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Tout ce qui a été posté par konvicted
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Drôle de connexion. Merci. Et dans un avenir proche, s'il te plaît, Jedino est en train de refaire son retard !
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La semaine dégueulasse du 29 décembre
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
(Une fausse bonne idée.) -
Bernard Il n’était pas volubile à la façon d’un Renard, Disait à peine bonjour, au revoir à la limite Et comme il avait toujours vécu seul tel un ermite, À l’usine automobile, on le surnommait Bernard. Nul n’aurait pu le surprendre à conter dans le détail Les périples anodins d’une existence rangée, Ce n’est pas que ce gredin en eût eu l’humeur changée, Mais il n’avait su apprendre à se confondre au bétail. Les quelques soirs de virée au bar après le boulot, Il n’était pas invité ou seulement pour la forme, Personne n’eut suspecté qu’il déviât de sa norme Pour le temps d’une soirée aller tâter du goulot. Lorsqu’il roula sous la table, il fut réduit à chasser Quelques rumeurs le disant du rang des fous ou des bègues, Joignant le peu reluisant babil creux de ses collègues Qu’il eût trouvé lamentable avant de se fracasser. Depuis cette renaissance, oubliant son sobriquet On l’appelait par son nom de descendance allemande, Chaque fois, crénom de nom, on en faisait la demande Et non sans reconnaissance il venait au bistroquet. Il mourut, triste ironie, au moment même du pot De son départ mis sur pied avec grande minutie ; Avec la Camarde il sied d’apprécier la facétie Mais nous l’avons bien honnie en ralliant seuls le tripot.
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La semaine dégueulasse du 29 décembre
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Ben tu vois, quand tu veux, tu peux être clair ! Si t'avais posté cette vidéo dès ton premier commentaire, on en aurait évité trois de plus. :p Mais c'est pas mal, je sens que ça ma va faire un abonnement Youtube en plus. Quant à son gimmick "bonne semaine de merde, les copains", je dirais que les grands esprits se rencontrent. -
"On" dit souvent de la merde, parce qu'un cadeau n'est pas une récompense, ça se donne, ça ne se gagne pas.
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La semaine dégueulasse du 29 décembre
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Je ne comprends plus rien à cette conversation. -
La semaine dégueulasse du 29 décembre
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Je ne veux rien, c'est elle qui voulait. Cela ne fait rien, je suis content quand d'autres se trompent. Comment ça, "il finit toujours" ? Tu veux dire, à chaque fois tu le lis ? C'est louche. -
La semaine dégueulasse du 29 décembre
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
La transgenre. Ce serait plutôt le contraire, en fait. J'avais presque fini ce billet quand j'ai lu l'histoire de Leelah Alcorn. Mais me voir journaliste... tu ne crois pas pousser le bouchon un peu loin ? Bonjour Tristesse, le roman de Sagan ? Merci google. Je ne sais pas si je suis davantage flatté que tu me prêtes davantage de culture que j'en ai réellement ou insulté que tu m'accuses de plagiat. Une nouvelle fois. :p -
Ce n'est pas pire que les gens qui sont fiers d'être français alors qu'ils n'ont rien fait pour ça.
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Premier volet d'une éventuelle suite de chroniques mensuelles comme le titre le suggère. J'ose penser que cette précision sera inutile mais mieux vaut prévenir que guérir : il ne faut pas tout prendre ce qui suit au premier degré. Seulement les trucs méchants. Chroniques hebdomadaires, merci, je vois qu'y en a qui suivent.
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Je n'en suis pas encore là, mais je ne me décourage pas d'y arriver un jour, il me reste au moins quelques années à vivre.
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Je pensais que tu serais déjà passé devant. Peut-être dans quelques mois.
(Je ne t'en veux pas, c'est pour la même raison que je n'en fais pas. Bonne année quand même.)
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Je disais ça parce que je n'y connais absolument rien à Mallarmé. Si je me permettais un calembour aussi facile, je dirais que j'étais bien mal armé pour te répondre sérieusement.
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Merci. C'est vrai que je suis plutôt satisfait de celui-ci. C'est un projet en cours. Je parle d'écrire du théâtre. Publier, j'y penserai peut-être sérieusement quand j'aurai pris le temps de retravailler suffisamment de textes pour avoir assez de matière, mais ça n'a rien d'urgent. Mais merci. Oui, ça doit faire plus d'un siècle que ce verbe s'est éteint, en dehors de son participe passé, mais je dois avouer des tendances nécrophiles. Misogyne ? Peut-être, mais ça m'intéresserait que tu m'expliques en quoi. C'est vrai que la gent féminine n'y apparaît que, sous les traits de la femme du "traître", comme conne, infidèle et éventuellement manipulatrice. Mais elle n'est décrite que par un homme plus déloyal encore que ses amis, de mauvaise foi et sciemment excessif dans ses propos. Il la dévalorise pour manifester sa prétendue incompréhension face au choix de son ami mais je vois plus ça comme l'expression d'un ressentiment envers ledit ami plutôt qu'un véritable mépris pour sa femme. Pour ce qui est des adultères, raconté comme ça, on dirait que les femmes en question sont des Marie-couche-toi-là, qu'il suffit que le narrateur les désire pour qu'il les possède. Mais, encore une fois, c'est une narration très subjective, et elliptique (on ne sait rien des efforts du narrateur pour les conquérir). Et, surtout, je ne pense pas avoir donné une dimension immorale mais plutôt amorale à l'infidélité : lui, qui se sert de la trahison de ses amis comme un prétexte pour les faire cocus, est au moins aussi responsable qu'elles si elles trompent leurs maris respectifs. Si lui n'exprime pas le moindre signe de culpabilité, pourquoi blâmerait-on ses maîtresses ? J'aime beaucoup la façon dont Brassens traite la thématique du cocu, qu'il a abordée du point de vue du cocu (notamment dans Putain de toi et Le cocu) et davantage encore du celui de l'amant (dans Lèche-cocu, A l'ombre des maris, La traîtresse, Le bulletin de santé, etc.) avec légèreté et je dirais même avec frivolité. L'infidélité apparaît alors comme quelque chose d'anodin, d'inconséquent, ce qui n'est sûrement pas sans rapport avec sa vision atypique du couple. Après, je ne me compare pas à Brassens évidemment et le ton de ce texte en particulier manque au moins d'un ingrédient qui fait que Brassens pouvait faire passer pire que ça, à savoir l'autodérision. T'es peut-être un peu trop généreuse sur "comme d'habitude" mais merci. De rien, ça fait du bien d'être de retour.
