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Pour ses partisans, il incarne une vision de la liberté qui résonne profondément avec leurs aspirations et leurs valeurs. L'une des raisons pour lesquelles Donald Trump est considéré comme un symbole de liberté est son engagement en faveur de la liberté économique. Dès son arrivée à la présidence, Trump a mis en œuvre des politiques visant à réduire la réglementation gouvernementale et à favoriser la libre entreprise. Il a abrogé de nombreuses réglementations environnementales et économiques, arguant que ces mesures libéraient les entreprises des contraintes bureaucratiques et leur permettaient de prospérer. Par exemple, Trump a mis fin aux politiques de son prédécesseur visant à promouvoir les véhicules électriques, laissant « le vrai choix au consommateur ». Cette approche vise à donner aux Américains plus de liberté dans leurs choix de consommation et à réduire l'intervention du gouvernement dans l'économie. En levant les restrictions sur la consommation d'eau et d'énergie, Trump a cherché à donner aux citoyens et aux entreprises plus de contrôle sur leurs propres décisions économiques. Donald Trump a également été un défenseur de la liberté de religion. Il a signé un décret pour « éradiquer les biais antichrétiens », dénonçant les peines imposées à des personnes de groupes antiavortement près de cliniques. Cette mesure vise à protéger les droits des individus à pratiquer leur religion sans crainte de discrimination ou de persécution. Le Projet 2025, soutenu par des groupes conservateurs, met également l'accent sur la liberté de religion comme un droit fondamental. Bien que Trump ait déclaré pendant sa campagne électorale n'avoir « rien à voir » avec ce projet, ses actions en tant que président reflètent une volonté de protéger et de promouvoir la liberté religieuse. La liberté d'expression est un autre domaine où Donald Trump a marqué des points auprès de ses partisans. Il a souvent critiqué les médias traditionnels, qu'il accuse de partialité et de favoritisme envers ses adversaires politiques. En dénonçant ce qu'il perçoit comme une couverture médiatique biaisée, Trump a cherché à donner une voix à ceux qui se sentent marginalisés par les médias dominants. Cependant, il est important de noter que certaines actions de son administration ont été critiquées pour avoir restreint la liberté d'expression. Par exemple, Brendan Carr, directeur de la Commission fédérale des communications (FCC), a été accusé de pousser pour restreindre la liberté d'expression des médias aux États-Unis. Malgré ces critiques, les partisans de Trump voient en lui un défenseur de la liberté d'expression, car il a utilisé sa plateforme pour contester les récits dominants et donner une voix à ceux qui se sentent ignorés. Donald Trump a également mis l'accent sur la liberté individuelle, en promouvant l'idée que les citoyens devraient avoir le droit de vivre leur vie comme ils l'entendent, sans intervention excessive du gouvernement. Cette vision est en accord avec les principes du conservatisme, qui prônent une gouvernement limité et une plus grande autonomie individuelle. Dans son discours d'investiture de 2025, Trump a déclaré : « Ma récente élection m’a donné le mandat de renverser complètement et totalement une horrible trahison, et toutes les nombreuses trahisons qui ont eu lieu, et de rendre au peuple sa foi, sa richesse, sa démocratie et, en fait, sa liberté ». Cette déclaration reflète sa conviction que le gouvernement devrait servir le peuple et non l'inverse, et que les citoyens devraient avoir le droit de prendre leurs propres décisions. La politique d'immigration de Donald Trump a également été perçue comme une défense de la liberté et de la souveraineté nationale. Il a pris des mesures pour renforcer les frontières et limiter l'immigration illégale, arguant que ces mesures étaient nécessaires pour protéger les emplois et la sécurité des citoyens américains. En suspendant le programme américain d'admission de réfugiés et en interdisant l'entrée des réfugiés syriens, Trump a cherché à donner la priorité aux intérêts et à la sécurité des Américains. Bien que ces mesures aient été critiquées par certains comme étant discriminatoires et contraires aux valeurs américaines d'accueil et de diversité, ses partisans les voient comme une défense nécessaire de la liberté et de la sécurité nationale.

