Ocytocine

Parfaitement, il faudrait une égalité sur ce point, il n'y a pas de raison. Selon moi, si inégalité naturelle il y a, elle réside dans la grossesse (encore que les techniques de préparation à l'accouchement impliquent de plus en plus le papa pour favoriser le contact à travers le ventre de la mère). Au delà, il n'y a pas de raison pour qu'il y ait un lien plus fort pour un sexe que pour l'autre. Chaque sexe est apte à élever un enfant. L'argument "cette injustice n'est pas bien grave puisque nous aussi nous connaissons des injustices" est un peu léger. On va juste faire des comparaisons alors? Combien d'hommes prostituées pour des femmes prostituées? Combien d'hommes subissent du harcèlement sexuel contre combien de femmes?... :smile2:

:smile2: Je commence à saisir l'intérêt du brevet...

C'est qui "on"? Sinon, faut pas chercher très loin

Je veux bien le croire, mais je ne serai pas contre une démonstration appuyée à l'aide d'exemples, des cas où il est bien cruel d'être un homme plutôt qu'une femme. C'est vrai. C'est bien là où je veux en venir. De façon générale, oui, indéniablement, comparativement à la situation des femmes dans d'autres pays, mais il y a bien des cas qui résistent à l'évolution, et de façon grave. Pourquoi? Pourquoi? Je ne mords pas. Discutons, je ne demande qu'à apprendre et à comprendre.

:smile2: Si tu savais réfléchir et t'exprimer en français tu aurais compris le sens du sujet. Si je mets un point d'interrogation, c'est bien que la phrase n'est pas une affirmation. Je ne pense absolument pas ce que tu prétends. Au contraire, je trouve que les femmes sont plutôt favorisées dans notre pays par rapport aux autres et je m'étonne simplement qu'il y ait encore ces situations de régression qui font qu'il peut être un désavantage d'être une femme (je pensais surtout aux filles dans les banlieues qui ont du mal à trouver leur place par rapports aux garçons et à pouvoir assumer leur féminité, aux femmes voilées que je rencontre dans mon quartier qui portent des gants en plein été, aux abus sexuels, etc.). J'étais à des milliers de kilomètres du partage du changement de couches culottes et du machisme. C'est dingue qu'au XXIe siècle, si on est pas soumise et qu'on ne veut pas rester dans des schémas archaïques, on est tout de suite traité de féministe, avec tout le mépris qu'il est d'usage de montrer quand on emploie ce mot.

C'est bien de féliciter insumisa de dire ça alors que juste avant tu as tenu ce genre de propos. :smile2: Les femmes ne désirent pas gommer les différences hommes/femmes, elles aspirent à une égalité de traitement et de droits, ce qui n'est pas du tout la même chose. Cela ne me réjouit pas de voir qu'au nom de revendications féministes de plus en plus d'hommes subissent des violences conjugales: un homme mourrait tous les treize jours sous les coups de sa compagne, contre deux jours pour les femmes.

C'est vrai qu'on assimile la féministe à une folle castratrice. Dommage d'avoir honte du féminisme qui nous a tant apporté... et même indirectement aux hommes, quand on prend l'exemple de la contraception, laquelle évite aussi aux hommes d'avoir un enfant non désiré... J'aimerais assez que tu développes car il me semble que cette inégalité naturelle ne dure que neuf mois par enfant (et donc 0, si pas d'enfant dans un couple ) sur toute une vie donc je ne vois pas trop les effets sur "ce à quoi les féministes aspirent" (heureusement que ce ne sont que les féministes d'ailleurs, ouf :smile2: ). Tu mélanges la grossesse et le fait d'élever des enfants, qui peut être réalisé par l'homme (sinon je plains les veufs et les divorcés): un homme peut changer des couches, donner le biberon ou un repas, lire une histoire, faire faire les devoirs, acheter un pantalon ou des moufles, etc. Si si, c'est scientifiquement prouvé. Tout à fait d'accord. Si une femme est au chômage et qu'elle n'a pas d'enfant (parce que ça ne s'obtient pas en claquant des doigts et qu'il n'y a aucun rapport de nécessaire cause à effet entre le fait d'être une mère et celui d'être femme), elle n'est rien socialement. Ben quand la femme assume toute la charge parentale, c'est déjà de la sous-traitance. Faux. L'enfant reconnaît son père, dont il entend la voix pendant la grossesse. Il n'y a aucune "disposition" en tant que telle, juste des habitudes identitaires et culturelles. C'est pour ça qu'il y a des femmes qui choisissent de devenir garagistes, des hommes de devenir sage-femme (je ne me souviens plus du terme masculin), etc. Si c'était une disposition à ne pas l'être, ce serait réellement impossible.

