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Tout ce qui a été posté par konvicted
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Les derniers pétales de Rose
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Pourtant j'avais les deux mains sur le clavier à tout instant. Mais c'est vrai que j'ai eu la main leste sur les dialogues, j'aurais pu mettre la strophe de Rose en un morceau. Merci pour ton comm. :) -
C'est un site où certains font fortuitement des rencontres. De là à dire que c'est un site de rencontres, il y a un sophisme que la bonne foi m'interdit.
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Les derniers pétales de Rose
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Salut, Et pourtant, j'étais probablement le plus impatient. :p Ouais, je l'aime bien cette Rose. J'espère qu'elle repointera le bout de son nez, ou de toute autre partie de son anatomie, prochainement. De rien. (Existe-t-il vraiment des mots méchants ? La question ne réside-t-elle pas dans la volonté de qui les prononce, et éventuellement dans sa capacité à la faire comprendre, plutôt que dans le lexique lui-même ? Merci pour ton commentaire en tout cas.) Merci, bonne journée. -
Je t'aime, connasse
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Certes, mais braver le VIH, c'est plus stupide que bad-ass. Pas vraiment un sujet de fierté. -
Les derniers pétales de Rose Quelque chose cloche avec Rose, Je n’ai plus peur du lendemain Pour peu qu’elle me tienne la main ; Mes sentiments à l’eau-de-rose Ont cessé leur sauve-qui-peut, Faut dire que j’aime un peu. Qu’arrive-t-il tout d’un coup ? j’ai chaud Et mes tempes perdent les eaux, Ça doit être un début de fièvre. Je suis peut-être contagieux, Il vaudrait probablement mieux Qu’elle se mêle de ses lèvres. Mais elle est pendue à mon cou, Et c’est vrai que j’aime beaucoup. J’ai les pommettes écarlates, Je halète, j’ai les mains moites, Une insolation, sûrement. Voulant m’éviter un malaise, Rose me propose une chaise, M’aide à ôter mes vêtements. J’ai toute foi en son traitement, Car je l’aime passionnément. Ah ! je vois qu’elle aussi étouffe sous ses fringues… Au risque de passer pour hypochondriaque, Elle prend pas le temps de les plier, c’est dingue ! (Elle est en général farouchement maniaque), Je crois bien que je fais une crise cardiaque… Fausse alerte, je suis vivant, presque pimpant, Et Rose continue d’effeuiller ses pétales, Vite ! un linge humide pour mon front galopant, « Pourquoi tu m’envoies ça ? L’est sec, ton soutif sale. » Mais attends… c’est pour ça que mon p’tit cœur s’emballe ? C’est donc ce qu’on appelle être excité ? Flippant ! Quelques instants plus tard… Je disais donc : trippant ! Vient le tour du dernier tissu qu’elle trimbale, Je fais quoi maintenant ? bof, j’en sais peau de balle, J’attends qu’elle me souffle une didascalie. « T’as oublié à la folie. — Et pas du tout, aussi. Je dirais même surtout, maintenant que tu m’as interrompu. — Ça fait au moins un quart d’heure que tu tapes plus rien. Tu veux peut-être que je te souffle la fin ? — Si ça peut t’empêcher de faire la maligne, te gêne pas ! — Allez, pousse-toi, laisse-faire la pro. — Oublie pas que je fais dans le tous publics ! — Exit les mots bite, couille et niquer, j’ai compris. J’ai le droit à sucer quand même ? — Oh, putain ! — Je déconne, détends-toi. Moi aussi je sais être subtile quand je veux, alors pète un coup. Tiens, va te chercher une bière pendant que je démarre. Et fais m’en péter une tant que t’es debout, c’est ta tournée ! » J’attends qu’elle me souffle une didascalie, Par chance, elle préfère entreprendre à être prise, Prend ma « question » en main, madame s’est servie, Pour tout voyage en train, elle a sa place assise, Descend au septième ciel quand il est desservi. Comme elle est généreuse, au moins tant qu’amoureuse, Parfois elle me laisse errer entre ses fesses, Même si la pratique est un peu douloureuse, Mais moins que de subir ne serait-ce qu’une messe. Veni vidi vici, je suis vidé, merci, Rose aimerait sans doute encore un peu parler, Pourquoi pas ? mais pas fort, je commence à ronfler, L’endorphine connait son job, pas de souci, Au réveil lui dirai : je t’aime à la folie.
