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Soyons indulgents envers les psychopathes
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Si je ne m'abuse, futurs psychopathes ou non, tous les gamins sont cruels. Et les gosses, eux (par opposition aux pseudoscientifques et non aux psychopathes), ont au moins l'excuse de ne pas avoir conscience de la cruauté de leurs petites expériences. -
Soyons indulgents envers les psychopathes
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Si on leur fait l'honneur de les appeler des scientifiques, oui. Faut dire qu'ils n'ont certainement pas l'intelligence nécessaire pour appréhender la suprématie du chat. -
Vous êtes-vous déjà demandé ce que ça faisait de plonger quelqu’un dans un sommeil éternel tout juste mouvementé par des vers saprophages, d'expérimenter ce sentiment de puissance absolue alors que vous regardez la vie quitter ses yeux entre vos mains moites enserrant son cou avec une force que vous ne vous soupçonniez même pas, cette jouissance orgasmique pendant que vous pénétrez sa chair, ses muscles, ses entrailles d’une lame en acier inoxydable qui s’y connaît toutefois en occido-réduction au silence et que vous retirez ensuite avec une patience infinie pour profiter pleinement de la chaleur des fluides vitaux qui ruissellent alors sur vos mains pour l’un et dans votre caleçon pour l’autre ? Non ! vraiment ? Moi non plus ! En revanche, les psychopathes ne se privent pas de donner corps à mes pensées morbides. Pardon, à leurs pensées morbides. Naturellement, j'admire beaucoup l'idéalisme de ces jeunes humanistes, le côté « je lutte contre la surpopulation et la crise du logement comme je peux, avec mes petits moyens ». Seulement, je ne pourrais pas devenir psychopathe pour la bonne raison que j'aime trop les chats. Parce que, oui, tout bon psychopathe qui a l’ambition de devenir un tueur en série se doit de faire ses armes sur les chats, ou d'autres espèces d’animaux domestiques comme les matous, les minets, les minous, les mistigris ou encore les greffiers. Or, je suis incapable de faire souffrir ces petits moustachus qui ont leur place contre le sein de Margot, chez Jeanne, ou à la rigueur sur le toit, mais certainement pas dans un mixeur. Pour tout dire, je n’ose pas même enculer une mouche sans son consentement. Je tiens à rassurer les psychopathes qui me lisent en précisant que je ne porte pas un jugement moral sur le fait d’éventrer, de tronçonner, de noyer ou d’étrangler des chats. Ou encore de leur fracasser le crâne à coup de marteau, de les plaquer contre un mur, de les électrocuter ou de les donner à manger à un python. Il ne s’agit bien que de mon sentiment propre. Blâmer des psychopathes — qui violent et tuent des êtres humains, pas nécessairement dans cet ordre — sous prétexte qu’ils ont préalablement fait un peu de mal à quelques vulgaires animaux, c’est n’avoir rien compris au problème. En effet, pendant ce temps-là, des gougnafiers en blouse blanche torturent pléthore de rongeurs, lapins, chiens et autres primates pour mieux lutter activement contre la hausse inquiétante de notre espérance de vie. Bizarrement, ceux-là, on ne les appelle pas des tueurs en série, mais des scientifiques, allez savoir pourquoi. Je pense que la différence de vocabulaire tient dans les subventions que ces êtres infâmes reçoivent pour effectuer leurs expérimentations qui, est-il nécessaire de le rappeler ?, sont de loin moins justifiées que celles des psychopathes. Il est légitime de penser que si un poignard enfoncé dans l’abdomen d’un chat peut conduire à sa mort, alors on peut tuer un homme de la même façon. C’est-à-dire en lui ouvrant le bide d’un coup de couteau, et non en éventrant son chat. Même s’il est très attaché à son animal de compagnie, je doute que le bonhomme meure littéralement de chagrin. En revanche, il est tout à fait ridicule d’imaginer que des données toxicologiques de divers mammifères non-humains puissent être extrapolées à l’homme. Si vous pensez avoir le même métabolisme que les animaux de laboratoire, pourquoi ne récompensez-vous pas la fidélité de votre chien par une petite tablette de chocolat ? En résumé, il serait hypocrite de ma part de reprocher à des tueurs en puissance de laisser libre cours à leur imagination sur les félins de leur voisinage. Mes gels douche et autres anxiolytiques ont vainement torturé à mort considérablement plus de mammifères que des générations de Luka Magnotta. Alors, aussi longtemps que des charlatans déshumanisés seront payés à sacrifier des vies animales sur l’autel d’une pseudoscience absurde au péril de la santé humaine, en toute légalité et avec la bénédiction des autorités incompétentes, je me montrerai indulgent envers l’engeance d’assassins qui ne prétendent pas hypocritement œuvrer à sauver des vies.
