konvicted

Il pondait déjà des titres comme ça avant. Il ne fait pas de progrès, il régresse en bien.

On peut serrer un tas de choses. "Je te serre un café ? - Non merci, je le bois toujours allongé. - Très bien, mais essaie de ne pas en foutre partout, je viens de laver la moquette."

Si tu veux mon avis, peu importe comment on l'orthographie, on fait toujours une faute en l'écrivant, du moins de goût. Mais en l'occurrence, je ne vois pas pourquoi ça ne s'écrirait pas "bolos". Ça ne rime pas avec "crosse", "bosse", "gosse", etc. mais avec "Nikos"...

Ça tombe bien, la facilité est l'une de mes deux spécialités. L'autre, c'est la difficulté, mais j'y excelle tellement que j'ai décidé de l'éviter, pour me confronter au challenge et ne pas tomber dans la facilité.

Tout ça pour ça ! Par pitié, la prochaine fois, suppose que j'ai compris que tu n'avais rien à dire. Parce que sinon, je ne pas quoi te répondre, alors je ne te réponds rien. Puis, je ne sais pas si je suis resté muet parce que je n'avais rien à dire ou parce que je n'avais pas vu ton commentaire. Alors, dans le doute, je me décide à préciser que je n'ai rien à dire. Mais au dernier moment je me rends compte que je suis en train de plagier ton commentaire et ce que serait insensé de risquer que Jedino me colle un procès au cul pour avoir copié un silence.

Villon, l'adfersaire de Copé ?

Il y a comme un truc qui me dérange là-dedans mais je n'arrive pas à mettre le doigt dessus... Ah oui ! il y a une lettre en trop à Membres.

Correction, il n'y a rien de plus énervant qu'un faux débat quand on corrige des fautes en paix.

Un classique du genre : Si, si, on peut fesser avec des mots, ouvrez vos chakras ! Pourquoi croyez-vous qu'on parle de violence verbale ?

Dans ce cas, non.

Je ne sais pas quoi te répondre, je ne comprends plus rien à cette discussion. Est-ce que non veut de nouveau dire non ou veut-il encore dire oui ?

Comment ça, Tequila t'en a soufflé mot ? Je lui avais fait promettre de garder ça pour lui, quel salaud !

Hmm, c'est pertinent. Voilà, maintenant il apparaît TROIS fois. Tu sais plus quoi dire, hein ?

:) Effectivement, en temps normal les ballades ont un refrain (le dernier vers de chaque strophe). Et puis, j'ai glissé deux vers qui font 11 pieds au lieu de 10, mais ça reste entre nous.

Merci à ceux qui m'ont lu, y compris ceux qui prétendent ne pas l'avoir fait, ceux qui l'ont fait parce qu'ils se sentaient coupables, à raison, de leur faute de goût, ceux qui, modestes, l'ont fait sans se vanter de leur exploit et même Jedino. Hmm, une ballade pour les gens qui me lisent, c'est envisageable. Si c'est pour poster ça, je préfère encore l'époque où tu me lisais, mais merci quand même. Rendons à César le pâté qui lui appartient, je dois 40 % de mes lectures à Jedino. Tout ce que je connais du racolage, c'est lui qui me l'a appris !

Encore une ballade, mais une longue cette fois-ci ! Ballade pour la donzelle de l'arrêt de bus Alors que je faisais le pied de grue, Commençant tout juste à m'impatienter, L'attente d'une durée incongrue Me parut plus facile à supporter Quand je vis cette beauté se pointer. Donc sitôt de retour de ma balade, Tant que son souvenir m'a pas mis malade, Je compte jouer de mon plus beau phébus Afin de balbutier une ballade Pour la donzelle de l'arrêt de bus. J'ai imaginé à première vue Qu'elle avait troué chaussure à son pied, Mais paraît que l'ouverture est prévue, J'en fais ni un procès ni un papier, Après tout, du moment que ça lui sied. Elle marchait à un train raisonnable, Exhibant ses jambes interminables Aux poils de frais décimés rasibus Sous un short à la courteur intenable, Dans la direction de l'arrêt de bus. Et en chœur avec mon regard, ma fièvre Grimpait à un rythme des plus malsains, Des reins aux yeux en passant par les lèvres, Ses cheveux blonds vainement lissés ceints D'un serre-tête discret à dessein, Au fur qu'elle descendait l'avenue, Et puis j'achevai de monter aux nues, Je chevauchai un cumulonimbus Quand elle m'a souri, la belle inconnue Bientôt arrivée à l'arrêt de bus. À peine quelques mètres de distance, Je pensais putain de merde, en substance, Je suais un ruisseau de frontibus, Un gus manifesta son existence, Passa devant moi, embrassa la Vénus.

Ballade inspirée de de SDP (cette fois c'est cohérent) et dédicacée à tous ceux qui ne la liront pas. Ballade pour les gens qui ne me lisent pas Faute de temps, faute de goût, Il ne leur vient jamais en tête De s'émouvoir de mon bagout, De mes mots les plus beaux ou bêtes. Ont-ils oublié d'être esthètes, Attendent-ils mon premier pas Ou sont-ils juste analphabètes ? Les gens qui ne me lisent pas. Même en râtissant les égouts, Je ne trouverais l'épithète Caractérisant mon dégoût Pour l'inculture satisfaite Poussant à donner de la tête Du berceau jusques au trépas En dehors de mes strophes parfaites Les gens qui ne me lisent pas. Ça ne leur tordrait pas le cou, Coûterait pas une courbette, D'en lire un peu sinon beaucoup, Au moins par-dessus la gambette. Mais ma dignité n'est pas prête À faire des ronds de compas Pour admettre que je regrette Les gens qui ne me lisent pas. L'ignorance étant leur défaite, Ils m'en voudront sûrement pas Si je leur fais ainsi leur fête, Les gens qui ne me lisent pas.

Déjà que Jedino nous prive des titres absurdes et sans rapport avec le contenu qui faisaient partie de sa signature, voilà qu'il se met au racolage, tout ça pour être lu par une sorcière. Vous devriez avoir honte de vous, tous les deux.

Oui, moi aussi.

Tout de même, je choisis d'avoir plutôt peur de la vie.

Il me plaît de plus en plus, ce p'tit Tequila.

Désolé les mecs, mais, au mépris de la solidarité masculine, je me range du côté d'Ocytocine, par esprit de contradiction envers la majorité que vous représentez.

L'aurore d'un jour scolopendre ? Je propose que tu classes ce poème dans la catégorie poez-kon-comprend-pas, ou en tout cas poez-que-kon-comprend-pas. Hop hop hop, dépêche-toi de corriger ça avec qu'Ocytocine te fasse la tête au carré.

C'était un bon début, pourquoi ne pas persévérer la prochaine fois ? :p "Elle" ne voulait pas respecter le nombre de pieds, mais j'admets que ça fait tache. Je vais corriger ça, mais je vais devoir sacrifier un peu de sens, je t'aurai prévenue.