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Je t'aime, connasse
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Ça te fait marrer mais moi je peux te dire que je suis pas rassuré à l'idée de choper le SIDA pour des coucheries que je n'aurai pas commises. :( -
Tu interprètes, mal, de manière tellement caricaturale que je ne te donnerai pas la peine de me justifier. Mais je te remercie de te sentir visée. Cadeau : ♪ Quand sonne le tocsin sur leur bonheur précaire, Contre les étrangers tous plus ou moins barbares, Ils sortent de leur trou pour mourir à la guerre, Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part, Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part. ♪
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J'applaudis tous ♪ les imbéciles heureux qui sont nés quelque part ♪ qui n'ont pas peur de s'étouffer dans la mauvaise foi pour défendre leur intolérance crasse. Vous qui avez gagné la nationalité que vous chérissez tant à la sueur du front de votre génitrice la méritez tellement plus...
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L'ombre de moi-même
konvicted a commenté un(e) billet du blog de Jedino dans Blog de Jedino le bouleau
Le salopiaud ne se relit même pas. Mais comme c'est quand même très bon, je le pardonne pour cette fois. -
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Excellent !
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Je t'aime, connasse
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Je te remercie d'avoir lu ce texte, mais je t'avoue que ça m'aurait arrangé que tu l'aies compris. -
Nous étions les hommes, le premier bouquin que je lis de Legardinier mais certainement pas le dernier. L'intrigue est bien tenue, les personnages, attachants (peut-être un peu trop si je dois mettre un bémol), les dialogues, pleins d'esprit. Belle réflexion sur un pan des intrications entre sciences et business.
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En voilà du Jedino bien frais !
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Ouah, sans déc ! Je ne sais pas comment tu fais pour lire des bouquins, moi rien que de voir tous ces mots avec même pas d'images pour faire une pause, ça me donne des vertiges. On parle du contenu d'une vidéo en particulier ici, pas de l'œuvre de Soral.
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Qu'est-ce que ça change ?
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C'est quoi un couple normal ?
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Je t'aime, connasse
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
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Je t'aime, connasse
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Un peu trop neuf à mon goût, tout juste démoulé du polystyrène, je suis encore dans le papier à bulles, mais j'ai déjà presque fini de les crever. (Je suis déjà un peu cramé, cf. mon texte précédent. ) Thanks. -
Je t'aime, connasse
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Je me dis qu'un mec qui s'exprime un peu comme moi a de fortes chances d'être un type bien, d'où il remonte dans mon estime, où il était tombé très bas il n'y a pas plus tard qu'un instant plus tôt en manifestant son existence. Pff, il s'est accordé l'avantage déloyal de naître une paire de lustres avant moi, il n'a aucun mérite sur l'antériorité. Ah oui, laquelle ? "J'aime bien", ça me convient. :p -
Je t'aime, connasse
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Z'êtes rapides, dis donc ! Merci pour vos promptes réactions. Ah ! c'est que je n'avais pas prévu que ce soit spécialement drôle, mais tant mieux, je crois. Ah oui, il t'a dit texto : "je t'aime, connasse" ? Si oui, tu lui diras d'arrêter de me plagier. Et qu'il remonte tout de même dans mon estime. Merci. Je ne l'insulte pas vraiment, je suis volontairement excessif pour lui faire sentir mon exaspération face à la bêtise de la jalousie. Mais c'est un emploi affectueux du mot connasse, un peu comme embrasse-moi, idiot n'est pas une offense à l'intelligence dudit idiot. (Je est un autre.) -
Je t'aime, connasse « Je n'ai d'yeux que pour toi. » Tristes fadaises ! Y a pas plus con comme banalité, Comme il n'y a pas de courage à l'aise, Sans tentation, pas de fidélité. Je laisse les œillères aux chevaux Et aux Casanova des caniveaux, Si aucune rivale te menace, C'est simplement que je t'aime, connasse. Tu te fais du souci pour des loucheries, Jalousant des regards superficiels, Fantasmant des vaines coucheries, De tout petits plaisirs sacrificiels. C'est une preuve d'amour, ah, tu crois ? Plutôt d'un manque de confiance, en toi, Je peux pas t'en vouloir mais ça m'agace, Tu sais pas combien je t'aime, connasse ?
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C'est justement pour ça qu'on fait les malins. Enfin surtout Tequila, parce que moi j'ai le génie modeste. Mais en l'occurrence, je pense que ce que tu appelles talent tient essentiellement de l'envie, de l'exigence et éventuellement de la vanité.
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Oui, je te comprends, mais notre Jedino n'a pas l'air de s'être trop cassé le cul pour les rimes sur ce coup alors je ne trouve pas ça choquant dans le contexte (contrairement à des rimes moins licites que la décence me défend de citer). Mais je me souviens parfaitement de ce texte ! Après recherche et relecture. Mais faut pas m'en vouloir, j'ai une mémoire des plus erratiques.
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Pourquoi ça ?
