Combien ici seraient condamné alors ? Le problème n'est pas ce que ce mec raconte. C'est que ce mec est écouté et suivit par des gens qui le considèrent comme un "sage". Le faire taire ne changera rien au problème. Faire des lois, ou appliquer des lois pour cacher ce qu'il raconte n'arrangera pas le problème réel. ça ne fera que le cacher un peu plus. Sans démontrer en rien que ce qu'il raconte n'a rien de sage. (la force de l'autorité ne démontre absolument rien de la justesse d'une position.) Le problème, c'est qu'il faut plutôt sérieusement montrer que ça a rien de sage de ne pas respecter l'autre comme une personne, et de simplement agir en égoïste profond qui utilise un objet. À la limite, ce qu'il raconte à l'avantage de révéler qu'il y a un problème. S'il ne dit pas ça simplement pour se faire mousser, ou pour devenir un martyre, auquel cas raison de plus pour l'ignorer et ne pas le condamner personnellement, lui. Qu'il dise ce qu'il pense. Et si ça nous inquiète qu'on œuvre de notre côté pour montrer que le respect de l'autre, et la confiance, c'est la base d'un couple. Et qu'attaquer cette confiance, c'est directement pousser au cocufiage par exemple :p ça devrait faire réfléchir les cons ^^
  24. Bonsoir petit espoir :)

    merci pour ton message ! ^^

    biz !

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