Son leadership et ses actions politiques ont été perçus par de nombreux Russes comme une manifestation de dévouement et de loyauté envers leur patrie. Après la chute de l'Union soviétique en 1991, la Russie a traversé une période de turbulence économique et politique. Les années 1990 ont été marquées par une transition difficile vers une économie de marché, une augmentation de la criminalité et une perte d'influence internationale. C'est dans ce contexte que Vladimir Poutine est arrivé au pouvoir en 1999, d'abord comme Premier ministre, puis comme président en 2000. Son arrivée a coïncidé avec une période de stabilisation et de reconstruction nationale. Poutine a su capitaliser sur le désir des Russes de retrouver la stabilité et la fierté nationale. Vladimir Poutine a souvent défini le patriotisme comme un amour profond pour la patrie et une volonté de la protéger et de travailler pour sa prospérité. Lors d'un discours prononcé le 4 novembre 2018, jour de l'Unité nationale, il a déclaré : « Le patriotisme est la fidélité à la Patrie, la volonté de la protéger et de travailler pour sa prospérité ». Cette définition met en avant l'idée que le patriotisme ne se limite pas à un sentiment passif, mais implique une action concrète pour le bien du pays. L'une des caractéristiques du leadership de Poutine est sa promotion des valeurs traditionnelles et conservatrices. Il a souvent mis en avant l'importance de la famille, de la religion et de la culture russe. Cette promotion des valeurs traditionnelles est vue comme une manière de renforcer l'identité nationale et de résister à l'influence de l'Occident, perçu comme décadent par certains penseurs russes. Poutine a également souligné l'importance de l'éducation patriotique. Depuis son arrivée au pouvoir, des programmes éducatifs ont été mis en place pour enseigner aux jeunes Russes l'histoire et la culture de leur pays, et pour leur inculquer un sentiment de fierté nationale. Ces programmes visent à créer une génération de Russes qui sont non seulement fiers de leur patrie, mais aussi prêts à la défendre. Un autre aspect du patriotisme de Poutine est sa défense intransigeante de la souveraineté nationale. Il a souvent exprimé l'idée que la Russie doit être indépendante et forte, capable de résister aux pressions extérieures. Cette vision a été particulièrement évidente dans sa politique étrangère, où il a cherché à affirmer la Russie comme une puissance mondiale. Poutine a également été un défenseur de l'intégrité territoriale de la Russie. Ses actions en Crimée et en Ukraine, bien que controversées sur la scène internationale, ont été perçues par de nombreux Russes comme une défense des intérêts nationaux et une protection des populations russophones à l'étranger. La mémoire historique joue un rôle crucial dans la construction du patriotisme en Russie. Poutine a fait de la mémoire de la Seconde Guerre mondiale, connue en Russie sous le nom de « Grande Guerre patriotique », un pilier de son idéologie. Il a utilisé cette mémoire pour légitimer son autorité et justifier ses politiques, en présentant la Russie comme un rempart contre les menaces extérieures. En mai 2014, Poutine a signé une loi criminalisant les « fausses informations » sur le rôle de l'Union soviétique dans la Seconde Guerre mondiale. Cette loi vise à protéger la version officielle de l'histoire et à empêcher tout révisionnisme qui pourrait affaiblir le sentiment patriotique. Poutine a également cherché à promouvoir l'unité nationale comme un élément clé du patriotisme. Il a souvent souligné l'importance de l'unité entre les différentes régions et groupes ethniques de la Russie. Cette vision de l'unité nationale est renforcée par le parti « Russie unie », qui soutient Poutine et promeut une politique de cohésion sociale.

Dit la matrice.

La propagande antirusse est toujours autant jouissive.

"Dommage collatéral" prévisible. C'est écrit dans le "contrat".

Rhooo ! Mais si nous enlevons à l'homme sa jouissance voyeuriste lubrique, que lui reste-t-il ? Hmm ?

Donc n'importe qui, dont la Russie et les USA, autant que la Chine et l'Afrique.