J'ai pas compris ça comme ça, moi. :smile2: Si pour le forum tu utilises une boîte mail spécifique (c'est mon cas), tu as les fonctions que tu recherches pour faire le tri, que le forum ne t'offre pas. Personne ne connaît l'adresse. Par contre, je n'ai pas bien compris l'intérêt, puisqu'on ne lit pas les messages directement dans le mail. P.S.: j'ai bien aimé le néologisme "mpteurs"

Logique mais stupide, SN3. Cela exclut de l'emploi une femme stérile ou qui ne veut pas d'enfant, peut-être plus compétente que l'homme qui aura été pris à sa place: la logique économique ne s'applique aussi que sur des suppositions.

dictée n°15: Après les assendants, le lignage nous conduits non-directement aux descendans, aux enfants, mais aux colatéraults particuliers que sont, surtout dans la cas de Saint-Louis, les frères et les s¿urs. Si la disparition de ceux qui sont morts en bas-age ou très jeune a affecté Saint-Louis, nous n'en savont rien. Ils n'ont laissé aucune trasse notable dans l'hisoire que celle d'avoir abandonné la première place à louis et d'avoir enrichi ou modifié les éritages. Reste les survivants. Trois frères, pûis deux: Robert, l'ainé, né en 1216, tué en égypte à la bataille de la Mansourah en 1250; Alphonse, né en 1220, qui moura en Italie au retour de la Croisade de Tunis en 1271 ; Charles, né en 1226 (plus probablement qu'en 1227), qui deviendra Roi de Naples et de Sicile en 1266 et moura en 1285, après avoir perdu la Sicile en 1282, lors du soulévement des Vêpres sicilienes qui profite aux Aragonais. Ces frères, il faut les prendre ensembles. D'abord parce qu'ils constitue, en vertu d'une décision de leur père, le groupe des Princes fils de Roi qui ont reçu une seigneuri spéciale prise sur le domène royal, un apanage. Saint-Louis respecte la volonté de son père, mais c'est lui qui l'éxécute comme une décision propre. Extrait de: Jacques Le Goff, Saint Louis, Gallimard, 1996.

"La femme de ton prochain tu ne convoiteras pas" Exact. Cela m'est arrivé dans 3/4 de mes entretiens d'embauche. :smile2:

Bonjour. Il y a eu en France de gros progrès en matière d'égalité homme/femme. J'aimerais savoir si les femmes de ce forum ont eu l'impression au cours de leur vie de souffrir, d'une manière ou d'une autre, d'être une femme et non un homme. N'avez-vous pas comme moi parfois l'impression que si globalement on tend vers l'égalité, dans de plus en plus de cas particuliers il y a une certaine régression ?

Voici le petit dernier, Kheops:

Déja essayé en Lozère, il y a bien longtemps. J'ai bien aimé, car on voit des choses magnifiques. Mais j'avais une préférence pour les expériences verticales. Les boyaux m'oppressaient un peu, je ne pouvais pas m'empêcher d'avoir peur de rester coincée derrière un gros. Quand j'habitais dans le Doubs j'ai failli y retourner (j'ai un ami qui en fait), mais finalement l'occasion ne s'est pas finalisée. ...et maintenant c'est moi qui risquerait de boucher le conduit. :smile2:

C'est vrai que c'est inquiétant quand on y songe. 'fin, faut arrêter les psychotropes, c'est dangereux pour le cerveau. :smile2:

Opignon II, le Retour. :smile2: