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Nikaa

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Tout ce qui a été posté par Nikaa

  1. T’as cru c’était des brebis ? T’as même pas vu cette époque. C’est un film que tu te fais. Les révoltes d'esclaves étaient fréquentes, souvent déclenchées par des conditions de vie particulièrement dures et des mauvais traitements. Elles étaient brutalement réprimées par l'armée romaine. Dernière guerre servile 6000 esclaves cruxifiés après la victoire de l’armée.
  2. Ou plutôt le lavage de cerveau pour les nuls. Un délire. Les esclaves deviennent libre et sont heureux. Mais oui. De la main d’œuvre gratuite joue toujours un rôle. Super script. Il était content de travailler gratuitement comme esclave puis, un jour, comme par magie, il est devenu propriétaire et s’est affranchi. Comment mentir et faire croire que la folie humaine était une bonne chose ? À une vision edulcoré de l’esclavage et du travail forcé ? Écrire que les esclaves dans l’Empire romain étaient heureux et qu’ils pouvaient un jour regagner leur liberté... Et qui sont-ils ces historiens de l’Empire romain ? Toujours les mêmes. Si on se questionne sur la source, elle est toujours romaine et proche du pouvoir.
  3. L’Empire romain a quand même tué et mis en esclavage des millions de personnes. C’était pas jolie. Ils vont pas s’accuser quand l’histoire ils l’écrivent, forcement. Mais toutes ces guerres, c’était beaucoup. Une conquête quoi, avec un immense territoire. Ce ne sont pas toujours de belles histoires pourtant. Même pour les premier chrétiens c’était chaud.
  4. Oui. Tandis que d’autres métiers, tout aussi remplaçable, n’ont pas été mis sur la touche. Je suis d’accord. Mieux vaut prevenir que guérir. La solution sera de créer des nouveaux emplois. Ou de pouvoir donner des formations où nous serons payé pour acquérir un diplôme dans plusieurs secteur d’activité. Le monde étudiant devrait être une activité qui mérite un salaire et être un tremplin vers n’importe quel futur emploi.
  5. Faudrait qu’elle soit complètement autonome en électricité, t’as raison. Avec de l’énergie solaire par exemple.
  6. Ils se rechargent seules et ils peuvent apprendre. et tous les robots pourront partager leurs apprentissages grâce à un réseau ultra-rapide : chaque expérience servira à entraîner les autres. Alors c’est différent qu’une simple mise à jour. Ils se partagent les connaissances acquise entre eux. Belle journée
  7. Mais si ils l’ont déjà fait dans le passé. Comme l’ordre religieux des assassins créé par Hassan ibn al-Sabbah. Toujours a assassiner visiblement. Mais ça existe évidemment aussi de nos jours des groupes de musulmans organisé. Ou en politique dans bon nombre de pays il y a bien un islam politique. Même en France ou en Belgique il y a ce genre de parti politique à connotation religieuse.
  8. Il mesure juste 1m70. Peut-être ils en feront des pliables ou de plus petit. Mais je cite : Il parle, écoute et comprend mieux. Il peut ainsi discuter et apprendre naturellement, comme un colocataire toujours prêt à filer un coup de main. Sans doute ça sera moins cher aussi, comme nous le dis l’article. Et accessible à tous. La production de masse est prévu à cet effet. Ils ne coûtent pas cher à produire.
  9. https://www.donneesmondiales.com/religionen/religions-detat.php Ca fait beaucoup de pays en dictature.
  10. Tout le monde aura probablement un robot chez lui dans le futur.
  11. Une autre vision de monsieur Boualem Sansal. «Pseudo écrivain islamophobe» : l’ex-élu EELV Karim Zéribi appelle «les gens de paix» à s’unir contre Boualem Sansal Placé sous mandat de dépôt en Algérie, l’écrivain Boualem Sansal a reçu le soutien de nombreuses personnalités politiques en France. Ce n’est pas le cas de l’ancien élu écologiste Karim Zéribi qui le décrit comme un « islamophobe » qui propage « la haine ». L’arrestation de Boualem Sansal a provoqué une vague d’indignation en France. Placé sous mandat de dépôt pour « acte terroriste ou subversif », l’écrivain algérien a notamment été soutenu au Parlement européen par Marion Maréchal-Le Pen ce 27 novembre. Mais tout le monde ne le soutient pas, à l’image du docteur en sciences politiques, Nadjib Sidi Moussa, dans l’émission C Politique dimanche 24 novembre. Jeudi 28 novembre, c’est l’ancien eurodéputé écologiste Karim Zéribi qui s’est montré très critique envers l’écrivain. Sur son compte Instagram, il a relayé une vidéo d’une de ses interventions sur la radio Beur FM où il dénonce l’attitude des soutiens de l’écrivain. «C’est Marine Le Pen qui fait des tweets, c’est Bardella. Tout d’un coup, ils aiment les Franco-Algériens quand ils crachent sur l’Algérie, quand ils diffusent la haine de l’islam, du musulman», estime-t-il. Pour lui, ses défenseurs ne « l’aiment pas pour sa plume » ni pour sa « défense de la liberté ». Karim Zéribi dénonce une instrumentalisation. Karim Zéribi propose à l’Algérie de déchoir l’écrivain de sa nationalité. Mais l’ancien conseiller municipal de Marseille va plus loin. Pour lui, Boualem Sansal «alimente un fonds de commerce qui est celui de l’extrême droite et d’une partie des pseudos intellectuels réactionnaires». Il faut donc, selon lui, que « les gens de paix, les gens positifs, les gens qui veulent se respecter » s’unissent contre «ces Boualem Sansal, pseudo écrivains islamophobes qui propagent la haine». Si l’ancien élu ne souhaite pas « qu’il passe 15 ou 20 ans de sa vie en prison », il propose directement à l’Algérie de lui « interdire de rentrer sur son sol » ou même de « le déchoir de sa nationalité ». L’ancien eurodéputé et militant associatif est persuadé que la France et l’Algérie « ont une relation inéluctable ». Certes, il existe des « tensions diplomatiques » actuellement, il y a une « histoire douloureuse », mais « notre relation est inéluctable », assure Karim Zéribi, qui plaide pour la création «d’un pont où certains veulent élever des murs». https://www.lejdd.fr/societe/pseudo-ecrivain-islamophobe-lex-elu-eelv-karim-zeribi-appelle-les-gens-de-paix-sunir-contre-boualem-sansal-152264
  12. Quand on avait un livre à la main, ou un journal, ce n’etait pas mal vu. Le problème c’est peut-être vous et votre jugement qui délire à accuser les autres alors que ce n’est pas grand chose. Peu importe les incivilités, ou le fait qu’on soit chacun dans sa bulle, je ne les jugerais pas en mal pour si peu. Je prend patience dans la file et je me plains pas... quoi que je suis ailleurs, ce ne sont pas des choses qui m’affectent. Je préfère être en esprit dans une forme d’introspection ou je prends sur moi. Le regard qui fixe quelque chose, ou bien en retrait... et non comme un fou qui balance ces yeux partout jugeant le monde qui l’entoure... bien qu’il ne s’en rend même pas compte. S’observer soi même, patienter, ou voir la vie en rose... ou arriver à être ailleurs... ne doit pas être si facile... ou d’une souffrance pour ces gens qui n’ont pas les yeux dans leur poche. Si tu demandes ta route à un passant qui regarde le sol tu sentiras un cœur qui veut t’aider.