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Si vous vous posez la question, un formidable est un verre de bière de un litre, onques est ici synonyme de jamais, hymen veut dire mariage et légitime, épouse. Comme le dit le proverbe, c'est dans les vieux mots qu'on fait les meilleures rimes.
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Le traître Nous étions trois jeunes jobards Unis comme cul et chemise, Les copains d’abord pour devise ; Soir après soir, bar après bar, Tissions un lien indémodable Trinquant autour d’un formidable. Mais le plus faible d’entre nous, Brisant la promesse que onques Ne viendrait s’intrure quiconque, Chut stricto sensu à genoux Pour une femme des plus bêtes Dont seuls s’éprennent les esthètes. La diablesse mit le grappin À très courte longueur de chaîne Si profondément dans sa couenne Qu’au rendez-vous des bons copains, Nous n’étions souvent qu’une paire Maudissant ladite vipère. Quand il se pointait, foutredieu !, Ce bougre d’ami infidèle Ne savait plus parler que d’elle ; Nous deux peu miséricordieux, Vexés, amers, jaloux peut-être, Le rebaptisâmes le traître. Le traître, le félon, Judas, Horreur, comble de l’indécence, Après quelques longs mois d’absence, Sans en rougir nous demanda Au moment de nos retrouvailles Pour témoins de ses épousailles. Ayant dit à grand-peine amen, J’eus la hardiesse de me croire Enfin à l’abri des déboires Mais venu le jour de l’hymen Mon dernier ami en pensée Se trouva une fiancée… Nous étions trois jeunes amis Unis comme cul et chemise Avant que l’amour nous divise ; Moi qui ne suis pas bien remis M’octroie un réconfort ultime En besognant leurs légitimes.
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"Les un an de", patati, patata. On fait rarement plus agrammatical comme expression. Honte à celui qui l'employa le premier.
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Admettons.
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Etats-Unis : un enfant de deux ans tue sa mère avec un pistolet
konvicted a répondu à un(e) sujet de Dinosaure marin dans International
Un orphelin de plus. -
En l'occurrence, si j'avais fait plus vite, le poème aurait des trous partout. Mais si j'étais vraiment consciencieux, je ne présenterais pas ce poème avant qu'il me convienne parfaitement, ce qui est assez loin d'être le cas.
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Inspiration est un bien grand mot (Stevie Kenarban en prendrait plus d'une pour le prononcer), ce texte est resté incomplet pendant une dizaine de jours avant aujourd'hui, mais y a du mieux.
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Drogues dures Chais pas si le dernier a déjà fait effet Ni s’il fera effet, étant devenu norme, Mais je me sens si loin du top de ma forme, J’en suis pas à un près, je reprends un café. Je m’en voudrai ce soir, trouvant manquer d’espace Dans les bras de Morphée, écœuré de compter Des moutons par milliers, pensif et agité, Ne pouvant pas fermer les yeux sur cette tasse. Mais la caféine est une drogue si douce… Paraît qu’avec le sucre, il faut y’aller mollo Alors je mets un peu d’eau dans ma grenadine Mais qu’on ne touche pas au miel de mes tartines, À mes trois chocolats et à mes marshmallows. Je m’en voudrai bientôt, quand j’aurai le diabète, Faisant une croix sur les gâteaux, les bonbecs, En repentir forcé à l’eau et au pain sec, On n’regrette jamais à l’avance, c’est bête. Mais le saccharose est une drogue si douce… Les dégâts de l’alcool ne sont pas folichons Alors je mets un peu d’eau dans mon verre de jaune, Mais pas touche à mon vin, comptez pas sur la faune Médicale pour me monter le bourrichon. Je m’en voudrai plus tard, contraint par la cirrhose À bien vouloir baisser les coudes pour de bon, Gratifiant l’ancien moi de jurons furibonds ; En l’attendant pénard, la santé, ça s’arrose ! Car l’apéritif est une drogue si douce… Et le moment venu de payer l’addiction, Pour ne pas trop souffrir des effets du sevrage, Je voudrai une amour dans la force de l’âge Pour ultime intoxication.
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Oui, j'ai pensé à caser single, mais fuck it, j'aime pas trop les anglicismes.