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Bonnet phrygien, phrygien bonnet
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
C'est ironique ? (Il me semble que c'est plutôt en premier vers qu'il est commun de foutre le titre, mais je suis tellement inculte en poésie que je n'en suis pas certain. ) En tout cas, c'est assez courant chez moi, même si ça faisait un moment que je ne l'avais pas fait. -
Bonnet phrygien, phrygien bonnet
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
C'est moi qui te remercie d'avoir posé la question. :) Je suis content que tu aies fait attention à ce détail. J'ai bien fait d'éditer mon billet quand je me suis rendu compte que l'italique n'avait pas été conservé par le copier/coller. -
Je tiens à préciser que ce texte n'est pas représentatif de mon état de santé mentale. Il est très édulcoré.
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Bonnet phrygien, phrygien bonnet
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Pour jouer sur les deux sens du terme "burnes". Aller aux putes accrédite mes burnes ("je" est un autre), aller aux urnes accrédite les politicons qui sont également des burnes (dans le sens d'incapables), mais certainement pas les miennes. -
Bonnet phrygien, phrygien bonnet I Personne ne saurait nous prendre en main, C'est à celui qui nous laisse tomber Sans voir la faute alors lui incomber Et hier n'est pas pire que demain. Deux mains maladroites pour chef d'orchestre, Gauches, parkinsoniennes, arthritiques, Dans des gants de cuisine siliconiques, Le système entier est ambisenestre. Sinistre jeu de chaises musicales Auquel le peuple perd à chaque fois Sans jamais vouloir arrêter : "Pourquoi ? Ces pontes-là sont vraiment amicales !" Des potes despotes et branquignols, Un peu d'recul et la vue est sublime, Admirez un peu la mise en abyme, Des pantins contrôlés par des guignols. II Chuis pas de ces connards qui vont aux urnes *, J'aurais le sentiment d'aller aux putes, Et en plus sans accréditer mes burnes, Mais des incapables qui se disputent Comme des gamins ou comme des chiens Le droit de cuissage sur Marianne, Doutant de leurs intentions, je m'abstiens, Y a un nœud coulant à leur fil d'Ariane. Je ne suis ni disciple ni apôtre Pour suivre un gourou comme un benêt ; Une bande de cons ou bien une autre, C'est bonnet phrygien et phrygien bonnet. * Renaud, dans Où c'est qu' j'ai mis mon flingue ? : "C'est pas demain qu'on m' verra marcher Avec les connards qui vont aux urnes Choisir qui les f'ra crever, Moi, ces jours-là, j' reste dans ma turne, Rien à foutre de la lutte de crasse, Tous les systèmes sont dégueulasses."
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Un temple de la langue française ? Sachez, madame, que je ne discrimine pas les mots en fonction de leur taille ; mes textes accordent autant d'importance aux gros mots qu'aux tout petits. Pour cause, n'est pas vulgaire ce qui est grossier, mais ce qui est ordinaire. Si bien, il y a autant de vulgarité à casser le cul des mouches en les enculant qu'à leur casser l'arrière-train en les sodomisant.
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Quoi !? Je n'allais pas me casser le cul à trouver un titre original alors que celui de la source convient parfaitement.
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Je n'en attendais pas moins de ta part.
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Sample de Mistral gagnant dans Pitbull de Booba : Pour le coup, ça n'a rien d'étonnant, Renaud ayant inspiré de nombreux rappeurs.
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J'espère bien que c'est au moins ça.
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Avant que Jedino m'accuse de plagiat, sous prétexte qu'il parle de monstre dans Vaut mieux un que deux (ne me remercie pas pour la pub), je précise que le poème truc qui va suivre est inspiré de The Monster d'Eminem et Rihanna, chanson à laquelle les deux misérables notes en bas de page se réfèrent et dont voici le clip en spoiler : The Monster Estomac en vrac, envie de vomir, Tête penchée au-dessus de la corbeille. Chambre dans le noir. Front brûlant, besoin de dormir, Peux pas trouver le sommeil. Fille à moitié nue. Oreiller trempé de sueur. Bouche bâillonnée. Un méchoui, deux méchouis 1. Pieds et mains ligotés. Peux pas pioncer, trop peur. Ses yeux me regardent. Monstre sur mon lit 2. Ses yeux me transpercent. Flashs dans ma tête. Mes pouces sur ses yeux. Sang sur mes mains. Appuie sur les globes. Couteau dans la droite. Appuie plus fort. Sang séché sur la lame. Là, peut plus me regarder. Trois méchouis, quatre méchouis. Petite culotte sur les genoux. Flashs dans ma tête. La barre dans le caleçon. Flacon de chloroforme. Couteau dans ma main. Compresse sur sa bouche. Lame promenée sur sa peau. Traînée jusqu'à la chambre. Enfoncée dans sa chair. Cinq méchouis, six méchouis. 1 "I'm beginning to lose sleep, / One sheep, two sheep", traduction pour les gens fâchés avec l'anglais : "Je commence à perdre le sommeil, Un mouton, deux mouton". 2 "I'm friends with the monster that's under my bed, / Get along with the voices inside of my head", traduction : "Je suis ami avec le monstre qui est sous mon lit, M'entends bien avec les voix à l'intérieur de ma tête".
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De l'intérêt du judas
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Qui a dit qu'un hommage était forcément posthume ? -
Pardon, je reformule : De quel ion parles-tu donc ?
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De l'intérêt du judas
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Un hommage à Jedino, et puis quoi encore ? -
Vaut mieux un que deux
konvicted a commenté un(e) billet du blog de Jedino dans Blog de Jedino le bouleau
Je n'ai pas grand-chose à dire, je me contenterai de : Paie ton commentaire constructif ! Drôle de personnage, ce Pessoa, d'ailleurs. Ou devrait-on dire drôles de personnages ? -
De quel ion parles-tu donc ?