  13. D’un point de vue officiel le tripitaka est une référence et partagé par les bouddhistes dans leur intégralité. Visiblement tu n’en en as juste pas connaissance. Shakyamuni est le surnom qu’a le Bouddha. Donc tu ne sais pas. Ou alors c’est un constraste avec l’objectif de me faire réagir ? Ou une intention de chercher la discorde en mettant le bouddhisme japonais en concurrence avec un autre, non ? Le livre des trois corbeilles est l’enseignement initiale du bouddhisme pour tous. Le terme Tripitaka peut aussi désigner de façon plus large tout canon bouddhique : Tripitaka chinois, Tripitaka japonais, Tripitaka Koreana, etc. Le terme chinois Sanzang (三藏) est la traduction de « trois corbeilles » dans cette langue. Dans ces enseignements et cette quête de sagesse pour atteindre l’arbre de la bodhi provennant du bouddhisme ou même d’ailleurs, il n’y a pas à chercher une prédominance. Elles conduisent vers la même destination. Elles conduisent à l’éveil. Chaque connaissance peut nous y guider. Par notre volonté, notre pratique et notre propre expérience personnel. Ce sont ces expériences issu de la source que nous partage gratuitement le tripitaka. Un trésor pour nous et les nouvelles générations futures. Initialement c’est le Bouddha qui inspire un souffle nouveau et plus cohérent afin de parvenir à un meilleur dévelloppement personnel. Le Bouddha a bien une histoire et n’est pas un personnage fictif. Il a une vie, des premiers disciples et des enseignements qui nous sont venu de lui. Il s’appelait Siddhārtha Gautama. Ce fut l’ermite des shakyas, voilà pourquoi on le nommait Shakyamuni. Ces premiers disciples sont Trapusa et Bahalika. Ensuite Bharika, Baspa, Mahanama, Asvajit et bien sûr Ajnata Kaundinya. Comme je disais les enseignements de Bouddha sont diffusé dans le tripitaka qui signifie en sanskrit (triple corbeille) et contiennent l'ensemble des textes sacrés du bouddhisme. Elles sont divisées en trois parties : le vinaya-pitaka (la discipline), le sutta-pitaka (les sermons) et l'abhidharma-pitaka (la doctrine suprême) Vinaya Pitaka : contient les règles de conduite destinées aux moines et moniales bouddhistes. https://fr.wikipedia.org/wiki/Vinaya_Pitaka Sutta Pitaka : ce sont un recueil des discours et d'enseignements attribués au Bouddha. https://fr.wikipedia.org/wiki/Sutta_Pitaka Abhidhamma Pitaka : Cette partie comprend des analyses et des traités philosophiques détaillés sur la doctrine bouddhique. https://fr.wikipedia.org/wiki/Abhidhamma Selon la tradition, la première récitation complète destinée à fixer l’enseignement du Bouddha a lieu peu après sa mort lors du premier concile. Ananda aurait récité les suttas et Upāli le Vinaya. Il n’y avait pas encore d’Abhidharma. Ce contenu fut par la suite récité régulièrement jusqu’au Ier siècle avant Jésus-Christ où il fut mis par écrit sous le règne du roi Vattagamini.
  14. Des insectes maîtrisent aussi des effets d’antigravité. Viktor Grebennikov affirme avoir découvert des effets antigravitationnels en étudiant la chitine d'insectes, ce qui aurait conduit à la construction d'une plateforme capable de voler sans moteur.