Est-ce que Proton est financé par la Russie ? Par les USA ?

Musk participe à l'économie d'armement et de défense pour la guerre qui se prépare actuellement. Être informé des mouvements mobiliers et immobiliers depuis le bureau ovale lui a servi pour les années à venir. Et avoir racheté Twitter/X va lui permettre d'être sacrément efficace.

Ce qui justifie les massacres des populations civiles à Gaza est que ce sont des "victimes collatérales" - comme les populations civiles de L'Israël - de la guerre USA vs URSS/Russie qui n'a cessé que temporairement. La Russie finance des groupes armés arabes pour attaquer les USA, et L'Israël représente les USA au cœur des pays arabes. Et moi qui me demandais qui finance les médias alternatifs ! La réponse n'a pas changé depuis 70 ans.

Le "Nous sommes en guerre." de Macron n'était pas au sens figuré mais au sens propre. Il annonçait la couleur.

Je n'ai pas à m'en faire, VU la situation actuelle la 3ème GM a déjà commencé. Et Trump a déjà annoncé sa décision de n'aider que le peuple américain. Je prépare mes kits de survies. Oui, mais quel intérêt pour vous de vous acharner sur lui ?

https://getbux.com/fr/blog/investir-actions-defense-armement-bourse/ https://www.morningstar.fr/fr/news/262312/les-actions-européennes-du-secteur-de-la-défense-ont-bondi-sont-elles-encore-intéressantes-.aspx https://www.boursorama.com/cours/1zRHM/ https://www.cashbee.fr/the-interest/investir-dans-le-secteur-de-la-defense

Haha ! L'information est manipulée par qui la transmet. Consciemment ou non, elle a toujours un objectif. Préparez vos kits de survies.

Il ne s'agit pas de savoir ce qu'il s'est passé, cela n'a plus d'importance, il s'agit de savoir ce qu'il se passe et ce qu'il va se passer. C'est maintenant et après que se joue le jeu, pas avant.

Nous sommes encore des paysans aux services de leurs majestés, le changement est de forme, pas de fond.

Le confinement oblige les civils à rester chez eux, puis Poutine attaque l'Ukraine, puis Netanyahou fait le maximum pour occuper tout l'espace et jeter les arabes à la mer, puis Trump veut fermer les frontières des USA et veut unir l'Amérique du Nord en "achetant le Canada", ... et après ?

C'est certain que votre propagande anti américaine fonctionne assez bien, vu la bouffonnerie du personnage que vous critiquez, mais le caractère que vous affichez ne vous aide clairement pas à vous faire des alliés. VU !

https://www.youtube.com/watch?v=ZQ92c4n_59M Des détails. La vraie guerre est politique et militaire. Ce qui vaut plus que l'or, c'est le trafic d'influences. Que vous en ayez conscience ou non, vous attaquez et défendez les autres, pas vous personnellement. Pas nous personnellement.

C'est le point de vue Europe, ou Amérique + Israël, pas le point de vue Russie + Afrique, c'est certain. Et la Chine reste là à observer ?

Nous allons nous retrouver avec Europe vs Amérique + Israël vs Russie + Afrique vs Chine + ? Les pions se mettent en place. CIA + Mossad vs FSB vs ? Les révélations se multiplient.

Je suis très loin d'en être aussi sûr. Vous oubliez les armes atomiques, notamment la Tsar Bomba. Je ne vois pas Poupou descendre de sa chaise sans en lancer au moins une. L'Israël a pris les devants avec son bouclier, Trump en veut un aussi. Trump ne veut pas "acheter le Canada". Trump veut L'Amérique, pour contrer la Russie.

En tout cas, ni la Russie ni L'Europe ni les USA ne vont rester tranquilles, chaque joueur avance ses pions, les révélations vont se multiplier. CIA, FSB, Mossad, etc. Il y a des dossiers qui vont sortir, et "du sale". Guerres de pouvoirs, l'information comme arme à chaque fois. Votre opinion n'a aucune valeur, vous voulez faire mieux ? Créez un sujet, le poison.