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Tout ce qui a été posté par Je vis au cimetière
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Le pacte du petit poucet => Je soussigné ... m'engage par le présent contrat à donner à.... une vie merveilleuse. Article 1 : Je m'engage à veiller personnellement à ce que .... ne manque jamais de -Moments passionnants -Moments merveilleux -Moments formidables -Ni de moments extraordinaires. Article 2 : Je renonce expressément et définitivement : -à tout ce qui est vrai, important et sacré pour moi, -à satisfaire mes envies et à écouter mes besoins, -à respecter mon corps, ma santé, mon intégrité et ma dignité. Article 3 : Je m'engage à rester toute ma vie aux côtés de .... et à satisfaire ses moindres caprices, même les plus contradictoires.. ........ peut à tous moments complèter ou modifier ce contrat, y ajouter de nouvelles clauses à sa guise, sans même me prévenir. Je m'engage en retour à ne jamais en dénoncer aucune clause et à en respecter tous les termes, quels qu'ils soient. Article 4 : Ce présent contrat est établi sans contrepartie, ni clause limitative de responsabilité et avec une obligation absolue de résultat.. Fait à ... , le .... pour la durée de la vie, au bénéfice exclusif de.... Signe mon amour, signe.
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Victime : l'objectif est d'inspirer de la pitié et de la culpabilité pour se faire prendre en charge. Votre vie est entre les mains de votre gardien, il est responsable de votre avenir. Tout dépend de lui.
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Les manipulés présentent bien et souvent mieux que la moyenne, c'est uniquement parce que très primaires et bassement lèche-bottes, tel le fayot de classe. Les manipulés mettent toute leur intelligence au service de la reptation. Quand on s'intéresse de près à leur système de pensées, on se rend compte qu'ils disposent d'un "prêt à ramper" très rudimentaire, composé d'idées toutes faites, de logique binaire. Ils sont intellectuellement paresseux et disposent d'un vocabulaire limité. En vérité, deux rôles s'offrent à eux, celui de la serpillère ou du paillasson. Ils sont incapables de s'extraire du réel et refusent l'imaginaire. N'ayant pas accès à l'affectif, ils ne peuvent pas rêver en dehors de leurs fantasmes primitifs. Leur norme mentale est le banal, l'ordinaire.
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Les manipulateurs sont des terreurs. Ils ont l'apparence d'un crétin ordinaire, d'une vie de crétin ordinaire mais ce ne sont pas des crétins. Se faire piéger par leur aspect, est un énorme privilège, les difficultés que l'on peut rencontrer avec eux nous fascine. Les manipulateurs aguerris, voire de profession, retournent le cerveau avec une aisance déconcertante tout ce qui peut faire office "d'autorité". Ils sont redoutés par les psychologues, les psychiatres car ils sont indétectables. L'âge mental des manipulés varie de 15 ans pour les moins atteints à cinq ans pour ceux que vous trouverez les plus stupides parce qu'ils n'ont bien souvent jamais rencontré de difficultés réelles dans leurs vies. Les manipulateurs d'instinct savent à qui ils ont affaire. Dans la description psychologique des manipulés, cette immaturité sociale est souvent relevée, ils n'ont pas conscience du monde dans lequel ils évoluent. Leur mental s'est comme fossilisé à l'âge de la cour de récréation. Leur empathie est leur talon d'Achille. Dès que l'on a compris cela, ils sont à leur merci. Leur carence principale étant cette difficulté à gérer leur vie de façon autonome et objective, se laissant facilement intimider par des figures d'autorité.
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Depuis quand le salariat permet-il autre chose que de courber l'échine et de se prendre une carotte dans le fion toute une vie durant ?
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Oui je suis tactile. Car en vous touchant, vous m'accordez plus vite votre confiance. La main sur l'épaule, vous agripper le bras, vous étreindre au moindre prétexte, je m'impose physiquement dans votre sphère personnelle. Je me tiens près de vous et je vous parle au visage.
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Jean-Marie Le Pen: la tombe du co-fondateur du FN dégradée à La Trinité-sur-Mer
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de hybridex dans France
Tempête "Herminia". Le vent souffle fort en Bretagne. -
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Montre connectée oui. Pour mes activités sportives.