  15. Nikaa

    Le respect

    Choisir qui respecter ne sonne pas juste parce que je deviens comme celui qui ne respect pas ou ne me respect pas. Je ne le fais pas pour moi ou pour ceux qui sont comme moi. Dois-je être mauvais envers celui que je pense mauvais ? Être vrai, c’est... ne rien attendre en retour et estimer les autres quel qu’ils soient. Dans la vie chacun passe si brièvement. Rien est hier, tout est demain, mais je vis pour être dans l’instant. Si j’y arrive. Et le temps ne le fera peut-être pas changer, je n’en sais rien. Mais toi tu comprends... ce qui lui arrive... ou pas ? Ce que je sais, c’est qu’être éclairé par un peu de gentillesse serait mieux. Avoir une image d’ange m’insupporte, je suis ailleurs dans ma tête... pas moralisateur. Mais la vérité est difficile à saisir. Notre langage ? C’est être apprécié par les autres ? Non. Mais si c’est l’amour, c’est être vrai, et ne pas se prendre de haut. Ce n’est pas les autres le problème mais moi qui croit qu’ils le sont. Agir ainsi est mieux et vrai. J’aimerais que l’affection et le respect soit partagé. Mais si ce n’est pas le cas, ce que lui pense de moi m’indiffère. Je continuerais ou pas, mais je ne le jugerais pas négativement. C’est son problème et j’espère de tout cœur qu’il considère mieux les autres. Je suis déjà ailleurs, je n’y pense même plus. Et quoi ? Le rejeter à mon tour risque d’accentuer ce qu’il est. Et c’est ça qui m’affectera. Surtout, mes impressions sur lui, mon jugement, sont-ils fiable ? Il y a ce que je vois ou entend et ce que je ne sais pas de lui. Mes interactions, ou même par un salut et un sourire, sont de la simple courtoisie et elles seront présente avec tous. Même si ce n’est pas réciproque, tant pis. Ça suscite une intention d’en faire preuve, ce n’est pas inné. Avoir bonne conscience dans le paraître je m’en fout. Si je choisi à qui je donne du respect là ce sera hypocrite. Bonne nuit Passiflore. Très beau dimanche à nous tous
  16. Oui, mais il y a un seul Bouddha, un seul Shakyamuni. Et le tripitaka (le livre des trois corbeilles) est l'ensemble des textes sacrés du bouddhisme. Elles sont divisées en trois parties : le vinaya-pitaka (la discipline), le sutta-pitaka (les sermons) et l'abhidharma-pitaka (la doctrine suprême)
  17. Ça a son charme. Et qu’elle soit si neutre et pas ostentatoire. La pratique est une référence importante néanmoins. Si les religions donnent toutes des connaissances pour notre développement personnel les adeptes doivent quand même lui faire honneur dans la pratique. (Ce mot m’est passé par l’esprit) J’imagine en communauté cette croyance s’impose forcement comme une référence de salut, l’espoir d’une vie éternelle. Même si pour nous ça paraît étrange, c’est normal que ça existe. C’est vieux aussi. Imagine. Une autorité miséricordieuse et mystèrieuse, et son paradis céleste avec sept étages. Une plus grande civilisation qu’ici ? Ces familles vivent avec une croyance en l’éternité. Ça se défend. Malgré notre science on a pas d’éternité avec nos corps biologique, et on ne sait pas si l’esprit survivra sans son corps. C’est genre les extraterrestres ou ange avec dieu, il serait omniscient, leur espace-temps est différent (un millénaire chez nous vaut 1 an chez eux) et il connaît le futur. Pire, c’est lui qui décidera si on croit ou pas, il nous choisit, on lui appartient tous qu’on le veuille ou non et qu’on sera stupéfait quand on revivra, mais ce sera vain de croire à ce moment là. Qu’il aurait créé tout l’univers et nous tous, de génération en génération et qu’il serait donc capable de faire revivre les morts. Pour en revenir à la question du développement personnelle, à savoir que je considère ça comme une connaissance importante pour un adepte ou un futur adepte. Heureusement on a le choix et je pense qu’elles sont toute vrai pour une spiritualité personnel. On peut apprendre de partout. Juste une précision, la pratique ne concerne pas que le corps, elle concerne aussi des enseignements philosophique et de la psychologie pour son bien-être. Et que l’ascèse corporelle est tout aussi lié à son esprit ou simplement par le bon comportement, elle n’est pas juste dirigé vers soi. Travailler à être humble par exemple se fait au quotidien. Travailler sa concentration par le corps. Enfin c’est varié. Le meilleur c’est au quotidien... quand on pense au corps, c’est un rappel pour notre esprit. Si ce qui est recherché est un système complet d’ascèse je crois bien que le bouddhisme est le plus complet en ce sens.
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