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De l'intérêt du judas
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Le début de ce texte, et notamment l'histoire du cumul de QI, date de plus d'une semaine, monsieur. -
Est-ce que comme moi vous avez l’habitude de jeter un œil à travers le judas avant d’ouvrir ? Tout en sachant que vous allez ouvrir de toute façon, même si c’est votre pire ennemi, votre voisin trop collant ou, pire encore, le calendrier des pompiers sur le palier, tout simplement parce que, une fois de plus, vous avez oublié de ne pas faire le moindre bruit en courant de votre chambre à l’entrée et que vous ne voulez pas qu’on sache que vous n’êtes qu’un connard. Ou une connasse, c’est vous qui voyez. Quand je dis « à travers le judas », je ne parle pas du plus grand collabo de l’histoire, ça n’aurait pas de sens. À moins que son père fût vitrier, mais je ne pense pas que ce soit précisé dans le bouquin. Une autre possibilité, c’est qu’il ait expérimenté la sodomie avec MC Circulaire… 1 Si vous me parlez d’anachronisme, je vous dirais que le bibelot n’est pas à une incohérence près. Non, je parlais de l’œil-de-bœuf, la petite ouverture qui permet de voir sans être vu — comme la fenêtre de la sentinelle du cinquième 2 —, d’épier les va-et-vient des voisins, de compter le nombre d’hommes qui entrent et sortent de chez la petite jeune d’en face. Notez que « chez » est en option. Ah, la salope ! Je vous arrête tout de suite. Vous devez être en train de vous dire que je suis machiste parce que je la traite de salope sous prétexte qu’elle se tape un régiment par mois. Pas en nombre de pions, mais en QI cumulés, ce qui fait quand même pas loin d’un Bobby Fischer annuel. Alors, sachez que je ne suis absolument pas machiste. Un machiste, ça pense que le rôle des femmes doit se cantonner aux tâches ménagères. Moi, au contraire, j’encourage les femmes à avoir un emploi à temps plein en sus de leurs hobbys casaniers. Toujours est-il que je ne parlais pas de Judas Iscariote, sans quoi j’aurais dit : « à travers Judas », et non « à travers le judas », parce que je ne le connais pas et, pourtant, je le respecte. J’ai beaucoup de sympathie pour ce personnage qui eut le malheur de se voir attribuer un rôle de pas gentil à une époque où on était très tourné bien contre mal, 1 contre 0, empire contre attaque. En outre, c’est le seul, parmi toutes les groupies de Jésus, qui eut l’intelligence de prendre un peu de recul et de se dire que le fils de Dieu était peut-être un peu en train de se foutre de leur gueule. Malheureusement, sa sagesse est toujours restée dans l’ombre des élucubrations du bâtard aquagrade. Franc jeu et ignoré, on peut dire que Judas était doublement transparent, d’où il a laissé son nom au double vitrage. En outre, s’il n’avait pas révélé au monde la vraie nature de l’alpiniste avant l’heure 3 qui mettrait bien des boulangers et des poissonniers au chômage, près de deux mille ans après la mort de J.-I. — ou devrais-je dire ses morts, puisque le brûlot le tue de plusieurs façons —, notre monde serait encore soumis à des principes rétrogrades de courants de non-pensée où l’on pourrait compter les moutons sans pour autant chercher le sommeil. Oui, un peu comme dans la manif pour tous, vous avez raison. Cependant, veuillez cesser de changer de sujet. La question en jeu est bien de juger de la légitimité du judas. D’ailleurs, ça me rappelle que vous avez fait erreur : c’est l’œil-de-bœuf qui a été baptisé en hommage à Judas, pas le double vitrage. Pourquoi affubler nos portes de ces trouble-fête qui… En effet, je n’ai jamais entendu qui que ce soit dire : « Ouvre le judas, on étouffe ici ! ». Oui donc, je disais : pourquoi affubler nos… Ou alors, si on change un peu la ponctuation : « Ouvre-le, Judas, on étouffe ici ! », effectivement, on a le droit de penser que ce Judas n’était pas un enfant désiré, sans quoi ses parents lui auraient sans doute donné un prénom plus passe-partout, comme André. Pourquoi donc affubler… Attendez, on dirait : « Ouvre-la, Judas, on étouffe ici ! » dans ce cas, ce qui confirme bien que la distinction est flagrante. Bref, peu importe ! Concentrons-nous plutôt sur la vraie question : pourquoi affubler nos… À moins qu’on parle du réfrigérateur, qui, laissé