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" - Alors Monsieur et distingué Directeur ? ça va ? Non. Ca ne va pas. Je parie que c'est à cause du fric , hein ? Justement, je suis là pour ça. Oh ! non. Je ne vous le ramène pas . Je n'en ai plus ! Il me reste 20 euros, tenez, c'est tout ce que je peux faire pour vous. "-Non je suis là pour autre chose...Vous vous rappelez le jour où vous m'avez fait un discours sur l'ordre établi, à propos d'un paquet de bonbons ? Vous vous rappelez hein ? "L'ordre est le seul moyen d'accéder à la réussite d'une entreprise ... Sans ordre, l'homme n'est qu'un animal débile .. Le monde est fait d'ordre et de discipline.. Que deviendrait-on si le soleil se mettait à tourner à l'envers ? " "-Vous m'en avez dit des choses ! Et notamment que l'argent était la matérialisation de l'ordre dans notre société. Qu'il fallait respecter ses règles. Vous êtes un peu dingue entre nous. C 'est pourquoi c'est à vous que je vais raconter mon expérience. A vous en premier, pour vous faire comprendre que vous êtes dans l'erreur. Ecoutez-moi bien , Monsieur.. Ceci est un préambule : l'argent est un facteur de désordre , et je le prouve immédiatement. Jensen fait un cours , assis en tailleur au pied du lit, il discourt avec l'aisance d'un professeur, sûr de son sujet. Le Directeur, lui, les yeux exorbités, fixe ce démon avec terreur. "- Je suis donc parti avec 378 000 euros. Je suis riche pour une semaine. C'est moi qui l'ai décidé. Il fallait bien limiter l'expérience : 42 000 Euros par jour environ, c'est une richesse appréciable. "-Premier temps, j'achète une voiture d'occasion, un vendredi soir, à un particulier. Une belle américaine. ll ne veut pas la vendre, mais si je paie 1000 Euros de plus que le prix, il est d'accord, surtout si je paie en espèces. Où est l'ordre établi, là-dedans ? Mais ce n'est rien. Je file à Monte-Carlo. J'y arrive dans la nuit du lendemain, je gare ma voiture , et je fonce au casino. Ah ! Je n'ai pas de smoking ! qu'à cela ne tienne, une poignée de billets arrange l'affaire et j'ai un smoking en dix minutes. A croire que le portier a un magasin ouvert jour et nuit. C 'est de l'ordre ça ? Bref, je joue , je perds 10 000 Euros en un quart d'heure, j'en regagne 25 000 en trois minutes. Réfléchissons: vous, vous dites que l'argent doit être placé à longue échéance pour rapporter des bénéfices sûrs, or trois minutes, pour 15 000 Euros de bénéfice, ça me paraît bien plus efficace ! Mais laissons le jeu. Il y a là matière à discussion, car j'aurais pu perdre.. "Par contre, abordons les femmes. Regardez-moi bien. Je ne suis pas laid, mais je n'ai rien d'un Don Juan. Or qui me tombe dans les bras ? Une splendeur, une actrice Italienne, belle comme une couverture de magazine. Pourquoi ? Parce que je bois le meilleur champagne, et que les billets de banque fleurissent autour de moi ! "je l'emmène dans un palace, on me loue une suite royale, et j'ai droit au cinéma sur grand écran, toute la nuit. Pourquoi ? Parce que j'ai raconté que mon père était banquier ! Dérisoire, vous ne trouvez pas ? "Elle voulait un Week-End à Rome, il n'y avait plus d'avions, j'en loue un, avec un pilote, et nous voilà dans la ville éternelle. Une nuit dans les boîtes, je paie un orchestre entier pour nous faire la sérénade..On achète une autre voiture et nous voilà à Portofino.. "Au restaurant, je rencontre un milliardaire. Il m'invite sur son yacht. Je lui cède la belle Italienne, et je récupère en compensation une Suédoise incroyable. Elle mange de la langouste et du caviar au petit déjeuner. Il lui faut une Rolls pour rentrer à Cannes, je la loue avec chauffeur et nous voilà repartis. Elle est en maillot de bain et moi toujours en smoking. "A cannes, je dévalise une boutique. Nous voilà habillés de soie. Je paie toujours en espèces, et personne ne me demande qui je suis où je vais. C 'est à ce moment Monsieur le Directeur, que je décide d'abandonner la Suédoise et son environnement de milliardaires. Je vais voir un peu chez les pauvres. J'achète une bicyclette. A minuit, je fais les rues chaudes de Nice, et pour 50 000 Euros, je m'offre le plaisir de renvoyer chez elles 12 prostituées. Au petit matin, je prends l'avion pour Paris, et je leur fais envoyer 50 roses à chacune. "A Paris, un pourboire au portier d'un hôtel, lui fait oublier que je n'ai pas de passeport, c'est facile. Le soir dans une boîte, je fais même la connaissance d'un policier. Il avale tous les bobards que je lui raconte et nous passons ensemble une excellente soirée. A la fin, même si je lui avais dit que j'étais un voleur, il ne m'aurait pas cru. "Entre-temps, une danseuse est tombée amoureuse de moi.. Vous voyez Monsieur le directeur ? L'argent peut tout. Il suffit de le distribuer largement et les gens sont à vos pieds. Ils sont prêts à tout, à vous aimer, à vous faire rire, à vous soigner, à vous suivre au bout du monde ! "Moi j'en ai fait le tour. Il me restait 60 000 Euros, j'ai pris l'avion pour Marseille, et à Marseille j'ai rencontré dans une bar une fille droguée et malade. Quand je lui ai donné l'argent, elle a filé. 1000 Euros suffisaient à accélérer sa mort de quelques jours.. C 'est de l'ordre ça ? "J'ai pris un billet de train pour rentrer. Il me restait encore de l'argent, je l'ai fourré dans la boîte à lettre d'une maison. Et voyez-vous, ça m'étonnerait que les gens qui le trouveront le rendent à qui que ce soit. "Voilà, j'ai fini. Il me restait 20 euros, je vous les rends. Je voulais que vous sachiez que votre sale fric ne sert à rien, qu'il est responsable du désordre, qu'il ne procure que des choses superficielles et à présent, moi je m'en fous. L'argent c'est de la foutaise, j'ai compris ça, et si vous ne le comprenez pas, tant pis pour vous ! "A présent, vous pouvez téléphoner à la Police. Je n'ai pas l'intention de fuir n'importe où, c'est trop compliqué de toute façon, il faut que je paie, allez je vous détache !"
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15 heures de travail à effectuer, pour les bénéficiaires du RSA
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de Crève dans Emploi
Tu as mal interprété mon propos. J'ai écrit plus-haut que les gens qui crachaient sur les gens aux RSA et autres minimas sociaux étaient tout simplement des minables, et qu'ils devaient être bien malheureux dans leur propre vie pour en arriver là. Et ceux qui ont une activité professionnelle, la majorité ne font que subir bon gré mal gré, ils n'ont pas d'autre choix, je ne pense pas que ces gens puissent être heureux, voire j'en suis certain. -
15 heures de travail à effectuer, pour les bénéficiaires du RSA
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de Crève dans Emploi
Le pire, c'est que les gens au RSA arrivent à susciter la jalousie voire le mépris. Cela serait intéressant de connaître la situation de ces gens , ils doivent être drôlement malheureux dans leur vie pour en arriver là. C 'est très bien si tu as retrouvé un emploi si tel était ton souhait. -
Toujours elle la plus....
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de crockettpolice dans Quotidien
Le "qu'en-dira-t-on" dans des endroits pareils, certains y sont sensibles. Incroyable quand même. Leur vie à l'extérieur doit être drôlement merdique pour s'y accrocher. Chaque entreprise à son lot de crétins. Gros fainéant ! -
C 'est un peu vague. Ceci dit , tu as mis le doigt sur le principal personnage, mais les autres ? Qui sont-ils ?