ouvert, est une excellente alternative à la climatisation. Pardon d’insister, mais c’est important de bien faire la différence entre un œil-de-bœuf et une fenêtre, si subtile soit-elle. Si Grand Corps Malade nous slammait : « Vu d’mon judas, y a qu’des bâtiments » 4, on saurait qu’il ment sans même qu’il nous parle de verdure, les deux premiers vers seraient donc gâchés, ou balancés par les fenêtres. D’ailleurs, petit moyen mnémotechnique, qui s’adresse surtout aux employés d’Orange : on ne peut pas se jeter d’un judas. J’en reviens à ma question : pourquoi affubler nos portes de ces trouble-fête qui gâchent toute spontanéité et favorisent l’hypocrisie ? Quand une bande d’opportunistes inopportuns vient frapper à votre porte à l’improviste sous prétexte de profiter d’être de passage dans les parages pour s’arrêter dire bonjour, comme par hasard à l’heure de l’apéritif alors qu’il n’y a plus rien dans vos placards — si ce n’est un fond de bouteille de pastis et les miettes d’un paquet de bretzels —, pour peu que vous soyez perspicace, vous pouvez vous dire qu’il y a assez de P dans cette phrase trop longue pour déshydrater un postillonneur aussi baveux que je suis bavard. Alors, si vous avez le malheur de jeter un œil par le judas, non content de vous gâcher la surprise, vous allez priver vos convives fortuits de votre mine déconfite que vous allez vous faire un devoir de gommer avant de leur ouvrir, politesse oblige. Le comble, c’est qu’en réaction à votre accueil chaleureux bien qu’artificiel, les bougres auront la bonne idée de recommencer leur méfait, et en toute bonne foi ; comme le dit le proverbe : « chassez le naturel, ils reviennent au galop, les saligauds ». Maintenant, imaginez la même situation sans judas. Vous ouvrez la porte sur les indésirables et ne pouvez pas vous empêcher d’afficher une certaine déception, bien que vous ne vous attendissiez à rien, ou plutôt parce que vous ne vous attendiez à personne. Là, le plus rusé de la bande émet l’hypothèse qu’ils vous dérangent, vous confirmez poliment qu’ils tombent au mauvais moment et ils rebroussent chemin, victoire ! Conclusion : le judas est un horrible créateur de liens sociaux. 1 "J'vais tellement t'enculer / Que quand tu bâilleras, on verra le jour", MC Circulaire, Sodomie. 2 "Je suis un voisin du dessus, / Une sentinelle, un gardien de phare", Bénabar, Voir sans être vu. 3 "Bien sûr, il est normal que la foule révère / Ce héros qui jadis partit pour aller faire / L'alpiniste avant l'heure en haut du Golgotha", Brassens, L'Antéchrist. 4 "Vu de ma fenêtre, y a que des bâtiments / Si je disais que je vois de la verdure, tu saurais que je mens", Grand Corps Malade, Vu de ma fenêtre.
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Un peu de sérieux, Jedino ! On parlait de culture, pas de QI.
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Ouh là, je ne peux pas me permettre d'être aussi exigeant !
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Le titre n'est ni un calembour ni une référence à Brassens. Le cyprès est simplement une métaphore de la mort, étant emblématique des cimetières. Cela dit, je ne le saurais pas sans La ballade des cimetières de Brassens : ♪♪ Le jour des morts, je cours, je vole, Je vais infatigablement De nécropole en nécropole, De pierr' tombale en monument. On m'entrevoit sous une couronne D'immortelles à Champerret, Un peu plus tard, c'est à Charonne Qu'on m'aperçoit sous un cyprès. ♪♪
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Je suis bien obligé de pardonner ton calembour, vu que j'y avais malheureusement pensé. :( Je n'avais absolument pas prévu d'ajouter un gamin à l'équation, à la base. Je ne m'en suis rendu compte qu'après l'avoir finie que la dernière strophe allait un peu à l'encontre de l'idée de départ. Mais comme je la trouvais bien quand même, je me suis dit : "fuck ! je laisse ça comme ça". Du coup, effectivement, je suis arrivé un peu loin de la non demande en mariage, d'autant que le texte de Brassens va bien au-delà du rejet du mariage puisque le concubinage en prend tout autant pour son grade (Brassens lui-même a eu une relation assez peu conventionnelle durant les 30 dernières années de sa vie étant donné que sa compagne et lui ne vivaient pas ensemble).