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1 er personnage : Sa mère, une jolie femme libre brûle de secouer l'austérité de Genève. 2 ème personnage : Son père a planté là sa jolie femme durant 6 ans pour s'en aller à Constantinople. 3 ème personnage : Une espionne à la solde du roi de Sardaigne, une aventurière qui vit de la rafle des âmes, elle quitte son mari en emportant l'argenterie et roule d'amant en amant, maintenant pour la commodité de la chose, elle les choisit parmi ses valets. 4 ème personnage(principal) : Paresseux, susceptible, insolent, il se cabre dès qu'on lui donne un ordre, méprise de tout son haut, les autres valets, offre à ses maîtres la rugosité d'un gant de crin. Il prétend que le 3 ème personnage a un tempérament de glace, en réalité c'est un impuissant qui s'effondre au pied du mur. Elle se serait sacrifiée pour l'empêcher d'aller avec d'autres femmes. Il se venge en se laissant violer par une femme qui a vingt ans de plus que lui. Il tombe amoureux d'une fille de 23 ans, pour vaincre ses difficultés, il lui fallait une femme inférieure à lui. Elle deviendra une affreuse goton.. Il crache son mépris à la société, il piétine la règle d'or des classiques du XVII siècle : plaire. Il devient chic de se faire rabrouer par ce butor. Il n'est pas aimé. Il ne l'a jamais été, ni du 3 ème personnage ni du 5 ème. Lors de la publication d'un de ses ouvrages, des fanatiques le prennent au pied de la lettre. Certains élèvent leurs filles dans les bois avec des filles de paysans à demi nues et les laissent grappiller les fruits sauvages. Ce dernier répond à l'un d'eux : tant pis pour vous et tant pis surtout pour vos filles et fils. Il dit de lui : " ne laissez pas un coquin de mon espèce parmi les honnêtes gens..". 5 ème personnage : Elle sait à peine écrire. Voici un spécimen de son charabia : Genores pas pances que monsieur deu Girardin ores difame la fameudeu gan gaque. 6 ème personnage : Il permet au 4 ème personnage de ne pas jeûner plus qu'à son habitude et dit de lui que c'est un ingrat et rajoute : " cet homme est un forcené.. Il est damné, cela est sûr.. Oh ! mon ami quel spectacle que celui d'un homme méchant et bourrelé ! .. Que je ne revois plus cet homme-là; il me ferait croire aux diables et à l'enfer.. 7 ème personnage : Le 4 ème personnage lit un de ses ouvrages dans les salons. Le 7 ème personnage prend peur pour sa réputation. Elle alerte un ami à elle, un lieutenant de Police qui convoque le 4 ème personnage. Il n'y aura plus de lectures dans les salons.
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La musique - un véritable vecteur d'émotions !
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de Fidelia dans Musiques
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Après à 40 ans certains sont déjà dégueulasses. Finalement peu importe l'âge, l'important c'est que lorsque l'on se regarde dans le miroir, on ne se dégoûte pas. Mais bon , 60 balais, alcool y compris (apéros de la beaufitude ou pack de kro du prolo , parfumés à la vinasse, au rosé ou à la bière), clope, sédentarité, carrière de boulot(s) de merde payés des miettes, en cumulant tous ces paramètres, cela ne doit pas être "joli", "joli"...
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Enfin une qui n'est pas dans le déni...
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La musique - un véritable vecteur d'émotions !
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de Fidelia dans Musiques
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"Durafour Crématoire" "Le point de détail". L'agression physique d 'une élue PS, sans l'intervention de personnes présentes voire de ses propres agents-bouffons-larbins, il l'aurait massacrée. Et certains sont encore là à honorer, pire excuser, ce qu'il a été parce qu'il est DCD. Nous ne valez pas mieux que ce gros tas de merde. Je me suis bien marré lorsque Conversano (l'autre tafiole d'ED) a sorti du placard une interview. "Oui j'ai été marin, mineur" mais MDR. Ah oui deux mois, les deux cumulés ? Tu t'es juste contenté d'hériter et sans la moindre reconnaissance pour ton bienfaiteur.
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La musique - un véritable vecteur d'émotions !
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de Fidelia dans Musiques
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Je me demande qui lui a pissé dans le cerveau...
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Toujours et encore l'art de la victimisation. Cela ne fonctionne plus, il va falloir changer de disque.